Trail en famille. 5
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2018 dans la catégorie Plus on est
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Trail en famille. 5
Petite balade en montagne
Ces événements se sont déroulés dans le beau département du Jura.
Comme tous les ans je vais encore passer les vacances de la Toussaint chez mes grands parents avec toute la Grande famille.
Pendant qu’Annie récupère et que Julie élimine les débordements sur le sol, moi je m’occupe de nettoyer une dernière fois le poireau de Charles avec ma bouche en pensant que pour la deuxième fois, c’est encore Annie qui a décroché le pompon.
Suite.
La dernière nuit se pointe. Annie, anxieuse, m’a questionnée sur ce que je voulais dire hier par « une chose que l’on a pas testé ».
-Un peu de patience et tu le sauras bientôt mais à toi de voir si tu oseras le tenter !
Notre petit rituel recommence et nous nous retrouvons de nouveau en rang d’oignons tous les quatre devant une bonne flambée qu’il fait luire nos corps.
-J’ai envie de toi, beau mâle… Tu veux me laisser faire ? Demande Julie.
Elle se glisse entre ses jambes et découvre sa verge semi-tendue.
- Mmmmh !....Tu commences à te dessaler, tu bandes déjà pour tes cousines… Laisse-toi faire !
Elle l’engloutit à pleine bouche et le branle pour qu’il retrouve sa pleine forme, pas trop vite cependant, surveillant la tension de sa queue, s’enivrant de ses gémissements.
Il râle, les cuisses largement ouvertes. Elle ralentit le mouvement de ses lèvres mais je n’y tiens plus.
- A moi maintenant !
Je l’effleure, joue avec ma langue sur le chapeau….Je le veux !!!
J’introduis la verge dans ma gorge, au plus profond. Il se crispe sous mes ardeurs mais quand je sens son gland grossir, qu’il est au bord de l’explosion, je passe le relais.
A ce petit jeu, il nous résiste de moins en moins, il grogne de plus en plus fort quand nous nous activons alternativement sur sa virilité tendue à l’extrême.
Sous mes mouvements de va et vient et ma langue fouineuse, il arrive au bout du chemin et ouvre les vannes.
Je ferme les yeux en recevant pour la première fois ses jets puissants qui me remplissent la bouche. Je bois lentement, en petites gorgées à chaque spasme de sa bite, sa liqueur qui coule à flot.
Il ne peut retenir ses cris qui m’amènent presque à l’orgasme.
Son sperme chaud est très bon, bien épais, un vrai élixir!
Il présente son sexe débandant et souillé de sperme devant la bouche d’Annie. Il est tellement excité qu’il rebande presque aussitôt qu’elle s’occupe de sa virilité.
Julie lui demande de venir la prendre sans plus attendre. Il s’étend sur elle, les parois de sa chatte épousent immédiatement le gabarit de la queue tendue qui disparait à nos yeux.
Il danse sur son corps, faisant claquer ses couilles contre les fesses de ma cousine qui l’encourage :
-Ooouuuiii ! Baise-moi bien, j’aime sentir ta queue en moi !!!
Pendant ce temps, je m’occupe d’Annie, je passe ma langue autour de son sexe titillant de temps à autre son clitoris, lui arrachant des petits cris.
Comme elle est étendue à coté de Charles, je vais quémander des fois la verge voisine. Il a comprit mon manège et sort parfois totalement son pilon du vagin de Julie pour carrément l’engouffrer dans ma bouche.
La mousse qui s’écoule du vagin d’Annie se mélange à celle de Julie à chaque fois que ma langue passe sur la tige de Charles.
Fixant Charles qui défonce maintenant Julie en levrette, je plonge le nez entre les fesses d’Annie et englobe tout entier dans ma bouche sa rondelle ou je m’active avec ma langue .
Avec un aplomb dont je ne me serais pas crû capable, mon doigt plonge entre ses rondeurs, trouve son petit trou, le masse doucement et tel un petit pénis, l’encule.
Annie gémit et contracte son sphincter qui emprisonne mon majeur en gémissant. Je lui murmure :
- Tu aimes par là aussi ?...
-Oh quelle sensation étrange… Ouuuiii ! Là aussi ! Va-y tout doucement avec ton doigt, lentement… Plus profond. Tourne-le. Aaah ! Tu m’ouvres le cul ! Aaah doucement ! Mets-en un deuxième, ooouuuiii ! Mmmmh ! Que tu me branles bien le cul !
Elle râle en se cambrant. Mon doigt glisse maintenant sans efforts… Elle en veut un second ?
Rien de plus facile.
-Tu es bien ouverte Annie. Comme tu serres mes doigts ! Encore plus profond ? Un troisième doigt ?
-Anya… Oui Anya !!.....
Elle crie et serre mes trois doigts que je bouge dans son fondement, les enfonçant le plus loin que je peux. Sous ses contractions, mes doigts sont serrés comme dans un étau, dans la tenaille de ses muscles.
Elle se crispe en poussant un énorme râle en jouissant de mes doigts prisonniers en elle.
Je l’ai fait jouir du cul !!!
Elle soupire, son visage transfiguré par le plaisir. Elle tire sur ma main, fermant les yeux, la bouche entrouverte, son anus baille encore, en avouant :
-C’est presqu’aussi bon que la bite de Charles dans mon minou !
-Tu te sens prête pour la suite ? Tu te doutes de ce qu’il va se passer maintenant ?
-Je vais me faire enculer ? Oh ouiii ! Mais- Il ne va pas me faire mal ?
Charles a délaissé Julie en entendant notre conversation. Il est debout le fusil à l’air. Je peux voir ses grosses couilles imberbes et pendantes qui ne cachent plus rien de son formidable épi aux énormes veines qui gorgent de sang comme jamais cette véritable machine au gland hypertrophié.
A quatre pattes, Annie réalise soudain la différence entre mes doigts et cette chose est prend peur quand il présente le missile devant l’objectif mais il est trop tard.
Elle essaie de se dégager dans de vaines tentatives mais la force physique de Charles est bien supérieure. Julie a pris la tête d’Annie et la serre comme une bouée de sauvetage contre sa poitrine. Annie sent la formidable pression qui s’exerce contre son sphincter.
Charles, pour qui c’est aussi une première, sent sa bite plier sous l’effort et n’arrive pas à forer le trou qui lui résiste.
-Alors mauviette, tu fais moins le malin ! Montre-toi un homme ! Je l’encourage en lubrifiant abondamment les deux (protagonistes) puis en lui donnant une violente claque sur les fesses quand il refait un essai.
Annie est toute crispée dans l’attente d’être fendue mais la violence de la pénétration suite à mon (coup de main) la prend par surprise et elle hurle comme une folle quand le gland massif force le passage de son petit anus.
La douleur a été si extrême qu’elle s’est presque évanouit. Charles ne sait plus que faire et n’ose plus bouger et il faut qu’on l’encourage pour qu’il veuille reprendre cette première sodomie pour tous les deux.
-Charles ! Le conseille Julie, tu as fait le plus difficile, mais vas-y quand même avec douceur, le temps qu’Annie se remette de ce cataclysme pour elle. Annie ! Il faut souffrir pour connaître toutes les arcanes du plaisir, mais il faut dire qu’avec Charles, la barre de départ était peut-être un peu haute. Mais tu ne peux plus revenir en arrière. Essaie maintenant d’y trouver du plaisir !
Il s'enfonce progressivement dans ce petit fion novice et Annie pousse de petits cris de douleur.
Mais la grosse bite continue inexorablement à se frayer un passage à travers son rectum.
Je vois disparaître la moitié de la verge centimètre après centimètre dans l’anus quand d'une seule poussée, il enfonce jusqu’aux couilles le reste de son manche de pioche d'un coup sec et que ses énormes couilles claquent contre la chatte d’Annie.
Annie se remet à hurler et j’engueule copieusement Charles.
-Petit con, ne pense-pas qu’à toi ! Tu es en train de lui défoncer l’arrière train !!!
-Oh ! Excuse-moi Annie ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Je vais y aller tout en douceur. Tu es si serrée. C’est si booonnn !!!
Il commence à faire des va-et-vient très lents mais en moins d’une minute, le rythme accélère de plus en plus.
Contrairement à sa passivité habituelle, il s’est transformé en faune et l’encule maintenant sauvagement profondément dans ses entrailles en la tenant fermement par les hanches de ses deux mains.
Annie subit le supplice un bon moment avant de pousser des cris de plaisir, de douleur ou de fureur contre la bestialité des assauts de son cousin.
Elle réussit enfin à prendre un plaisir de plus en plus divin sous les assauts de ce gourdin qui lui fend les entrailles.
Julie et moi en profitons pour nous donner mutuellement du plaisir. Je me suis allongée sur le dos et Julie s’est étendue tête-bêche sur moi pour me donner accès à son clitoris.
Charles et Annie tout à leur fornication, ne perdent pas une miette du spectacle du double gamahuchage.
Mais Charles nous signale qu’il est prêt à exploser et comme nous voulons profiter les trois de son obole, nous prenons une des positions si souvent prisent ces derniers soirs.
Julie et moi sommes couchées sur le dos côte-à côte devant le feu et Annie vient glisser sa tête en sens contraire entre les nôtres. Charles s’est mis à genoux et astique avec vigueur son sexe au dessus de nos têtes.
Soudain, les écluses s’ouvrent et un flot plusieurs fois renouvelé sabre nos visages de longues trainées de foutre gluant. Les bouches ouvertes n’en ramassent que les miettes car la violence de son éjaculation est beaucoup plus puissante que ces derniers jours et sa semence s’est plus répandue sur les sacs de couchage que sur nous.
Il s’est enfin assis et nous observe, ne réalisant toujours pas d’avoir trois magnifiques filles pour lui tout seul. Nous partons toutes d’un grand éclat de rire quand Julie commente son exploit éjaculatoire.
-Bon Dieu Charles ! On dirait qu’enculer les filles a enfin libéré ta libido, putain d’éjac ! Je n’ai jamais vu ça !!!
Dans la soirée, Charles s’est alors lancé dans deux chevauchées fantastiques avec Julie et moi.
Il faut bien reconnaître que le passage de son gland massif qui agit comme un goupillon dans le goulot d’une bouteille est irréel.
Nous avons encore eu droit à d’impressionnantes giclées de sperme en pleine figure suivit du léchage de queue afin de ne rien perdre. Il était sur un nuage, n’en revenant pas que ses cousines soient aussi chaudes.
Nous nous souviendrons longtemps de cette randonnée dans le beau massif du Jura.
Ces événements se sont déroulés dans le beau département du Jura.
Comme tous les ans je vais encore passer les vacances de la Toussaint chez mes grands parents avec toute la Grande famille.
Pendant qu’Annie récupère et que Julie élimine les débordements sur le sol, moi je m’occupe de nettoyer une dernière fois le poireau de Charles avec ma bouche en pensant que pour la deuxième fois, c’est encore Annie qui a décroché le pompon.
Suite.
La dernière nuit se pointe. Annie, anxieuse, m’a questionnée sur ce que je voulais dire hier par « une chose que l’on a pas testé ».
-Un peu de patience et tu le sauras bientôt mais à toi de voir si tu oseras le tenter !
Notre petit rituel recommence et nous nous retrouvons de nouveau en rang d’oignons tous les quatre devant une bonne flambée qu’il fait luire nos corps.
-J’ai envie de toi, beau mâle… Tu veux me laisser faire ? Demande Julie.
Elle se glisse entre ses jambes et découvre sa verge semi-tendue.
- Mmmmh !....Tu commences à te dessaler, tu bandes déjà pour tes cousines… Laisse-toi faire !
Elle l’engloutit à pleine bouche et le branle pour qu’il retrouve sa pleine forme, pas trop vite cependant, surveillant la tension de sa queue, s’enivrant de ses gémissements.
Il râle, les cuisses largement ouvertes. Elle ralentit le mouvement de ses lèvres mais je n’y tiens plus.
- A moi maintenant !
Je l’effleure, joue avec ma langue sur le chapeau….Je le veux !!!
J’introduis la verge dans ma gorge, au plus profond. Il se crispe sous mes ardeurs mais quand je sens son gland grossir, qu’il est au bord de l’explosion, je passe le relais.
A ce petit jeu, il nous résiste de moins en moins, il grogne de plus en plus fort quand nous nous activons alternativement sur sa virilité tendue à l’extrême.
Sous mes mouvements de va et vient et ma langue fouineuse, il arrive au bout du chemin et ouvre les vannes.
Je ferme les yeux en recevant pour la première fois ses jets puissants qui me remplissent la bouche. Je bois lentement, en petites gorgées à chaque spasme de sa bite, sa liqueur qui coule à flot.
Il ne peut retenir ses cris qui m’amènent presque à l’orgasme.
Son sperme chaud est très bon, bien épais, un vrai élixir!
Il présente son sexe débandant et souillé de sperme devant la bouche d’Annie. Il est tellement excité qu’il rebande presque aussitôt qu’elle s’occupe de sa virilité.
Julie lui demande de venir la prendre sans plus attendre. Il s’étend sur elle, les parois de sa chatte épousent immédiatement le gabarit de la queue tendue qui disparait à nos yeux.
Il danse sur son corps, faisant claquer ses couilles contre les fesses de ma cousine qui l’encourage :
-Ooouuuiii ! Baise-moi bien, j’aime sentir ta queue en moi !!!
Pendant ce temps, je m’occupe d’Annie, je passe ma langue autour de son sexe titillant de temps à autre son clitoris, lui arrachant des petits cris.
Comme elle est étendue à coté de Charles, je vais quémander des fois la verge voisine. Il a comprit mon manège et sort parfois totalement son pilon du vagin de Julie pour carrément l’engouffrer dans ma bouche.
La mousse qui s’écoule du vagin d’Annie se mélange à celle de Julie à chaque fois que ma langue passe sur la tige de Charles.
Fixant Charles qui défonce maintenant Julie en levrette, je plonge le nez entre les fesses d’Annie et englobe tout entier dans ma bouche sa rondelle ou je m’active avec ma langue .
Avec un aplomb dont je ne me serais pas crû capable, mon doigt plonge entre ses rondeurs, trouve son petit trou, le masse doucement et tel un petit pénis, l’encule.
Annie gémit et contracte son sphincter qui emprisonne mon majeur en gémissant. Je lui murmure :
- Tu aimes par là aussi ?...
-Oh quelle sensation étrange… Ouuuiii ! Là aussi ! Va-y tout doucement avec ton doigt, lentement… Plus profond. Tourne-le. Aaah ! Tu m’ouvres le cul ! Aaah doucement ! Mets-en un deuxième, ooouuuiii ! Mmmmh ! Que tu me branles bien le cul !
Elle râle en se cambrant. Mon doigt glisse maintenant sans efforts… Elle en veut un second ?
Rien de plus facile.
-Tu es bien ouverte Annie. Comme tu serres mes doigts ! Encore plus profond ? Un troisième doigt ?
-Anya… Oui Anya !!.....
Elle crie et serre mes trois doigts que je bouge dans son fondement, les enfonçant le plus loin que je peux. Sous ses contractions, mes doigts sont serrés comme dans un étau, dans la tenaille de ses muscles.
Elle se crispe en poussant un énorme râle en jouissant de mes doigts prisonniers en elle.
Je l’ai fait jouir du cul !!!
Elle soupire, son visage transfiguré par le plaisir. Elle tire sur ma main, fermant les yeux, la bouche entrouverte, son anus baille encore, en avouant :
-C’est presqu’aussi bon que la bite de Charles dans mon minou !
-Tu te sens prête pour la suite ? Tu te doutes de ce qu’il va se passer maintenant ?
-Je vais me faire enculer ? Oh ouiii ! Mais- Il ne va pas me faire mal ?
Charles a délaissé Julie en entendant notre conversation. Il est debout le fusil à l’air. Je peux voir ses grosses couilles imberbes et pendantes qui ne cachent plus rien de son formidable épi aux énormes veines qui gorgent de sang comme jamais cette véritable machine au gland hypertrophié.
A quatre pattes, Annie réalise soudain la différence entre mes doigts et cette chose est prend peur quand il présente le missile devant l’objectif mais il est trop tard.
Elle essaie de se dégager dans de vaines tentatives mais la force physique de Charles est bien supérieure. Julie a pris la tête d’Annie et la serre comme une bouée de sauvetage contre sa poitrine. Annie sent la formidable pression qui s’exerce contre son sphincter.
Charles, pour qui c’est aussi une première, sent sa bite plier sous l’effort et n’arrive pas à forer le trou qui lui résiste.
-Alors mauviette, tu fais moins le malin ! Montre-toi un homme ! Je l’encourage en lubrifiant abondamment les deux (protagonistes) puis en lui donnant une violente claque sur les fesses quand il refait un essai.
Annie est toute crispée dans l’attente d’être fendue mais la violence de la pénétration suite à mon (coup de main) la prend par surprise et elle hurle comme une folle quand le gland massif force le passage de son petit anus.
La douleur a été si extrême qu’elle s’est presque évanouit. Charles ne sait plus que faire et n’ose plus bouger et il faut qu’on l’encourage pour qu’il veuille reprendre cette première sodomie pour tous les deux.
-Charles ! Le conseille Julie, tu as fait le plus difficile, mais vas-y quand même avec douceur, le temps qu’Annie se remette de ce cataclysme pour elle. Annie ! Il faut souffrir pour connaître toutes les arcanes du plaisir, mais il faut dire qu’avec Charles, la barre de départ était peut-être un peu haute. Mais tu ne peux plus revenir en arrière. Essaie maintenant d’y trouver du plaisir !
Il s'enfonce progressivement dans ce petit fion novice et Annie pousse de petits cris de douleur.
Mais la grosse bite continue inexorablement à se frayer un passage à travers son rectum.
Je vois disparaître la moitié de la verge centimètre après centimètre dans l’anus quand d'une seule poussée, il enfonce jusqu’aux couilles le reste de son manche de pioche d'un coup sec et que ses énormes couilles claquent contre la chatte d’Annie.
Annie se remet à hurler et j’engueule copieusement Charles.
-Petit con, ne pense-pas qu’à toi ! Tu es en train de lui défoncer l’arrière train !!!
-Oh ! Excuse-moi Annie ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Je vais y aller tout en douceur. Tu es si serrée. C’est si booonnn !!!
Il commence à faire des va-et-vient très lents mais en moins d’une minute, le rythme accélère de plus en plus.
Contrairement à sa passivité habituelle, il s’est transformé en faune et l’encule maintenant sauvagement profondément dans ses entrailles en la tenant fermement par les hanches de ses deux mains.
Annie subit le supplice un bon moment avant de pousser des cris de plaisir, de douleur ou de fureur contre la bestialité des assauts de son cousin.
Elle réussit enfin à prendre un plaisir de plus en plus divin sous les assauts de ce gourdin qui lui fend les entrailles.
Julie et moi en profitons pour nous donner mutuellement du plaisir. Je me suis allongée sur le dos et Julie s’est étendue tête-bêche sur moi pour me donner accès à son clitoris.
Charles et Annie tout à leur fornication, ne perdent pas une miette du spectacle du double gamahuchage.
Mais Charles nous signale qu’il est prêt à exploser et comme nous voulons profiter les trois de son obole, nous prenons une des positions si souvent prisent ces derniers soirs.
Julie et moi sommes couchées sur le dos côte-à côte devant le feu et Annie vient glisser sa tête en sens contraire entre les nôtres. Charles s’est mis à genoux et astique avec vigueur son sexe au dessus de nos têtes.
Soudain, les écluses s’ouvrent et un flot plusieurs fois renouvelé sabre nos visages de longues trainées de foutre gluant. Les bouches ouvertes n’en ramassent que les miettes car la violence de son éjaculation est beaucoup plus puissante que ces derniers jours et sa semence s’est plus répandue sur les sacs de couchage que sur nous.
Il s’est enfin assis et nous observe, ne réalisant toujours pas d’avoir trois magnifiques filles pour lui tout seul. Nous partons toutes d’un grand éclat de rire quand Julie commente son exploit éjaculatoire.
-Bon Dieu Charles ! On dirait qu’enculer les filles a enfin libéré ta libido, putain d’éjac ! Je n’ai jamais vu ça !!!
Dans la soirée, Charles s’est alors lancé dans deux chevauchées fantastiques avec Julie et moi.
Il faut bien reconnaître que le passage de son gland massif qui agit comme un goupillon dans le goulot d’une bouteille est irréel.
Nous avons encore eu droit à d’impressionnantes giclées de sperme en pleine figure suivit du léchage de queue afin de ne rien perdre. Il était sur un nuage, n’en revenant pas que ses cousines soient aussi chaudes.
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Je suis partante pour découvrir le Jura dans ces conditions