Transformation d'Isabelle
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2025 dans la catégorie Plus on est
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Transformation d'Isabelle
Le réveil me tire d’un sommeil sans rêve, du moins, c’est ce qu’il me semble. Je me sens courbaturée. Pas étonnant, avec la sarabande d’hier. Tant bien que mal, je me lève et vais directement à la cuisine, prendre un petit déjeuner .
- A demain, Isabelle ! N’oublie pas, tu vas être percée. Penses-y bien ? M'a dit Malik avant de nous quitter.
Je me mets à penser à ce qui va se passer, cet après-midi. Je vais être annelée. J’appréhende cette opération, en même temps, je la désire très fort. Ainsi, mon appartenance à Moussa en sera renforcée. Il m’a déjà prévenue de ce qu’il compte me faire poser. Mais je n’ai aucune véritable idée de ce que cela représente.
Je n’ai aucune notion de l’heure qu’il est et je n’ai pas faim. Je me recouche nue et me mets à penser. Penser à tout ce qui m’est arrivé en quelques mois. Je suis ainsi passée de bourgeoise rigide et frigide, à esclave nymphomane et masochiste. J’ai été intégralement épilée. J’ai reçu des fessées, j'ai été durement, baisée et enculée jour et nuit, par plusieurs inconnus. J’ai été même saillie par un chien. Bientôt, je vais être annelée, sans doute marquée, prostituée par mon Moussa. Quelle humiliation va t-il inventer, pour me soumettre plus encore ?
Je sais que mes tétons vont être étirés par le poids conséquent des anneaux qui y seront fixés. Quand à ma chatte, je ne me fais guère d’illusion. Elle va subir le même sort. J’ai du mal à m’imaginer, les seins pendants et les lèvres de ma chatte distendues, étirées de plusieurs centimètres.
Malgré cela, je sens mon vagin s’humidifier et le désir monter. Oh, combien cette excitation me plaît. Une nouvelle fois, je dégouline de la chatte, je me branle et me soulage.
Le reste de la journée se passe entre moment de sommeil et d’éveil, je suis soulagée lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, puis se refermer quelques instants plus tard, trop tardivement pour qu’une seule personne soit entrée.
Y avait-il quelqu’un d’autre avec Moussa ? Des pas se rapprochent, des talons de femme, à n’en pas douter. Qui cela peut bien être ? Quelle n'est pas ma surprise lorsque je vois Mylène entrer à la suite de Moussa. J’en reste bouche bée. Je fixe la jeune femme, les yeux écarquillés. Que fait elle là, nous servons ensemble au restaurant, elle me racontait ses déboires et j'en faisais de même, pour les miens .
- Mylène est venue voir ta soumission ! N’est-ce pas ?
- Oh ! Oui, Moussa ! répond la jolie blonde, intimidée.
- Tu vois, que je ne t’ai pas menti. Elle aime cela, elle en redemande, même. N’est-ce pas, ma salope ?
Je hoche la tête, ne cessant de dévorer des yeux cette ravissante apparition, ce qui ne passe inaperçu aux yeux de Moussa, car il lance d’une voix sifflant :
- Baisse les yeux, ou sinon ?
J’obéis immédiatement, regardant les deux personnages par en-dessous. Je vois ainsi Moussa s’approcher de Mylène, se coller à elle et lui caresser les fesses. La jeune blonde n’esquisse aucun geste de recul, au contraire. Moussa se penche à son oreille et lui susurre :
- Tu aimerais être à sa place, Mylène ?
La jeune femme ne répond pas et frémit. A aucun moment, elle ne tente de se dérober à la main de Mon Moussa qui, descend à l’ourlet de la robe, commence à remonter le long de la cuisse, par derrière. Je vois le vêtement se retrousser, au fur et à mesure de la progression de la main de Moussa. A un moment donné, il cesse de monter et murmure :
- Tu portes des bas, petite salope ?
- Ou ? Oui, mais je ne suis pas une salope !
- Ah bon, comment nommes-tu une femme qui vient se repaître de la vision de sa consœur soumise nue ?
-Alors ? Reprend Moussa, griffant la cuisse de Mylène.
- Une ? Une salope ? Une salope ?
- Exact ! Mais tu n’as pas répondu à ma question ?
- La ? Laquelle ?
- Aimerais-tu être à sa place ?
- Je ? Je ne crois pas !
- Alors, avec elle ?
- Je ? Je ne sais pas.
- Tiens donc, tu ne dis pas non ! Pourquoi ?
- Je ?
Elle ne continue pas sa phrase, baisse la tête. Je la vois se lécher les lèvres à plusieurs reprises. La situation l’excite, cela se voit. La main de Moussa reprend son chemin et bientôt, effleure la culotte de Mylène. Du moins, c’est ce que j’imagine, lorsqu'il lui dit doucement :
- Écarte les cuisses !
- Mais ? Fait la blonde, tout en obéissant docilement.
- Tu es toute trempée, salope. Qu’est-ce qui t’excites autant ?
- Tout !
- Tout quoi ?
- Euh ? Ta main, la soumission d’Isabelle !
- Tu aimerais partager sa soumission ?
- Oui ? Oh oui !
- Tu es sûre de toi ?
- Oui Moussa !
-Tu sais ce qui va lui arriver, ce soir ?
- Oui Moussa !
- Dis-le !
- Elle va ? Elle va être annelée !
-Tu sais que si tu deviens ma soumise, tu ne t’appartiendras plus ?
- Oui Moussa !
- Bon ! Ce soir, je n’ai pas le temps de m’occuper de toi. Rentre chez toi et réfléchis. Vendredi, tu me donneras ta réponse. Si tu acceptes de devenir ma soumise, nous aurons le week-end pour te tester. Ensuite, tu me donneras une réponse définitive. D’accord ?
- Oui madame !
- Va-t’en maintenant, que je prépare Isabelle.
Moussa se penche vers elle, l’embrasse doucement sur les lèvres. Ensuite, il la prend par la main et quitte ma chambre. Quelques instants plus tard, j’entends la porte se refermer. Mylène est partie. Mais je jalouse un peu, car je ne vais plus être seule dans la soumission à Moussa.
Moussa revient quand je quitte ma chambre pour aller prendre une douche. Lorsque je suis prête, il me fait passer des escarpins à hauts talons et une cape s’arrêtant à mi-cuisse. Dessous, je suis nue. Il m'accroche autour du cou mon collier de soumise. Il me fait signe de le suivre et nous partons chez celui qui va me percer. Je dois dire que je n’en mène pas large, l’angoisse ne fait que monter, au fur et à mesure du trajet. Moussa semble s’amuser de mon angoisse et me jette des regards railleurs.
Nous nous garons dans une petite rue sombre et il me fait descendre.
- Ce n’est plus très loin ? Clame Moussa, en déboutonnant ma cape jusqu’à l’avant dernier bouton. - Mets tes mains dans le dos et marche derrière moi. Interdiction de tenir la cape, compris ?
Oui maître.
Je le suis dans un dédale de ruelles. Elle marche d’un bon pas et pour la suivre, je dois faire de grandes enjambées qui font ouvrir la cape et dévoiler ma nudité. Plusieurs hommes restent interloqués à la vue de mes appâts.
Enfin, après cinq minutes de marche, nous parvenons devant la boutique de piercing. Je me rends compte qu'il a fait exprès d’effectuer un détour, car il aurait été beaucoup plus facile de passer par le centre-ville.
En tremblant, je suis Moussa et je ne me sens plus du tout excitée. Au contraire, si je le pouvais, je partirais en courant. Mais lâchement, j’entre à la suite de Moussa. La pièce est grande, les lumières tamisées ajoutent un aura de mystère, cependant cela n’a rien de glauque. Moussa me fait signe d’attendre et se dirige vers une jeune femme derrière un comptoir. Je n’entends pas ce qui se dit, car ils chuchotent, mais assurément, ils parlent de moi, la réceptionniste me jette un regard de temps à autre. Enfin, elle se dirige vers moi et m'ordonne :
- Suis-moi !
Pas la moindre chaleur dans sa voix. Assurément, elle connaît ma situation. Elle me conduit dans une salle plus petite, où trône, en plein centre un lit qui aurait pu être gynécologique. Au-dessus, des spots, éteints, mais qui doivent dégager une lumière intense, sans doute pour bien voir ce que le perceur fait.
- Accroche tes vêtements ici ! Retire tes chaussures également !
Lorsque je suis intégralement nue, elle m’ordonne de m’allonger. Ensuite, elle prend mes jambes et lie mes chevilles à des étriers, qu’elle écarte, me faisant faire un grand écart. Toute mon intimité, est donc à sa merci. Ensuite, elle me fait placer les bras au-dessus de la tête et les attache au repose tête.
C’est à ce moment que Moussa entre. Il jette à peine un regard vers moi et entame une discussion avec la jeune femme :
- Bien, elle a une jolie peau, pas de boutons, donc, pas de problèmes. Sa chatte est belle, ses lèvres bien ourlées. Le seul bémol, concerne ses seins. Ils sont pas gros et des tétons, peu développés. Enfin, tout dépend de ce que vous voudrez lui mettre !
Inventorie l’assistante.
- Eh bien, je souhaite lui faire porter des anneaux lourds et larges, afin de distendre les tétons et faire affaisser les seins. De toute façon, elle fait se faire opérer car le traitement hormonal ne donne pas de bon résultat. Répond Moussa.
- Alors, après qu'elle soit opéré ! Il va falloir y aller progressivement, sinon, vous allez tout arracher. Puis-je vous donner un conseil ?
- Bien sûr !
- Utiliser un appareil pour étirer les tétons. Il existe plusieurs systèmes. Le premier se pose sur l’aréole. Il se compose d’une petite pyramide surmontée de deux encoches recevant la tige passée dans le tétons. Bien sûr, il en existe des modèles de plusieurs longueurs et c’est un modèle plutôt discret. L’autre se compose de deux tiges. L’une d’elle se place perpendiculairement, entre les seins, sur un sabot prévu à cet effet. L’autre, introduite dans la première est réglable en hauteur. A chacune de ses extrémités, deux anneaux permettent de saisir le tige du téton. Ainsi, vous pouvez régler la tension et le longueur d’élongation.
- Très bonne idée ! Vous vendez ce type de matériel ?
- Sur commande, pour le deuxième. Le premier, nous l’avons en stock, de différents modèles. Nous avons aussi de nombreux modèles de piercing. Ce soir, je vais me contenter de place des tiges provisoires. Ensuite, ce sera à vous de voir. Bien, passons à la chatte. Quel est votre but, en la faisant anneler ?
- Pouvoir interdire tout pénétration sans mon autorisation !
- Alors, je vous propose des œillets.
- Des œillets ?
- Oui. Quatre ou cinq, répartis sur les grandes lèvres, en acier chirurgical, donc, sans risque. Ils sont teints couleur chair et restent très discrets.
- Ensuite, vous pouvez y insérer tout ce que vous voulez, anneaux, barrettes, tiges.
- Va pour les œillets !
- Et pour le diamètre intérieurs ? Cela va de un à trois millimètres.
- Alors, ce sera trois. Y compris la barrette au-dessus du clitoris.
- Bien. Allons-y ? Je vais anesthésier, car c’est douloureux, surtout pour les lèvres.
- Pouvez-vous l’aveugler ?
- Bien sûr, je vais lui mettre un bandeau.
Et voilà, en plus d’être immobilisée, je me retrouve aveugle. Je ne sens que mieux ce qu’elle me fait. Elle pulvérise un produit glacé sur mon téton gauche, puis je sens qu’elle l’étire. Ensuite, je sens qu’on le saisit dans une pince en métal et je sens une piqûre qui va crescendo, sans doute au fur et à mesure de la pénétration de l’aiguille. Je ne peux m’empêcher de gémir et de me tendre. La douleur est atténuée, mais présente, et j’appréhende la deuxième. Je sens à peine le passage de la tige provisoire. La même opération se répète, avec une douleur plus intense, bien que supportable. Peut-être est-ce l’appréhension ? A moins que ce soit l’anesthésie, qui ne fait plus effet !
Lorsqu’elle s’attaque à mes grandes lèvres, je me crispe et elle doit me sangler la taille sur le fauteuil, afin que je ne me fasse pas de mal. Dire que cette opération est un calvaire est un euphémisme. Elle doit également me bâillonner pour ne pas que j’ameute tout la quartier. Lorsqu’elle a terminé la pose des cinq œillets sur chaque lèvres, je suis épuisée. Épuisée d’avoir trop souffert, épuisée d’avoir hurler dans mon bâillon, épuisée d’avoir pleuré toute les larmes de mon corps. C’est dans un brouillard que j’entends la femme donner des instructions pour les soins de mes piercings et que je la sens me détacher. Je tomberais si elle ne m’avait pas retenue, bientôt supplée par Moussa.
Que se passa-t-il ensuite ? J’en suis bien incapable d’en décrire la chronologie. Sans doute, Moussa, après avoir payé, m’a portée jusqu’à la voiture, puis jusqu’à mon lit. Je suis anéantie de douleur et je sombre dans un sommeil agité.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est que pendant son premier sommeil, elle est conduite dans une sorte de clinique. Escorté par Malik et Mylène ainsi que Moussa bien sur.
Moussa sort une seringue de sa poche, et appuie sur le piston pour ôter les bulles.
Malik et Mylène attachent solidement Isabelle par les poignets, les pieds, le ventre, les épaules et la tête sur la table.
Isabelle, râle et s'agite dans son réveille. Moussa ne fait pas attention à ces râle et pique au niveau du bras Isabelle. Elle ne se débat pas pour essayer de se détacher, car au bout de quelques minutes, l’anesthésiant faisait déjà effet et l’emportait dans les bras de Morphée.
Elle est conduite dans une sorte de salle de soins. Une femme va pratiquer l’intervention. Elle trace au crayon le tracé du scalpel, puis découpe les chairs du corps inerte. Elle découpe aussi autour de l’auréole du sein pour la remonter. Une prothèse en silicone est introduite dans le sein. Celle-ci a une contenance de six cent cm³, de forme presque sphérique. Elle insère la première prothèse dans le sein droit. La peau du sein est très tendue, mais avec dextérité, elle parvient à l’insérer sous la peau et replace la peau pour que le sein soit parfait. Il faut aussi faire attention au piercing au travers du téton. L’opération se poursuit avec le sein gauche. Elle referme les chairs et fait les points de suture. Puis on conduit Isabelle dans une salle de réveil.
Isabelle se réveillera avec une poitrine de cent dix bonnet D.
Elle se réveille doucement encore l’esprit et la vision embrumés. Elle veut se lever mais ses bras sont attachés au lit et lorsqu’elle veut lever les jambes, elle aperçoit deux gros bracelets à ses chevilles. En respirant, elle ressent une douleur et surtout une lourdeur sur la poitrine. Quelle n'est pas sa surprise de voir un large bandage entourant sa poitrine lorsqu’elle lève la tête.
Moussa entre dans la pièce accompagné d'une femme en blouse blanche.
- Où suis je ? Qu’est-ce que vous m’avez fait, j’ai mal dans la poitrine, j’ai mal partout !
- Le traitement hormonal, c'est sont long pour Malik. Alors tu as subi une opération de chirurgie plastique et pour l'augmentation mammaire. Elle va te montrer tes seins maintenant. Ils sont encore gonflés car tu as eu cette opération hier, mais tu vas voir, c’est très beau.
La femme en blouse blanche libère Isabelle de ses liens et la fait mettre en position assise. Isabelle vacille sous l’effet résiduel de l’anesthésiant, mais Moussa s’empresse de la maintenir pour éviter sa chute.
La femme en blouse blanche prend des ciseaux et coupe les pansements. Lorsqu'elle enlève le pansement, Isabelle aperçoit dans le miroir des seins gigantesques, pour elle, par rapport à ceux qu’elle avait il y a encore hier.
- Mais qu’avez-vous fait à mes seins, ils sont énormes, c’est horrible !
- La ferme ! On t’a mis un tour de poitrine dont rêvent toutes les femmes, un cent dix bonnet D et toi tu m’insultes ! Tu le paieras cher, très cher, petite pute, tu peux me croire.
Sur un signe de Moussa, la femme en blouse blanche, remet à nouveaux les pansements, et attache Isabelle au lit.
- Isabelle, tu vas rester dans une chambre attachée sur ton lit et tu vas me regarder les films qui te seront diffusé au-dessus de ta tête. Tu penseras à ce que tu viens de me dire.
Quand Malik s'occupera de toi lorsque tu se sera remise de ton opération.
Lorsque je reprends conscience, la douleur, bien que toujours présente, se fait plus diffuse.
Quelle heure peut-il bien être ? Une fois de plus, je ne sais pas le dire. Toujours est-il que la pénombre dans laquelle est plongée ma chambre, indique que nous sommes le soir, voire même la nuit. Je me sens vaseuse, dans le brouillard. J’ai conscience d’une présence à mes côtés, puis de son départ. Après quelques instants de conscience, je sombre à nouveau dans le sommeil.
Lorsque j’émerge a nouveau, je suis toujours allongée sur mon lit, avec une envie pressante d’uriner. Je me lève précautionneusement et je me rends compte que je suis entravée, mains sont attachées à une ceinture autour de ma taille et j'ai un collier autour du cou qui est relié par une chaîne à mon un anneau fixé dans le mur au dessus de mon lit.
Je veux crié mais aucun son de sort de ma bouche. Je bute contre un seau hygiénique alors, je m’accroupis au-dessus du seau, j'appréhende la douleur et la brûlure de l’urine. Il n’en est rien et je sens à peine une gêne. Lorsque je me redresse, je regarde mes seins libres, ils sont plus gros et j’aperçois immédiatement la petite tige qui les perce de part en part les tétons. J’eus plus de mal à apercevoir les œillets de mes grandes lèvres.
Voilà, c’est fait. Je suis annelée et j'ai de plus gros seins. Maintenant, Malik va passer à la deuxième partie de son plan. Je vais être prostituée à des pervers, qui vont m’humilier, me baiser, faire de moi un objet. Je ressens immédiatement une excitation intense. Mais hélas, aucun moyen de la satisfaire.
Tout à coup, une idée me vient. Je monte sur mon lit et me frotte à la boule qui se trouve sur le haut du pied du lit. Lorsqu'elle est mouillé de ma cyprine, je m'empale dessus. Il ne me faut pas plus de deux minutes pour parvenir à un orgasme qui me laisse pantoise, anéantie. je m’écroule sur mon lit, au risque de m’étrangler avec la chaîne. Je reste longtemps étendue, reprenant lentement ma respiration. J’ai trouvé le moyen de me soulager, d’apaiser cette tension provoqué sûrement par ce que l'on ma injecté dans le bras.
Je regarde autour de moi, je suis bien dans ma chambre, mais depuis combien de temps et soudain, je tressaille. Là-haut, dans un coin éloigné de ma chambre, inaccessible, un œil noir me fixe. Pas de doute, c’est l’œil d’une caméra. Cette caméra est là pour me surveiller.
Pendant longtemps, je fixe ce témoin de ma déchéance, de ma masturbation et de ma jouissance. Je tente de me remémorer depuis quand elle a pu être installée. Aucun moyen de m’en souvenir.
Je devine que nous sommes le soir lorsque j’entends la porte s’ouvrir. Moussa suivit de Malik et de Mylène entrent dans ma chambre et me toisent :
- Comment vas-tu, Isabelle ?
- Mieux, merci !
- Bien ! Tu sais quel jour nous sommes ?
- Non ?
- Samedi soir !
- Samedi ? Mais depuis combien de jour je suis ici ? Et pourquoi je suis attaché ?
- Tu es de retour chez toi depuis une dizaine de jour. Tu étais sous perfusion, Mylène changeait tes pansement tous les jours. À présent que tu es cicatrisé, Malik va te détacher, car on ne voulait pas que tu arrache tes pansements si tu te réveillais inconsciemment. Suis nous !
Une fois les mains et la chaîne détachés. C'est avec le collier encore autour de mon cou que je les suis jusqu’à la cuisine. Là, Moussa me fait asseoir à la table et Mylène me sert un repas, qu’elle a du acheté sur le trajet. Pendant que je dévore ces plats, elle s’éclipse avec Moussa, après les râle que nous avons entendu, elle revient déshabillée dans mon kimono transparent, dévoilant tout son somptueux corps. Je vois tout de suite qu’elle sait fait baisée par mon Moussa.
Tout le temps que je mange, elle ne laisse rien paraître. C'est que lorsque j’ai terminé de dîner, que Malik me dit :
- Va te mettre à quatre pattes au milieu du salon, visage au sol, mains tendus devant toi !
Je m’exécutai rapidement. Rien qu’à l’idée que je vais être baisée, ma chatte se liquéfie. Que suis je devenue ? Maintenant, rien qu’à la suggestion d'être baisé, j’approche de la jouissance. Je suis une véritable pute nymphomane.
Je mets à quatre pattes, visage au sol, mains tendues devant moi. Mylène revient rapidement et s’installe derrière moi. D’un geste brusque, elle m’écarte largement les cuisses et je sais qu’elle va me baiser, avec un gode ceinture. Elle présente le gland à l’entrée de ma grotte humide et sans forcer, elle s’enfonce dans ma grotte jusqu’au fond.
Ensuite, elle me prend aux hanches et commence des va et vient brutaux. A chaque coup rentrant, je sens le gland du gode heurter le col de mon utérus. Je sais qu’elle a décidé de me baiser comme un homme, elle désire par jalousie me punir d'appartenir à Moussa.
Elle me baise ainsi pendant près de dix minutes, minutes pendant lesquelles je tiens bon. Ensuite, c'est plus difficile et douloureux pour moi. Je commence à la supplier :
- Pitié Mylène, assez ! J’ai mal ! s’il te plaît ! ARRR ! J’ai mal ! Pitié ! Pitié !
Moussa et Malik apparaissent dans mon champ de vision.
- Ça, c'est pour te faire passer l’envie de me contredire. Pour être sûre, que tu ne recommenceras pas, salope de putain, que cela te serve de leçon.
Proclame mon Moussa.
Mylène se retire de moi, elle me laisse pantelante, anéantie sur le sol. Je la sens se relever et quitter la pièce. Lorsqu’elle revient, cinq minutes plus tard, je suis toujours au sol. La douleur s’est atténuée, jusqu’à disparaître. Jamais je n’aurais cru pouvoir accepter une telle brusquerie. Et pourtant, je ne ressens plus qu’une légère tension dans mon vagin.
Malik se positionne devant ma tête.
- Suce-moi, pour commencer !
A genoux, je m’approche de lui, dégrafe la ceinture de son pantalon et fait glisser la fermeture éclair de sa braguette. Ensuite, je descends le pantalon sur les cuisses. Le slip ne parvient pas à contenir la bite qui y est cachée. Lorsque je fais glisser le sous-vêtement, une queue longue, large et épaisse me jaillit au visage. Lorsque j’approche ma bouche du gland turgescent, une odeur fauve me monte au nez, odeur qui me grise et je me jette sur la bite dressée.
Je commence par sucer le gland, insinuant ma langue dans le méat. Ensuite, j’avale la hampe, le plus loin possible. A chaque fois, je sens le membre s’enfoncer encore un peu plus profond dans ma gorge. Malik ne fait aucun mouvement, savourant la fellation. Au bout d’un moment, je sens la bite se coller à ma luette, tout au fond de la gorge, j’ai un haut de cœur. Alors, je décide que je vais avaler la bite jusqu’aux couilles et je reviens sur le morceau, bien décidée à lui faire plaisir. Je recommence, encore et encore, tentant de faire passer la hampe dans ma gorge, afin de ne plus ressentir de nausée.
Enfin, alors que je vais renoncer, je sens le gland passer derrière la luette et s’engager dans ma gorge. Dans le même temps, mes lèvres parviennent en contact avec les poils de son pubis. Je me retire et reviens, sans problème, sans difficultés à la position initiale. Je viens de réussir une gorge profonde. Alors, je colle ma bouche contre son pubis et contracte les muscles de ma gorge. Malik se met à commenter ma prestation :
- Ah ! Oui ! la salope ! Elle a entièrement bouffé ma queue ! Elle se sert de sa gorge pour me sucer ! Putain, quelle bouffeuse de queue ! Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ! Ça y est, je jouis ! AARRRFF ! Prend ça, salope !
Son dernier coup de rein projette au fond de ma gorge sa jouissance. Je sens s’écouler son sperme, sans en avoir la saveur et le texture dans la bouche. Lorsqu’il se retire, j’embouche le gland, afin de le nettoyer complètement. Cela fait, je regarde Mylène d'un air qui veuT dire, regarde ce que je sais faire.
Pendant qu’elle raccompagnait le concierge à la porte, je regardais les anneaux fixés aux murs. Il y en avait assez pour que je puisse tenir contre les murs, sans toucher par terre.
Véronique revint quelques instants plus tard, et me dit :
Va dans le salon, allonge-toi sur la table et attends-moi.
Lorsque je m’allongeai, je pus voir qu’elle avait étendu une toile cirée. Elle me rejoignit quelques instants plus tard, portant un petit coffret, qu’elle posa près de moi, au niveau de la taille, coffret qu’elle ouvrit ensuite. Elle en sortit deux gros anneaux, d’environ un demi-centimètre de section, pour quatre centimètres de diamètre extérieur.
Elle les posa sur mon ventre et saisissant de l’alcool, me dit.
Je ne pensais les mettre si tôt. Mais, puisque tu n’es qu’une truie, comme tu me l’as montré tout à l’heure, en te branlant, je vais t’anneler. Regarde ! Je vais les mettre à tes tétons. Lorsque tu seras debout, ou à quatre pattes, ils les étireront, faisant pendre tes ridicules nichons. Maintenant, ne bouge pas. Je ne sais pas si cela sera facile de te les passer aux tétons.
Je la regardai dévisser et retirer les deux barrettes en place sur mes tétons, nettoyer mes seins à l’alcool puis présenter le premier anneau, devant le trou percé. Effectivement, le diamètre de l’anneau était bien plus conséquent que le trou du téton. Véronique tâtonna longtemps, avant de trouver la solution, et je ne sentais plus mon sein. Enfin, elle parvint à passer l’anneau, en l’engageant de travers. Je vis alors mon téton devenir blanc, s’écarter, grossir, au passage de l’anneau. Lorsqu’il fut en place, mon téton formait une grosse boule, complètement déformé par le diamètre de l’anneau. Elle eut plus de facilité à passer le deuxième, ayant assimilé la méthode. Ensuite, elle ferma les anneaux et les scella à froid. Lorsqu’elle relâcha les anneaux, mes tétons se tordirent, emportés par les poids qui les garnissaient. A présent, le seul moyen de les retirer était de les scier.
Elle saisit autre chose dans le coffret, et elle ressortit avec une tige roulée en ressort. Lentement, d’un mouvement tournant, elle passa la tige dans les œillets et je pouvais sentir la progression. Lorsqu’elle eut passé toute la tige, je sentis les œillets du bas remonter légèrement. Ensuite, elle glissa une petite plaque incurvée, large de trois centimètres, et longue de quatre. La partie haute fut engagée dans la barrette, au- dessus de mon capuchon de clitoris, la basse fut solidarisée avec la tige.
Le tout fut cadenassé au moyen d’une clé spéciale. Ainsi, l’accès à ma chatte et à mon clitoris se trouvait interdit. Satisfaite, Véronique referma le coffret et me dit :
Voilà, tu es appareillée. Tu ne pourras plus te branler. Quand à tes nichons, vas-y doucement, sinon, tu risques d’arracher les tétons.
Je savais qu’elle disait vrai, car, quand bien même ils reposaient sur mon corps, je sentais la tension que les anneaux imposaient à mes seins.
Lève-toi doucement, Cybèle ! je vais te faire voir tes harnachements ! Suis-moi.
Je me redressai et aussitôt, le poids des anneaux entraîna mes tétons vers le sol. Ils s’allongèrent instantanément d’un centimètre environ, étirant la masse de mon sein, l’aplatissant contre mon torse. La douleur fut instantanée, et je grimaçai. Ma maîtresse n’en tint aucun compte et m’apostropha :
Allez, dépêche-toi, si tu veux te voir. Après, je te rattache sur ta paillasse.
Je parvins enfin à trouver une marche qui ne faisait pas trop bouger les anneaux et je m’approchai du miroir. Si j’avais déjà une bonne idée de ce qui attendait mes seins, je fus saisie à la vue de ma chatte fermée. J’écartai les cuisses, afin de contempler les circonvolutions de la tige dans les œillets, la plaque épousant mon clitoris et m’empêchant de le solliciter. Je me sentis mouiller. J’étais vraiment une chienne, une salope.
Allez, ça suffit, lance Moussa, me ramenant sur terre, dans ta chambre, tout de suite.
Je le suis et parvenus dans ma chambre, il m'attache la chaîne au collier de mon cou. Je l'avais oublié celui là. Il relie la chaîne à l'anneau placé au dessus de mon lit, au moyen d’un cadenas.
- Voilà, dors bien ! Demain soir, Malik aura besoin de toi, tu commencera ta nouvelle vie de pute soumise. Je suis sûre que tu auras du succès. Bonne nuit, ma salope !
Bonne nuit, mon Moussa !
Et il sort, plongeant
la pièce dans le noir. Seule, je reste longtemps éveillée, guettant les sensations qui irradient de mes seins, de ma chatte. Lorsque je réussis enfin à m’endormir, il doit être très tard.
Fin
- A demain, Isabelle ! N’oublie pas, tu vas être percée. Penses-y bien ? M'a dit Malik avant de nous quitter.
Je me mets à penser à ce qui va se passer, cet après-midi. Je vais être annelée. J’appréhende cette opération, en même temps, je la désire très fort. Ainsi, mon appartenance à Moussa en sera renforcée. Il m’a déjà prévenue de ce qu’il compte me faire poser. Mais je n’ai aucune véritable idée de ce que cela représente.
Je n’ai aucune notion de l’heure qu’il est et je n’ai pas faim. Je me recouche nue et me mets à penser. Penser à tout ce qui m’est arrivé en quelques mois. Je suis ainsi passée de bourgeoise rigide et frigide, à esclave nymphomane et masochiste. J’ai été intégralement épilée. J’ai reçu des fessées, j'ai été durement, baisée et enculée jour et nuit, par plusieurs inconnus. J’ai été même saillie par un chien. Bientôt, je vais être annelée, sans doute marquée, prostituée par mon Moussa. Quelle humiliation va t-il inventer, pour me soumettre plus encore ?
Je sais que mes tétons vont être étirés par le poids conséquent des anneaux qui y seront fixés. Quand à ma chatte, je ne me fais guère d’illusion. Elle va subir le même sort. J’ai du mal à m’imaginer, les seins pendants et les lèvres de ma chatte distendues, étirées de plusieurs centimètres.
Malgré cela, je sens mon vagin s’humidifier et le désir monter. Oh, combien cette excitation me plaît. Une nouvelle fois, je dégouline de la chatte, je me branle et me soulage.
Le reste de la journée se passe entre moment de sommeil et d’éveil, je suis soulagée lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, puis se refermer quelques instants plus tard, trop tardivement pour qu’une seule personne soit entrée.
Y avait-il quelqu’un d’autre avec Moussa ? Des pas se rapprochent, des talons de femme, à n’en pas douter. Qui cela peut bien être ? Quelle n'est pas ma surprise lorsque je vois Mylène entrer à la suite de Moussa. J’en reste bouche bée. Je fixe la jeune femme, les yeux écarquillés. Que fait elle là, nous servons ensemble au restaurant, elle me racontait ses déboires et j'en faisais de même, pour les miens .
- Mylène est venue voir ta soumission ! N’est-ce pas ?
- Oh ! Oui, Moussa ! répond la jolie blonde, intimidée.
- Tu vois, que je ne t’ai pas menti. Elle aime cela, elle en redemande, même. N’est-ce pas, ma salope ?
Je hoche la tête, ne cessant de dévorer des yeux cette ravissante apparition, ce qui ne passe inaperçu aux yeux de Moussa, car il lance d’une voix sifflant :
- Baisse les yeux, ou sinon ?
J’obéis immédiatement, regardant les deux personnages par en-dessous. Je vois ainsi Moussa s’approcher de Mylène, se coller à elle et lui caresser les fesses. La jeune blonde n’esquisse aucun geste de recul, au contraire. Moussa se penche à son oreille et lui susurre :
- Tu aimerais être à sa place, Mylène ?
La jeune femme ne répond pas et frémit. A aucun moment, elle ne tente de se dérober à la main de Mon Moussa qui, descend à l’ourlet de la robe, commence à remonter le long de la cuisse, par derrière. Je vois le vêtement se retrousser, au fur et à mesure de la progression de la main de Moussa. A un moment donné, il cesse de monter et murmure :
- Tu portes des bas, petite salope ?
- Ou ? Oui, mais je ne suis pas une salope !
- Ah bon, comment nommes-tu une femme qui vient se repaître de la vision de sa consœur soumise nue ?
-Alors ? Reprend Moussa, griffant la cuisse de Mylène.
- Une ? Une salope ? Une salope ?
- Exact ! Mais tu n’as pas répondu à ma question ?
- La ? Laquelle ?
- Aimerais-tu être à sa place ?
- Je ? Je ne crois pas !
- Alors, avec elle ?
- Je ? Je ne sais pas.
- Tiens donc, tu ne dis pas non ! Pourquoi ?
- Je ?
Elle ne continue pas sa phrase, baisse la tête. Je la vois se lécher les lèvres à plusieurs reprises. La situation l’excite, cela se voit. La main de Moussa reprend son chemin et bientôt, effleure la culotte de Mylène. Du moins, c’est ce que j’imagine, lorsqu'il lui dit doucement :
- Écarte les cuisses !
- Mais ? Fait la blonde, tout en obéissant docilement.
- Tu es toute trempée, salope. Qu’est-ce qui t’excites autant ?
- Tout !
- Tout quoi ?
- Euh ? Ta main, la soumission d’Isabelle !
- Tu aimerais partager sa soumission ?
- Oui ? Oh oui !
- Tu es sûre de toi ?
- Oui Moussa !
-Tu sais ce qui va lui arriver, ce soir ?
- Oui Moussa !
- Dis-le !
- Elle va ? Elle va être annelée !
-Tu sais que si tu deviens ma soumise, tu ne t’appartiendras plus ?
- Oui Moussa !
- Bon ! Ce soir, je n’ai pas le temps de m’occuper de toi. Rentre chez toi et réfléchis. Vendredi, tu me donneras ta réponse. Si tu acceptes de devenir ma soumise, nous aurons le week-end pour te tester. Ensuite, tu me donneras une réponse définitive. D’accord ?
- Oui madame !
- Va-t’en maintenant, que je prépare Isabelle.
Moussa se penche vers elle, l’embrasse doucement sur les lèvres. Ensuite, il la prend par la main et quitte ma chambre. Quelques instants plus tard, j’entends la porte se refermer. Mylène est partie. Mais je jalouse un peu, car je ne vais plus être seule dans la soumission à Moussa.
Moussa revient quand je quitte ma chambre pour aller prendre une douche. Lorsque je suis prête, il me fait passer des escarpins à hauts talons et une cape s’arrêtant à mi-cuisse. Dessous, je suis nue. Il m'accroche autour du cou mon collier de soumise. Il me fait signe de le suivre et nous partons chez celui qui va me percer. Je dois dire que je n’en mène pas large, l’angoisse ne fait que monter, au fur et à mesure du trajet. Moussa semble s’amuser de mon angoisse et me jette des regards railleurs.
Nous nous garons dans une petite rue sombre et il me fait descendre.
- Ce n’est plus très loin ? Clame Moussa, en déboutonnant ma cape jusqu’à l’avant dernier bouton. - Mets tes mains dans le dos et marche derrière moi. Interdiction de tenir la cape, compris ?
Oui maître.
Je le suis dans un dédale de ruelles. Elle marche d’un bon pas et pour la suivre, je dois faire de grandes enjambées qui font ouvrir la cape et dévoiler ma nudité. Plusieurs hommes restent interloqués à la vue de mes appâts.
Enfin, après cinq minutes de marche, nous parvenons devant la boutique de piercing. Je me rends compte qu'il a fait exprès d’effectuer un détour, car il aurait été beaucoup plus facile de passer par le centre-ville.
En tremblant, je suis Moussa et je ne me sens plus du tout excitée. Au contraire, si je le pouvais, je partirais en courant. Mais lâchement, j’entre à la suite de Moussa. La pièce est grande, les lumières tamisées ajoutent un aura de mystère, cependant cela n’a rien de glauque. Moussa me fait signe d’attendre et se dirige vers une jeune femme derrière un comptoir. Je n’entends pas ce qui se dit, car ils chuchotent, mais assurément, ils parlent de moi, la réceptionniste me jette un regard de temps à autre. Enfin, elle se dirige vers moi et m'ordonne :
- Suis-moi !
Pas la moindre chaleur dans sa voix. Assurément, elle connaît ma situation. Elle me conduit dans une salle plus petite, où trône, en plein centre un lit qui aurait pu être gynécologique. Au-dessus, des spots, éteints, mais qui doivent dégager une lumière intense, sans doute pour bien voir ce que le perceur fait.
- Accroche tes vêtements ici ! Retire tes chaussures également !
Lorsque je suis intégralement nue, elle m’ordonne de m’allonger. Ensuite, elle prend mes jambes et lie mes chevilles à des étriers, qu’elle écarte, me faisant faire un grand écart. Toute mon intimité, est donc à sa merci. Ensuite, elle me fait placer les bras au-dessus de la tête et les attache au repose tête.
C’est à ce moment que Moussa entre. Il jette à peine un regard vers moi et entame une discussion avec la jeune femme :
- Bien, elle a une jolie peau, pas de boutons, donc, pas de problèmes. Sa chatte est belle, ses lèvres bien ourlées. Le seul bémol, concerne ses seins. Ils sont pas gros et des tétons, peu développés. Enfin, tout dépend de ce que vous voudrez lui mettre !
Inventorie l’assistante.
- Eh bien, je souhaite lui faire porter des anneaux lourds et larges, afin de distendre les tétons et faire affaisser les seins. De toute façon, elle fait se faire opérer car le traitement hormonal ne donne pas de bon résultat. Répond Moussa.
- Alors, après qu'elle soit opéré ! Il va falloir y aller progressivement, sinon, vous allez tout arracher. Puis-je vous donner un conseil ?
- Bien sûr !
- Utiliser un appareil pour étirer les tétons. Il existe plusieurs systèmes. Le premier se pose sur l’aréole. Il se compose d’une petite pyramide surmontée de deux encoches recevant la tige passée dans le tétons. Bien sûr, il en existe des modèles de plusieurs longueurs et c’est un modèle plutôt discret. L’autre se compose de deux tiges. L’une d’elle se place perpendiculairement, entre les seins, sur un sabot prévu à cet effet. L’autre, introduite dans la première est réglable en hauteur. A chacune de ses extrémités, deux anneaux permettent de saisir le tige du téton. Ainsi, vous pouvez régler la tension et le longueur d’élongation.
- Très bonne idée ! Vous vendez ce type de matériel ?
- Sur commande, pour le deuxième. Le premier, nous l’avons en stock, de différents modèles. Nous avons aussi de nombreux modèles de piercing. Ce soir, je vais me contenter de place des tiges provisoires. Ensuite, ce sera à vous de voir. Bien, passons à la chatte. Quel est votre but, en la faisant anneler ?
- Pouvoir interdire tout pénétration sans mon autorisation !
- Alors, je vous propose des œillets.
- Des œillets ?
- Oui. Quatre ou cinq, répartis sur les grandes lèvres, en acier chirurgical, donc, sans risque. Ils sont teints couleur chair et restent très discrets.
- Ensuite, vous pouvez y insérer tout ce que vous voulez, anneaux, barrettes, tiges.
- Va pour les œillets !
- Et pour le diamètre intérieurs ? Cela va de un à trois millimètres.
- Alors, ce sera trois. Y compris la barrette au-dessus du clitoris.
- Bien. Allons-y ? Je vais anesthésier, car c’est douloureux, surtout pour les lèvres.
- Pouvez-vous l’aveugler ?
- Bien sûr, je vais lui mettre un bandeau.
Et voilà, en plus d’être immobilisée, je me retrouve aveugle. Je ne sens que mieux ce qu’elle me fait. Elle pulvérise un produit glacé sur mon téton gauche, puis je sens qu’elle l’étire. Ensuite, je sens qu’on le saisit dans une pince en métal et je sens une piqûre qui va crescendo, sans doute au fur et à mesure de la pénétration de l’aiguille. Je ne peux m’empêcher de gémir et de me tendre. La douleur est atténuée, mais présente, et j’appréhende la deuxième. Je sens à peine le passage de la tige provisoire. La même opération se répète, avec une douleur plus intense, bien que supportable. Peut-être est-ce l’appréhension ? A moins que ce soit l’anesthésie, qui ne fait plus effet !
Lorsqu’elle s’attaque à mes grandes lèvres, je me crispe et elle doit me sangler la taille sur le fauteuil, afin que je ne me fasse pas de mal. Dire que cette opération est un calvaire est un euphémisme. Elle doit également me bâillonner pour ne pas que j’ameute tout la quartier. Lorsqu’elle a terminé la pose des cinq œillets sur chaque lèvres, je suis épuisée. Épuisée d’avoir trop souffert, épuisée d’avoir hurler dans mon bâillon, épuisée d’avoir pleuré toute les larmes de mon corps. C’est dans un brouillard que j’entends la femme donner des instructions pour les soins de mes piercings et que je la sens me détacher. Je tomberais si elle ne m’avait pas retenue, bientôt supplée par Moussa.
Que se passa-t-il ensuite ? J’en suis bien incapable d’en décrire la chronologie. Sans doute, Moussa, après avoir payé, m’a portée jusqu’à la voiture, puis jusqu’à mon lit. Je suis anéantie de douleur et je sombre dans un sommeil agité.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est que pendant son premier sommeil, elle est conduite dans une sorte de clinique. Escorté par Malik et Mylène ainsi que Moussa bien sur.
Moussa sort une seringue de sa poche, et appuie sur le piston pour ôter les bulles.
Malik et Mylène attachent solidement Isabelle par les poignets, les pieds, le ventre, les épaules et la tête sur la table.
Isabelle, râle et s'agite dans son réveille. Moussa ne fait pas attention à ces râle et pique au niveau du bras Isabelle. Elle ne se débat pas pour essayer de se détacher, car au bout de quelques minutes, l’anesthésiant faisait déjà effet et l’emportait dans les bras de Morphée.
Elle est conduite dans une sorte de salle de soins. Une femme va pratiquer l’intervention. Elle trace au crayon le tracé du scalpel, puis découpe les chairs du corps inerte. Elle découpe aussi autour de l’auréole du sein pour la remonter. Une prothèse en silicone est introduite dans le sein. Celle-ci a une contenance de six cent cm³, de forme presque sphérique. Elle insère la première prothèse dans le sein droit. La peau du sein est très tendue, mais avec dextérité, elle parvient à l’insérer sous la peau et replace la peau pour que le sein soit parfait. Il faut aussi faire attention au piercing au travers du téton. L’opération se poursuit avec le sein gauche. Elle referme les chairs et fait les points de suture. Puis on conduit Isabelle dans une salle de réveil.
Isabelle se réveillera avec une poitrine de cent dix bonnet D.
Elle se réveille doucement encore l’esprit et la vision embrumés. Elle veut se lever mais ses bras sont attachés au lit et lorsqu’elle veut lever les jambes, elle aperçoit deux gros bracelets à ses chevilles. En respirant, elle ressent une douleur et surtout une lourdeur sur la poitrine. Quelle n'est pas sa surprise de voir un large bandage entourant sa poitrine lorsqu’elle lève la tête.
Moussa entre dans la pièce accompagné d'une femme en blouse blanche.
- Où suis je ? Qu’est-ce que vous m’avez fait, j’ai mal dans la poitrine, j’ai mal partout !
- Le traitement hormonal, c'est sont long pour Malik. Alors tu as subi une opération de chirurgie plastique et pour l'augmentation mammaire. Elle va te montrer tes seins maintenant. Ils sont encore gonflés car tu as eu cette opération hier, mais tu vas voir, c’est très beau.
La femme en blouse blanche libère Isabelle de ses liens et la fait mettre en position assise. Isabelle vacille sous l’effet résiduel de l’anesthésiant, mais Moussa s’empresse de la maintenir pour éviter sa chute.
La femme en blouse blanche prend des ciseaux et coupe les pansements. Lorsqu'elle enlève le pansement, Isabelle aperçoit dans le miroir des seins gigantesques, pour elle, par rapport à ceux qu’elle avait il y a encore hier.
- Mais qu’avez-vous fait à mes seins, ils sont énormes, c’est horrible !
- La ferme ! On t’a mis un tour de poitrine dont rêvent toutes les femmes, un cent dix bonnet D et toi tu m’insultes ! Tu le paieras cher, très cher, petite pute, tu peux me croire.
Sur un signe de Moussa, la femme en blouse blanche, remet à nouveaux les pansements, et attache Isabelle au lit.
- Isabelle, tu vas rester dans une chambre attachée sur ton lit et tu vas me regarder les films qui te seront diffusé au-dessus de ta tête. Tu penseras à ce que tu viens de me dire.
Quand Malik s'occupera de toi lorsque tu se sera remise de ton opération.
Lorsque je reprends conscience, la douleur, bien que toujours présente, se fait plus diffuse.
Quelle heure peut-il bien être ? Une fois de plus, je ne sais pas le dire. Toujours est-il que la pénombre dans laquelle est plongée ma chambre, indique que nous sommes le soir, voire même la nuit. Je me sens vaseuse, dans le brouillard. J’ai conscience d’une présence à mes côtés, puis de son départ. Après quelques instants de conscience, je sombre à nouveau dans le sommeil.
Lorsque j’émerge a nouveau, je suis toujours allongée sur mon lit, avec une envie pressante d’uriner. Je me lève précautionneusement et je me rends compte que je suis entravée, mains sont attachées à une ceinture autour de ma taille et j'ai un collier autour du cou qui est relié par une chaîne à mon un anneau fixé dans le mur au dessus de mon lit.
Je veux crié mais aucun son de sort de ma bouche. Je bute contre un seau hygiénique alors, je m’accroupis au-dessus du seau, j'appréhende la douleur et la brûlure de l’urine. Il n’en est rien et je sens à peine une gêne. Lorsque je me redresse, je regarde mes seins libres, ils sont plus gros et j’aperçois immédiatement la petite tige qui les perce de part en part les tétons. J’eus plus de mal à apercevoir les œillets de mes grandes lèvres.
Voilà, c’est fait. Je suis annelée et j'ai de plus gros seins. Maintenant, Malik va passer à la deuxième partie de son plan. Je vais être prostituée à des pervers, qui vont m’humilier, me baiser, faire de moi un objet. Je ressens immédiatement une excitation intense. Mais hélas, aucun moyen de la satisfaire.
Tout à coup, une idée me vient. Je monte sur mon lit et me frotte à la boule qui se trouve sur le haut du pied du lit. Lorsqu'elle est mouillé de ma cyprine, je m'empale dessus. Il ne me faut pas plus de deux minutes pour parvenir à un orgasme qui me laisse pantoise, anéantie. je m’écroule sur mon lit, au risque de m’étrangler avec la chaîne. Je reste longtemps étendue, reprenant lentement ma respiration. J’ai trouvé le moyen de me soulager, d’apaiser cette tension provoqué sûrement par ce que l'on ma injecté dans le bras.
Je regarde autour de moi, je suis bien dans ma chambre, mais depuis combien de temps et soudain, je tressaille. Là-haut, dans un coin éloigné de ma chambre, inaccessible, un œil noir me fixe. Pas de doute, c’est l’œil d’une caméra. Cette caméra est là pour me surveiller.
Pendant longtemps, je fixe ce témoin de ma déchéance, de ma masturbation et de ma jouissance. Je tente de me remémorer depuis quand elle a pu être installée. Aucun moyen de m’en souvenir.
Je devine que nous sommes le soir lorsque j’entends la porte s’ouvrir. Moussa suivit de Malik et de Mylène entrent dans ma chambre et me toisent :
- Comment vas-tu, Isabelle ?
- Mieux, merci !
- Bien ! Tu sais quel jour nous sommes ?
- Non ?
- Samedi soir !
- Samedi ? Mais depuis combien de jour je suis ici ? Et pourquoi je suis attaché ?
- Tu es de retour chez toi depuis une dizaine de jour. Tu étais sous perfusion, Mylène changeait tes pansement tous les jours. À présent que tu es cicatrisé, Malik va te détacher, car on ne voulait pas que tu arrache tes pansements si tu te réveillais inconsciemment. Suis nous !
Une fois les mains et la chaîne détachés. C'est avec le collier encore autour de mon cou que je les suis jusqu’à la cuisine. Là, Moussa me fait asseoir à la table et Mylène me sert un repas, qu’elle a du acheté sur le trajet. Pendant que je dévore ces plats, elle s’éclipse avec Moussa, après les râle que nous avons entendu, elle revient déshabillée dans mon kimono transparent, dévoilant tout son somptueux corps. Je vois tout de suite qu’elle sait fait baisée par mon Moussa.
Tout le temps que je mange, elle ne laisse rien paraître. C'est que lorsque j’ai terminé de dîner, que Malik me dit :
- Va te mettre à quatre pattes au milieu du salon, visage au sol, mains tendus devant toi !
Je m’exécutai rapidement. Rien qu’à l’idée que je vais être baisée, ma chatte se liquéfie. Que suis je devenue ? Maintenant, rien qu’à la suggestion d'être baisé, j’approche de la jouissance. Je suis une véritable pute nymphomane.
Je mets à quatre pattes, visage au sol, mains tendues devant moi. Mylène revient rapidement et s’installe derrière moi. D’un geste brusque, elle m’écarte largement les cuisses et je sais qu’elle va me baiser, avec un gode ceinture. Elle présente le gland à l’entrée de ma grotte humide et sans forcer, elle s’enfonce dans ma grotte jusqu’au fond.
Ensuite, elle me prend aux hanches et commence des va et vient brutaux. A chaque coup rentrant, je sens le gland du gode heurter le col de mon utérus. Je sais qu’elle a décidé de me baiser comme un homme, elle désire par jalousie me punir d'appartenir à Moussa.
Elle me baise ainsi pendant près de dix minutes, minutes pendant lesquelles je tiens bon. Ensuite, c'est plus difficile et douloureux pour moi. Je commence à la supplier :
- Pitié Mylène, assez ! J’ai mal ! s’il te plaît ! ARRR ! J’ai mal ! Pitié ! Pitié !
Moussa et Malik apparaissent dans mon champ de vision.
- Ça, c'est pour te faire passer l’envie de me contredire. Pour être sûre, que tu ne recommenceras pas, salope de putain, que cela te serve de leçon.
Proclame mon Moussa.
Mylène se retire de moi, elle me laisse pantelante, anéantie sur le sol. Je la sens se relever et quitter la pièce. Lorsqu’elle revient, cinq minutes plus tard, je suis toujours au sol. La douleur s’est atténuée, jusqu’à disparaître. Jamais je n’aurais cru pouvoir accepter une telle brusquerie. Et pourtant, je ne ressens plus qu’une légère tension dans mon vagin.
Malik se positionne devant ma tête.
- Suce-moi, pour commencer !
A genoux, je m’approche de lui, dégrafe la ceinture de son pantalon et fait glisser la fermeture éclair de sa braguette. Ensuite, je descends le pantalon sur les cuisses. Le slip ne parvient pas à contenir la bite qui y est cachée. Lorsque je fais glisser le sous-vêtement, une queue longue, large et épaisse me jaillit au visage. Lorsque j’approche ma bouche du gland turgescent, une odeur fauve me monte au nez, odeur qui me grise et je me jette sur la bite dressée.
Je commence par sucer le gland, insinuant ma langue dans le méat. Ensuite, j’avale la hampe, le plus loin possible. A chaque fois, je sens le membre s’enfoncer encore un peu plus profond dans ma gorge. Malik ne fait aucun mouvement, savourant la fellation. Au bout d’un moment, je sens la bite se coller à ma luette, tout au fond de la gorge, j’ai un haut de cœur. Alors, je décide que je vais avaler la bite jusqu’aux couilles et je reviens sur le morceau, bien décidée à lui faire plaisir. Je recommence, encore et encore, tentant de faire passer la hampe dans ma gorge, afin de ne plus ressentir de nausée.
Enfin, alors que je vais renoncer, je sens le gland passer derrière la luette et s’engager dans ma gorge. Dans le même temps, mes lèvres parviennent en contact avec les poils de son pubis. Je me retire et reviens, sans problème, sans difficultés à la position initiale. Je viens de réussir une gorge profonde. Alors, je colle ma bouche contre son pubis et contracte les muscles de ma gorge. Malik se met à commenter ma prestation :
- Ah ! Oui ! la salope ! Elle a entièrement bouffé ma queue ! Elle se sert de sa gorge pour me sucer ! Putain, quelle bouffeuse de queue ! Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ! Ça y est, je jouis ! AARRRFF ! Prend ça, salope !
Son dernier coup de rein projette au fond de ma gorge sa jouissance. Je sens s’écouler son sperme, sans en avoir la saveur et le texture dans la bouche. Lorsqu’il se retire, j’embouche le gland, afin de le nettoyer complètement. Cela fait, je regarde Mylène d'un air qui veuT dire, regarde ce que je sais faire.
Pendant qu’elle raccompagnait le concierge à la porte, je regardais les anneaux fixés aux murs. Il y en avait assez pour que je puisse tenir contre les murs, sans toucher par terre.
Véronique revint quelques instants plus tard, et me dit :
Va dans le salon, allonge-toi sur la table et attends-moi.
Lorsque je m’allongeai, je pus voir qu’elle avait étendu une toile cirée. Elle me rejoignit quelques instants plus tard, portant un petit coffret, qu’elle posa près de moi, au niveau de la taille, coffret qu’elle ouvrit ensuite. Elle en sortit deux gros anneaux, d’environ un demi-centimètre de section, pour quatre centimètres de diamètre extérieur.
Elle les posa sur mon ventre et saisissant de l’alcool, me dit.
Je ne pensais les mettre si tôt. Mais, puisque tu n’es qu’une truie, comme tu me l’as montré tout à l’heure, en te branlant, je vais t’anneler. Regarde ! Je vais les mettre à tes tétons. Lorsque tu seras debout, ou à quatre pattes, ils les étireront, faisant pendre tes ridicules nichons. Maintenant, ne bouge pas. Je ne sais pas si cela sera facile de te les passer aux tétons.
Je la regardai dévisser et retirer les deux barrettes en place sur mes tétons, nettoyer mes seins à l’alcool puis présenter le premier anneau, devant le trou percé. Effectivement, le diamètre de l’anneau était bien plus conséquent que le trou du téton. Véronique tâtonna longtemps, avant de trouver la solution, et je ne sentais plus mon sein. Enfin, elle parvint à passer l’anneau, en l’engageant de travers. Je vis alors mon téton devenir blanc, s’écarter, grossir, au passage de l’anneau. Lorsqu’il fut en place, mon téton formait une grosse boule, complètement déformé par le diamètre de l’anneau. Elle eut plus de facilité à passer le deuxième, ayant assimilé la méthode. Ensuite, elle ferma les anneaux et les scella à froid. Lorsqu’elle relâcha les anneaux, mes tétons se tordirent, emportés par les poids qui les garnissaient. A présent, le seul moyen de les retirer était de les scier.
Elle saisit autre chose dans le coffret, et elle ressortit avec une tige roulée en ressort. Lentement, d’un mouvement tournant, elle passa la tige dans les œillets et je pouvais sentir la progression. Lorsqu’elle eut passé toute la tige, je sentis les œillets du bas remonter légèrement. Ensuite, elle glissa une petite plaque incurvée, large de trois centimètres, et longue de quatre. La partie haute fut engagée dans la barrette, au- dessus de mon capuchon de clitoris, la basse fut solidarisée avec la tige.
Le tout fut cadenassé au moyen d’une clé spéciale. Ainsi, l’accès à ma chatte et à mon clitoris se trouvait interdit. Satisfaite, Véronique referma le coffret et me dit :
Voilà, tu es appareillée. Tu ne pourras plus te branler. Quand à tes nichons, vas-y doucement, sinon, tu risques d’arracher les tétons.
Je savais qu’elle disait vrai, car, quand bien même ils reposaient sur mon corps, je sentais la tension que les anneaux imposaient à mes seins.
Lève-toi doucement, Cybèle ! je vais te faire voir tes harnachements ! Suis-moi.
Je me redressai et aussitôt, le poids des anneaux entraîna mes tétons vers le sol. Ils s’allongèrent instantanément d’un centimètre environ, étirant la masse de mon sein, l’aplatissant contre mon torse. La douleur fut instantanée, et je grimaçai. Ma maîtresse n’en tint aucun compte et m’apostropha :
Allez, dépêche-toi, si tu veux te voir. Après, je te rattache sur ta paillasse.
Je parvins enfin à trouver une marche qui ne faisait pas trop bouger les anneaux et je m’approchai du miroir. Si j’avais déjà une bonne idée de ce qui attendait mes seins, je fus saisie à la vue de ma chatte fermée. J’écartai les cuisses, afin de contempler les circonvolutions de la tige dans les œillets, la plaque épousant mon clitoris et m’empêchant de le solliciter. Je me sentis mouiller. J’étais vraiment une chienne, une salope.
Allez, ça suffit, lance Moussa, me ramenant sur terre, dans ta chambre, tout de suite.
Je le suis et parvenus dans ma chambre, il m'attache la chaîne au collier de mon cou. Je l'avais oublié celui là. Il relie la chaîne à l'anneau placé au dessus de mon lit, au moyen d’un cadenas.
- Voilà, dors bien ! Demain soir, Malik aura besoin de toi, tu commencera ta nouvelle vie de pute soumise. Je suis sûre que tu auras du succès. Bonne nuit, ma salope !
Bonne nuit, mon Moussa !
Et il sort, plongeant
la pièce dans le noir. Seule, je reste longtemps éveillée, guettant les sensations qui irradient de mes seins, de ma chatte. Lorsque je réussis enfin à m’endormir, il doit être très tard.
Fin
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Les avis des lecteurs
Tout simplement horrible et abominable comment peut on traitér un être humain de cette façon