Travail d'hercule - 3 -
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travail d'hercule - 3 -
Troisième travail d’Hercule :
La biche de Cérinie ennuie tout l’olympe, elle court, vadrouille dans tous les sens
sans que personne ne puisse l’attraper. Pour certains dieux, elle ferait un bon
potage, pour d’autre un excellent méchoui. Lassé par ses bavardages incessants, Zeus,
dans sa grande sagesse ordonne au demi-dieu Hercule d’aller chasser la biche. Armé du
nouvel arc qu’il étrenne, Hercule pense faire des étincelles. Une fois dans le calme,
il hume l’air pour sentir les effluves de la bête. De l’autre côté du fleuve Ladon, il
lui semble sentir cette odeur particulière du cervidé. Il suit, trappe, suit encore la
bête.
Enfin il la maîtrise et très longtemps après il la charge sur ses épaules et rentre
chez lui, chez Zeus. Mais voilà, au passage il arrive, maladroit comme il est, à
détruire presque toutes les récoltes de Léon et sa femme Lions. Furieux, ils suivent
Hercule qui ne se méfie pas du couple. Ils arrivent à lui tendre une embuscade. Juste
au bord du chemin, c’est la femme qui a raison d’Hercule. Elle l’attrape par la
tunique qui tombe au sol. Etonnée par ce sexe monumental du héros, Lions lâche prise.
Lui qui n’a pas vue de fille depuis un bon siècle (le temps passe vite à Olympie)
commence à bander. La jeune femme qui malgré son âge en a vue pas mal regarde encore.
La queue grandie sans cesse jusqu’à monter à hauteur du nombril d’Hercule. Le gland a
même tendance à y entrer.
Lions appelle son mari pour que lui aussi voit le prodige, la magnifique,
l’extraordinaire pine d’Hercule. C’est vrai que c’est une rareté avec des couilles
énormes, pleines de poils hirsutes. Hercule n’est pas gêné, il ne connait que sa
pudeur à lui, pas celle des hommes. Léon est aussi interloqué que Lions. Lions est une
femme sensuelle, à la recherche de tout ce qui lui fait plaisir. Ainsi la
masturbation, les autres filles, voir son homme avec un autre occupé à se faire
mettre.. Et là c’est la bite d’Hercule qui lui plait. Léon est dubitatif : sa femme ne
va pas se payer sans lui cet inconnu. Mais, si, des fois, par hasard quelqu’un lui
proposait de venir plus près, même pourquoi pas participer, il changerait, peut être,
sans doute à un amusement particulier.
Lions est attirée par Hercule, disons le tout net, surtout par la bite monumentale.
Est-ce que mon sexe souffrirait si……… Est-ce que je jouirais ? Devant oui ! mais
derrière ? Et dans la bouche. Et mon mari, il voudrait lui aussi, le salaud, se faire
mettre par une bite ? Si à force de si, Lions imagine toutes les possibilités
d’Hercule.
Elle lui fait trop envie cette bite devant elle. Lions la prend toute dans sa main,
enfin toute, il ne faut pas exagérer : elle en prend un bonne partie. C’est quand même
la première fois qu’elle tient un tel morceau (qu’est ce qu’elle pourra raconter à ses
copines grecques après – c’est plus important que la chose elle-même, raconter...)
Lions fait une chose extraordinaire, elle tire Hercule par la queue pour qu’il
s’approche d’elle : le prépuce presque en bas remonte habiller le gland. Hercule
regarde ce que la simple main d’une mortelle lui fait : c’est agréable. Ce serait
meilleur si elle recommençait dans l’autre sens et recommence. Il en devient tout
timide, il n’osa pas demander qu’elle le masturbe.
Comme beaucoup de femmes, Lions est fine, elle comprend vite ce que veut ce moitié
homme. Elle prend à deux main la bite, fait tout descendre en bas avant de remonter
document le prépuce en haut : le visage d’Hercule d’illumine, il ressent le bien être
envahir son grand corps.
Mais elle, Lions, elle ne ressent rien de particulier. Hercule ne sait pas, parce
qu’il n’a jamais voulu apprendre, s’occuper du plaisir des femmes. C’est Léon qui,
malgré sa jalousie veut que Lions jouisse bien. C'est lui qui est obligé d‘apprendre
au demi-dieu le b a ba de la baise normale (Hercule a des excuses : A Olympe, les
amours entre dieux et déesses sont toujours cachés, surtout loin des autres yeux des
demi-dieux) Léon montre comment faire sur sa femme. Il la fait coucher, écarte ses
jambes, embrasse sa chatte, entre sa queue dans le vagin fait des va-et-vient, fait
gémir Lions qui crie son orgasme à la fin. Il la tourne sur le ventre pour montrer
l’entrée secondaire. Léon n’y met qu’un doigt. Mais ce coté, Hercule connait tant chez
les femmes que chez les hommes.
C’est une grande découverte : il va pouvoir baiser les femmes qu’il ignorait. Il
pousse Léon, vient sur Lions, sans rien lui demander il entame une baise comme ça pour
son plaisir. Heureusement que Lions aime se faire mettre. Elle se donne à la bite
divine, quand elle se met sur le dos, sur Hercule, elle lui pend la main la pose sur
ses fesses.
Hercule comprend ce que veut la mortelle : des doigts passent dans la raie pour entrer
dans l’anus qui était en attente. Il entre son gros doigt. La queue d’hercule est
libre. Léon arrive à poser ses fesses sur Hercule qui ne rechigne jamais devant un
beau fessier d’homme. Il entre totalement quitte à faire presque pleurer Léon qui
jouit malgré tout.
S’il a défoncé le terrain, Hercule laisse un couple heureux. Il emmène aussi à Olympe
la biche de Cérinie : Mission accomplie.
La biche de Cérinie ennuie tout l’olympe, elle court, vadrouille dans tous les sens
sans que personne ne puisse l’attraper. Pour certains dieux, elle ferait un bon
potage, pour d’autre un excellent méchoui. Lassé par ses bavardages incessants, Zeus,
dans sa grande sagesse ordonne au demi-dieu Hercule d’aller chasser la biche. Armé du
nouvel arc qu’il étrenne, Hercule pense faire des étincelles. Une fois dans le calme,
il hume l’air pour sentir les effluves de la bête. De l’autre côté du fleuve Ladon, il
lui semble sentir cette odeur particulière du cervidé. Il suit, trappe, suit encore la
bête.
Enfin il la maîtrise et très longtemps après il la charge sur ses épaules et rentre
chez lui, chez Zeus. Mais voilà, au passage il arrive, maladroit comme il est, à
détruire presque toutes les récoltes de Léon et sa femme Lions. Furieux, ils suivent
Hercule qui ne se méfie pas du couple. Ils arrivent à lui tendre une embuscade. Juste
au bord du chemin, c’est la femme qui a raison d’Hercule. Elle l’attrape par la
tunique qui tombe au sol. Etonnée par ce sexe monumental du héros, Lions lâche prise.
Lui qui n’a pas vue de fille depuis un bon siècle (le temps passe vite à Olympie)
commence à bander. La jeune femme qui malgré son âge en a vue pas mal regarde encore.
La queue grandie sans cesse jusqu’à monter à hauteur du nombril d’Hercule. Le gland a
même tendance à y entrer.
Lions appelle son mari pour que lui aussi voit le prodige, la magnifique,
l’extraordinaire pine d’Hercule. C’est vrai que c’est une rareté avec des couilles
énormes, pleines de poils hirsutes. Hercule n’est pas gêné, il ne connait que sa
pudeur à lui, pas celle des hommes. Léon est aussi interloqué que Lions. Lions est une
femme sensuelle, à la recherche de tout ce qui lui fait plaisir. Ainsi la
masturbation, les autres filles, voir son homme avec un autre occupé à se faire
mettre.. Et là c’est la bite d’Hercule qui lui plait. Léon est dubitatif : sa femme ne
va pas se payer sans lui cet inconnu. Mais, si, des fois, par hasard quelqu’un lui
proposait de venir plus près, même pourquoi pas participer, il changerait, peut être,
sans doute à un amusement particulier.
Lions est attirée par Hercule, disons le tout net, surtout par la bite monumentale.
Est-ce que mon sexe souffrirait si……… Est-ce que je jouirais ? Devant oui ! mais
derrière ? Et dans la bouche. Et mon mari, il voudrait lui aussi, le salaud, se faire
mettre par une bite ? Si à force de si, Lions imagine toutes les possibilités
d’Hercule.
Elle lui fait trop envie cette bite devant elle. Lions la prend toute dans sa main,
enfin toute, il ne faut pas exagérer : elle en prend un bonne partie. C’est quand même
la première fois qu’elle tient un tel morceau (qu’est ce qu’elle pourra raconter à ses
copines grecques après – c’est plus important que la chose elle-même, raconter...)
Lions fait une chose extraordinaire, elle tire Hercule par la queue pour qu’il
s’approche d’elle : le prépuce presque en bas remonte habiller le gland. Hercule
regarde ce que la simple main d’une mortelle lui fait : c’est agréable. Ce serait
meilleur si elle recommençait dans l’autre sens et recommence. Il en devient tout
timide, il n’osa pas demander qu’elle le masturbe.
Comme beaucoup de femmes, Lions est fine, elle comprend vite ce que veut ce moitié
homme. Elle prend à deux main la bite, fait tout descendre en bas avant de remonter
document le prépuce en haut : le visage d’Hercule d’illumine, il ressent le bien être
envahir son grand corps.
Mais elle, Lions, elle ne ressent rien de particulier. Hercule ne sait pas, parce
qu’il n’a jamais voulu apprendre, s’occuper du plaisir des femmes. C’est Léon qui,
malgré sa jalousie veut que Lions jouisse bien. C'est lui qui est obligé d‘apprendre
au demi-dieu le b a ba de la baise normale (Hercule a des excuses : A Olympe, les
amours entre dieux et déesses sont toujours cachés, surtout loin des autres yeux des
demi-dieux) Léon montre comment faire sur sa femme. Il la fait coucher, écarte ses
jambes, embrasse sa chatte, entre sa queue dans le vagin fait des va-et-vient, fait
gémir Lions qui crie son orgasme à la fin. Il la tourne sur le ventre pour montrer
l’entrée secondaire. Léon n’y met qu’un doigt. Mais ce coté, Hercule connait tant chez
les femmes que chez les hommes.
C’est une grande découverte : il va pouvoir baiser les femmes qu’il ignorait. Il
pousse Léon, vient sur Lions, sans rien lui demander il entame une baise comme ça pour
son plaisir. Heureusement que Lions aime se faire mettre. Elle se donne à la bite
divine, quand elle se met sur le dos, sur Hercule, elle lui pend la main la pose sur
ses fesses.
Hercule comprend ce que veut la mortelle : des doigts passent dans la raie pour entrer
dans l’anus qui était en attente. Il entre son gros doigt. La queue d’hercule est
libre. Léon arrive à poser ses fesses sur Hercule qui ne rechigne jamais devant un
beau fessier d’homme. Il entre totalement quitte à faire presque pleurer Léon qui
jouit malgré tout.
S’il a défoncé le terrain, Hercule laisse un couple heureux. Il emmène aussi à Olympe
la biche de Cérinie : Mission accomplie.
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