Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (3): Un excellent dessert - histoire érotique

Avec mon pote Julien, une fois le bac en poche, nous partons dans la nouvelle maison de campagne de son oncle Francis. Lui et sa femme l’ont acheté il y a quelques mois et maintenant que le gros oeuvre est fini, ils nous engagent pour finir le reste. Pendant la semaine nous sommes que Sandrine, la tante de Julien, mon pote et moi; Francis nous rejoint les week end pour nous donner des coups de mains et surtout nous indiquer les objectifs de la semaine suivante. Il a pu prendre que 2 semaines de congés en août alors ils ont bien besoin de notre aide.

Nous devons ranger, trier, aider Sandrine à aménager mais aussi peindre, décaper… et c’est d’ailleurs en enlevant le papier peint que l’aventure à 3 à commencer. En effet nous commencions à avoir de plus en plus chaud avec toute la vapeur produite par la machine. Il a voulu ouvrir la fenêtre pour rafraichir la pièce mais la température est encore plus montée quand nous avons découvert Sandrine qui se faisait bronzer dans un mini bikini.

La coquine s’est pas arrêtée là car elle s’est entièrement déshabillée et s’est mise à se branler en dessous de nous. Evidement nous faisions très peu de bruit pour ne pas attirer son intention et continuer à profiter du show c’est pour ça que nous avons garder la fenêtre fermée. Du coup, n’en pouvant plus de chaleur, nous avons décidé de continuer à bosser à poil et même en érection.

C’est d’ailleurs exactement comme ça que Sandrine nous a découvert, nus et la bite raide. Nous avons essayé de lui expliquer que c’est à cause de la machine à vapeur et qu’on avait l’impression d’être dans un spa mais elle est restée bloqué sur le fait qu’on la mater. Julien à rien trouver de mieux qu’avouer mais il a eu raison car elle est venue nous rejoindre dans la chambre pour que sa peau profiter de la vapeur.

Pour faire comme dans un hammam, elle s’est remise à poil devant nous mais quand elle a recommencé à se caresser c’était uniquement pour nous exciter. Elle nous a même invité à faire comme elle afin de calmer la tension que nous avions entre les cuisses. Nous avons joui l’un après l’autre et elle nous a abandonné pour que nous continuions de bosser.

A partir de ce moment, Sandrine a pas arrêté de nous surprendre. Nous seulement elle nous a obligé à passer notre temps à poil, elle aussi ne s’habille plus, mais en plus nous avons continuer les séances de masturbation à 3. Par contre nous le faisons plus pendant le temps de travail mais en fin de journée pendant notre douche qui est devenue commune, soit disant pour être sûr de tous profiter de l’eau chaude.

Nous découvrons, doucement, les plaisirs du naturisme. C’est très agréable de sentir le vent sur notre corps de sentir sa bite se balader librement… mais il y aussi d’autres avantages. En effet nous profitons de la magnifique plastique de Sandrine dès que nous le voulons, par contre c’est impossible de cacher nos érections mais ça a l’air de lui plaire et même de la flatter.

Toutes ces visions sont rien à côté de quand elle vient derrière nous pour remplir nos assiettes et plaque bien ses gros seins contre notre dos nu. Aujourd’hui nous avons le droit à une nouveauté. Alors qu’elle retourne de son coté de la table, elle s’arrête à l’angle, elle avance son sexe pour que le triangle de bois rentre en contact avec sa vulve et écarte bien ses lèvres intimes. Devant ce magnifique spectacle, je sens mon gland venir buter contre le bois de la table.

Nous aimons aussi mater son cul quand elle part chercher quelque chose en cuisine. Quand elle ramène les assiettes nous nous privons pas non plus ni quand elle revient avec la coupe de fruits. Elle pose la coupe sur la table et attrape le petit régime de bananes. Elle nous en donne une chacun puis commence à ouvrir la sienne.

Au lieu de la mordre comme toute monde le fait, elle commence à la lécher comme si elle lui faisait une fellation. Je dois bien avouer que sa m’excite encore plus que le coup du coin de la table. Quand j’entends Julien déglutir, je comprends qu’il est dans le même état que moi. Après quelques allers retours entre ses lèvres, Sandrine recrache le fruit.

Elle se lève, met un pied sur sa chaise et garde l’autre à terre. Elle descend la banane, pour la faire passer de ses lèvres supérieures aux inférieures. Elle enfonce le fruit jusqu’à ce qu’il reste qu’un petit bout dehors et nous expose bien son entrejambe. Sa main redescend et attrape la banane pour lui faire faire quelques allers retours en elle. Même si je me caresse pas, je sens du liquide séminale couler de mon méat.

Elle retire complètement le fruit de son sexe et nous demande:
« Un de vous deux veut y gouter. »
Nous lui répondons en coeur positivement, alors elle tend la banane à Julien et lui dit de ne pas mordre dedans mais de la lécher et la sucer comme elle l’a fait, il y a quelques minutes. Mon pote passe sa langue sur chaque centimètre du fruit pour récupérer la précieuse mouille de sa tante par alliance.

Puis il fait rentrer le fruit entre ses lèvres et l’enfonce presque aussi profondément que dans le sexe de Sandrine. Il le ressort pour le faire coulisser dans sa bouche alors que Sandrine commente:
« Il se débrouille bien mon petit neveu. Qu’en penses tu Romain? »
Impressionné par mon pote, je fais simplement oui de la tête.

Il continue à faire aller et venir le fruit dans sa bouche quand sa tante lui demande:
« Tu as déjà sucé un homme? »
Julien, offusqué, recrache le fruit qui tombe parterre et lui dit que non. Sandrine lui répond:
« Dommage, je suis sur que tu rendrais beaucoup d’hommes heureux. »
Il devient tout rouge.

Elle prend une nouvelle banane, l’épluche et lui fait faire quelques allers retours dans sa chatte qui semble encore plus humide. Elle me tend le fruit qui est très luisant en me disant:
« J’espère que tu es aussi doué que ton ami. »
J’attrape la banane et me l’enfonce directement dans la bouche. Ensuite je la retire entièrement et fais tournoyer ma langue sur le bout comme si c’était un gland avant de la reprendre en bouche.

Alors que je continue à sucer cette banane qui a le meilleur des goûts, elle me demande:
« Et toi, tu as déjà sucé une belle queue? »
Je rougis mais ose pas lui avouer que oui, du coup elle nous répond:
« Que de talents perdus! »
Elle attrape une nouvelle banane, se l’enfonce dans la moule avant de s’assoir et la déguster.

Une fois qu’elle a fini son dessert, elle nous lance comme ça:
« Vous savez, j’adore faire l’amour avec une autre femme. »
Réalisant ce qu’elle vient de dire au neveu de son mari, elle ajoute:
« Ton oncle est au courant et il approuve. Mais inutile de lui en parler. »
Julien toujours excité par ce que nous venons de vivre, lui réponds:
« Ca nous fait un point commun, moi aussi j’aime faire l’amour avec des filles. »

Après un moment de silence, Sandrine surenchéri:
« Bien sûr, mais à l’occasion des rapports intimes avec quelqu’un du même sexe qui connait vraiment ton corps, c’est très bon. »
A ce moment, même si je bande toujours, je me demande si l’oncle de Julien est lui aussi bisexuel. Julien est songeur, je me demande s’il se pose les mêmes questions que moi.

Nous aidons Sandrine à tout débarrasser et montons nous coucher, malgré l’excitation. Entre le boulot de la journée et ce qui nous attend demain, il vaut mieux ne pas tarder. Dans les escaliers nous profitons de la magnifique vue sur les fesses de la maitresse de maison qui nous précède. Nous voyons aussi ses seins balloter de l’autre côté de son dos au rythme de chaque marche.

Une fois en haut, elle nous embrasse sur la joue pour nous souhaiter bonne nuit puis chacun part de son côté du couloir. Une fois que nous sommes passé dans la salle de bain, Julien rentre directement dans les draps. Comme je suis pas fatigué au point de dormir, j’ouvre le carton dans lequel, Sandrine nous a dit qu’il y avait de la lecture. C’est rempli de magazines et sur leurs couvertures il y a soit des femmes à poils soit des couples qui font l’amour.

Je pousse un « Ahhh » d’étonnement, Julien se redresse sur le lit et me demande ce qui se passe. Je lui montre les magazines et il me demande de lui faire voir. J’en prends quelqu’uns que je jette sur le lit et vais m’assoir pour les feuilleter. En fait se sont surtout des annonces de couples qui veulent pratiquer l’échangisme mais il y a aussi des histoires érotiques et quelques photos.

Certaines annonces sont très chaude et nous excitent énormément. Je m’imagine avec un couple, monsieur et moi sommes tous les deux dans la chatte de la dame. Puis il me laisse sa moule rien que pour moi alors que lui la sodomise. Ensuite je me vois avec un couple dont le monsieur est bi. Il passe des entrailles de sa femme aux miennes.

Nous nous branlons de plus en plus énergiquement tout en continuant à lire et fantasmer chacun de notre côté. Julien jouit le premier et arrose son ventre. Je le suis quelques secondes plus tard. Nos ventres souillés, nous allons nous rincer et nous nous couchons en nous demandons ce qui nous attend dans les prochains jours avec Sandrine.

Je passe ma nuit à rêver de la tante de Julien. Je nous imagine tous les deux nus dans un lit en chien de fusil. Je glisse ma queue bien raide dans sa raie et je commence à me frotter de plus en plus fort. Sandrine s’agite bizarrement, je me rend compte que je rêve et me réveille en sursaut. Ceux sont pas les fesses de Sandrine contre ma bite mais celles de Julien.

Extrêmement gêné, je me lève et quitte la chambre en m’excusant. Je cours vers la salle de bain et je tombe sur Sandrine, complètement nue, qui fouille dans ma trousse de toilette. Je m’excuse de rentrer comme ça mais elle me dit en tenant mon rasoir:
« Tu tombes bien toi, aujourd’hui je vais vous raser tout le pubis! Je déteste sentir des poils pendant que je suce une belle queue. »
Je deviens rouge comme une tomate et même si à cette époque on disait que les mecs qui se rasent la bite sont des homos, je ferme la porte et me rapproche d’elle…