Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (7): premières relations assumées entre potes
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Travaux chez l’oncle et la tante de Julien (7): premières relations assumées entre potes
C’est la troisième semaine de travaux chez l’oncle et la tante de mon pote Julien. Le week end Francis reste avec nous pour nous montrer les techniques sur le projet de la semaine et nous donner des coups de mains sur les points difficiles. La semaine nous sommes seuls avec Sandrine qui elle nous motive d’une excellente façon.
Elle a commencé par un bronzage en bikini puis en intégrale. Ensuite, elle s’est masturbée sur son transat alors que nous l’observions de la fenêtre. Entre la chaleur des machines et de la situation nous nous sommes foutus tous les deux poils. Alors que nous avons repris le travail mais toujours, plus ou moins en érection, Sandrine est venu nous rejoindre.
Elle a profité de la situation pour se branler devant nous en nous invitant à faire comme elle. Dès le lendemain nous avons commencé à nous doucher les 3 ensemble tout en continuant les séances masturbation. Une fois, elle nous a même demandé de nous savonner l’un l’autre, Julien était hésitant mais moi moins car j’ai déjà eu des expériences entre mecs malgré mon jeune âge. Pendant que nous caressions le corps de l’autre, elle se branler en nous admirant.
Ensuite, elle nous a rasé le costume trois pièces pour avoir aucun poil en bouche au moment de nous sucer. Nous avons dû attendre quelques jours pour profiter de ses lèvres mais ça valait le coup. Ce jour là, elle était pas seule, sa copine Laëtitia est venue nous rejoindre. C’est une brune, du même âge qu’elle mais plus petite et tout aussi attirante que son amie.
Nous avons d’abord enduit leurs dos, leurs jambes et leurs fesses de crème solaire puis elles nous ont laissé profiter de leur chatte. Une demi heure plus tard nous sommes revenus, à leur demande, pour tartiner l’autre côté de leur corps. Elles nous ont d’abord demandé de nous enduire, l’un l’autre, entièrement de crème. Ensuite nous avons pu nous occuper de leurs poitrines, leurs hanches mais aussi leurs monts de Vénus.
Quand elles allaient nous sucer, elles ont stoppé net et nous ont demandé de nous nettoyer le sexe car elles aiment pas le goût de la crème solaire. Mais pas avec de l’eau, avec la bouche de l’autre. C’est comme ça que Julien a eu le droit à sa première pipe par un autre homme et qu’il m’en aussi fait une (ce n’était pas la première ni la meilleure bouche d’homme qui s’occupait de ma queue).
Une fois nos sexes propres, elles nous ont sucé, nous avons changer à plusieurs reprises de partenaire puis elles nous ont offert leurs grottes. Même si nous étions protégés, elles nous ont pas laisser jouir en elles. Julien m’a branlé sur la poitrine de Laëtitia alors que je lui faisais la même chose en visant les gros seins de sa tante. Les filles se masturbaient mutuellement et nous avons joui les uns après les autres.
Hier soir, Sandrine a commencé à nous chauffer en nous préparant un cocktail aphrodisiaque. Elle a, bien sûr, mélangé des alcools avec du soda et du tabasco mais aussi nos spermes et sa mouille. Après nous avoir fait plein de promesses pour la suite de la soirée nous avons accepté de boire ce mélange avec elle. Je ne sais pas si c’était vraiment aphrodisiaque mais nous étions tous les 3 très excités.
Malheureusement, Sandrine a reçu un coup de fil et a dû nous abandonner en catastrophe, nous laissant seuls avec nos bites raides. Nous avons tout rangé puis nous sommes dépêchés de remonter dans notre chambre commune pour nous vider les couilles grâce au magazines érotiques que nous avons trouvé dans un de leurs cartons.
Alors que j’étais tranquillement sur le côté à lire les annonces tout en me caressant, je suis tombé sur une qui parle d’un couple bi en recherche de relations bi avec femme, homme ou couple. Il y avait une photo sur laquelle j’ai tout de suite reconnu le corps de la tante de Julien. Je lui ai fait part de ma découverte et il est venu derrière moi pour voir tout ça.
Je sais pas si c’est du cocktail mais plus je lisais plus il frotter sa queue bien raide entre mes fesses. Il m’a demandé de le laisser faire, car il était trop excité et pour me remercier m’a promis de me sucer en retour. Même si ça remonte à plusieurs dizaines d’années, j’étais déjà vicieux alors je me suis retourné pour qu’il se repende sur mon costume 3 pièces qu’il devait lécher. Il a accepte d’avaler son sperme mais j’ai du aussi boire le mien après sa fellation. Nous avons tous les deux énormément pris de plaisir.
Le lendemain matin, c’est Julien qui me réveille en m’annonçant que sa tante est toujours pas rentrée. Comme à l’époque les portable étaient rares et chers nous avons aucun moyen de la contacter. Nous descendons prendre notre petit déjeuner à poil même si nous étions seuls. Nous passons la journée à peindre, toujours à poil, en espérant le retour de notre blonde sauvage.
En fin de journée, le téléphone de la maison sonne, ni Julien ni moi osons décrocher. Alors que nous étions ensemble sous la douche, la sonnerie du téléphone retenti de nouveau et encore une fois pendant que nous nous séchons. A peine 5 minutes plus tard ça sonne, je pousse Julien à aller décrocher en lui disant que nous sommes chez son oncle et sa tante alors il peut.
Quand il attrape le combiné ça a déjà raccroché de l’autre côté mais ça ressonne immédiatement. Après un « Allo » timide, je l’entends demander:
« Mais où es tu passée? Tout va bien? »
Je comprends qu’il parle avec Sandrine. une fois qu’il finit sa conversation, il vient m’expliquer qu’elle a dû rentrer chez elle. Qu’il y a rien de grave mais qu’elle doit absolument gérer un problème.
Il conclue en m’annonçant:
« Elle ne sait pas quand elle va pouvoir revenir mais elle a dit que l’on sait ce que l’on a faire. »
Après un moment d’hésitation il finit par ajouter en rougissant:
« Elle a même dit que nous pouvons nous amuser entre nous avec ou sans cocktail. »
Nous rigolons tous les deux et allons en cuisine nous réchauffer les restes de la veille.
Une fois que la cuisine est rangée, nous montons dans la chambre et nous prenons les magazines porno pour nous vider les couilles. Je suis en train de lire une histoire d’une femme qui baise avec deux mecs. Ils la prennent en double et celui qui sodomise madame, décule pour pénétrer les fesses de monsieur qui continue de martelé la moule.
Je me retourne vers Julien qui est sur le dos et je commence à lui faire la lecture. Ma queue raide est plaquée contre sa cuisse et je commence à me frotter contre lui. Quand j’arrive au passage où un des deux hommes sort des fesses de madame pour se glisser entre celles du troisième, je remplace sa main sur sa tige. Je le branle calmement pour ne pas le faire jouir trop vite alors que je continue de me frotter contre lui.
Au bout de quelques minutes, il m’interrompt dans ma lecture et me demande timidement:
« Tu veux pas que l’on refasse comme hier? »
Avec une grande satisfaction intérieur, je lui tends le magazine et lui demande de continuer la lecture. Alors qu’il me raconte que la queue de monsieur sodomise l’autre monsieur, je gobe son gland et ferme mes lèvres autour de son frein. Je m’empale lentement sur lui en fermant le plus possible ma bouche autour de son mat bien raide.
J’accélère légèrement le rythme et je lui malaxe les couilles en même temps. Il est en train de me raconter que l’homme qui encule l’autre jouit dans les entrailles qu’il rempli. Du coup, il provoque l’orgasme de monsieur et madame les rejoint rapidement dans la jouissance. Je sens qu’il est très excité alors je recrache sa bite pour lécher ses couilles.
Une fois qu’il a finit la lecture, il pose le magazine et commence à gémir nettement. Avec sa couille droite dans ma bouche, je commence à pivoter pour monter sur lui en 69. Il me caresse les bourses et même si la veille il m’a sucé je sens qu’il est hésitant. Il se décide enfin à me prendre en bouche, je le gobe immédiatement et fais tournoyer ma langue autour de sa tige.
Je m’excite comme un fou sur son costume 3 pièces alors que lui est plus dans l’idée de recevoir que de donner même s’il m’enserre bien avec ses lèvres. Je décide alors de le faire jouir et m’applique à le faire coulisser de plus en plus rapidement dans ma bouche. En quelques minutes, il explose dans ma bouche et m’envoie plusieurs jets bien fournis.
Je garde son sperme en bouche et je nous fais rouler pour qu’il soit sur moi et s’occupe correctement de ma bite. Ses lèvres son autour de mon frein et sa langue s’occupe de mon gland alors qu’il branle le reste de ma tige. C’est tellement bon que je cède rapidement et lui rempli, à mon tour la bouche. Avant qu’il avale mon jus ou qu’il aille le cracher, je grimpe sur lui.
Quand mon visage est à la hauteur du sien, je le regarde fixement et approche doucement mes lèvres des siennes. Une fois qu’elles sont collées, je caresse sa bouche avec ma langue quand il entrouvre les lèvres je fais couler son jus pour qu’il aille rejoindre le mien. Quand je n’ai plus que quelques gouttes dans ma bouches, je nous fait retourner pour que le mélange de nos semences retournent dans ma bouche.
Nos fluides passent d’une bouche à l’autre à plusieurs reprises. Quand je suis sur lui, j’essaye de partager équitablement notre propre cocktail aphrodisiaque. Je me redresse et avale dans un grand bruit les 2 gorgées que j’ai récupéré, Julien avale à son tour. J’ai très envie de l’embrasser langoureusement mais j’ai peur qu’il me repousse alors je me lève et file dans la salle de bain.
Julien me suit, comme la veille nous nous brossons les dents en silence et allons nous coucher. Le lendemain matin quand nous nous réveillons, Sandrine est toujours pas rentrée. Après un bon petit déjeuner, nous nous mettons à peindre toujours à poil. Nous passons la journée à parler, rigoler, déconner avec la peinture… mais aussi à bosser.
En fin de journée nous allons nous doucher ensemble. Je suis étonné quand je sens ses mains me frotter le dos. Je me retourne avec un air interrogateur et il me dit:
« Tu as des taches de peinture! »
Je lui donne, une nouvelle fois le dos, pour qu’il continue de me caresser. Ses mains descendent lentement vers mes fesses. Il les malaxe énergiquement et je suis surpris, positivement, quand je sens ses doigts se glisser dans ma raie. Il fait 2 ou 3 allers retours sans s’attarder sur ma rondelle.
Maintenant qu’il m’a bien chauffé, je me retourne et empoigne à deux mains sa tige bien dure et gonflée. Je le branle énergiquement avec une main et l’autre s’occupe de ses couilles. Il attrape aussi ma queue et me branle tout aussi furieusement que moi. Nous gémissons en coeur et finissons par éjaculer presque en même temps.
Nous finissons de nous rincer à l’eau froide puis nous nous séchons en silence. Comme nous avons pas de voiture pour sortir, nous nous cuisinons des pâtes qui sortent vraiment pas bonnes mais nous avons trop faim. Heureusement qu’il reste aussi du pain et du jambon. Nous ouvrons aussi une bouteille de vin que nous finissons entièrement en faisant les cons.
Une fois que nous nous décidons d’aller nous coucher, je vais dans la salle de bain j’ai besoin de pisser un coup, j’en profite pour me brosser les dents. Je retourne dans notre chambre en espérant que nous allons expérimenter une nouvelle chose ce soir. Julien dort déjà alors je me rabats sur un magazine érotique pour me vider les couilles une dernière fois avant de dormir.
Le lendemain nous finissons de passer une première couche de peinture dans chaque pièce. Comme nous ne sommes pas interrompu par les caprices fort agréable de Sandrine qui nous a toujours pas rejoint, nous sommes rapides. Avant d’aller nous doucher nous déplaçons toute nos affaires dans notre nouvelle chambre.
Sous la douche, j’attends pas qu’il se décide à toucher mon corps. je prends le savon et je vais directement lui caresser le costume 3 pièces. Sans hésitations il m’imite, au bout d’un moment je me retourne et me penche en avant pour bien cambre mon cul. Il frictionne mes fesses énergiquement, ses doigts insistent plus longtemps sur ma raie. Il me masse la rondelle, je me penche un peu plus pour l’inviter à venir me visiter.
Il me pénètre avec un doigt et commence à le faire rentrer et sortir de plus en plus rapidement. Je tourne la tête et entre 2 gémissements je lui demande d’en rentrer un deuxième. Il est pas le plus délicat mais ça rentre quand même, je me détend de plus en plus et demande un troisième doigt. Mon cul s’ouvre dans un grand plaisir, je me branle énergiquement jusqu’à me faire venir.
Une fois que j’ai repris mes esprits, ça fait un moment que je n’avais pas eu un tel orgasme, je me redresse et me retourne. Je rince le corps de mon pote et je m’agenouille devant lui pour le sucer et le faire jouir à son tour. Alors que sa bite glisse entre mes lèvres, j’empoigne ses fesses pour les malaxer. J’approche lentement mon index de sa rondelle mais il se contracte. Il jouit rapidement dans ma bouche et je me redresse pour que nous partagions son jus dans une bonne pelle.
Alors qu’il sa reposer je vais nous chercher, à vélo, de quoi manger quelque chose de correct dans le village voisin. Su la scelle, j’ai un peu mal au cul mais ça a fait tellement de bien. Je reviens avec deux pizzas, bien que j’ai pédalé rapidement elles sont froides. Je les mets à réchauffer dans le four et monte dans la chambre voir ce que fait Julien, il dort. Apres m’être déshabiller pour être dans la même tenue que lui, je le réveille et lui dit que j’ai ramené de quoi manger.
Pour le repas, je ne nous sers pas de vin comme ça il y a plus de chance que le début de la nuit soit folle. Nous bouffons notre pizza en musique, une fois les ventres remplis je lui annonce que je monte me coucher. Il me suit, en haut des escaliers je remarque qu’il est en demi molle, j’espère que c’est mon cul qui lui fait cette effet.
On rentre dans le lit, j’attrape un magazine que je lui tends en lui demandant de nous faire la lecture. Pas une seconde à perdre, je me glisse entre ses jambes et je m’applique à le faire encore plus grossir entre mes lèvres. Je l’enfonce de plus en plus profondément en moi jusqu’à ce qu’il vienne taper ma glotte. Malgré mes quelques hauts le coeur, je continue de le pomper comme un fou.
Soudain, je l’abandonne pour aller fouiller dans mon sac. Je reviens vers lui et avec excitation, je l’embrasse goulument. Je déroule sur sa tige le préservatif que je suis allé chercher dans mes affaires. Je me mets à 4 pattes sur le rebord du lit et je plonge mon visage entre mes mains pour me cambrer au maximum. Je reste dans cette position provocante même si je sens Julien hésitant.
Au bout d’un temps, qui me parait interminable, je sens ses doigts sur mes fesses. Ils les pétrissent fermement avant qu’un index se rapproche de ma rondelle. Toujours ouvert suite à notre douche, il le fait rentrer facilement. Rapidement un deuxième et un troisième doigt me sodomise vigoureusement. Il les retire d’un coup sec et je sens déjà son gland forcer ma rondelle.
Je pousse sur mon sphincter pour le laisser rentrer. Je me suis déjà fait sodomiser 2 fois par des hommes mais je les avais choisi, exprès, beaucoup moins bien monté que Julien. Son champignon rentre en moi tout doucement et me dilate totalement le cul. Plus il s’enfonce en moi plus la douleur disparait pour laisser la place à un plaisir intense.
Une fois que ses couilles sont contre mes fesses, il se met à me ramoner énergiquement peut être même un peu trop. Comme nous n’avons pas de lubrifiant ça chauffe très rapidement. Malgré le frottement un peu désagréable, je le laisse faire. Il me ramone le cul en me donnant des fessées et en seulement quelques minutes il explose en moi et rempli la capote avec plusieurs contractions très puissantes.
Une fois qu’il s’est complètement vidé, il s’affale sur mon dos. D’épuisement, je m’écroule sur le matelas, Julien suit mon mouvement en restant planté en moi. Après quelques minutes, il se relève un peu trop rapidement et au passage de son gland, je peux m’empêcher de pousser un petit cri.
« Je t’ai fait mal? »
Je me retourne, caresse sa joue et avant de l’embrasser tendrement, je lui réponds:
« Un peu mais ça valait le coup! »
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain soir comme la tante de mon pote n’est toujours pas rentré, nous remettons le couvert. Cette fois Julien est beaucoup plus tendre et me donne énormément de plaisir. Après avoir jouit en moi, il veut m’offrir sa virginité anale mais il est beaucoup trop stressé pour se laisser aller et que j’arrive à le prendre. Il s’excuse et commence à me sucer jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche et que nous partagions mon sperme.
Avant de nous endormir, il me fait promettre que tout ça reste entre nous. Je le rassure même quand il me dit:
« Pas un mot à Sandrine non plus, même si ça l’exciterai surement de le savoir! »
Même si je m’amuse bien avec mon pote et que ça nous promet encore plein de bons moments tout au long de cet été, j’attends le retour de la belle blonde de tante avec impatience…
Elle a commencé par un bronzage en bikini puis en intégrale. Ensuite, elle s’est masturbée sur son transat alors que nous l’observions de la fenêtre. Entre la chaleur des machines et de la situation nous nous sommes foutus tous les deux poils. Alors que nous avons repris le travail mais toujours, plus ou moins en érection, Sandrine est venu nous rejoindre.
Elle a profité de la situation pour se branler devant nous en nous invitant à faire comme elle. Dès le lendemain nous avons commencé à nous doucher les 3 ensemble tout en continuant les séances masturbation. Une fois, elle nous a même demandé de nous savonner l’un l’autre, Julien était hésitant mais moi moins car j’ai déjà eu des expériences entre mecs malgré mon jeune âge. Pendant que nous caressions le corps de l’autre, elle se branler en nous admirant.
Ensuite, elle nous a rasé le costume trois pièces pour avoir aucun poil en bouche au moment de nous sucer. Nous avons dû attendre quelques jours pour profiter de ses lèvres mais ça valait le coup. Ce jour là, elle était pas seule, sa copine Laëtitia est venue nous rejoindre. C’est une brune, du même âge qu’elle mais plus petite et tout aussi attirante que son amie.
Nous avons d’abord enduit leurs dos, leurs jambes et leurs fesses de crème solaire puis elles nous ont laissé profiter de leur chatte. Une demi heure plus tard nous sommes revenus, à leur demande, pour tartiner l’autre côté de leur corps. Elles nous ont d’abord demandé de nous enduire, l’un l’autre, entièrement de crème. Ensuite nous avons pu nous occuper de leurs poitrines, leurs hanches mais aussi leurs monts de Vénus.
Quand elles allaient nous sucer, elles ont stoppé net et nous ont demandé de nous nettoyer le sexe car elles aiment pas le goût de la crème solaire. Mais pas avec de l’eau, avec la bouche de l’autre. C’est comme ça que Julien a eu le droit à sa première pipe par un autre homme et qu’il m’en aussi fait une (ce n’était pas la première ni la meilleure bouche d’homme qui s’occupait de ma queue).
Une fois nos sexes propres, elles nous ont sucé, nous avons changer à plusieurs reprises de partenaire puis elles nous ont offert leurs grottes. Même si nous étions protégés, elles nous ont pas laisser jouir en elles. Julien m’a branlé sur la poitrine de Laëtitia alors que je lui faisais la même chose en visant les gros seins de sa tante. Les filles se masturbaient mutuellement et nous avons joui les uns après les autres.
Hier soir, Sandrine a commencé à nous chauffer en nous préparant un cocktail aphrodisiaque. Elle a, bien sûr, mélangé des alcools avec du soda et du tabasco mais aussi nos spermes et sa mouille. Après nous avoir fait plein de promesses pour la suite de la soirée nous avons accepté de boire ce mélange avec elle. Je ne sais pas si c’était vraiment aphrodisiaque mais nous étions tous les 3 très excités.
Malheureusement, Sandrine a reçu un coup de fil et a dû nous abandonner en catastrophe, nous laissant seuls avec nos bites raides. Nous avons tout rangé puis nous sommes dépêchés de remonter dans notre chambre commune pour nous vider les couilles grâce au magazines érotiques que nous avons trouvé dans un de leurs cartons.
Alors que j’étais tranquillement sur le côté à lire les annonces tout en me caressant, je suis tombé sur une qui parle d’un couple bi en recherche de relations bi avec femme, homme ou couple. Il y avait une photo sur laquelle j’ai tout de suite reconnu le corps de la tante de Julien. Je lui ai fait part de ma découverte et il est venu derrière moi pour voir tout ça.
Je sais pas si c’est du cocktail mais plus je lisais plus il frotter sa queue bien raide entre mes fesses. Il m’a demandé de le laisser faire, car il était trop excité et pour me remercier m’a promis de me sucer en retour. Même si ça remonte à plusieurs dizaines d’années, j’étais déjà vicieux alors je me suis retourné pour qu’il se repende sur mon costume 3 pièces qu’il devait lécher. Il a accepte d’avaler son sperme mais j’ai du aussi boire le mien après sa fellation. Nous avons tous les deux énormément pris de plaisir.
Le lendemain matin, c’est Julien qui me réveille en m’annonçant que sa tante est toujours pas rentrée. Comme à l’époque les portable étaient rares et chers nous avons aucun moyen de la contacter. Nous descendons prendre notre petit déjeuner à poil même si nous étions seuls. Nous passons la journée à peindre, toujours à poil, en espérant le retour de notre blonde sauvage.
En fin de journée, le téléphone de la maison sonne, ni Julien ni moi osons décrocher. Alors que nous étions ensemble sous la douche, la sonnerie du téléphone retenti de nouveau et encore une fois pendant que nous nous séchons. A peine 5 minutes plus tard ça sonne, je pousse Julien à aller décrocher en lui disant que nous sommes chez son oncle et sa tante alors il peut.
Quand il attrape le combiné ça a déjà raccroché de l’autre côté mais ça ressonne immédiatement. Après un « Allo » timide, je l’entends demander:
« Mais où es tu passée? Tout va bien? »
Je comprends qu’il parle avec Sandrine. une fois qu’il finit sa conversation, il vient m’expliquer qu’elle a dû rentrer chez elle. Qu’il y a rien de grave mais qu’elle doit absolument gérer un problème.
Il conclue en m’annonçant:
« Elle ne sait pas quand elle va pouvoir revenir mais elle a dit que l’on sait ce que l’on a faire. »
Après un moment d’hésitation il finit par ajouter en rougissant:
« Elle a même dit que nous pouvons nous amuser entre nous avec ou sans cocktail. »
Nous rigolons tous les deux et allons en cuisine nous réchauffer les restes de la veille.
Une fois que la cuisine est rangée, nous montons dans la chambre et nous prenons les magazines porno pour nous vider les couilles. Je suis en train de lire une histoire d’une femme qui baise avec deux mecs. Ils la prennent en double et celui qui sodomise madame, décule pour pénétrer les fesses de monsieur qui continue de martelé la moule.
Je me retourne vers Julien qui est sur le dos et je commence à lui faire la lecture. Ma queue raide est plaquée contre sa cuisse et je commence à me frotter contre lui. Quand j’arrive au passage où un des deux hommes sort des fesses de madame pour se glisser entre celles du troisième, je remplace sa main sur sa tige. Je le branle calmement pour ne pas le faire jouir trop vite alors que je continue de me frotter contre lui.
Au bout de quelques minutes, il m’interrompt dans ma lecture et me demande timidement:
« Tu veux pas que l’on refasse comme hier? »
Avec une grande satisfaction intérieur, je lui tends le magazine et lui demande de continuer la lecture. Alors qu’il me raconte que la queue de monsieur sodomise l’autre monsieur, je gobe son gland et ferme mes lèvres autour de son frein. Je m’empale lentement sur lui en fermant le plus possible ma bouche autour de son mat bien raide.
J’accélère légèrement le rythme et je lui malaxe les couilles en même temps. Il est en train de me raconter que l’homme qui encule l’autre jouit dans les entrailles qu’il rempli. Du coup, il provoque l’orgasme de monsieur et madame les rejoint rapidement dans la jouissance. Je sens qu’il est très excité alors je recrache sa bite pour lécher ses couilles.
Une fois qu’il a finit la lecture, il pose le magazine et commence à gémir nettement. Avec sa couille droite dans ma bouche, je commence à pivoter pour monter sur lui en 69. Il me caresse les bourses et même si la veille il m’a sucé je sens qu’il est hésitant. Il se décide enfin à me prendre en bouche, je le gobe immédiatement et fais tournoyer ma langue autour de sa tige.
Je m’excite comme un fou sur son costume 3 pièces alors que lui est plus dans l’idée de recevoir que de donner même s’il m’enserre bien avec ses lèvres. Je décide alors de le faire jouir et m’applique à le faire coulisser de plus en plus rapidement dans ma bouche. En quelques minutes, il explose dans ma bouche et m’envoie plusieurs jets bien fournis.
Je garde son sperme en bouche et je nous fais rouler pour qu’il soit sur moi et s’occupe correctement de ma bite. Ses lèvres son autour de mon frein et sa langue s’occupe de mon gland alors qu’il branle le reste de ma tige. C’est tellement bon que je cède rapidement et lui rempli, à mon tour la bouche. Avant qu’il avale mon jus ou qu’il aille le cracher, je grimpe sur lui.
Quand mon visage est à la hauteur du sien, je le regarde fixement et approche doucement mes lèvres des siennes. Une fois qu’elles sont collées, je caresse sa bouche avec ma langue quand il entrouvre les lèvres je fais couler son jus pour qu’il aille rejoindre le mien. Quand je n’ai plus que quelques gouttes dans ma bouches, je nous fait retourner pour que le mélange de nos semences retournent dans ma bouche.
Nos fluides passent d’une bouche à l’autre à plusieurs reprises. Quand je suis sur lui, j’essaye de partager équitablement notre propre cocktail aphrodisiaque. Je me redresse et avale dans un grand bruit les 2 gorgées que j’ai récupéré, Julien avale à son tour. J’ai très envie de l’embrasser langoureusement mais j’ai peur qu’il me repousse alors je me lève et file dans la salle de bain.
Julien me suit, comme la veille nous nous brossons les dents en silence et allons nous coucher. Le lendemain matin quand nous nous réveillons, Sandrine est toujours pas rentrée. Après un bon petit déjeuner, nous nous mettons à peindre toujours à poil. Nous passons la journée à parler, rigoler, déconner avec la peinture… mais aussi à bosser.
En fin de journée nous allons nous doucher ensemble. Je suis étonné quand je sens ses mains me frotter le dos. Je me retourne avec un air interrogateur et il me dit:
« Tu as des taches de peinture! »
Je lui donne, une nouvelle fois le dos, pour qu’il continue de me caresser. Ses mains descendent lentement vers mes fesses. Il les malaxe énergiquement et je suis surpris, positivement, quand je sens ses doigts se glisser dans ma raie. Il fait 2 ou 3 allers retours sans s’attarder sur ma rondelle.
Maintenant qu’il m’a bien chauffé, je me retourne et empoigne à deux mains sa tige bien dure et gonflée. Je le branle énergiquement avec une main et l’autre s’occupe de ses couilles. Il attrape aussi ma queue et me branle tout aussi furieusement que moi. Nous gémissons en coeur et finissons par éjaculer presque en même temps.
Nous finissons de nous rincer à l’eau froide puis nous nous séchons en silence. Comme nous avons pas de voiture pour sortir, nous nous cuisinons des pâtes qui sortent vraiment pas bonnes mais nous avons trop faim. Heureusement qu’il reste aussi du pain et du jambon. Nous ouvrons aussi une bouteille de vin que nous finissons entièrement en faisant les cons.
Une fois que nous nous décidons d’aller nous coucher, je vais dans la salle de bain j’ai besoin de pisser un coup, j’en profite pour me brosser les dents. Je retourne dans notre chambre en espérant que nous allons expérimenter une nouvelle chose ce soir. Julien dort déjà alors je me rabats sur un magazine érotique pour me vider les couilles une dernière fois avant de dormir.
Le lendemain nous finissons de passer une première couche de peinture dans chaque pièce. Comme nous ne sommes pas interrompu par les caprices fort agréable de Sandrine qui nous a toujours pas rejoint, nous sommes rapides. Avant d’aller nous doucher nous déplaçons toute nos affaires dans notre nouvelle chambre.
Sous la douche, j’attends pas qu’il se décide à toucher mon corps. je prends le savon et je vais directement lui caresser le costume 3 pièces. Sans hésitations il m’imite, au bout d’un moment je me retourne et me penche en avant pour bien cambre mon cul. Il frictionne mes fesses énergiquement, ses doigts insistent plus longtemps sur ma raie. Il me masse la rondelle, je me penche un peu plus pour l’inviter à venir me visiter.
Il me pénètre avec un doigt et commence à le faire rentrer et sortir de plus en plus rapidement. Je tourne la tête et entre 2 gémissements je lui demande d’en rentrer un deuxième. Il est pas le plus délicat mais ça rentre quand même, je me détend de plus en plus et demande un troisième doigt. Mon cul s’ouvre dans un grand plaisir, je me branle énergiquement jusqu’à me faire venir.
Une fois que j’ai repris mes esprits, ça fait un moment que je n’avais pas eu un tel orgasme, je me redresse et me retourne. Je rince le corps de mon pote et je m’agenouille devant lui pour le sucer et le faire jouir à son tour. Alors que sa bite glisse entre mes lèvres, j’empoigne ses fesses pour les malaxer. J’approche lentement mon index de sa rondelle mais il se contracte. Il jouit rapidement dans ma bouche et je me redresse pour que nous partagions son jus dans une bonne pelle.
Alors qu’il sa reposer je vais nous chercher, à vélo, de quoi manger quelque chose de correct dans le village voisin. Su la scelle, j’ai un peu mal au cul mais ça a fait tellement de bien. Je reviens avec deux pizzas, bien que j’ai pédalé rapidement elles sont froides. Je les mets à réchauffer dans le four et monte dans la chambre voir ce que fait Julien, il dort. Apres m’être déshabiller pour être dans la même tenue que lui, je le réveille et lui dit que j’ai ramené de quoi manger.
Pour le repas, je ne nous sers pas de vin comme ça il y a plus de chance que le début de la nuit soit folle. Nous bouffons notre pizza en musique, une fois les ventres remplis je lui annonce que je monte me coucher. Il me suit, en haut des escaliers je remarque qu’il est en demi molle, j’espère que c’est mon cul qui lui fait cette effet.
On rentre dans le lit, j’attrape un magazine que je lui tends en lui demandant de nous faire la lecture. Pas une seconde à perdre, je me glisse entre ses jambes et je m’applique à le faire encore plus grossir entre mes lèvres. Je l’enfonce de plus en plus profondément en moi jusqu’à ce qu’il vienne taper ma glotte. Malgré mes quelques hauts le coeur, je continue de le pomper comme un fou.
Soudain, je l’abandonne pour aller fouiller dans mon sac. Je reviens vers lui et avec excitation, je l’embrasse goulument. Je déroule sur sa tige le préservatif que je suis allé chercher dans mes affaires. Je me mets à 4 pattes sur le rebord du lit et je plonge mon visage entre mes mains pour me cambrer au maximum. Je reste dans cette position provocante même si je sens Julien hésitant.
Au bout d’un temps, qui me parait interminable, je sens ses doigts sur mes fesses. Ils les pétrissent fermement avant qu’un index se rapproche de ma rondelle. Toujours ouvert suite à notre douche, il le fait rentrer facilement. Rapidement un deuxième et un troisième doigt me sodomise vigoureusement. Il les retire d’un coup sec et je sens déjà son gland forcer ma rondelle.
Je pousse sur mon sphincter pour le laisser rentrer. Je me suis déjà fait sodomiser 2 fois par des hommes mais je les avais choisi, exprès, beaucoup moins bien monté que Julien. Son champignon rentre en moi tout doucement et me dilate totalement le cul. Plus il s’enfonce en moi plus la douleur disparait pour laisser la place à un plaisir intense.
Une fois que ses couilles sont contre mes fesses, il se met à me ramoner énergiquement peut être même un peu trop. Comme nous n’avons pas de lubrifiant ça chauffe très rapidement. Malgré le frottement un peu désagréable, je le laisse faire. Il me ramone le cul en me donnant des fessées et en seulement quelques minutes il explose en moi et rempli la capote avec plusieurs contractions très puissantes.
Une fois qu’il s’est complètement vidé, il s’affale sur mon dos. D’épuisement, je m’écroule sur le matelas, Julien suit mon mouvement en restant planté en moi. Après quelques minutes, il se relève un peu trop rapidement et au passage de son gland, je peux m’empêcher de pousser un petit cri.
« Je t’ai fait mal? »
Je me retourne, caresse sa joue et avant de l’embrasser tendrement, je lui réponds:
« Un peu mais ça valait le coup! »
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain soir comme la tante de mon pote n’est toujours pas rentré, nous remettons le couvert. Cette fois Julien est beaucoup plus tendre et me donne énormément de plaisir. Après avoir jouit en moi, il veut m’offrir sa virginité anale mais il est beaucoup trop stressé pour se laisser aller et que j’arrive à le prendre. Il s’excuse et commence à me sucer jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche et que nous partagions mon sperme.
Avant de nous endormir, il me fait promettre que tout ça reste entre nous. Je le rassure même quand il me dit:
« Pas un mot à Sandrine non plus, même si ça l’exciterai surement de le savoir! »
Même si je m’amuse bien avec mon pote et que ça nous promet encore plein de bons moments tout au long de cet été, j’attends le retour de la belle blonde de tante avec impatience…
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de découvrir cette série que j'adore. J'ai enchainé tous les épisodes et maintenant ma chatte est en feu. J'espère qu'il va y avoir une suite
La suite est longue à venir!
Ça me donne des idées!
Vivement la suite
ils y prennent goût ...
Personnellement les histoires entres mecs m'excitent plus qu'entre hétéros , sauf celles de toi Romain que je lis toutes avec délectation . J'attend avec impatience la suite de celle-ci
Adorable.