Travaux d'hercule - 1° Lion de Némée
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'hercule - 1° Lion de Némée
En ces temps là, Hercule, le héros bien connu, va vers Némée où un lion affamé sévit.
Avant d’arriver à sa destination Hercule veut se reposer un peu, passer un moment avec
un mortel normal, dans une famille de monsieur tout le monde, lassé qu’il est de ne
voir que des demis dieux comme lui. A Cléone, il trouve un passant, Monorchos, qui
l’invite à passer la soirée, chez lui. Madame est à la maison, satisfaite de voir un
voyageur étranger. Monorchos est bien gentil mais ses façons de faire l’amour sont
primaires. Hercule semble bien pourvu, bien résistant.
Elle, Calista, veut qu’avec Monorchos, ils se fassent du bien ensemble. Qui sait, ce
visiteur aime aussi les hommes ? Le trio est assis devant la porte, au soleil
couchant. Les vêtements d’Hercule se résument à une simple tunique qui ne cache rien
de la nature du héros. La femme, regarde excitée le membre encore flasque d’Hercule.
D’un simple regard à son mari, elle comprend qu’il n’a rien contre.
- Si je me sacrifie à toi, Ho ! Hercule, tu me donneras quoi ?
- Que veux-tu femme, parles.
- Que tu me baises devant mon mari, que tu l’encules aussi devant moi.
- S’il ne veut pas ?
- Te prêter son cul, oui, il aime ça.
Tout en parlant la bite d’Hercule gonfle doucement. Il bande même carrément. Seul le
mari est de marbre. Pourtant au fond de lui même il ne voit aucun inconvénient à se
donner lui aussi à cet extraterrestre. Hercule ne refuse pas, Calista est contre lui.
Elle passe une main sous la tunique, puis comme pour découvrir ce qu’elle voit : elle
passe sous la tunique, vers la queue qui est bandée. La taille est impressionnante.
Calista regrette d’avoir fait ce marché. Comment recevoir ce gourdin partout ? Dans la
bouche, en l’ouvrant bien, passe, dans le vagin sans doute, mais dans son petit trou ?
Et son mari pourra-t-il se faire enculer sans dommage ?
Elle n’a pas fini de poser ses questions quand elle sent la main d’Hercule sur la
cuisse. Et cette main monte en caressant. Elle donne encore plus envie à Calista.
Monorchos sent lui aussi une main sur sa cuisse. Elle monte bien vite vers ses
couilles. Il se laisse faire volontiers : depuis le temps qu’une main d’homme ne lui a
pas rendu une telle visite : il bande comme un âne. Calista regarde les réactions de
son homme. Il se lève, se met face à Hercule pour lui montrer sa bite. Il espérait
qu’il serait masturbé par la main fantastique (dit-on) d’Hercule. Celui qui va aller
tuer le lion, est gourmand de cette queue. Il la prend dans ses lèvres. En l’aspirant
il la fait encore bander un peu plus. Le gourdin du demi-dieu remonte sa tunique. On
dirait un mat de tente. En remuant un peu la pine sort au grand jour. Le prépuce
descendu un peu fait voir une bonne partie de gland violacé. Une petite goutte
perle…..
Hercule mordille un peu la queue. Il fait descendre le prépuce pour avoir en bouche le
gland du mortel. Connaissant les désirs de celui qu’il suce, Hercule passe une main
sur les fesses. Il écarte la raie. Doucement, pour faire languir l’homme il arrive sur
le petit trou. Malgré la grosseur relative de ses doigts, Hercule caresse doucement le
tour, vient toucher avant d’entrer. La bite du peloté est plus que bandée. Elle touche
le palais d’Hercule. Enfin il donne une phalange à cet homme gourmand d’Hercule, d’un
mâle.
Il est bien un demi dieu : il fait une fellation au mari, il monte sa main dans la
figue de madame. Ses doigts s’agitent en cadence, masturbent Calista. Elle ne peut
tenir bien longtemps devant la main qui la masturbe. Elle est presque allongée.
Hercule veut lui donner encore plus de plaisir, il plante deux doigts plus bas, dans
le petit trou. Elle en veut plus. Hercule fait jouir Monorchos. Le sperme part dans la
bouche, il en met partout et Hercule a un air extasié. Il aime la semence humaine plus
que celle des dieux. Il fait sortir la queue de sa bouche (ça fait comme un floc). Il
est près pour la suite avec la mortelle.
Elle vient sur ses genoux, les cuisses écartées en grand. Elle pensait qu’elle
pouvait, elle, baiser. C’est la pine d’Hercule qui la surprend. Elle pousse un cri de
surprise, un cri de douleur et enfin un autre de plaisir. Il pistonne le con sans
cesse. Elle sa laisse baiser magistralement. Hercule patiente jusqu’à l’orgasme
humain. Puis attiré par l’extraordinaire, il relève à peine la mortelle la fait se
remettre sur lui : il l’encule, malgré des cris de protestation. Si elle refuse au
début, il en a besoin : à Olympe, peu de déesses acceptent la queue d’Hercule dans
leur petit trou.
Et prise par le désir, enfin Calista accepte la bite. Son cul s’ouvre comme il ne l’a
jamais été. Excitée, elle passe deux doigts sur son clitoris.
Ses spasmes coïncident avec ceux violents d’Hercule.
Il peut aller plus loin à Némée pour chasser le lion : son premier travail !
Avant d’arriver à sa destination Hercule veut se reposer un peu, passer un moment avec
un mortel normal, dans une famille de monsieur tout le monde, lassé qu’il est de ne
voir que des demis dieux comme lui. A Cléone, il trouve un passant, Monorchos, qui
l’invite à passer la soirée, chez lui. Madame est à la maison, satisfaite de voir un
voyageur étranger. Monorchos est bien gentil mais ses façons de faire l’amour sont
primaires. Hercule semble bien pourvu, bien résistant.
Elle, Calista, veut qu’avec Monorchos, ils se fassent du bien ensemble. Qui sait, ce
visiteur aime aussi les hommes ? Le trio est assis devant la porte, au soleil
couchant. Les vêtements d’Hercule se résument à une simple tunique qui ne cache rien
de la nature du héros. La femme, regarde excitée le membre encore flasque d’Hercule.
D’un simple regard à son mari, elle comprend qu’il n’a rien contre.
- Si je me sacrifie à toi, Ho ! Hercule, tu me donneras quoi ?
- Que veux-tu femme, parles.
- Que tu me baises devant mon mari, que tu l’encules aussi devant moi.
- S’il ne veut pas ?
- Te prêter son cul, oui, il aime ça.
Tout en parlant la bite d’Hercule gonfle doucement. Il bande même carrément. Seul le
mari est de marbre. Pourtant au fond de lui même il ne voit aucun inconvénient à se
donner lui aussi à cet extraterrestre. Hercule ne refuse pas, Calista est contre lui.
Elle passe une main sous la tunique, puis comme pour découvrir ce qu’elle voit : elle
passe sous la tunique, vers la queue qui est bandée. La taille est impressionnante.
Calista regrette d’avoir fait ce marché. Comment recevoir ce gourdin partout ? Dans la
bouche, en l’ouvrant bien, passe, dans le vagin sans doute, mais dans son petit trou ?
Et son mari pourra-t-il se faire enculer sans dommage ?
Elle n’a pas fini de poser ses questions quand elle sent la main d’Hercule sur la
cuisse. Et cette main monte en caressant. Elle donne encore plus envie à Calista.
Monorchos sent lui aussi une main sur sa cuisse. Elle monte bien vite vers ses
couilles. Il se laisse faire volontiers : depuis le temps qu’une main d’homme ne lui a
pas rendu une telle visite : il bande comme un âne. Calista regarde les réactions de
son homme. Il se lève, se met face à Hercule pour lui montrer sa bite. Il espérait
qu’il serait masturbé par la main fantastique (dit-on) d’Hercule. Celui qui va aller
tuer le lion, est gourmand de cette queue. Il la prend dans ses lèvres. En l’aspirant
il la fait encore bander un peu plus. Le gourdin du demi-dieu remonte sa tunique. On
dirait un mat de tente. En remuant un peu la pine sort au grand jour. Le prépuce
descendu un peu fait voir une bonne partie de gland violacé. Une petite goutte
perle…..
Hercule mordille un peu la queue. Il fait descendre le prépuce pour avoir en bouche le
gland du mortel. Connaissant les désirs de celui qu’il suce, Hercule passe une main
sur les fesses. Il écarte la raie. Doucement, pour faire languir l’homme il arrive sur
le petit trou. Malgré la grosseur relative de ses doigts, Hercule caresse doucement le
tour, vient toucher avant d’entrer. La bite du peloté est plus que bandée. Elle touche
le palais d’Hercule. Enfin il donne une phalange à cet homme gourmand d’Hercule, d’un
mâle.
Il est bien un demi dieu : il fait une fellation au mari, il monte sa main dans la
figue de madame. Ses doigts s’agitent en cadence, masturbent Calista. Elle ne peut
tenir bien longtemps devant la main qui la masturbe. Elle est presque allongée.
Hercule veut lui donner encore plus de plaisir, il plante deux doigts plus bas, dans
le petit trou. Elle en veut plus. Hercule fait jouir Monorchos. Le sperme part dans la
bouche, il en met partout et Hercule a un air extasié. Il aime la semence humaine plus
que celle des dieux. Il fait sortir la queue de sa bouche (ça fait comme un floc). Il
est près pour la suite avec la mortelle.
Elle vient sur ses genoux, les cuisses écartées en grand. Elle pensait qu’elle
pouvait, elle, baiser. C’est la pine d’Hercule qui la surprend. Elle pousse un cri de
surprise, un cri de douleur et enfin un autre de plaisir. Il pistonne le con sans
cesse. Elle sa laisse baiser magistralement. Hercule patiente jusqu’à l’orgasme
humain. Puis attiré par l’extraordinaire, il relève à peine la mortelle la fait se
remettre sur lui : il l’encule, malgré des cris de protestation. Si elle refuse au
début, il en a besoin : à Olympe, peu de déesses acceptent la queue d’Hercule dans
leur petit trou.
Et prise par le désir, enfin Calista accepte la bite. Son cul s’ouvre comme il ne l’a
jamais été. Excitée, elle passe deux doigts sur son clitoris.
Ses spasmes coïncident avec ceux violents d’Hercule.
Il peut aller plus loin à Némée pour chasser le lion : son premier travail !
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