Travaux d' Hercule - 10 -
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d' Hercule - 10 -
Pour son dixième travail, usé par quasiment sept années d'épreuves, le héros se voit ainsi obligé de gagner les mystérieuses terres de l'ouest et, plus précisément, l'île d'Erythie (l'actuelle Cadix, en Andalousie) car c'est là-bas qu'il est sommé de capturer le plus beau troupeau du monde. Et la tâche s'annonce plus rude qu'il n'y paraît car les superbes bœufs au pelage écarlate sont jalousement gardés par le monstrueux Géryon, fils du titan Okéanos et qui a eu la particularité de naître avec trois têtes, six bras et trois corps unis à la taille.
Oui, je sais ça commence mal, surtout pour Hercule qui n’aime pas les traversées en bateau. Il descend en route en Libye (sans colonel) pour suivre la côte à pied. Il rencontre quelques médiocres bestioles style lions ou panthères. Il met rapidement fin à leur vie à coup de massue (comme Obélix avec ses menhirs) Il continue vers l’ouest. Au passage, en prenant le tournant vers le nord il s’appui un peu trop sur la rive : il en fit jaillir deux collines assez hautes : Gibraltar et Tanger. En leur donnant son nom de colonnes d’Hercule. Le voilà parti à la recherche du plus beau troupeau du monde (first in the world). C’est encore facile d’aller en haut de l’Hispanie. Bien sur quelques bandits échappent à son courroux. Il a en vue le fameux troupeau (chouette, je vais le piquer). Mais un chien cador, plus fort que les autres arrive en aboyant : il a deux têtes, donc deux mâchoires : le genre de créature à se demander qui en est l’inventeur (faut être grec pour croire ces sornettes).
Mais l’arc d’Hercule est rapide, tire juste. Il envoie une salve de deux flèches qui atteignent les cranes du chien. Mais le maître a plus que deux têtes, en plus des jambes il en a deux autres.
Hercule abat le bouvier. Chic, le troupeau est à sa botte (troupeau/botte : riez à l’astuce). Reste à l’emmener en Grèce. Ce serait facile si…..en cours de route il faut prendre des raccourcis qui tout compte fait rallongent les temps de conduite. Il se trompe en lisant les panneaux routiers écrit en latin et non en grec, au lieu de passer directement il fait un détour par l’Italie profonde, juge qu’il manque de ville, en rajoute quelques unes comme Pompéi (qu’il a mal placé, juste sous un volcan visible quoi !) et Herculanum (paix à leurs âmes) Certains parle de Bari. Pourquoi pas Sousse, Lille ou Ljubljana ?
Maladroit comme il est il arrive quand même à faire traverser à la nage la moitié de la Méditerranées à un vague troupeau de vaches connues pour leur habileté à nager.
Au passage une belle nageuse se présente à lui. Il va contre elle, lui montre son, propre mat. Là, ce morcif entraine la belle romaine vers la bagatelle. Ils vont sur la plage, nus ils sont en forme pour la suite. C’est elle qui mène la danse Elle est sur lui, les lèvres contre les siennes. Elle ne cherche qu’un peu de réconfort : son amant l’a quitté pour une plus jeune. Elle connait les trucs qui font du bien, particulièrement ce qu’elle préfère : une pine au cul, des doigts au moins deux dans le con. Hercule ne connait pas tout ces trucs. Il la laisse faire ce qu’elle veut. Elle est sur lui, demande ses petits machins ; prend la queue qui bande dangereusement. Elle l’a bien en main, elle a gagné le petit tour de manège sur la bite. Elle mène la dance, elle baise, elle se fait baiser : elle en veut ailleurs elle se met sur le dos, sur lui, passe la queue entre ses fesses. Là elle se laisse enculer selon ses gouts
Il la quitte à regret, la queue encore pleine de cyprine
Il y arrive quand même. Il trucide bien à coup de massue ceux qui s’obstinaient à lui barrer le passage, même sans le faire exprès. Il livre sans perte le colis à Olympe. Les dieux devaient être contents de lui.
Oui, je sais ça commence mal, surtout pour Hercule qui n’aime pas les traversées en bateau. Il descend en route en Libye (sans colonel) pour suivre la côte à pied. Il rencontre quelques médiocres bestioles style lions ou panthères. Il met rapidement fin à leur vie à coup de massue (comme Obélix avec ses menhirs) Il continue vers l’ouest. Au passage, en prenant le tournant vers le nord il s’appui un peu trop sur la rive : il en fit jaillir deux collines assez hautes : Gibraltar et Tanger. En leur donnant son nom de colonnes d’Hercule. Le voilà parti à la recherche du plus beau troupeau du monde (first in the world). C’est encore facile d’aller en haut de l’Hispanie. Bien sur quelques bandits échappent à son courroux. Il a en vue le fameux troupeau (chouette, je vais le piquer). Mais un chien cador, plus fort que les autres arrive en aboyant : il a deux têtes, donc deux mâchoires : le genre de créature à se demander qui en est l’inventeur (faut être grec pour croire ces sornettes).
Mais l’arc d’Hercule est rapide, tire juste. Il envoie une salve de deux flèches qui atteignent les cranes du chien. Mais le maître a plus que deux têtes, en plus des jambes il en a deux autres.
Hercule abat le bouvier. Chic, le troupeau est à sa botte (troupeau/botte : riez à l’astuce). Reste à l’emmener en Grèce. Ce serait facile si…..en cours de route il faut prendre des raccourcis qui tout compte fait rallongent les temps de conduite. Il se trompe en lisant les panneaux routiers écrit en latin et non en grec, au lieu de passer directement il fait un détour par l’Italie profonde, juge qu’il manque de ville, en rajoute quelques unes comme Pompéi (qu’il a mal placé, juste sous un volcan visible quoi !) et Herculanum (paix à leurs âmes) Certains parle de Bari. Pourquoi pas Sousse, Lille ou Ljubljana ?
Maladroit comme il est il arrive quand même à faire traverser à la nage la moitié de la Méditerranées à un vague troupeau de vaches connues pour leur habileté à nager.
Au passage une belle nageuse se présente à lui. Il va contre elle, lui montre son, propre mat. Là, ce morcif entraine la belle romaine vers la bagatelle. Ils vont sur la plage, nus ils sont en forme pour la suite. C’est elle qui mène la danse Elle est sur lui, les lèvres contre les siennes. Elle ne cherche qu’un peu de réconfort : son amant l’a quitté pour une plus jeune. Elle connait les trucs qui font du bien, particulièrement ce qu’elle préfère : une pine au cul, des doigts au moins deux dans le con. Hercule ne connait pas tout ces trucs. Il la laisse faire ce qu’elle veut. Elle est sur lui, demande ses petits machins ; prend la queue qui bande dangereusement. Elle l’a bien en main, elle a gagné le petit tour de manège sur la bite. Elle mène la dance, elle baise, elle se fait baiser : elle en veut ailleurs elle se met sur le dos, sur lui, passe la queue entre ses fesses. Là elle se laisse enculer selon ses gouts
Il la quitte à regret, la queue encore pleine de cyprine
Il y arrive quand même. Il trucide bien à coup de massue ceux qui s’obstinaient à lui barrer le passage, même sans le faire exprès. Il livre sans perte le colis à Olympe. Les dieux devaient être contents de lui.
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