Travaux d'Hercule - 12 - - histoire érotique

C’est bien pour faire plaisir à l’Olympe qu’Hercule par aux Enfers. Il est vivant en arrivant aux bords du Styx gardé par un Charron vieillissant. 'Héraclès, bien décidé de clore ses travaux dans le délai le plus court, exige des prêtres assignés qu'ils l'initient à ces fameux mystères. L'un d'eux, répondant au doux nom d'Eumolpos, lui explique toutes les formalités d'usage ; comprenant bien vite que le héros jouit d'un destin hors du commun, le prêtre parvient à le faire adopter par un athénien nommé Pylios comme l'exigent les lois ecclésiastiques. Sa mission, la dernière lui dit-on est de zigouiller Cerbère : un gentil chien à sa mémère avec même trois têtes, un pelage fait de serpents aux dents aigues. (À remarquer le gout des grecs pour les chiens tricéphales) Toujours accompagné de sa compagne la naïade, bonne épouse obéissante comme devrait être toute les femmes mariées de nos jours (je sais je vais me faire des ennemis, mais le métier que je fais en racontant de véritables histoires inventée me force à dire des vérités premières). La veille du départ d’Hercule elle lui a préparé un repas tout juste reconstituant : fèves (2 petits kilos après épluchage, petit salé, joues de porc au muscat de Frontignan (met rare à l’époque) Le repas suivit d’un petit moment d’égarement où elle s’est facilement donnée pour qu’il lui fasse du bien : cette fois un 69 s’imposait. Hercule, sur le dos, préoccupé par sa journée de demain bande à peine. La naïade sait bien comment le faire bander : elle le caresse vers les seins, descend sa bouche vers son ventre gargouillant du repas. Elle prend en bouche la queue pas bien bandée. Elle la mord plusieurs fois jusqu’au moment où elle est droite. Et la queue d’Hercule veut la peine d’être admirée (si les gens du voisinage la voyez, une seule fois, ils viendraient en processions pour visiter) Elle reprend son plaisir en se faisant racler deux fois son couscoussier, plusieurs fois son petit tout petit bout de viande et son cul une seule fois.
Il est vide coté couilles. Alors ne pouvant plus rien laisser il part à la chasse.
Charron, ronchonnant le laisse passer le Styx. De l’autre coté la rive est vaseuse, il glisse en risquant de tomber sur un sol malsain. Il retrouve certaines de ses victimes qu’il tient transpercer de flèches. Charron lui expliquai que c’est inutile, les personne mortes ne peuvent de nouveaux être tuées au risque de les voir se transformer en fantômes, pire en revenants dans des films américains. Hercule toujours pas courageux au de là d’un certain point continue sa recherche. Il entend au loin dans ces enfers de malheur des grommèlements particuliers. Son instinct lui dicte que c’est ce qu’il cherche. Il part doucement vers sa victime quand il en est empêché par un problème interne : il bande. Quand Hercule bande, son unique vêlement se soulève, montrant toute la queue et ses couilles. Charron lui fait la remarquer qui lui plait : il a une belle bite. Il la lui pend même dans sa main froide. Il y a longtemps qu’il n’a pas eu de queue comme le sienne. Alors il donne son anus : il ne possède plus de bite depuis son arrivée en qualité de concierge de cet immense cimetière.
Il est des choses à ne pas proposer à Hercule : une sodomie a toujours son charme. Cette fois, ayant affaire à une sommité il rend des précautions. Sa queue, même dure se fait douce quand elle est sur l’entrée fragile. Il entre son gland, doucement, Les chairs s’écartent lentement : l’enculé donne de la voie quand il sent monter son plaisir. Il hurle quand Hercule met tout son vit dans son cul. Hercule jouit d’un seul coup : il a presque tout donné à sa compagne. Et puis les hurlements de Cerbère dérangent tous les morts.
Muni de sa massue, Hercule comment à tambouriner l’animal. Il répond par de légères morsures, son pelage de serpent en fait autant. Il attrape Cerbère par la queue, le fait voltiger, le fait tomber : il n’a plus un seul serpent autour de lui. Il étrangle de chien qui essaie encore de mordre. La blouse tombe, Hercule est nu, il bande encore. De peur le chien en meurt ne voulant pas subir les foudres de la queue d’Hercule qui lève les bras en ciel en preuve de victoire, comme tarzan dans certains épisodes.
Olympe lui fait savoir qu’il est libre de faire ce qu’il veut : il est licencié pour interprétation des ordres (un licenciement abusif certain (un tribunal du travail condamnerait l’Olympe) Mais seul, sans soutient du syndicat des travailleurs associés de l’Olympe, il ne peut compter sur personne, sinon sa naïade qui le console longtemps avec son sexe, sa bouche et préféré d’Hercule, son cul.
Depuis mis à part son nom célèbre, personne n’entend plus parler de note héros à nous, même pas aux info de TF1 (à dire vrai je ne regarde jamais cette télé de maçon, pour les infos, j’ai I télé ou BFM)...