Travaux d'Hercule - 13 !
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'Hercule - 13 !
Le 13° travail d’Hercule.
Remue ménage dans l’Olympe .Le grand patron Zeus en personne a envie de foie gras.
Qui sait ce qu’est ce machin ? Qui est capable d’aller en chercher à l’épicerie du coin à droite en descendant (pas à gauche où réside une fille baptisée à tord de « facile »). Le volontaire est désigné : Hercule. Il n’est pas d’accord, il a fait ses 12 travaux, il est en repos, en RTT. Mais le chef commande, il faut obéir. Tout Olympe est mobilisé à la recherche de cette chose inconnue. Apollon, qui fait le tour de la terre en 24 heures a vaguement entendu parler de cette truc en survolant un endroit défini comme le Sud Ouest. Hercule est muni d’un panier en osier(les sacs plastique n’existaient pas encore). Il consulte encore Apollon qui le met en garde des fleuves comme le Danube, le Rhin, le Rhône, la Garonne. Le Gers (d’accord ce n’est pas un fleuve, c’est sur sa route).
Voilà donc Hercule vêtu de sa tunique toujours aussi grade et vague. Il fait un détour par le cap d’Agde où on lui a dit qu’il y aurait de belles naïades. C’est sans doute la mauvaise saison, mis à par un restaurant qui sert des produits de la mer, personne n’est là. Il continu son chemin, il voit au passage des maçons construisent une drôle de grande maison à Carcassonne (à quoi ça servira ?). Il continu, assomme quelques gens qui ne lui reviennent pas. Enfin il voit de loin une Gasconne. Il espérait voir une femme totalement nue dans ces régions sauvages ! Cette indigène porte sur elle, devant un drôle de tablier bleu marine qui arrive à mi cuisses. Chic pense Hercule, une femme presque nue, je vais me la payer (C’était le style de l’époque préhellénique de se payer une femme pour lui faire l’amour). Il s’approche sur la pointe des pieds pour ne pas éveiller les soupçons de la belle (il suppose qu’elle est belle). Mais l’indigénat donne des instincts de protection. Elle voir Hercule, elle voit ce qui est le plus visible : un service trois pièces impressionnant sous la tunique. Indigène ou pas, elle est étonnée de cette grosseur au repos.
Elle veut voir la queue quand elle est développée pour, le cas échéant se faire un peu baiser (Elle a pourtant baisé la nuit dernière avec le fils de la voisine qui…Ca ne nous regarde plus) Bref une séance de bite ne nuit jamais à la santé, au contraire puisque dans certains cas ça fait grossir les dames mariées. Alors d’un geste rapide, elle soulève le vêtement. Surprise : une grosse bite du style grosse bite dans un sexe shop. Elle en a peur : les indigènes du Sud Ouest avaient peur d’un rien, avoir peur de la bite d’Hercule ? En plus elles ne pensent qu’à ça. Pourtant après une rapide réflexion, la pré gauloise prend la queue d’Hercule dans sa main gauche. (Pendre une bite dans la main droite porte malheur la première fois, proverbe de l’endroit peu connu, le proverbe pas l’endroit). Elle fait ce que toutes femmes bien élevée par sa mère fait : elle la secoue un peu pour faire tomber les insectes piqueur de l’antiquité.
Le mouvement, poli au début se détourne vite, il devient canaille. C’est qu’Hercule sais comment transformer un geste d’humanité en geste sexuel. Un simple regard transforme la jeune femme (mille excuse j’avais omis de donné son âge). Elle devient folle de désir pour la première fois de sa vie. Elle se déchaîne autour de cette queue miraculeuse. Elle ne la masturbe pas, elle ne la prend pas dans son corps d’ex vierge, elle la lui bouffe : elle sait qu’elle va lui donner un bon lait chaud. Elle n’est pas déçue quand elle reçoit d’un organe en extension une bonne bouchée de sperme. C’est bon, elle en veut encore , mais pas là. Elle se retourne, donne son cul à lécher. Hercule aime bien les culs, alors sa langue sait quoi faire, elle lèche un instant avant d’entrer sans frapper dans l’anus. La fille jouit pour sa deuxième fois. Elle se retourne quand la queue d’Hercule est présente pour lui ouvrir le coffre à orgasme. Elle jouit un peu avant lui. Quand il sort sa biite du con, elle la lui lèche pour qu’il soit bien propre. Elle récupère tout, cyprine, foutre…
Ce n’est qu’à ce moment qu’Hercule pense au foie gras. Il demande poliment à l’indigène qui en a plein ses placard, en vue de la vente vers le nord, vers une ville nommée Parisis. Hercule remplit son petit panier de fois gras en bocal stérilisés.
Trois mois après il est de retour à Olympe où Zeus ne veut plus de fois, ni maigre ni gras. Les quelques neurones se concertent dans le crane d’Hercule qui jette le tout dans le Styx.
Remue ménage dans l’Olympe .Le grand patron Zeus en personne a envie de foie gras.
Qui sait ce qu’est ce machin ? Qui est capable d’aller en chercher à l’épicerie du coin à droite en descendant (pas à gauche où réside une fille baptisée à tord de « facile »). Le volontaire est désigné : Hercule. Il n’est pas d’accord, il a fait ses 12 travaux, il est en repos, en RTT. Mais le chef commande, il faut obéir. Tout Olympe est mobilisé à la recherche de cette chose inconnue. Apollon, qui fait le tour de la terre en 24 heures a vaguement entendu parler de cette truc en survolant un endroit défini comme le Sud Ouest. Hercule est muni d’un panier en osier(les sacs plastique n’existaient pas encore). Il consulte encore Apollon qui le met en garde des fleuves comme le Danube, le Rhin, le Rhône, la Garonne. Le Gers (d’accord ce n’est pas un fleuve, c’est sur sa route).
Voilà donc Hercule vêtu de sa tunique toujours aussi grade et vague. Il fait un détour par le cap d’Agde où on lui a dit qu’il y aurait de belles naïades. C’est sans doute la mauvaise saison, mis à par un restaurant qui sert des produits de la mer, personne n’est là. Il continu son chemin, il voit au passage des maçons construisent une drôle de grande maison à Carcassonne (à quoi ça servira ?). Il continu, assomme quelques gens qui ne lui reviennent pas. Enfin il voit de loin une Gasconne. Il espérait voir une femme totalement nue dans ces régions sauvages ! Cette indigène porte sur elle, devant un drôle de tablier bleu marine qui arrive à mi cuisses. Chic pense Hercule, une femme presque nue, je vais me la payer (C’était le style de l’époque préhellénique de se payer une femme pour lui faire l’amour). Il s’approche sur la pointe des pieds pour ne pas éveiller les soupçons de la belle (il suppose qu’elle est belle). Mais l’indigénat donne des instincts de protection. Elle voir Hercule, elle voit ce qui est le plus visible : un service trois pièces impressionnant sous la tunique. Indigène ou pas, elle est étonnée de cette grosseur au repos.
Elle veut voir la queue quand elle est développée pour, le cas échéant se faire un peu baiser (Elle a pourtant baisé la nuit dernière avec le fils de la voisine qui…Ca ne nous regarde plus) Bref une séance de bite ne nuit jamais à la santé, au contraire puisque dans certains cas ça fait grossir les dames mariées. Alors d’un geste rapide, elle soulève le vêtement. Surprise : une grosse bite du style grosse bite dans un sexe shop. Elle en a peur : les indigènes du Sud Ouest avaient peur d’un rien, avoir peur de la bite d’Hercule ? En plus elles ne pensent qu’à ça. Pourtant après une rapide réflexion, la pré gauloise prend la queue d’Hercule dans sa main gauche. (Pendre une bite dans la main droite porte malheur la première fois, proverbe de l’endroit peu connu, le proverbe pas l’endroit). Elle fait ce que toutes femmes bien élevée par sa mère fait : elle la secoue un peu pour faire tomber les insectes piqueur de l’antiquité.
Le mouvement, poli au début se détourne vite, il devient canaille. C’est qu’Hercule sais comment transformer un geste d’humanité en geste sexuel. Un simple regard transforme la jeune femme (mille excuse j’avais omis de donné son âge). Elle devient folle de désir pour la première fois de sa vie. Elle se déchaîne autour de cette queue miraculeuse. Elle ne la masturbe pas, elle ne la prend pas dans son corps d’ex vierge, elle la lui bouffe : elle sait qu’elle va lui donner un bon lait chaud. Elle n’est pas déçue quand elle reçoit d’un organe en extension une bonne bouchée de sperme. C’est bon, elle en veut encore , mais pas là. Elle se retourne, donne son cul à lécher. Hercule aime bien les culs, alors sa langue sait quoi faire, elle lèche un instant avant d’entrer sans frapper dans l’anus. La fille jouit pour sa deuxième fois. Elle se retourne quand la queue d’Hercule est présente pour lui ouvrir le coffre à orgasme. Elle jouit un peu avant lui. Quand il sort sa biite du con, elle la lui lèche pour qu’il soit bien propre. Elle récupère tout, cyprine, foutre…
Ce n’est qu’à ce moment qu’Hercule pense au foie gras. Il demande poliment à l’indigène qui en a plein ses placard, en vue de la vente vers le nord, vers une ville nommée Parisis. Hercule remplit son petit panier de fois gras en bocal stérilisés.
Trois mois après il est de retour à Olympe où Zeus ne veut plus de fois, ni maigre ni gras. Les quelques neurones se concertent dans le crane d’Hercule qui jette le tout dans le Styx.
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