Travaux d'Hercule - 5 -
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Travaux d'Hercule - 5 -
Le 5° travail n’est pas simple. Il faut à Hercule nettoyer des écuries. Pas n’importe les quelles : celle d’Augias. C’est laborieux et dégradant pour notre pauvre héros. Mais il lui faut obéir aux ordres venus de là haut (suivez mon regard). Avant de commencer le nettoyage, Hercule tente de marchander ses services à Augias qui nie avoir promis sa fille en mariage à Hercule. Il l’aurait déjà promise à un centaure : Eurytion.
Tenu de nettoyer les écuries couvertes de plus de 2 mètres de bouses, Hercule détourne deux cours d’eau voisins à grand coup de massue : l’eau passe dans les écuries, enlève tout vestige de saleté.
Vexé des paroles non tenues d'Augias en ce qui concerne sa fille, Hercule s’adresse à un copain du coin : Dexaméros. Il lui demande d’empêcher le mariage honteux. Autant unir la fille à un cheval ! Hercule n’aime pas du tout les centaures. Aussi en pleine cérémonie, il écrase sa massue sur la tête du centaure prétendant obtenir la main de la fille. (Je sais c’est compliqué : je n’y peux rien. Les grecs avaient la possibilité de faire simple, je suis leurs histoires. Ca ne vous ferez pas de mal d’appendre un peu de mythologie, au lieu de vous obstiner à lire des histoires de cul !)
Son travail et son écrasement de tête terminé, Hercule demande la fille, d’autant plus qu’elle est belle, à regarder, à écouter chanter, qui sait tenir une maison. Romantique pour une fois, Hercule s’incline devant l’ex du centaure.
- Veux-tu venir avec moi dans la chambre derrière pour tirer un coup ?
Il reçoit une magistrale gifle. Il ne comprend pas pourquoi : il a bien demandé avant l’autorisation à la fille ! Ce n’est pas de sa faute s’il faut attendre la réponse ! Le copain, Dexaménos, auquel il se plaint lui demande s’il n’a pas oublié les convenances.
Convenances : un mot qui ne rit rien à Hercule : à Olympe ce mot ne veut rien dire surtout à Zeus qui arrive à ce transformer en n’importe quoi pour baiser celle qui lui plait (Léda par exemple, lui déguisé en cygne. Tu parles d’une mortelle qui se laisse baiser par un oiseau ? ou d’une excuse pour éviter de parler de son amant régulier)
Enfin Hercule doit se plier aux convenances humaines. Il demande plus poliment, en lui faisant des compliments (qu’elle est belle, qu’elle doit être bonne à baiser pour un demi-dieu, qu’elle doit en remontrer à Aphrodite (déesse de l’amour et des plaisirs). A cette époque comme maintenant les femmes sont sensibles à ce genre de fadaises. Et oui être comparée à la déesse du plaisir est gratifiant.
L’ex promise au centaure est flattée quand elle se sait désirée, pas par n’importe qui : par un demi-dieu qui d’après ce qu’on en dit est bien monté. Elle ne demande qu’à voir une belle bite si elle peut se l’approprier au moins pour un instant intime.
Sous la tunique vague d’Hercule, elle peut voir une partie de son charme. Il est vachement bien monté avec sa queue longue, grosse, trop pour certaines. D’autres en ont fait leur quatre heures. On dit aussi (peut t’on croire à tous les on dits) que sa semence est très bonne quand on l’avale pour une foule de maladies. Seul endroit à éviter : le petit trou : Hercule y est trop gros.
Elle est à jeun, elle n’a pas touché de bite depuis qu’elle était avec son centaure. Mais là, voir une queue immense, plus que les autres lui donne des envies au ventre. Tant pis si elle est grosse, même trop grosse, elle la veut dans son tout petit trou. Elle sait d’avance qu’elle le digèrera facilement.
Elle fait tant et si bien qu’elle attire Hercule qui la voulait déjà. Mais lui donner directement son cul : cocagne pour lui qui n’a jamais pu satisfaire son envie ailleurs qu’à Olympe (et encore avec le très accommodant Dionysos). Elle se fait chatte en se frottant longuement à lui. Avant d’essayer avec son anus, elle prend la pine, la découvre, la branle un peu : elle reste grosse ; imposante. Hercule bande encore un peu. Elle se décide à le masturber avant, pour qu’il jouisse plus vite. Sa main fait à peine le tour de la queue. Pour Hercule c’est plus qu’agréable. Il ne subit pas, il déguste la masturbation : ces mortelles sont scandaleusement douées pour la masturbation, mieux que certaines déesses.
Elle se penche en avant, soucieuse de ne pas avoir trop mal. Il pose sa bite après avoir franchi le col des fesses. Il sent bien l’anus, il se prépare à entrer. Il hésite à tort. C’est elle qui le fait venir dans son cul : elle pousse un grand cri de douleur puis elle gémit de plaisir. Hercule ne fait plus grand-chose. On pourrait dire que c’est lui qui subit le rythme de la mortelle. Il jouit dans le cul : trop de sperme. Le reste s’écoule doucement du cul entre les jambes de la mortelle. Hercule a jouit comme il le voulait. Son corps part dans une nuée vers Olympe.
La mortelle, toujours dans sa bulle d’orgasme se masturbe encore une fois.
Tenu de nettoyer les écuries couvertes de plus de 2 mètres de bouses, Hercule détourne deux cours d’eau voisins à grand coup de massue : l’eau passe dans les écuries, enlève tout vestige de saleté.
Vexé des paroles non tenues d'Augias en ce qui concerne sa fille, Hercule s’adresse à un copain du coin : Dexaméros. Il lui demande d’empêcher le mariage honteux. Autant unir la fille à un cheval ! Hercule n’aime pas du tout les centaures. Aussi en pleine cérémonie, il écrase sa massue sur la tête du centaure prétendant obtenir la main de la fille. (Je sais c’est compliqué : je n’y peux rien. Les grecs avaient la possibilité de faire simple, je suis leurs histoires. Ca ne vous ferez pas de mal d’appendre un peu de mythologie, au lieu de vous obstiner à lire des histoires de cul !)
Son travail et son écrasement de tête terminé, Hercule demande la fille, d’autant plus qu’elle est belle, à regarder, à écouter chanter, qui sait tenir une maison. Romantique pour une fois, Hercule s’incline devant l’ex du centaure.
- Veux-tu venir avec moi dans la chambre derrière pour tirer un coup ?
Il reçoit une magistrale gifle. Il ne comprend pas pourquoi : il a bien demandé avant l’autorisation à la fille ! Ce n’est pas de sa faute s’il faut attendre la réponse ! Le copain, Dexaménos, auquel il se plaint lui demande s’il n’a pas oublié les convenances.
Convenances : un mot qui ne rit rien à Hercule : à Olympe ce mot ne veut rien dire surtout à Zeus qui arrive à ce transformer en n’importe quoi pour baiser celle qui lui plait (Léda par exemple, lui déguisé en cygne. Tu parles d’une mortelle qui se laisse baiser par un oiseau ? ou d’une excuse pour éviter de parler de son amant régulier)
Enfin Hercule doit se plier aux convenances humaines. Il demande plus poliment, en lui faisant des compliments (qu’elle est belle, qu’elle doit être bonne à baiser pour un demi-dieu, qu’elle doit en remontrer à Aphrodite (déesse de l’amour et des plaisirs). A cette époque comme maintenant les femmes sont sensibles à ce genre de fadaises. Et oui être comparée à la déesse du plaisir est gratifiant.
L’ex promise au centaure est flattée quand elle se sait désirée, pas par n’importe qui : par un demi-dieu qui d’après ce qu’on en dit est bien monté. Elle ne demande qu’à voir une belle bite si elle peut se l’approprier au moins pour un instant intime.
Sous la tunique vague d’Hercule, elle peut voir une partie de son charme. Il est vachement bien monté avec sa queue longue, grosse, trop pour certaines. D’autres en ont fait leur quatre heures. On dit aussi (peut t’on croire à tous les on dits) que sa semence est très bonne quand on l’avale pour une foule de maladies. Seul endroit à éviter : le petit trou : Hercule y est trop gros.
Elle est à jeun, elle n’a pas touché de bite depuis qu’elle était avec son centaure. Mais là, voir une queue immense, plus que les autres lui donne des envies au ventre. Tant pis si elle est grosse, même trop grosse, elle la veut dans son tout petit trou. Elle sait d’avance qu’elle le digèrera facilement.
Elle fait tant et si bien qu’elle attire Hercule qui la voulait déjà. Mais lui donner directement son cul : cocagne pour lui qui n’a jamais pu satisfaire son envie ailleurs qu’à Olympe (et encore avec le très accommodant Dionysos). Elle se fait chatte en se frottant longuement à lui. Avant d’essayer avec son anus, elle prend la pine, la découvre, la branle un peu : elle reste grosse ; imposante. Hercule bande encore un peu. Elle se décide à le masturber avant, pour qu’il jouisse plus vite. Sa main fait à peine le tour de la queue. Pour Hercule c’est plus qu’agréable. Il ne subit pas, il déguste la masturbation : ces mortelles sont scandaleusement douées pour la masturbation, mieux que certaines déesses.
Elle se penche en avant, soucieuse de ne pas avoir trop mal. Il pose sa bite après avoir franchi le col des fesses. Il sent bien l’anus, il se prépare à entrer. Il hésite à tort. C’est elle qui le fait venir dans son cul : elle pousse un grand cri de douleur puis elle gémit de plaisir. Hercule ne fait plus grand-chose. On pourrait dire que c’est lui qui subit le rythme de la mortelle. Il jouit dans le cul : trop de sperme. Le reste s’écoule doucement du cul entre les jambes de la mortelle. Hercule a jouit comme il le voulait. Son corps part dans une nuée vers Olympe.
La mortelle, toujours dans sa bulle d’orgasme se masturbe encore une fois.
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