TRAVAUX DE PEINTURE 2
Récit érotique écrit par Misn1 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TRAVAUX DE PEINTURE 2
Depuis 1 semaine la peinture des volets avance plutôt rapidement ; Côté sexe, pourtant, rien de nouveau depuis le chaud et premier ‘épisode’ quand Chantal a surpris mes bonnes branlettes solitaires dans l’appentis. Mes craintes - car je viens de me marier et n’en a rien dit à mon épouse – ou plutôt mon désir secret - de remettre cela - ne vont pourtant, pas tarder à se confirmer ... Ce job n’est pas génial, mais au moins, il me permet d’arrondir mes fins de mois, tout en joignant l’utile à l’agréable. J’adore baiser la patronne, alors pourquoi ne pas remettre cela ? D’autant plus que la réaction du patron me semble équivoque : je vois bien que les écarts de Madame ne le dérange pas plus que cela, par ailleurs il se cache de moins en moins pour sortir sa queue épaisse et pisser contre le cerisier face à l’atelier …
Ce mercredi, le soleil tape encore plus fort que d’habitude, l’été est caniculaire et sous ma salopette je suis vraiment en ‘eau’. La sueur perle de mon torse, se mélange à mes poils, à la poussière et tout cela dégouline jusqu’à la raie de mon cul, mes fesses, mon ventre et jusque dans l’aine. Ces suées me donnent la sensation d’avoir un chibre sale et trempé en permanence. En plus, les mouvements rapides de vas et viens pour décaper les volets m’échauffent les muscles et me montent ‘en tension’ : putain que j’ai envie de frotter et fourailler, et pas seulement ces putains de volets !
Bref, malgré la chaleur, j’ai de plus en plus envie de baiser n’importe quel trou qui passe.
Et pourtant, je dégage une odeur bien mâle et pue sans doute plus encore que Pâto, le chien du patron qui a, dorénavant, pris l’habitude de me tenir compagnie et m’observer avec insistance lors de mes ’pauses’ branlettes…Je pense d’ailleurs qu’il doit, dans son instinct animal, y prendre également du plaisir, le coquin, car lorsque j’étouffe mes râles lors de mes éjaculations, il grogne gentiment ou halète en tirant sa langue rose
Je ne peux pas rester comme ça, en salopette, trempé. Du coup, je me change dans l’atelier pour n’enfiler qu’un short de foot un peu trop petit. Au moins, je suis plus à l’aise, même si j’ai les burnes moulées et la queue un peu trop volumineuse sous le nylon qui me caresse la peau du gland et me fout la gaule. Bref, je ne peux pas cacher mon plaisir, et je bande en permanence ; Mon short, gonflé par ma queue, forme une bosse avantageuse, et cela se voit si j’ose dire, comme un nez au milieu de la figure...Si seulement j’étais pas seul dans cet atelier, je pourrai décharger.
Ma solitude ne dure pas en effet, à croire, qu’il y a toujours quelqu’un pour me mater par le trou de la serrure, et entrer au bon moment, car juste après m’être foutu à poil et changé, le couple, Monsieur et madame cette fois-ci, entrent dans l’atelier :
-Mon p’tit gars, me dis papy Georges, tu vas faire plaisir à Chantal, mais cette fois-ci je serai au spectacle... T’as besoin de vidanger ton dars, alors ne te gênes surtout pas… Tu vas bien m’exciter si tu montes bien Chantal, d’autant plus qu’elle a une de ces envies depuis que tu l’as bourrinée! Mon coco, t’es de la campagne, toi aussi, alors prends la sur la brouette !!!
Je n’ai pas froid aux yeux, il faut dire d’ailleurs que quelques années auparavant j’ai déjà partouzé… Mais là, dans cet appentis… avec ces personnes âgées qui me paressaient si sages ...Cela me surprend, mais après tout, pourquoi gâcher mon plaisir ? Et avant que j’ai le temps de dire ouf, Chantal s’installe déjà sur la brouette, à 4 pattes, son cul grassouillet et ferme, présenté tout à moi. La vue, à hauteur est imprenable, les lèvres sont luisantes et chaudes un peu béantes, son cul serré est en manque de moi, je le sais, ses 2 trous n’attendent que mon assaut.
Je suis, si j’ose dire, pris ‘à froid’, d’autant plus que Georges est dans l’atelier, mais tout cela m’excite terriblement, et mon short, trop étroit, ne peut d’ailleurs plus contenir mon érection en l’état, trop avide de baiser ce cul offert... Prestement, du coup, je n’ai plus qu’à baisser ce slip en nylon sur mes chevilles et sortir ma queue bien raide et mouillée pour ajuster mon tir à l’entrée du cul.
Je presse fermement ma tige, et prends maintenant mon pied à la frotter sur le cul et la chatte de Chantal, oubliant déjà le patron … Ah, que c’est délicieux et bon ! Parfois, histoire de la faire grimper aux rideaux, j’entre et puis je sors juste un peu mon gland, un coup dans l’gros trou, un coup dans le p’tit… mais pas de toute ma longueur... J’adore faire languir et patienter un peu mes partenaires, rester longtemps dans le ‘vestibule’ … Georges, finalement, n’est pas en reste, et s’est foutu derrière moi, pour mâter le spectacle par-dessus mon épaule. Il est si proche de mes fesses et mon dos, que je sens sa main s’activer rapidement sur son chibre, tout en m’encourageant, en me chuchotant à l’oreille :
Vas-y p’tit gars, mouilles là bien, excites-là, enfonces lui un doigt dans le cul, bien … Roules lui une pelle maintenant, caresses ses seins, couches toi sur elle, plus vite, voilà, comme ça, …
En me retournant, je me suis rendu compte qu’il s’est, lui aussi, dégrafé la braguette ;
Sa queue, épaisse, large et doté d’une grosse veine sur le dessus, sans être très longue, bande pourtant très fort pour quelqu’un de son âge. Cela me rassure : la vieillesse a du bon !
Le patron a bien droit, lui aussi, à sa petit gâterie avec la patronne...Je lui fais donc signe de s’installer derrière la brouette pour qu’elle lui taille une pipe face à lui, alors que moi, de mon côté, je commence à pénétrer et explorer son volcan, sa grotte humide et son incandescence.
Celle-ci est aux anges, et encourage son mari à lui occuper la bouche en tirant la langue !
Décidemment, la patronne adore ma queue et en redemande… Aux mouvements de son cul, balançant d’avant en arrière, je sens bien qu’elle veut enfourner ma bite sur toute sa longueur, je me retiens, enfonce ma tige jusqu’au frein, pas complètement. J’aime voir ma verge rester en dehors et gonfler, ou encore être bien serré dans le fourreau chaud. Chantal n’y tient plus, et cette fois-ci c’est Georges qui m’encourage encore :
-Ta queue, maintenant, bourres jusqu’à la garde, bourrines mon gars et après encules ! T’es pas là pour rester les doigts dans ton cul ! Tu seras bien récompensé si t’es un bon coup, et n’oublies pas que c’est nous les patrons ! Obéis aux ordres !
Comment refuser un ordre de mon boss? Surtout quand il s’agit de se faire plaisir et que les heures sont payés … Alors, je m’exécute et, d’un grand coup droit, j’enfourne mon sabre veineux et nerveux jusqu’à la garde, puis après quelques saillies bien rudes et bien appuyées, je change de ‘route’ et prend un chemin beaucoup plus étroit en forçant la rondelle étroite et humide . Quel délice ! C’est si serré…J’ai l’impression qu’un garrot invisible, dans ce trou chaud et humide, m’aspire encore plus profondément le jus, me serre encore plus le gland. Là, je force vraiment le passage étroit de Chantal, en force d’un seul coup de rein puissant, qui la pousse vers l’avant.
A cet instant, elle n’a pas la queue en bouche, entre les lèvres, et celle-ci hurle de la douleur et du plaisir mêlés. Georges, toujours en face de moi, ré-enfourne son gros organe et s’active frénétiquement dans la bouche de sa femme. Mais cela ne dure pas, n’en pouvant plus, il se met à gueuler lui aussi, la tête en arrière :
-Salope, avale tout maintenant ! Finis de la tailler cette pipe !!
Chantal, ne le lâche rien, fidèle au poste, et au rythme d’un métronome, elle suce en cadence. Au moment propice, enfin, elle saisit simplement les couilles de la main droite, en les pressant doucement. Georges décharge 5 ou 6 fois son sperme …Elle avale, sans en perdre une goute, alors même que les éjaculations n’en finissent pas. Lui, jouit encore et prostré, prononce des bribes de mots, j’ai peur qu’il perde connaissance, mais c’est un vrai jouisseur !
Mes allers retours me chauffent sérieusement le bas ventre, je sens monter ma sève, j’ai du mal à me retenir et je n’en peux plus, mon cœur bat la chamade, alors ils m’encouragent ensemble : -A toi maintenant !
Alors je décharge dans le fion toujours serré. Enfoncé jusqu’à la garde, bien profondément, je sens mon gland chaud, cracher toute mon énergie et toute ma tension dans l’abime poilu et noir, infini et doux. Epuisés nous sommes, mais tellement détendus… Du coup, après notre ‘récréation’, mes patrons m’accordent le reste de la journée. Ils me sont vraiment sympathiques tous les 2, d’ailleurs quelques jours plus tard, lors de la fin des travaux, je ne tarderai pas à m’apercevoir de la surprise qu’ils mon concoctée…
Ce mercredi, le soleil tape encore plus fort que d’habitude, l’été est caniculaire et sous ma salopette je suis vraiment en ‘eau’. La sueur perle de mon torse, se mélange à mes poils, à la poussière et tout cela dégouline jusqu’à la raie de mon cul, mes fesses, mon ventre et jusque dans l’aine. Ces suées me donnent la sensation d’avoir un chibre sale et trempé en permanence. En plus, les mouvements rapides de vas et viens pour décaper les volets m’échauffent les muscles et me montent ‘en tension’ : putain que j’ai envie de frotter et fourailler, et pas seulement ces putains de volets !
Bref, malgré la chaleur, j’ai de plus en plus envie de baiser n’importe quel trou qui passe.
Et pourtant, je dégage une odeur bien mâle et pue sans doute plus encore que Pâto, le chien du patron qui a, dorénavant, pris l’habitude de me tenir compagnie et m’observer avec insistance lors de mes ’pauses’ branlettes…Je pense d’ailleurs qu’il doit, dans son instinct animal, y prendre également du plaisir, le coquin, car lorsque j’étouffe mes râles lors de mes éjaculations, il grogne gentiment ou halète en tirant sa langue rose
Je ne peux pas rester comme ça, en salopette, trempé. Du coup, je me change dans l’atelier pour n’enfiler qu’un short de foot un peu trop petit. Au moins, je suis plus à l’aise, même si j’ai les burnes moulées et la queue un peu trop volumineuse sous le nylon qui me caresse la peau du gland et me fout la gaule. Bref, je ne peux pas cacher mon plaisir, et je bande en permanence ; Mon short, gonflé par ma queue, forme une bosse avantageuse, et cela se voit si j’ose dire, comme un nez au milieu de la figure...Si seulement j’étais pas seul dans cet atelier, je pourrai décharger.
Ma solitude ne dure pas en effet, à croire, qu’il y a toujours quelqu’un pour me mater par le trou de la serrure, et entrer au bon moment, car juste après m’être foutu à poil et changé, le couple, Monsieur et madame cette fois-ci, entrent dans l’atelier :
-Mon p’tit gars, me dis papy Georges, tu vas faire plaisir à Chantal, mais cette fois-ci je serai au spectacle... T’as besoin de vidanger ton dars, alors ne te gênes surtout pas… Tu vas bien m’exciter si tu montes bien Chantal, d’autant plus qu’elle a une de ces envies depuis que tu l’as bourrinée! Mon coco, t’es de la campagne, toi aussi, alors prends la sur la brouette !!!
Je n’ai pas froid aux yeux, il faut dire d’ailleurs que quelques années auparavant j’ai déjà partouzé… Mais là, dans cet appentis… avec ces personnes âgées qui me paressaient si sages ...Cela me surprend, mais après tout, pourquoi gâcher mon plaisir ? Et avant que j’ai le temps de dire ouf, Chantal s’installe déjà sur la brouette, à 4 pattes, son cul grassouillet et ferme, présenté tout à moi. La vue, à hauteur est imprenable, les lèvres sont luisantes et chaudes un peu béantes, son cul serré est en manque de moi, je le sais, ses 2 trous n’attendent que mon assaut.
Je suis, si j’ose dire, pris ‘à froid’, d’autant plus que Georges est dans l’atelier, mais tout cela m’excite terriblement, et mon short, trop étroit, ne peut d’ailleurs plus contenir mon érection en l’état, trop avide de baiser ce cul offert... Prestement, du coup, je n’ai plus qu’à baisser ce slip en nylon sur mes chevilles et sortir ma queue bien raide et mouillée pour ajuster mon tir à l’entrée du cul.
Je presse fermement ma tige, et prends maintenant mon pied à la frotter sur le cul et la chatte de Chantal, oubliant déjà le patron … Ah, que c’est délicieux et bon ! Parfois, histoire de la faire grimper aux rideaux, j’entre et puis je sors juste un peu mon gland, un coup dans l’gros trou, un coup dans le p’tit… mais pas de toute ma longueur... J’adore faire languir et patienter un peu mes partenaires, rester longtemps dans le ‘vestibule’ … Georges, finalement, n’est pas en reste, et s’est foutu derrière moi, pour mâter le spectacle par-dessus mon épaule. Il est si proche de mes fesses et mon dos, que je sens sa main s’activer rapidement sur son chibre, tout en m’encourageant, en me chuchotant à l’oreille :
Vas-y p’tit gars, mouilles là bien, excites-là, enfonces lui un doigt dans le cul, bien … Roules lui une pelle maintenant, caresses ses seins, couches toi sur elle, plus vite, voilà, comme ça, …
En me retournant, je me suis rendu compte qu’il s’est, lui aussi, dégrafé la braguette ;
Sa queue, épaisse, large et doté d’une grosse veine sur le dessus, sans être très longue, bande pourtant très fort pour quelqu’un de son âge. Cela me rassure : la vieillesse a du bon !
Le patron a bien droit, lui aussi, à sa petit gâterie avec la patronne...Je lui fais donc signe de s’installer derrière la brouette pour qu’elle lui taille une pipe face à lui, alors que moi, de mon côté, je commence à pénétrer et explorer son volcan, sa grotte humide et son incandescence.
Celle-ci est aux anges, et encourage son mari à lui occuper la bouche en tirant la langue !
Décidemment, la patronne adore ma queue et en redemande… Aux mouvements de son cul, balançant d’avant en arrière, je sens bien qu’elle veut enfourner ma bite sur toute sa longueur, je me retiens, enfonce ma tige jusqu’au frein, pas complètement. J’aime voir ma verge rester en dehors et gonfler, ou encore être bien serré dans le fourreau chaud. Chantal n’y tient plus, et cette fois-ci c’est Georges qui m’encourage encore :
-Ta queue, maintenant, bourres jusqu’à la garde, bourrines mon gars et après encules ! T’es pas là pour rester les doigts dans ton cul ! Tu seras bien récompensé si t’es un bon coup, et n’oublies pas que c’est nous les patrons ! Obéis aux ordres !
Comment refuser un ordre de mon boss? Surtout quand il s’agit de se faire plaisir et que les heures sont payés … Alors, je m’exécute et, d’un grand coup droit, j’enfourne mon sabre veineux et nerveux jusqu’à la garde, puis après quelques saillies bien rudes et bien appuyées, je change de ‘route’ et prend un chemin beaucoup plus étroit en forçant la rondelle étroite et humide . Quel délice ! C’est si serré…J’ai l’impression qu’un garrot invisible, dans ce trou chaud et humide, m’aspire encore plus profondément le jus, me serre encore plus le gland. Là, je force vraiment le passage étroit de Chantal, en force d’un seul coup de rein puissant, qui la pousse vers l’avant.
A cet instant, elle n’a pas la queue en bouche, entre les lèvres, et celle-ci hurle de la douleur et du plaisir mêlés. Georges, toujours en face de moi, ré-enfourne son gros organe et s’active frénétiquement dans la bouche de sa femme. Mais cela ne dure pas, n’en pouvant plus, il se met à gueuler lui aussi, la tête en arrière :
-Salope, avale tout maintenant ! Finis de la tailler cette pipe !!
Chantal, ne le lâche rien, fidèle au poste, et au rythme d’un métronome, elle suce en cadence. Au moment propice, enfin, elle saisit simplement les couilles de la main droite, en les pressant doucement. Georges décharge 5 ou 6 fois son sperme …Elle avale, sans en perdre une goute, alors même que les éjaculations n’en finissent pas. Lui, jouit encore et prostré, prononce des bribes de mots, j’ai peur qu’il perde connaissance, mais c’est un vrai jouisseur !
Mes allers retours me chauffent sérieusement le bas ventre, je sens monter ma sève, j’ai du mal à me retenir et je n’en peux plus, mon cœur bat la chamade, alors ils m’encouragent ensemble : -A toi maintenant !
Alors je décharge dans le fion toujours serré. Enfoncé jusqu’à la garde, bien profondément, je sens mon gland chaud, cracher toute mon énergie et toute ma tension dans l’abime poilu et noir, infini et doux. Epuisés nous sommes, mais tellement détendus… Du coup, après notre ‘récréation’, mes patrons m’accordent le reste de la journée. Ils me sont vraiment sympathiques tous les 2, d’ailleurs quelques jours plus tard, lors de la fin des travaux, je ne tarderai pas à m’apercevoir de la surprise qu’ils mon concoctée…
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