Travaux Pratiques (suite)
Récit érotique écrit par Ghandar699 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Travaux Pratiques (suite)
Je ne sais pas si c’était heureux ou malheureux que Abdou le chauffeur nubien de mon père soit là, il fonça les yeux en me voyant arriver trainant les pieds et voyant la trainé de liquide qui ce déversait. Il m’aida à grimper près de lui, renifla l’air et mis le moteur en route, Abdou me posa la question à plusieurs reprises, je ne pouvais répondre tant j’étais fatigué. L’odeur du foutre se répandait dans la voiture.
En cours de route il me posa la question me demandant ce qui c’était passé mais sa question est restée sans réponse. Arrivé à la maison il m’aida à sortir de la voiture regarda la banquette, écœuré Abdou toucha avec les bouts de ses doigts cette trace moite de liquide qu’il porta à ses narines.
- Oh putain ça sent le foutre et la merde que c’était-t-il passé à l’école le frère t’as-t-il violé ? Ton père doit être informé, nous irons tous déposer une plainte à la gendarmerie puis à l’école.
Je regarde Abdou sans dire un mot, j’étais pris au piège, je ne pouvais pas le regarder droit dans les yeux. Je ne savais pas quoi faire, il fallait que je me débarrasse des traces que je gardais dans mes entrailles, entretemps je regardais vers le haut, je ne savais pas comment je pourrai grimper ces trois étages donc 90 marches ?? A force de me faire baiser je ne pouvais plus marcher, mon cul me brulait. Des gouttes de foutre continuaient à ruisseler entre mes jambes, je puais. Je ne pouvais pas rentrer chez moi dans cet état. Voyant mon état pitoyable, Abdou me proposa de gagner sa chambre située dans le petit jardin adjoint à notre bâtiment pour me rafraîchir et changer de vêtements.
- Je te propose d’aller dans ma chambre prendre une douche et te débarrasser de toute cette crasse avant de grimper chez toi. Tes parents font actuellement leur sieste, il est préférable que personne ne te voit pas dans cet état. Je vais chercher du linge propre. Tu vas m’attendre dans ma chambre sans bouger.
Je ne pouvais plus raisonner convenablement, je n’avais aucune autre solution. Docile, il prend ma main, me fait assoir sur la seule chaise disponible et prend congé m’assurant qu’il sera de retour dans les meilleurs délais. Je n’avais pas mis les pieds dans cette chambre depuis des années le décor n’avait pas changé depuis le départ de Hassan, notre ancien homme de maison.
Deux minutes plus tard Abdou revient emportant du linge propre, un short, un polo et une serviette. Avant de demander de me lever, il ferme la porte à clef et tire les rideaux.
- De cette manière personne ne pourra nous interrompre.
Abdou, me demanda de me lever, je commence à me déshabiller, il m’ordonne de m’arrêter, il veut me faire ce service, il me demande de me retourner et de lui donner le dos, de lever les bras vers le ciel et tout doucement il empoigne et me débarrasse du polo. Il est debout derrière moi quelques centimètres nous séparent. Je sens son souffle sur mes omoplates, ses mains caressent mon dos mis à nu, puis descendent doucement vers mes fesses. Docilement je me laisse faire comme un automate. Je ferme les yeux. Il insère ses doigts dans l’élastique de mon short et commence doucement à le pousser vers le bas.
- Pouah, merde, tu pues comme une grue ! Tu t’es fait violer par une dizaine ou quoi ?? Tu sens la merde, remercie le bon Dieu que tes parents fassent la sieste. Il faut nettoyer tout ça.
- Abdou personne ne doit savoir ce qui c’est passé, je te fais confiance Abdou.
- On en reparlera plus tard.
Cela dit, Abdou commence à retirer ma culote qui collait à mes fesses. Ses mains couvrent chaque centimètres mis à nu, il s’agenouille derrière moi, Je sens la chaleur de ses lèvres se poser sur la naissance de mes fesses ! Un frisson de chaleur couvre mon pauvre corps.
- Pouah, y a du foutre qui continue à se déverser de ton cul, ils ont versé des litres de foutre dans ton cul ou quoi, penche toi en avant, que je jette un coup d’œil sur ton anus.
Cela dit, cela fait. Je mets les mains sur le dos de la chaise et me courbe pour la énième fois dans la journée, je sens les doigts d’Abdou toucher les abords de mon anus.
- Tu as le cul bien ouvert mes doigts y glissent sans problème. Ah, le salaud il possède une pine d’âne ?
J’essaye de changer de position, mais avec autorité Abdou me retient.
- Attend, tu sais je ne savais pas que tu possédais un cul aussi arrondie, si beau avec une peau si douce, bon avant d’aller plus loin je vais te laver le cul, allez vient !!!
Abdou me prend par la main et me pousse sous un jet de douche fraiche. Au bout d’une minute le jet d’eau fraiche me remet sur pieds, il prend un tuyau flexible l’attache au robinet et le pointe sur mon anus. Je saute en l’air, une quantité d’eau s’infiltre dans mes entrailles me rappelant le lavement de la visite médicale. J’en ai plein le cul je saute sur la toilette et déverse une quantité d’eau jointe avec des traces de merde et de foutre.
Que c’est bon de se sentir propre !
Je ne me suis pas rendu compte qu’au cour de ces évènement Abdou s’était débarrassé de ses vêtements trempés par les jets d’eau. Pour la première fois je voyais sa pine. Une bite importante pendue entre ses cuisses. Oh mon Dieu Abdou ! Comme tous ses compatriotes habitant le Sud d’Egypte, Abdou était doté d’un serpent rampant entre ses pieds. J’en ai vu, touché, gouté et me suis empalé sur de nombreuses bites, mais je n’ai jamais vu une pareille en taille qu’en diamètre.
Je ne pouvais enlever mes yeux de ce monstre, il faisait plus de 30 cm la tête avait la grosseur d’une balle de tennis !!!
Abdou me pris par la main, m’entraina vers sa chambre, pris la serviette éponge en main et commença à essuyer mon corps prenant soin de bien essuyer le sillon qui séparait mes fesses, puis il me demanda de m’assoir sur le lit. Laissant trainer mes pieds par terre il me poussa pour me coucher sur le dos. Il commença à essuyer ma poitrine, descendit vers le bas vers mon nombril, ses attouchements se changèrent en caresses, devinrent de plus en plus lents quand ils approchèrent de ma bite qui commençait à bander. Je ferme mes yeux pour sentir au mieux les caresses d’Abdou, enfin il entoure ma verge avec la serviette éponge, commence des mouvements de bas en haut puis s’arrête. Je sens un fourreau chaud qui entoure ma bite. Abdou venait de prendre ma pine en bouche.
- Haaaaaa, nonnnnnnnn c’est trop, je n’en peux plus !
Sans s’arrêter, Abdou continuait à me pomper, je mis mes jambes sur ses épaules lui offrant sans le vouloir mes fesses et lui donnant libre accès à mon antre. Abdou laissa ma pine un instant puis la reprit, en même temps je sentis son doigt se faufiler dans mon pauvre cul soufrant.
Sans me laisser, Abdou me fait tourner sur le lit, il y grimpe, nous sommes allongés l’un sur l’autre, nos têtes reposent entre nos cuisses, nous prenons nos bites en bouche. Je me force d’ouvrir la bouche autant que possible, ma mâchoire me faisait mal tant la tête de sa bite était grosse.
Soudain Abdou s’arrête, me laisse, je l’entends bricoler dans sa petite cuisine, il revient un peu plus tard avec un baume dont il arrose une quantité abondante sur sa bite.
Aie, il est temps, Abdou veut et vas m’enculer.
Il me demande de mettre le cul en l’air. Effrayé, je regarde avec peur ce serpent qui est prêt à consommer sa proie. Il arrose mon cul avec une couche abondante de baume, insère un, deux, trois puis quatre doigts et les fait tourner me préparant ainsi à l’attaque. Il me demande de me tenir debout sur le lit, puis s’allonge sur le dos prenant sa pine en mains bien dressée et la tend à la verticale vers le ciel. Avec un signe de la tête il m’invite à m’empaler dessus.
J’avais vraiment la frousse, impossible même avec le traitement que m’avait accordé deux heures plus tôt frère Etienne, je ne pense pas que je pourrai accueillir ce serpent.
Debout sur le lit je regarde pour la première fois le corps splendide d’Abdou. Je place mes pieds de part et d’autre de son corps. Pour ne pas perdre d’équilibre j’attrape avec mes deux mains le dos du lit et m’apprête à faire descendre mon tronc vers ce phallus pointé vers le trou de mon cul. Je ferme les yeux pour ne pas voir ce phallus énorme dont la distance qui nous séparait diminuait à chaque seconde. A un certain moment de cette descente vers l’enfer de la jouissance ma pastille qui a subit les assauts du frère Etienne touche enfin une surface lisse, ferme et très chaude. Le plus facile est accompli, le plus difficile commence. Je ne veux pas perdre l'équilibre pour ne pas m’empaler et me faire déchiqueter le cul dans le sens propre du mot par cet énorme mat de chair. Je patiente quelques secondes au cours desquelles je sens Abdou avancer son ventre doucement vers le haut à la rencontre de ma pastille. Je me laisse descendre un centimètre je sens la tête de son membre qui ouvre mon passage intime.
Le baume facilite cette besogne difficile. Plus je descends, plus je sens mon antre s’ouvrir. C’est moi qui décide des règles du jeu, Abdou est patient il sait que son phallus est énorme et ne peut être accueillit que dans le con élargie d’une femme. (Il me raconta par la suite que plusieurs putes avaient refusé de coucher avec lui en voyant son monstre). Toujours les yeux fermés je continue ma descente, je pousse et ouvre mon sphincter au maximum. Deux centimètres de cette colonne de chair glissent et poussent les paroies internes de mon anus. La gravitation aidant et grâce à la couche de baume, le traitement matinal et la souplesse de mon sphincter, la tête conique et lisse s’infiltre et gagne du terrain. Avec un effort herculéen je mords sur les dents et je sens le nœud de la tête de cette énorme pine qui traverse le rempart et repose sur ma prostate. Suis-je fou ? Avec peine, je lâche le dos du lit et pose mes paumes sur la poitrine d’Abdou. Je prends les bouts de ses seins entre mon pouce et mon majeur et les pincent. Abdou qui ne s’attendait pas à une telle réaction poussa un Ahhhh en poussant son ventre vers le haut enfonçant en même temps la moitié de son phallus dans mon ventre. Je laisse ses seins et je me laisse glisser jusqu’au fond. Je suis maintenant assis sur le ventre d’Abdou.
Je ne peux croire que les paroies de mon cul et de mon sphincter encerclent ce monstre. Je reste deux ou trois minutes sans bouger empalé sur ce pilier de chair chaude pour m’y adapter. Je sens la tête de la pine d’Abdou enfoncée dans mon fondement arrivant au niveau de mon nombril. Je commence à bouger tout doucement, tirant sur les bras mes fesses quittent le ventre d’Abdou qui avance la tête à la rencontre de ma pine bien dressée en ouvrant la bouche m’invitant à l’y fourrer. Toujours serrant la pine d’Abdou dans mon cul j’enfonce la mienne dans ce fourreau disponible. J’entame des mouvements de vas et vient pour plusieurs minutes puis Abdou me fait signe de m’arrêter, se retire me demande de me mettre à quatre pattes. Debout dernière moi il me prend par les hanches et me lime de plus belle. Je ne pouvais plus supporter son assaut, il massait ma prostate avec toute la longueur de sa pine, je ne pouvais plus me retenir, je décharge les quelques goutes qui restaient dans mes couilles souillant les draps du lit. Sentant les frissons de mon cul Abdou se colle soudain à mes fesses et avec un grand Ahhhhhhhhhh déverse une quantité importante de foutre chaud au plus profond de mon grand intestin.
Il faisait tard, mon père devait se réveiller dans les minutes à venir, je cours vers la salle de bain et y déverse le foutre d’Abdou que j’avais dans mes entrailles. Après une douche rapide, je grimpe les marches avec grande peine. Je ne pouvais plus fermer mes cuisses convenablement après de tels traitements dans une seule journée, on se quitte avec une promesse de reprendre nos ébats si jamais l’occasion se représente.
En cours de route il me posa la question me demandant ce qui c’était passé mais sa question est restée sans réponse. Arrivé à la maison il m’aida à sortir de la voiture regarda la banquette, écœuré Abdou toucha avec les bouts de ses doigts cette trace moite de liquide qu’il porta à ses narines.
- Oh putain ça sent le foutre et la merde que c’était-t-il passé à l’école le frère t’as-t-il violé ? Ton père doit être informé, nous irons tous déposer une plainte à la gendarmerie puis à l’école.
Je regarde Abdou sans dire un mot, j’étais pris au piège, je ne pouvais pas le regarder droit dans les yeux. Je ne savais pas quoi faire, il fallait que je me débarrasse des traces que je gardais dans mes entrailles, entretemps je regardais vers le haut, je ne savais pas comment je pourrai grimper ces trois étages donc 90 marches ?? A force de me faire baiser je ne pouvais plus marcher, mon cul me brulait. Des gouttes de foutre continuaient à ruisseler entre mes jambes, je puais. Je ne pouvais pas rentrer chez moi dans cet état. Voyant mon état pitoyable, Abdou me proposa de gagner sa chambre située dans le petit jardin adjoint à notre bâtiment pour me rafraîchir et changer de vêtements.
- Je te propose d’aller dans ma chambre prendre une douche et te débarrasser de toute cette crasse avant de grimper chez toi. Tes parents font actuellement leur sieste, il est préférable que personne ne te voit pas dans cet état. Je vais chercher du linge propre. Tu vas m’attendre dans ma chambre sans bouger.
Je ne pouvais plus raisonner convenablement, je n’avais aucune autre solution. Docile, il prend ma main, me fait assoir sur la seule chaise disponible et prend congé m’assurant qu’il sera de retour dans les meilleurs délais. Je n’avais pas mis les pieds dans cette chambre depuis des années le décor n’avait pas changé depuis le départ de Hassan, notre ancien homme de maison.
Deux minutes plus tard Abdou revient emportant du linge propre, un short, un polo et une serviette. Avant de demander de me lever, il ferme la porte à clef et tire les rideaux.
- De cette manière personne ne pourra nous interrompre.
Abdou, me demanda de me lever, je commence à me déshabiller, il m’ordonne de m’arrêter, il veut me faire ce service, il me demande de me retourner et de lui donner le dos, de lever les bras vers le ciel et tout doucement il empoigne et me débarrasse du polo. Il est debout derrière moi quelques centimètres nous séparent. Je sens son souffle sur mes omoplates, ses mains caressent mon dos mis à nu, puis descendent doucement vers mes fesses. Docilement je me laisse faire comme un automate. Je ferme les yeux. Il insère ses doigts dans l’élastique de mon short et commence doucement à le pousser vers le bas.
- Pouah, merde, tu pues comme une grue ! Tu t’es fait violer par une dizaine ou quoi ?? Tu sens la merde, remercie le bon Dieu que tes parents fassent la sieste. Il faut nettoyer tout ça.
- Abdou personne ne doit savoir ce qui c’est passé, je te fais confiance Abdou.
- On en reparlera plus tard.
Cela dit, Abdou commence à retirer ma culote qui collait à mes fesses. Ses mains couvrent chaque centimètres mis à nu, il s’agenouille derrière moi, Je sens la chaleur de ses lèvres se poser sur la naissance de mes fesses ! Un frisson de chaleur couvre mon pauvre corps.
- Pouah, y a du foutre qui continue à se déverser de ton cul, ils ont versé des litres de foutre dans ton cul ou quoi, penche toi en avant, que je jette un coup d’œil sur ton anus.
Cela dit, cela fait. Je mets les mains sur le dos de la chaise et me courbe pour la énième fois dans la journée, je sens les doigts d’Abdou toucher les abords de mon anus.
- Tu as le cul bien ouvert mes doigts y glissent sans problème. Ah, le salaud il possède une pine d’âne ?
J’essaye de changer de position, mais avec autorité Abdou me retient.
- Attend, tu sais je ne savais pas que tu possédais un cul aussi arrondie, si beau avec une peau si douce, bon avant d’aller plus loin je vais te laver le cul, allez vient !!!
Abdou me prend par la main et me pousse sous un jet de douche fraiche. Au bout d’une minute le jet d’eau fraiche me remet sur pieds, il prend un tuyau flexible l’attache au robinet et le pointe sur mon anus. Je saute en l’air, une quantité d’eau s’infiltre dans mes entrailles me rappelant le lavement de la visite médicale. J’en ai plein le cul je saute sur la toilette et déverse une quantité d’eau jointe avec des traces de merde et de foutre.
Que c’est bon de se sentir propre !
Je ne me suis pas rendu compte qu’au cour de ces évènement Abdou s’était débarrassé de ses vêtements trempés par les jets d’eau. Pour la première fois je voyais sa pine. Une bite importante pendue entre ses cuisses. Oh mon Dieu Abdou ! Comme tous ses compatriotes habitant le Sud d’Egypte, Abdou était doté d’un serpent rampant entre ses pieds. J’en ai vu, touché, gouté et me suis empalé sur de nombreuses bites, mais je n’ai jamais vu une pareille en taille qu’en diamètre.
Je ne pouvais enlever mes yeux de ce monstre, il faisait plus de 30 cm la tête avait la grosseur d’une balle de tennis !!!
Abdou me pris par la main, m’entraina vers sa chambre, pris la serviette éponge en main et commença à essuyer mon corps prenant soin de bien essuyer le sillon qui séparait mes fesses, puis il me demanda de m’assoir sur le lit. Laissant trainer mes pieds par terre il me poussa pour me coucher sur le dos. Il commença à essuyer ma poitrine, descendit vers le bas vers mon nombril, ses attouchements se changèrent en caresses, devinrent de plus en plus lents quand ils approchèrent de ma bite qui commençait à bander. Je ferme mes yeux pour sentir au mieux les caresses d’Abdou, enfin il entoure ma verge avec la serviette éponge, commence des mouvements de bas en haut puis s’arrête. Je sens un fourreau chaud qui entoure ma bite. Abdou venait de prendre ma pine en bouche.
- Haaaaaa, nonnnnnnnn c’est trop, je n’en peux plus !
Sans s’arrêter, Abdou continuait à me pomper, je mis mes jambes sur ses épaules lui offrant sans le vouloir mes fesses et lui donnant libre accès à mon antre. Abdou laissa ma pine un instant puis la reprit, en même temps je sentis son doigt se faufiler dans mon pauvre cul soufrant.
Sans me laisser, Abdou me fait tourner sur le lit, il y grimpe, nous sommes allongés l’un sur l’autre, nos têtes reposent entre nos cuisses, nous prenons nos bites en bouche. Je me force d’ouvrir la bouche autant que possible, ma mâchoire me faisait mal tant la tête de sa bite était grosse.
Soudain Abdou s’arrête, me laisse, je l’entends bricoler dans sa petite cuisine, il revient un peu plus tard avec un baume dont il arrose une quantité abondante sur sa bite.
Aie, il est temps, Abdou veut et vas m’enculer.
Il me demande de mettre le cul en l’air. Effrayé, je regarde avec peur ce serpent qui est prêt à consommer sa proie. Il arrose mon cul avec une couche abondante de baume, insère un, deux, trois puis quatre doigts et les fait tourner me préparant ainsi à l’attaque. Il me demande de me tenir debout sur le lit, puis s’allonge sur le dos prenant sa pine en mains bien dressée et la tend à la verticale vers le ciel. Avec un signe de la tête il m’invite à m’empaler dessus.
J’avais vraiment la frousse, impossible même avec le traitement que m’avait accordé deux heures plus tôt frère Etienne, je ne pense pas que je pourrai accueillir ce serpent.
Debout sur le lit je regarde pour la première fois le corps splendide d’Abdou. Je place mes pieds de part et d’autre de son corps. Pour ne pas perdre d’équilibre j’attrape avec mes deux mains le dos du lit et m’apprête à faire descendre mon tronc vers ce phallus pointé vers le trou de mon cul. Je ferme les yeux pour ne pas voir ce phallus énorme dont la distance qui nous séparait diminuait à chaque seconde. A un certain moment de cette descente vers l’enfer de la jouissance ma pastille qui a subit les assauts du frère Etienne touche enfin une surface lisse, ferme et très chaude. Le plus facile est accompli, le plus difficile commence. Je ne veux pas perdre l'équilibre pour ne pas m’empaler et me faire déchiqueter le cul dans le sens propre du mot par cet énorme mat de chair. Je patiente quelques secondes au cours desquelles je sens Abdou avancer son ventre doucement vers le haut à la rencontre de ma pastille. Je me laisse descendre un centimètre je sens la tête de son membre qui ouvre mon passage intime.
Le baume facilite cette besogne difficile. Plus je descends, plus je sens mon antre s’ouvrir. C’est moi qui décide des règles du jeu, Abdou est patient il sait que son phallus est énorme et ne peut être accueillit que dans le con élargie d’une femme. (Il me raconta par la suite que plusieurs putes avaient refusé de coucher avec lui en voyant son monstre). Toujours les yeux fermés je continue ma descente, je pousse et ouvre mon sphincter au maximum. Deux centimètres de cette colonne de chair glissent et poussent les paroies internes de mon anus. La gravitation aidant et grâce à la couche de baume, le traitement matinal et la souplesse de mon sphincter, la tête conique et lisse s’infiltre et gagne du terrain. Avec un effort herculéen je mords sur les dents et je sens le nœud de la tête de cette énorme pine qui traverse le rempart et repose sur ma prostate. Suis-je fou ? Avec peine, je lâche le dos du lit et pose mes paumes sur la poitrine d’Abdou. Je prends les bouts de ses seins entre mon pouce et mon majeur et les pincent. Abdou qui ne s’attendait pas à une telle réaction poussa un Ahhhh en poussant son ventre vers le haut enfonçant en même temps la moitié de son phallus dans mon ventre. Je laisse ses seins et je me laisse glisser jusqu’au fond. Je suis maintenant assis sur le ventre d’Abdou.
Je ne peux croire que les paroies de mon cul et de mon sphincter encerclent ce monstre. Je reste deux ou trois minutes sans bouger empalé sur ce pilier de chair chaude pour m’y adapter. Je sens la tête de la pine d’Abdou enfoncée dans mon fondement arrivant au niveau de mon nombril. Je commence à bouger tout doucement, tirant sur les bras mes fesses quittent le ventre d’Abdou qui avance la tête à la rencontre de ma pine bien dressée en ouvrant la bouche m’invitant à l’y fourrer. Toujours serrant la pine d’Abdou dans mon cul j’enfonce la mienne dans ce fourreau disponible. J’entame des mouvements de vas et vient pour plusieurs minutes puis Abdou me fait signe de m’arrêter, se retire me demande de me mettre à quatre pattes. Debout dernière moi il me prend par les hanches et me lime de plus belle. Je ne pouvais plus supporter son assaut, il massait ma prostate avec toute la longueur de sa pine, je ne pouvais plus me retenir, je décharge les quelques goutes qui restaient dans mes couilles souillant les draps du lit. Sentant les frissons de mon cul Abdou se colle soudain à mes fesses et avec un grand Ahhhhhhhhhh déverse une quantité importante de foutre chaud au plus profond de mon grand intestin.
Il faisait tard, mon père devait se réveiller dans les minutes à venir, je cours vers la salle de bain et y déverse le foutre d’Abdou que j’avais dans mes entrailles. Après une douche rapide, je grimpe les marches avec grande peine. Je ne pouvais plus fermer mes cuisses convenablement après de tels traitements dans une seule journée, on se quitte avec une promesse de reprendre nos ébats si jamais l’occasion se représente.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore bravo une super belle histoire A quand la suite
Bonjour,
Elle est formidable, j'aimerais bien pouvoir lire la première que je n'arrive pas à
retrouver.
Merci
Elle est formidable, j'aimerais bien pouvoir lire la première que je n'arrive pas à
retrouver.
Merci