Travaux Pratiques
Récit érotique écrit par Ghandar699 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Travaux Pratiques
Travaux Pratiques
Un jour que je traversais le long couloir du grand Collège d’Alexandrie, mes yeux tombèrent sur une annonce affichée sur le tableau d’affichage « Travaux Pratiques. Tout élève désirant participer aux activités ci-dessous mentionnées doit inscrire son nom dans la fiche jointe. Les activités seront dispensées tous les dimanches matins à 10.00». Je trouve dans la liste un grand nombre d’activités mais celui qui attire plus mon attention c’est la Pyrogravure ?? Je suis le premier à y déposer mon nom. Deux jours plus tard je reçois une note confirmant mon inscription portant le local et l’heure.
Le dimanche suivant je me pointe à l’heure prescrite devant la porte de la salle des travaux pratiques située au sous-sol des années préparatoires, je frappe, pousse et ouvre la porte. Dans la salle je compte un groupe de dix élèves groupés tous autour d’un jeune frère blanc arrivé il y a deux semaines de France. Chacun se présente et nous formons un cercle autour de notre instructeur.
- Je suis le frère Etienne, je vais vous apprendre les secrets de la pyrogravure ……
Au bout de 30 minutes frère Etienne nous présente le matériel utilisé : le pyrograveur, les stylos graveurs la fonction de chaque, puis les différents matériels qu’on peut utiliser donc différentes formes de bois massif, des bases de lanternes, de plats, des lamelles en cuirs, des bandes de velours…
Le nombre de participants diminuait au fils des semaines, l’été arrive nous ne sommes que deux mais les cours continuaient. Frère Etienne voyant que j’étais doué pour la pyrogravure continuait à m’encourager et m’offrait des gravures de plus en plus difficiles. Cette fois j’avais choisi un grand tableau intitulé « Le Printemps », il faisait 1.6 X 0.5 mt on y voyait des colombes, des fruits, des fleurs le tout encadré par un grand nombre d’ornements ce qui nécessitaient un travail de grande précision et de patience. Je me rendais presque chaque jour dans ce collège désert et passait près de deux ou trois heures dans la salle des travaux pratiques pour terminer ce travail énorme et délicat. Mes relations avec frère Etienne devenaient de plus en plus fortes chaque jour.
Ce jour là, la température était infernale. Avant de quitter la maison je décide de porter un short et un polo donc des vêtements d’été légers.
Après m’avoir ouvert la porte je me rends compte que pour la première fois frère Etienne portait un survêtement. Il m’aida à transporter la grande planche de dessin, le pyrograveur et tout le nécessaire dans la salle jointe. On étala le tout sur la table installée près de la fenêtre grande ouverte qui laissait entrer un courant d’air marin frais. Je m’y installe. Courbé sur la planche, je commence ce délicat travail offrant sans me rendre compte et sans le vouloir mon cul à l’air frais et aux yeux du frère Etienne. Nous sommes seuls dans la salle, mon collègue était absent. Pour la première fois depuis le déroulement des cours frère Etienne s’approcha de moi mis sa main en douceur sur mon épaule et suivait de très près le progrès du travail. Mine de rien je me concentrais plus sur ce que je faisais sans me rendre compte que sa main glissait petit à petit vers le bas. Soudain je ressenti une petite claque sur mes fesses, mais au lieu de retirer sa main Frère Etienne la garda sur place, je le regarde par-dessus on épaule et souri. Il retira la main puis se dirigea vers le placard qui se trouvait au fond de la salle l’ouvrit parti chercher différents objets qui traînaient partout faisant semblant de mettre de l’ordre, chaque fois qu’il passait et repassait derrière moi il me frappait sur mes fesses arrondies et offertes à ses mains, à plusieurs reprises il laissait trainer sa main en faisant semblant de suivre les gravures. Ne voyant aucune objection de ma part, frère Etienne prend son courage en mains passe derrière moi s’arrête et se colle contre moi ou plutôt contre mes fesses se penche en avant et me donne des instructions. Il ne change pas de position pour deux ou trois minutes et je commence à sentir sa verge augmenter de dimension. Je le regarde et souri, la sueur coulait sur son front, ses oreilles prenaient une teinte rouge, le rythme de sa respiration augmentait à toute vitesse, j’entendais son cœur entrain de battre à toute allure. Les souvenirs de la visite médicale reviennent, je suis en privation d’amour charnel. Depuis plusieurs mois je n’ai pas ressenti une grosse verge remplir mon antre et me satisfaire. Je le laisse faire !! Sentant mon consentement, frère Etienne remit sa main sur mes fesses et je sentis que ses doigts suivaient le sillon pubère bien rasé qui les divisait en deux morceau de chair bien musclés et descendaient de plus en plus vers ma pastille, son majeur s’y arrêta puis je ressentis une petite pression bien placée. Je le regarde, souris, j’ouvre un peu plus les jambes pour lui faciliter l’accès tout en faisant semblant de continuer mon travail. Le bout de son majeur dessinait des cercles autours de mon antre et s’enfonçait de plus en plus. Tout à coup, frère Etienne arrêta ses caresses, m’informa qu’il devrait s’absenter pour quelques minutes, qu’il reviendra le plus vite possible et me demanda de rester à l’aise.
Comme je l’avais dis plutôt, la chaleur était infernale, je ne pouvais plus supporter le polo. Sans penser deux fois je me débarrasse du polo je le range, voulant gouter aux caresses charnelle je décide d’enlever ma culotte la range aussi puis remet mon short et essaye de me concentrer sur ma gravure. Comment faire puisque je bandais comme un lion. Le temps passe, je commence à perdre patience ! Je me pose la question frère Etienne a-t-il eu peur des conséquences ? Je suis en feu !! Enfin, j’entends la porte extérieure qui s’ouvre puis se ferme. J’entends la voix du frère Etienne qui me parvient de l’autre salle
- Ouf, je suis de retour il fait vraiment chaud, où en es-tu à ce point?
Il me trouve à moitié nu, s’arrête, examine mon corps blanc et mes petits seins mis à nus. Il jette un coup d’œil sur mon polo. Je l’attends, je vois ses mains qui commençaient à trembler. Je le regarde s’approcher sans broncher, il s’arrête derrière moi et je sens ses mains se poser sur mon dos, ses doigts commencent à se faufiler vers ma poitrine il se colle de plus en plus, je sens sa verge tendue à l’extrême à travers son pantalon se poser entre mes fesses. Ses mains habilles touches les bouts de mes seins extrêmement sensible, je sens mon corps se mollir. Ses lèvres chaudes attaquent ma nuque, j’envois mes fesses en arrière à la rencontre de sa verge, l’invitant ainsi à continuer ce qu’il a commencé. Il laisse les bouts de mes seins quelques secondes au cours desquelles j’entends la fermeture éclair de son survêtement s’ouvrir, il se colle je sens sa poitrine nue sur mon dos, je suis incapable de bouger, Il couvre ma nuque et mon dos de baisers chauds. Il prend le stylo graveurs de ma main puis éteint le graveur, met sa main sur mon flanc, m’oblige à m’éloigner de la planche, puis pose sa deuxième main sur ma nuque pousse et m’oblige à étaler ma poitrine sur la table. Ses mains sur mes épaules il me faisant savoir que je dois garder cette position. Ses mains descendent maintenant vers mes fesses, ses pouces s’insèrent entre l’élastique de mon short et mon corps. Je ferme les yeux. Petit à petit frère Etienne poussait mon short vers le bas, il s’agenouille, sa langue agile couvrait et mordillait chaque centimètre qu’il mettait à découvert. Il prenait son temps il embrassait mes fesses blanches et arrondies. Sa langue agile suivait le sillon qui menait à ma pastille brune en manque depuis un certain temps à telles caresses. N’en pouvant plus, il arrache mon short mettant mes fesses imberbe à nu et le laisse glisser vers le sol. Je me libère du short, sans attendre j’ouvre mes jambes pour lui donner libre cours à mon trou de pute. Il me laisse un instant, il se débarrasse de ses vêtements.
Dans cette salle, nous sommes à l’écart de tout regard indiscret.
Mes mains s’accrochent à la table. Nu comme un vers, frère Etienne s’agenouilla derrière moi, sa langue chaude et agile se faufilait dans mon sillon. Il empoigna mes fesses les forcent à s’ouvrir. Sa langue agile et pointue est très longue faisait une dizaine de centimètres. Sa main chercha ma verge qui me faisait souffrir. Sa langue agile et chaude s’insère à l’intérieur de mon anus à la recherche de mon sphincter. Il serpentait sa langue, la poussait et la retroussait en même temps au sein de mon cul ; sentiment qui envoya une chaleur intense dans tout mon corps, j’étais pris de soubresauts, le bout de sa langue titillait et caressait ma prostate. Dans un Haaaaaaaaaa étouffé je laissais échapper plusieurs trainés de foutre, pinçant en même temps cette langue qui m’a fait jouir comme un fou, je ne pouvais plus bouger. Je sentis un doigt humide remplacer cette langue agile tourner pour élargir mon sphincter puis deux, puis trois et enfin quatre doigts. J’étais en dehors de moi, quatre doigts ???? Sans me laisser l’occasion de voir ou de toucher à sa verge, frère Etienne repris mes fesses en mains. Je sentis mes fesses s’ouvrir pour laisser passage libre à un bout de chair chaud et très lisse qui forçait son passage à travers la porte de mon antre. Il possédait un phallus énorme. Sa langue et sa pine étaient démesurées. Il mit une bonne quantité de vaseline sur ma pastille et sur sa verge, je sentis comme une pomme lisse et chaude se poser sur ma pastille. Frère Etienne, empoignant mes anches avec ses deux mains commença à pousser sa verge doucement au fond de mes entrailles. Je sentis une douleur aigue tant la tête était énorme. Il s’arrêta quelques instants donnant à mon sphincter le temps de s’élargir pour accueillir cet hôte important, puis recommença sa poussée. J’essaye de m’ouvrir pour accueillir et accommoder se monstre qui se faufilait chaque seconde un peu plus dans mon fondement. Il gagnait du terrain, une petite poussée et la tête passe mon sphincter dilaté à fond.
- Tu es vraiment une petite salope, je le savais depuis le premier jour que je t’ai vu, mais je ne pensais jamais que je t’aurai un jour et que je te ferai gouter mon monstre. Ha sale pute je vais te faire jouir ,je déverserai mon foutre au fond de tes entrailles, sens-tu ma pine au fond de tes intestins ?
D’une poussée bien calculée le monstre continuait à gagner du terrain et à ce faufiler entre les parois distendues de mon sphincter. Je ne pouvais plus, je soufrais, j’avais l’impression que sa pine chatouillait mon nombril tant qu’elle était longue et grosse. Enfin, le ventre du frère Etienne reposait sur mes fesses. Ses mains parcouraient mon dos, je reçus deux claques bien placées sur mes fesses. La douleur que je ressentais était remplacée par un plaisir intense qui me faisait frémir de la tête aux racines de mes pieds.
- Ha la salope, que tu es chaude, ton cul me brule, rien de pareil. Ahhhhhh. Viens ma petite pute que je t’enfonce
Frère Etienne, s’attache à mes hanches et continue à me limer pour une dizaine de minutes, il se retire complètement de mon cul, je sens mon cul dilaté à fond et refuse de se refermer, l’air marin remplace sa bite, j’ai hâte d’accueillir de nouveau ce monstre, avec un coup de rein le monstre se faufile sans problème, et la vie reprend son cours. Les minutes passent j’attends avec impatience cette semence chaude qui va me salir comme une truie.
Frère Etienne se retire encore une fois, je le regarde dans les yeux, il me fait signe de me retourner, Je me couche sur le dos. Il empoigne mes jambes et les posent sur ses épaules. Il me pince les bouts des seins, la douleur se transforme encore une fois à un plaisir intense, sa pine rentre et sort comme un ressort. Ma tête roule de part et d’autre sur la table, je n’arrive plus à me retenir je commence à lancer des haaaaass interminables, j’entends frère Etienne raller. Son corps se crispe et il déverse des quantités de foutre chaud au fond de mes entrailles.
Ne pouvant se retenir, frère Etienne s’affale sur moi. Toujours enfoncé d ans mon cul, il me couvre de baisers, suce mes seins durcis et recommence à me relimer de plus belle. Je prends ma hampe en mains et commence à me branler.
Serré dans un fourreau chaud, frère Etienne, qui n’avait pas eu des relations sexuelles depuis un certain temps ne pouvait plus se retenir commença à déverser des quantités importantes de foutres dans mon pauvre cul pendant que de mon côté je déversais mon foutre en l’air pinçant avec chaque décharge ce monstre qui continuai sa décharge brulante qui se répandrait sans que je ne puisse retenir cette semence blanche laiteuse et visqueuse dans mes intestins tant mon sphincter était dilaté.
Une heure plus tard dans la quelle frère Etienne me baisa dans différentes position je prenais congé. J’avais du mal à marcher convenablement je ne pouvais par fermer les pieds tant mon anus était ouvert. Je me suis nettoyai au tant que possible mais toujours des trainés de foutre glissaient par le trou de mon cul.
Je ne sais pas si c’était heureusement ou malheureusement que Abdou le chauffeur nubien de mon père était là, il fonça les yeux en me voyant arriver trainant les pieds et voyant la trainé de liquide qui ce déversait. Il m’aida à grimper près de lui, renifla l’air et mis le moteur en route, Selim me posa la question à plusieurs reprise, je ne pouvais répondre tant j’étais fatigué. L’odeur du foutre se répandait dans la voiture.
En cours de route il me posa la question me demandant ce qui c’était passé ? Arrivé à la maison il m’aida à sortir de la voiture regarda sur la banquette, toucha cette trace moite de liquide et la porte à ses narines. (à suivre).
Un jour que je traversais le long couloir du grand Collège d’Alexandrie, mes yeux tombèrent sur une annonce affichée sur le tableau d’affichage « Travaux Pratiques. Tout élève désirant participer aux activités ci-dessous mentionnées doit inscrire son nom dans la fiche jointe. Les activités seront dispensées tous les dimanches matins à 10.00». Je trouve dans la liste un grand nombre d’activités mais celui qui attire plus mon attention c’est la Pyrogravure ?? Je suis le premier à y déposer mon nom. Deux jours plus tard je reçois une note confirmant mon inscription portant le local et l’heure.
Le dimanche suivant je me pointe à l’heure prescrite devant la porte de la salle des travaux pratiques située au sous-sol des années préparatoires, je frappe, pousse et ouvre la porte. Dans la salle je compte un groupe de dix élèves groupés tous autour d’un jeune frère blanc arrivé il y a deux semaines de France. Chacun se présente et nous formons un cercle autour de notre instructeur.
- Je suis le frère Etienne, je vais vous apprendre les secrets de la pyrogravure ……
Au bout de 30 minutes frère Etienne nous présente le matériel utilisé : le pyrograveur, les stylos graveurs la fonction de chaque, puis les différents matériels qu’on peut utiliser donc différentes formes de bois massif, des bases de lanternes, de plats, des lamelles en cuirs, des bandes de velours…
Le nombre de participants diminuait au fils des semaines, l’été arrive nous ne sommes que deux mais les cours continuaient. Frère Etienne voyant que j’étais doué pour la pyrogravure continuait à m’encourager et m’offrait des gravures de plus en plus difficiles. Cette fois j’avais choisi un grand tableau intitulé « Le Printemps », il faisait 1.6 X 0.5 mt on y voyait des colombes, des fruits, des fleurs le tout encadré par un grand nombre d’ornements ce qui nécessitaient un travail de grande précision et de patience. Je me rendais presque chaque jour dans ce collège désert et passait près de deux ou trois heures dans la salle des travaux pratiques pour terminer ce travail énorme et délicat. Mes relations avec frère Etienne devenaient de plus en plus fortes chaque jour.
Ce jour là, la température était infernale. Avant de quitter la maison je décide de porter un short et un polo donc des vêtements d’été légers.
Après m’avoir ouvert la porte je me rends compte que pour la première fois frère Etienne portait un survêtement. Il m’aida à transporter la grande planche de dessin, le pyrograveur et tout le nécessaire dans la salle jointe. On étala le tout sur la table installée près de la fenêtre grande ouverte qui laissait entrer un courant d’air marin frais. Je m’y installe. Courbé sur la planche, je commence ce délicat travail offrant sans me rendre compte et sans le vouloir mon cul à l’air frais et aux yeux du frère Etienne. Nous sommes seuls dans la salle, mon collègue était absent. Pour la première fois depuis le déroulement des cours frère Etienne s’approcha de moi mis sa main en douceur sur mon épaule et suivait de très près le progrès du travail. Mine de rien je me concentrais plus sur ce que je faisais sans me rendre compte que sa main glissait petit à petit vers le bas. Soudain je ressenti une petite claque sur mes fesses, mais au lieu de retirer sa main Frère Etienne la garda sur place, je le regarde par-dessus on épaule et souri. Il retira la main puis se dirigea vers le placard qui se trouvait au fond de la salle l’ouvrit parti chercher différents objets qui traînaient partout faisant semblant de mettre de l’ordre, chaque fois qu’il passait et repassait derrière moi il me frappait sur mes fesses arrondies et offertes à ses mains, à plusieurs reprises il laissait trainer sa main en faisant semblant de suivre les gravures. Ne voyant aucune objection de ma part, frère Etienne prend son courage en mains passe derrière moi s’arrête et se colle contre moi ou plutôt contre mes fesses se penche en avant et me donne des instructions. Il ne change pas de position pour deux ou trois minutes et je commence à sentir sa verge augmenter de dimension. Je le regarde et souri, la sueur coulait sur son front, ses oreilles prenaient une teinte rouge, le rythme de sa respiration augmentait à toute vitesse, j’entendais son cœur entrain de battre à toute allure. Les souvenirs de la visite médicale reviennent, je suis en privation d’amour charnel. Depuis plusieurs mois je n’ai pas ressenti une grosse verge remplir mon antre et me satisfaire. Je le laisse faire !! Sentant mon consentement, frère Etienne remit sa main sur mes fesses et je sentis que ses doigts suivaient le sillon pubère bien rasé qui les divisait en deux morceau de chair bien musclés et descendaient de plus en plus vers ma pastille, son majeur s’y arrêta puis je ressentis une petite pression bien placée. Je le regarde, souris, j’ouvre un peu plus les jambes pour lui faciliter l’accès tout en faisant semblant de continuer mon travail. Le bout de son majeur dessinait des cercles autours de mon antre et s’enfonçait de plus en plus. Tout à coup, frère Etienne arrêta ses caresses, m’informa qu’il devrait s’absenter pour quelques minutes, qu’il reviendra le plus vite possible et me demanda de rester à l’aise.
Comme je l’avais dis plutôt, la chaleur était infernale, je ne pouvais plus supporter le polo. Sans penser deux fois je me débarrasse du polo je le range, voulant gouter aux caresses charnelle je décide d’enlever ma culotte la range aussi puis remet mon short et essaye de me concentrer sur ma gravure. Comment faire puisque je bandais comme un lion. Le temps passe, je commence à perdre patience ! Je me pose la question frère Etienne a-t-il eu peur des conséquences ? Je suis en feu !! Enfin, j’entends la porte extérieure qui s’ouvre puis se ferme. J’entends la voix du frère Etienne qui me parvient de l’autre salle
- Ouf, je suis de retour il fait vraiment chaud, où en es-tu à ce point?
Il me trouve à moitié nu, s’arrête, examine mon corps blanc et mes petits seins mis à nus. Il jette un coup d’œil sur mon polo. Je l’attends, je vois ses mains qui commençaient à trembler. Je le regarde s’approcher sans broncher, il s’arrête derrière moi et je sens ses mains se poser sur mon dos, ses doigts commencent à se faufiler vers ma poitrine il se colle de plus en plus, je sens sa verge tendue à l’extrême à travers son pantalon se poser entre mes fesses. Ses mains habilles touches les bouts de mes seins extrêmement sensible, je sens mon corps se mollir. Ses lèvres chaudes attaquent ma nuque, j’envois mes fesses en arrière à la rencontre de sa verge, l’invitant ainsi à continuer ce qu’il a commencé. Il laisse les bouts de mes seins quelques secondes au cours desquelles j’entends la fermeture éclair de son survêtement s’ouvrir, il se colle je sens sa poitrine nue sur mon dos, je suis incapable de bouger, Il couvre ma nuque et mon dos de baisers chauds. Il prend le stylo graveurs de ma main puis éteint le graveur, met sa main sur mon flanc, m’oblige à m’éloigner de la planche, puis pose sa deuxième main sur ma nuque pousse et m’oblige à étaler ma poitrine sur la table. Ses mains sur mes épaules il me faisant savoir que je dois garder cette position. Ses mains descendent maintenant vers mes fesses, ses pouces s’insèrent entre l’élastique de mon short et mon corps. Je ferme les yeux. Petit à petit frère Etienne poussait mon short vers le bas, il s’agenouille, sa langue agile couvrait et mordillait chaque centimètre qu’il mettait à découvert. Il prenait son temps il embrassait mes fesses blanches et arrondies. Sa langue agile suivait le sillon qui menait à ma pastille brune en manque depuis un certain temps à telles caresses. N’en pouvant plus, il arrache mon short mettant mes fesses imberbe à nu et le laisse glisser vers le sol. Je me libère du short, sans attendre j’ouvre mes jambes pour lui donner libre cours à mon trou de pute. Il me laisse un instant, il se débarrasse de ses vêtements.
Dans cette salle, nous sommes à l’écart de tout regard indiscret.
Mes mains s’accrochent à la table. Nu comme un vers, frère Etienne s’agenouilla derrière moi, sa langue chaude et agile se faufilait dans mon sillon. Il empoigna mes fesses les forcent à s’ouvrir. Sa langue agile et pointue est très longue faisait une dizaine de centimètres. Sa main chercha ma verge qui me faisait souffrir. Sa langue agile et chaude s’insère à l’intérieur de mon anus à la recherche de mon sphincter. Il serpentait sa langue, la poussait et la retroussait en même temps au sein de mon cul ; sentiment qui envoya une chaleur intense dans tout mon corps, j’étais pris de soubresauts, le bout de sa langue titillait et caressait ma prostate. Dans un Haaaaaaaaaa étouffé je laissais échapper plusieurs trainés de foutre, pinçant en même temps cette langue qui m’a fait jouir comme un fou, je ne pouvais plus bouger. Je sentis un doigt humide remplacer cette langue agile tourner pour élargir mon sphincter puis deux, puis trois et enfin quatre doigts. J’étais en dehors de moi, quatre doigts ???? Sans me laisser l’occasion de voir ou de toucher à sa verge, frère Etienne repris mes fesses en mains. Je sentis mes fesses s’ouvrir pour laisser passage libre à un bout de chair chaud et très lisse qui forçait son passage à travers la porte de mon antre. Il possédait un phallus énorme. Sa langue et sa pine étaient démesurées. Il mit une bonne quantité de vaseline sur ma pastille et sur sa verge, je sentis comme une pomme lisse et chaude se poser sur ma pastille. Frère Etienne, empoignant mes anches avec ses deux mains commença à pousser sa verge doucement au fond de mes entrailles. Je sentis une douleur aigue tant la tête était énorme. Il s’arrêta quelques instants donnant à mon sphincter le temps de s’élargir pour accueillir cet hôte important, puis recommença sa poussée. J’essaye de m’ouvrir pour accueillir et accommoder se monstre qui se faufilait chaque seconde un peu plus dans mon fondement. Il gagnait du terrain, une petite poussée et la tête passe mon sphincter dilaté à fond.
- Tu es vraiment une petite salope, je le savais depuis le premier jour que je t’ai vu, mais je ne pensais jamais que je t’aurai un jour et que je te ferai gouter mon monstre. Ha sale pute je vais te faire jouir ,je déverserai mon foutre au fond de tes entrailles, sens-tu ma pine au fond de tes intestins ?
D’une poussée bien calculée le monstre continuait à gagner du terrain et à ce faufiler entre les parois distendues de mon sphincter. Je ne pouvais plus, je soufrais, j’avais l’impression que sa pine chatouillait mon nombril tant qu’elle était longue et grosse. Enfin, le ventre du frère Etienne reposait sur mes fesses. Ses mains parcouraient mon dos, je reçus deux claques bien placées sur mes fesses. La douleur que je ressentais était remplacée par un plaisir intense qui me faisait frémir de la tête aux racines de mes pieds.
- Ha la salope, que tu es chaude, ton cul me brule, rien de pareil. Ahhhhhh. Viens ma petite pute que je t’enfonce
Frère Etienne, s’attache à mes hanches et continue à me limer pour une dizaine de minutes, il se retire complètement de mon cul, je sens mon cul dilaté à fond et refuse de se refermer, l’air marin remplace sa bite, j’ai hâte d’accueillir de nouveau ce monstre, avec un coup de rein le monstre se faufile sans problème, et la vie reprend son cours. Les minutes passent j’attends avec impatience cette semence chaude qui va me salir comme une truie.
Frère Etienne se retire encore une fois, je le regarde dans les yeux, il me fait signe de me retourner, Je me couche sur le dos. Il empoigne mes jambes et les posent sur ses épaules. Il me pince les bouts des seins, la douleur se transforme encore une fois à un plaisir intense, sa pine rentre et sort comme un ressort. Ma tête roule de part et d’autre sur la table, je n’arrive plus à me retenir je commence à lancer des haaaaass interminables, j’entends frère Etienne raller. Son corps se crispe et il déverse des quantités de foutre chaud au fond de mes entrailles.
Ne pouvant se retenir, frère Etienne s’affale sur moi. Toujours enfoncé d ans mon cul, il me couvre de baisers, suce mes seins durcis et recommence à me relimer de plus belle. Je prends ma hampe en mains et commence à me branler.
Serré dans un fourreau chaud, frère Etienne, qui n’avait pas eu des relations sexuelles depuis un certain temps ne pouvait plus se retenir commença à déverser des quantités importantes de foutres dans mon pauvre cul pendant que de mon côté je déversais mon foutre en l’air pinçant avec chaque décharge ce monstre qui continuai sa décharge brulante qui se répandrait sans que je ne puisse retenir cette semence blanche laiteuse et visqueuse dans mes intestins tant mon sphincter était dilaté.
Une heure plus tard dans la quelle frère Etienne me baisa dans différentes position je prenais congé. J’avais du mal à marcher convenablement je ne pouvais par fermer les pieds tant mon anus était ouvert. Je me suis nettoyai au tant que possible mais toujours des trainés de foutre glissaient par le trou de mon cul.
Je ne sais pas si c’était heureusement ou malheureusement que Abdou le chauffeur nubien de mon père était là, il fonça les yeux en me voyant arriver trainant les pieds et voyant la trainé de liquide qui ce déversait. Il m’aida à grimper près de lui, renifla l’air et mis le moteur en route, Selim me posa la question à plusieurs reprise, je ne pouvais répondre tant j’étais fatigué. L’odeur du foutre se répandait dans la voiture.
En cours de route il me posa la question me demandant ce qui c’était passé ? Arrivé à la maison il m’aida à sortir de la voiture regarda sur la banquette, toucha cette trace moite de liquide et la porte à ses narines. (à suivre).
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vite , vite la suite; je pense que Selim va entrer en scène . Ton histoire me fait rêver et ....bander un max; bisous.
bonsoir j aimerai bcp connaitre la suite de ton histoire elle est excitante
Oui la suite !!!pour que je puisse lire en me masturbant
ah c'est excitant j'aimerai etre a ta place avec frere Etienne
hummm souvenirs souvenirs
Ce récit transgressif est particulièrement excitant. Frère Etienne est un fieffé cochon
- ses propos obscènes le confirment - mais on ne peut que l'envier d'avoir trouvé sur
son chemin une jeune proie si tentante et si peu farouche!
- ses propos obscènes le confirment - mais on ne peut que l'envier d'avoir trouvé sur
son chemin une jeune proie si tentante et si peu farouche!
Excellene ton histoire et surtout très bandante. Vite la suite