Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (10)
Récit érotique écrit par Bgp [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (10)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je ne dûs rester inconscient que quelques secondes. Je repris mes esprits juste à temps pour voir la grande main de Bertrand s’abaisser jusqu’à moi pour saisir ma gorge et me soulever dos à lui. Cette brute m’étranglait ! Je m’accrochai à son poignet pour réduire la pression de mon poids mais sans grande efficacité. Sa paluche était si large qu’elle faisait le tour de mon cou de cygne. Je gigotai pendu par une seule de ses mains. Celle qu’il avait de libre vint instantanément sous ma jupe pour tâter mes fesses.
“ça fait si longtemps que je rêvais de toucher ces deux petits joyaux ! Elles sont comme je m’y attendais, douces et moelleuses. A la manière dont tu te dandinais quand tu passais devant moi, je savais que tu avais envie d’un gars costaud comme moi”
Mes mouvements n’avaient que peu d’effet et il n’y avait aucune chance que je n’échappe à sa force colossale. Je me résignai donc à rester immobile, à la merci du cerveau lubrique de mon tortionnaire.
“C’est bien ma belle. Tu t’es calmée. Qu’est ce que tu es légère ! C’est à peine si je sens ton poids.”
Sa main pétrissait mes miches avec force. Sa paume calleuse irritait mes fesses douces. Ses doigts s’insinuèrent entre mes fesses pour caresser ma rondelle, puis la pénétrer. J’étais à nouveau sodomisé contre ma volonté. Je sentais son entre jambe grossir contre mon dos. Il était monté comme une âne ! Il me reposa alors pour que mes pieds touchent le sol, tout en me maintenant par la gorge. Il sortit une boule de chiffon de sa poche et me força à ouvrir la bouche pour l’insérer. Je ne pouvais plus ni parler ni crier. Il relâcha son étreinte pour disposer de ses deux mains. Je n’essayai même pas de m’enfuir, il m’aurait vite rattrapé de toutes façons. J’entendis le bruit très reconnaissable d’un rouleau de ruban adhésif que l’on déroule puis que l’on déchire, et immédiatement après ils me bâillonna de la large bande qu’il venait de découper. Il saisit mes deux poignets dans mon dos dans une de ses mains et les entoura elles aussi d’adhésif. Il se mit alors face à moi, entoura ma taille de ses grandes mains et me souleva pour me poser le ventre sur son épaule gauche. Il me manipulait comme si je n’étais pas plus lourd qu’un sac de coton ! Une fois sur son épaule, il immobilisa également mes jambes au niveau des chevilles d’une large bande de ruban. Je me retrouvai ligoté et incapable de bouger sur l’épaule de ce géant. Sa main droite vint à nouveau palper mes petites fesses qui semblaient être une source d’excitation infinie pour Bertrand.
“Tu es vraiment une belle petite salope. Je n’avais jamais vu un cul aussi petit. Je vais prendre grand plaisir à le défoncer“
Tout en me portant, il se dirigea vers sa voiture qui était garée un peu plus loin. C’était un break tout neuf avec des vitres fumées. D’un appui sur la télécommande, la porte arrière s’ouvrit. Il me jeta à l’intérieur. Ma chute fut amortie par ce qui semblait être un matelas. Bertrand me regardait alors gigoter comme une verre dans son coffre qu’il avait aménagé en baisodrome. Il enleva sa chemise pour dévoiler un torse velu et musclé. Il se débarrassa ensuite de son pantalon. Son sexe jaillissait hors de son caleçon. Je ne m’étais pas trompé, il était monté comme un étalon. J’allais encore souffrir le martyr quand cette brute jouerait avec ma rondelle. Il saisit mes chevilles dans une de ses mains et de l’autre il arracha l’adhésif. Mes jambes étaient alors libres de s’écarter pour lui faciliter la tache. Il s’allongea sur moi et me pénétra sauvagement sans aucune préparation. J’ hurlais en silence et ce malade avait l’air de se satisfaire de la douleur qu’exprimait mon regard. Son sexe n’en finissait pas d’aller plus profond. Il secouait mes entrailles. Une fois ma rondelle suffisamment dilatée, il commença son mouvement de va et vient sauvage. Tout mon petit corps était secoué par les coups de bassin de la grosse brute. J’aurai voulu m’accrocher à quelque chose si mes mains n’avaient pas été liées. Cette brute grognait comme un cochon. Peut être un peu trop stimuler par mon anus étroit ou trop excité par mon petit cul, il déchargea sa semence plus rapidement qu’il l’avait prévu. Je sentis son sperme bouillant et abondant giclé de mon anus. Il se retira rapidement, se rhabilla sans dire un mot, ferma le coffre et démarra en faisant ronfler le moteur. Je me retrouvai ligoté sur le dos et les jambes écartée dans le coffre, offrant mon petit cul dégoulinant de sperme. J’étais fatigué comme jamais et résigné à mon sort quel qu’il soit. Je me moquais d’où m’emmenait ce colosse, je voulais juste dormir un peu, bercé par le ronflement du moteur.
Je fus réveiller par une puissante lumière qui envahit le coffre quand Bertrand l’ouvrit. J’étais dans une sorte de garage. D’une main, il saisit mes chevilles pour me tirer vers lui. Il plaça ensuite une main sous mes genoux et l’autre dans mon dos. Il me souleva sans qu’aucune marque d’effort n’apparaisse sur son visage. Seuls ses énormes biceps se gonflèrent. L’arrière de mes deux genoux tenait dans sa palme. Sa main immense couvrait la largeur de mon dos. Il me plaquait contre son torse puissant. Je sentais parfois ses énormes pectoraux se contracter. Il ne disait pas un mot. Je me rendis compte alors que nous étions dans les locaux du club de rugby. Plus Bertrand avançait, plus l’air se faisait chaud et moite. Nous approchions des douches ! J’entendais des homme parler fort et rire. Nous arrivâmes devant une porte en verre fumée derrière laquelle je voyais de larges et hautes silhouettes bouger. Bertrand donna un coup de pieds à la porte pour l’ouvrir et me porta à l’intérieur. C’est avec stupeur que je vis l’équipe de rugby au complet ! Ils étaient tous sous les douches, totalement nus. Ils étaient encore plus impressionnants ! Les dessins de leurs muscles massifs étaient bien visibles sur leurs corps humides. Même flacide, leur sexe était tous de dimension titanesque. Ils se mirent à siffler et à hurler quand ils me virent.
“Regardez ce que nous amène Bertrand, c’est la petite salope de l’auberge qui s’est pris une fessée !”
Bertrand me souleva alors contre lui pour exposer mes fesses.
“Et oui, c’est bien ce petit cul !”
Quand il me remit dans une position où je pouvais voir les colosses, je vis que la vision de mes petites fesse les avaient tous bien excités ! Leur sexe démesuré pointait tous vers le ciel.
“Elle est vraiment superbe. ça nous change des cageots que l’on trouve par ici”
“J’ai jamais vu un cul aussi petit et aussi bien dessiné”
“J’ai trop envie de la baiser !”
Bertrand me jeta alors dans la mêlée. J'atterris dans un tapis de mains puissantes qui eurent tôt fait de me déshabiller totalement. Les frêles morceaux de tissus n’avaient pas résisté bien longtemps ! Ma bouche alla de sexe en sexe. Mon corps fut porter et soulever sans presque jamais toucher le sol. Mon cul fut honoré par leur chibre immense toute la nuit. Ils me laissèrent au petit matin totalement nu et englué dans une flaque de sperme, les mains toujours attachées. La femme de ménage me trouva ainsi endormi et c’était...Germaine. Elle toisait de sa hauteur mon corps plus mince que jamais. L’expression de son visage ne laissait pas de doute : J’allais payer pour ma nuit de luxure !
FIN
Je ne dûs rester inconscient que quelques secondes. Je repris mes esprits juste à temps pour voir la grande main de Bertrand s’abaisser jusqu’à moi pour saisir ma gorge et me soulever dos à lui. Cette brute m’étranglait ! Je m’accrochai à son poignet pour réduire la pression de mon poids mais sans grande efficacité. Sa paluche était si large qu’elle faisait le tour de mon cou de cygne. Je gigotai pendu par une seule de ses mains. Celle qu’il avait de libre vint instantanément sous ma jupe pour tâter mes fesses.
“ça fait si longtemps que je rêvais de toucher ces deux petits joyaux ! Elles sont comme je m’y attendais, douces et moelleuses. A la manière dont tu te dandinais quand tu passais devant moi, je savais que tu avais envie d’un gars costaud comme moi”
Mes mouvements n’avaient que peu d’effet et il n’y avait aucune chance que je n’échappe à sa force colossale. Je me résignai donc à rester immobile, à la merci du cerveau lubrique de mon tortionnaire.
“C’est bien ma belle. Tu t’es calmée. Qu’est ce que tu es légère ! C’est à peine si je sens ton poids.”
Sa main pétrissait mes miches avec force. Sa paume calleuse irritait mes fesses douces. Ses doigts s’insinuèrent entre mes fesses pour caresser ma rondelle, puis la pénétrer. J’étais à nouveau sodomisé contre ma volonté. Je sentais son entre jambe grossir contre mon dos. Il était monté comme une âne ! Il me reposa alors pour que mes pieds touchent le sol, tout en me maintenant par la gorge. Il sortit une boule de chiffon de sa poche et me força à ouvrir la bouche pour l’insérer. Je ne pouvais plus ni parler ni crier. Il relâcha son étreinte pour disposer de ses deux mains. Je n’essayai même pas de m’enfuir, il m’aurait vite rattrapé de toutes façons. J’entendis le bruit très reconnaissable d’un rouleau de ruban adhésif que l’on déroule puis que l’on déchire, et immédiatement après ils me bâillonna de la large bande qu’il venait de découper. Il saisit mes deux poignets dans mon dos dans une de ses mains et les entoura elles aussi d’adhésif. Il se mit alors face à moi, entoura ma taille de ses grandes mains et me souleva pour me poser le ventre sur son épaule gauche. Il me manipulait comme si je n’étais pas plus lourd qu’un sac de coton ! Une fois sur son épaule, il immobilisa également mes jambes au niveau des chevilles d’une large bande de ruban. Je me retrouvai ligoté et incapable de bouger sur l’épaule de ce géant. Sa main droite vint à nouveau palper mes petites fesses qui semblaient être une source d’excitation infinie pour Bertrand.
“Tu es vraiment une belle petite salope. Je n’avais jamais vu un cul aussi petit. Je vais prendre grand plaisir à le défoncer“
Tout en me portant, il se dirigea vers sa voiture qui était garée un peu plus loin. C’était un break tout neuf avec des vitres fumées. D’un appui sur la télécommande, la porte arrière s’ouvrit. Il me jeta à l’intérieur. Ma chute fut amortie par ce qui semblait être un matelas. Bertrand me regardait alors gigoter comme une verre dans son coffre qu’il avait aménagé en baisodrome. Il enleva sa chemise pour dévoiler un torse velu et musclé. Il se débarrassa ensuite de son pantalon. Son sexe jaillissait hors de son caleçon. Je ne m’étais pas trompé, il était monté comme un étalon. J’allais encore souffrir le martyr quand cette brute jouerait avec ma rondelle. Il saisit mes chevilles dans une de ses mains et de l’autre il arracha l’adhésif. Mes jambes étaient alors libres de s’écarter pour lui faciliter la tache. Il s’allongea sur moi et me pénétra sauvagement sans aucune préparation. J’ hurlais en silence et ce malade avait l’air de se satisfaire de la douleur qu’exprimait mon regard. Son sexe n’en finissait pas d’aller plus profond. Il secouait mes entrailles. Une fois ma rondelle suffisamment dilatée, il commença son mouvement de va et vient sauvage. Tout mon petit corps était secoué par les coups de bassin de la grosse brute. J’aurai voulu m’accrocher à quelque chose si mes mains n’avaient pas été liées. Cette brute grognait comme un cochon. Peut être un peu trop stimuler par mon anus étroit ou trop excité par mon petit cul, il déchargea sa semence plus rapidement qu’il l’avait prévu. Je sentis son sperme bouillant et abondant giclé de mon anus. Il se retira rapidement, se rhabilla sans dire un mot, ferma le coffre et démarra en faisant ronfler le moteur. Je me retrouvai ligoté sur le dos et les jambes écartée dans le coffre, offrant mon petit cul dégoulinant de sperme. J’étais fatigué comme jamais et résigné à mon sort quel qu’il soit. Je me moquais d’où m’emmenait ce colosse, je voulais juste dormir un peu, bercé par le ronflement du moteur.
Je fus réveiller par une puissante lumière qui envahit le coffre quand Bertrand l’ouvrit. J’étais dans une sorte de garage. D’une main, il saisit mes chevilles pour me tirer vers lui. Il plaça ensuite une main sous mes genoux et l’autre dans mon dos. Il me souleva sans qu’aucune marque d’effort n’apparaisse sur son visage. Seuls ses énormes biceps se gonflèrent. L’arrière de mes deux genoux tenait dans sa palme. Sa main immense couvrait la largeur de mon dos. Il me plaquait contre son torse puissant. Je sentais parfois ses énormes pectoraux se contracter. Il ne disait pas un mot. Je me rendis compte alors que nous étions dans les locaux du club de rugby. Plus Bertrand avançait, plus l’air se faisait chaud et moite. Nous approchions des douches ! J’entendais des homme parler fort et rire. Nous arrivâmes devant une porte en verre fumée derrière laquelle je voyais de larges et hautes silhouettes bouger. Bertrand donna un coup de pieds à la porte pour l’ouvrir et me porta à l’intérieur. C’est avec stupeur que je vis l’équipe de rugby au complet ! Ils étaient tous sous les douches, totalement nus. Ils étaient encore plus impressionnants ! Les dessins de leurs muscles massifs étaient bien visibles sur leurs corps humides. Même flacide, leur sexe était tous de dimension titanesque. Ils se mirent à siffler et à hurler quand ils me virent.
“Regardez ce que nous amène Bertrand, c’est la petite salope de l’auberge qui s’est pris une fessée !”
Bertrand me souleva alors contre lui pour exposer mes fesses.
“Et oui, c’est bien ce petit cul !”
Quand il me remit dans une position où je pouvais voir les colosses, je vis que la vision de mes petites fesse les avaient tous bien excités ! Leur sexe démesuré pointait tous vers le ciel.
“Elle est vraiment superbe. ça nous change des cageots que l’on trouve par ici”
“J’ai jamais vu un cul aussi petit et aussi bien dessiné”
“J’ai trop envie de la baiser !”
Bertrand me jeta alors dans la mêlée. J'atterris dans un tapis de mains puissantes qui eurent tôt fait de me déshabiller totalement. Les frêles morceaux de tissus n’avaient pas résisté bien longtemps ! Ma bouche alla de sexe en sexe. Mon corps fut porter et soulever sans presque jamais toucher le sol. Mon cul fut honoré par leur chibre immense toute la nuit. Ils me laissèrent au petit matin totalement nu et englué dans une flaque de sperme, les mains toujours attachées. La femme de ménage me trouva ainsi endormi et c’était...Germaine. Elle toisait de sa hauteur mon corps plus mince que jamais. L’expression de son visage ne laissait pas de doute : J’allais payer pour ma nuit de luxure !
FIN
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