Tribulations d'une jeune Chienne

- Par l'auteur HDS Mlle A -
Récit érotique écrit par Mlle A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Tribulations d'une jeune Chienne Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Tribulations d'une jeune Chienne
Souvenirs de mes premières envolées.


L’ envie se me laisser aller un peu plus loin dans la dépravation me tente. Je peux affirmer que cela me trouble, m'excite. Nerveuse, mes ongles martèlent le plan de travail où mon ordi est posé.
Je relis les derniers messages de mon contact sur le site. Il monte en pression devant sentir ma fragilité. Sans avertir je reçois un cliché. Le triangle de la souris trace des cercles sur la photo

Je me pose la question à voix haute :

Je regarde ou non ? J'ai peur de tomber dans un putain de piège.

Je me tortille sur le tabouret. En petite culotte je ressens le froid du métal. Rien n'y fait, j'ai le ventre en feu, un brasier.

Cet homme m’écrit :

- Alors pétasse tu la veux ma bite ?

J'ouvre l'image. Sans rien d'étonnant une bite, courbée vers le bas, un sexe de taille honorable au gland bien dessiné. La photo montre le gland luisant. Les couilles sont lisses, rebondies, non pendantes. J'ai envie de bouffer ces bourses.

Décidant de rester dans mon rôle de jeune trainée je lance :

— Tes bourses sont pleines ?

Dans le même temps, je continue à regarder des vidéos hard, des nanas défoncées sans humanité et qui s'offrent sans aucune limite.
Je caresse ma vulve à travers le tissu le pressant. Humide la fente se dessine et sans même réfléchir j'accentue la tension.

Le mec m’écrit:

- Alors tu décides quoi Trainée ?

Je réponds :

— Je me caresse. Je mouille en matant ta bite. Tu veux voir ?

Sans attendre je baisse la culotte et flashe mon sexe mouillé, cuisses ouvertes et lui envoie l'image. Putain de frissons qui roulent sous l'épiderme, j'enfonce deux doigts et me branle fort, de plus en plus fort.
Ce mâle me lance :

— Salope je veux voir ta gueule de pute, maintenant.

Je ne réfléchis pas emportée par cette fièvre perverse. Passant en mode vidéo je fixe ma gueule de chienne puis dévoile mes doigts qui s'enfoncent si fort, je gémis fort.

Je hurle :
— Je vais jouir, je veux être ta pute

Je balance les images sur le site. La jouissance me brise. Je donne des coups de reins sur mes doigts plantés en moi.

Quelques secondes plus tard il me dit :

— Soit tu viens te faire défoncer soit tu retrouves ta gueule de poufiasse sur tous les sites de cul. Il y a bien quelqu’un qui te reconnaîtra.

La seule pensée d’être exhibée , humiliée ainsi accroît mon désir. Je suis certaine de savourer cette situation si elle devait arriver. J’avoue y penser avec un plaisir pervers.

Je réponds simplement :
— Ok. Où ?

J'ai besoin maintenant que ce mec me défonce, me casse, se serve de moi. Je suis tellement sous l’emprise de mon envie furieuse que je m’impatiente je relance :

— Où ?
En attendant, je dois me préparer. Je suis dans la salle de bain à maquiller mes yeux, mes lèvres. Je m'amuse avec mes pointes dures. Je m'accroupis dans la douche pour un lavement anal, le tuyau débarrassé de la douchette s'enfonce loin. L'eau jaillit, me remplit, je bloque mon anus avant de tout recracher avec force. Je recommence à deux reprises.

Le jet pénètre ma chatte, je me rince. Je nettoie l'intérieur de mes cuisses. J'extirpe toutes les souillures de ma jouissance. Je regarde le miroir, je suis d'une vulgarité sans limite les cuisses écartées.

Enfin, une réponse :
— Formule 1 à St Jean de Védas Quand tu arrives tu me contactes sur le site. Pas de lingerie. Une robe légère. Compris ?!

Il ajoute :
"tu mets du mascara je veux le voir les couler sur ta gueule de traînée quand je vais te faire mal."

Je tremble en répondant :
- Oui Monsieur.

Je suis devant le portail du parking. Cette promenade en scooter a été une belle ascension vers les vices. Mon épiderme est couvert de frissons en continu, mes seins déforment le léger tissu et la selle de mon scooter fait ventouse à mon sexe détrempé. J’ai peur au moment de le contacter et cela amplifie mon besoin.

Le portail s'ouvre. L'engin stationné je tape le code et monte au second étage. Je ne croise personne. J'ai enfilé une fine robe à bretelles boutonnée devant qui arrive très haut sur mes cuisses. J’ai noué mes cheveux en un chignon pour dégager ma nuque

Je frappe. J'attends. Je frappe à nouveau. Rien. Je lance des regards dans les deux directions du couloir. Je trépigne. Putain j'ai si envie et ce connard me fait patienter. Perchée sur mes talons je me tiens très cambrées les jambes légèrement écartées.
Une légère vibration attire mon attention.

Un nouveau message de l’inconnu :

- Quitte ta robe. A genoux les mains dans le dos devant la porte.

Je manque d'air. Je regarde à nouveau en panique de chaque côté. Cependant rien ne pourrait m'empêcher de défaire les boutons avant de glisser les doigts sous les bretelles. Je me cambre alors qu'elles glissent de mes épaules sur mes bras.

Respiration rapide, cadencée, violente. Je m'exhibe. Excitée. Je m'agenouille, pose mes fesses sur mes mollets tout en écartant mes cuisses. Mes doigts caressent la peau de mon dos lorsqu'ils s'y posent. Me voilà chienne servile et j’en viens à espérer que des portes s’ouvrent et me découvrent ainsi.

Je ronronne, une chatte en chaleur. J'ai la certitude que rien ne me fera bouger de là. Je ferme les yeux savourant ce moment unique, le calme se fait en moi. Mes sens sont aiguisés, mon corps ne cache rien de ses besoins.

Enfin, il daigne ouvrir la porte. Il a la soixantaine bien frappé. Cheveux gris, un léger embonpoint. Son boxer moule sa bite et laisse le bout du gland graisseux s'en échapper. Son regard est celui d’un prédateur, un rictus qui n’a rien d’engageant est posé sur ses lèvres.
Il me regarde fixement. Son gland décalotté brille collé à son ventre.

Je déglutis, les frissons se succèdent, mes entrailles se tordent sous l’envie. Je le fixe souriante. Je sais avec certitude que ce mâle n’aura pas la moindre attention, il me l’a dit je vais être fracassée.

Puis il s'accroupit. Sa main gauche empoigne ma gorge avec violence entre son pouce et son index. Il accentue la pression en me forçant à placer ma nuque en arrière. J'ouvre la bouche pour respirer. Deux crachats y atterrissent.

-Avale.

Je déglutis avec peine. Je manque d'air. Ma salive commence à se répandre. Il plonge alors ses doigts dans ma bouche et les utilisant comme une fourche il vide la salive. Posée sur les lèvres elle dégouline sur mon menton et se tient ensuite en équilibre entre bouche et buste.

- Cela t'excite catin de te faire baiser par un mec qui pourrait être ton grand-père ? me dit il d’une voie rauque.

Je réponds trop lentement et deux gifles viennent s'écraser sur ma joue gauche. Là les larmes emportent le mascara. Le goût acre du sang d'une joue coupée par les dents se propage.

— Réponds saloperie. Je veux t’entendre.
La voix éteinte par l'étranglement

je murmure :
-Oui Monsieur cela m'excite d’être baisée par un homme qui pourrait être mon grand-père. Je suis prête à tout pour vous satisfaire.

Peu à peu, à la douleur, à l'humiliation se joint une pointe de peur. Je ne peux rien faire, il a le contrôle. Il plante ses doigts dans ma bouche, il force les joues, étire les commissures des lèvres. Il fouille ma bouche en grognant. Il vient frotter ma luette, je bave sans arrêt. Il s’amuse et étale mes sécrétions sur mon visage, mes cheveux.

Se relevant, il m'ordonne de marcher à quatre pattes pour entrer dans la chambre. La porte fermée, il me pousse violement. Je m'étale, mes seins s'étirent sur le sol. Je pleure, j’ai peur mais rien ne peux briser les vagues de ce plaisir malsain, pervers, dégoûtant qui se propage.

Il m’ordonne de ramper comme un ver me trouvant trop lente il me saisit les pieds et me tire avec force sur le sol. Mes seins sont écrasés, étirés. Je crie. Il se retrouve devant moi. J'obéis terrifiée et troublée.
Il s'accroupit à nouveau. Ses orteils violent ma bouche, il en rigole. Il appui son genoux sur mon épaule, me fixe au sol et se penchant il frappe à main plate mes fesses, le bas du dos.

Il m’arrache presque la tête en m’agrippant par le chignon. Je suis terrifiée, je bégaye, tremblante je tente de me dégager. D’une ruade je percute le mur avec mon épaule. La joue collée il me tient la nuque et se met à lécher mon cou, mes épaules, mes oreilles. Un reptile est lové contre mon cul tendu. Je râle doucement sous l’emprise du mal, de la peur, du plaisir.

Sans un mot, je monte mes bras en V au dessus de ma tête, j’écarte mes cuisses, me cambre. D’une voix lourde mais distinctement
je dis :
- Fouettez moi avec votre ceinture. Je veux, je dois savoir.

Des bruits de pas, puis la caresse du cuir sur mon dos, mes fesses mes cuisses. J’accentue la courbe de ma croupe tout en pleurant. J’appréhende l’épreuve tout en la désirant. J’ondule lorsqu’il passe la ceinture autour de mon cou et serre. Très vite je manque d’air, les poumons en feu. Je ressens une peur primaire, affolante.

Enfin l’air afflue, je me gave comme saoule au moment où le premier coup frappe mon dos. Encore hébétée je réagis avec retard à l’agression de mon épiderme, je hurle au moment du second coup qui cingle avec fureur mon flanc droit. Je tremble, pleure, mon cri est celui d’une bête.

Les coups tombent en rythme, tout n’est que souffrance. Je vacille mais sans pouvoir l’expliquer je garde la position. Je m’aperçois que je compte les coups mentalement depuis le début, ma respiration se calme, profonde longue. Je ne porte attention qu’à la douleur.

Je cesse de la combattre pour l’accompagner, je la laisse me pénétrer pour mieux m’y enrouler. Ma douleur est unique et diverse, elle accélère toutes les sensations.
Je n’ai pas perçu qu’il avait cesser de me fouetter. J’entends son souffle court, le ressens sur ma peau.

Les vagues successives heurtent mon esprit, mes terminaisons nerveuses sont un artifice. Je glisse ma main sur mon sexe, il est trempé, j’en écarte les lèvres pour sentir mon clito tendu, gorgé. Le simple contact de mes doigts me fait crier de plaisir, je me retrouve sur la pointe des pieds abasourdie par cette sensation.

- "Baise moi comme une pute"
retentit dans la chambre.

Sa bite me défonce, me découpe sans douceur. Il tape au plus profond en massant mes fesses zébrées, mon dos marqué. Plus rien n’existe si ce n’est cette jouissance unique qui me marque au fer.
Il plante ses doigts, ses ongles sur, dans ma chatte. Il étire, tourne, s'enfonce dans les chairs. Sa main étouffe mon hurlement de bête. Il alterne sa queue, ses doigts. Il me pousse sur le lit sur le dos. Ma tête dans le vide.

Je sais que je dois le servir. J'ouvre la bouche au plus grand et sans hésiter il enfonce sa bite. La courbure l'amène à se lover à mon palais avant de forcer ma gorge. Sans attendre il me baise ainsi. Ses couilles se frottent à mon nez, mes lèvres. Ma tête entre ses cuisses il me dévoile son anus.

Il donne des coups puissants, les hauts-le-cœur se succèdent mais rien ne le stoppe. Il me baffe par moments. Il reste de plus en plus longtemps totalement empalé, le nez coincé entre ses burnes et sa raie, j'étouffe en évacuant des litres de baves.

Il se cambre, il appuie sur mon cou au moment où il se vide dans ma gorge. Je ne bouge plus. Les jets frappent au plus loin alors que coincé il pousse encore à me démonter la mâchoire. Il se retire doucement. Sa bite est dans une chrysalide de salive blanchâtre qui s'étire depuis mes lèvres. Il s'essuie à mon visage, mes cheveux.

A genoux je nettoie son sexe avec douceur. Les vagues de souffrances continuent à me caresser. Mon clito pincé entre mes doigts joue le métronome.
Du pied il me pousse.

"dégage"

Il ouvre la porte, ma robe traine au sol. Nue, marquée, tremblante, dévastée par la douleur, par la compréhension de cette réalité je passe avec difficulté le vêtement.
Le retour est un enfer, le moindre mouvement m’arrache des cris. Je me laisse tomber sur le ventre sur mon lit pour m’abandonner aux sensations.
Une sublime nuit étoilée.

Les avis des lecteurs

Continuez d'écrire, c'est très bien.

Histoire Erotique
Prédateur pervers et violent profitant d.une soumise naïve texte désobligeant

Histoire Erotique
Encore un vieux pervers totalement impuissant, qui se réjouit d'écrire ce qu'il n'a jamais pu faire...
Vocabulaire révélateur : salope, pute, traînée, poufiasse, saloperie, violence, etc;
Tu connais la notion de consentement, pervers pépère ?

A fuir absolument.



Texte coquin : Tribulations d'une jeune Chienne
Histoire sexe : Une rose rouge
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