Trio au cinéma
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trio au cinéma
Ce soir là, nous avions décidés Karen et moi de passer une soirée exhib dans une salle de cinéma réputée "à rencontre"; Ce cinéma diffusait le plus souvent des films à caractère très érotiques voire même pornos. Ce soir là il s’agissait d’un films japonais très érotique. Dès notre entrée, Karen a fait impression de par sa tenue " très sexy“. Réjouie elle a jouée avec son côté exhib salope. Elle a choisi comme à l’accoutumée, l’avant dernière rangée et laissant le dernier fauteuil inoccupé. La, elle a sorti son blouson, très lentement, version strip-tease. Elle a ainsi, sous son chemisier casi transparent, exhibé son magnifique 110 C soutenu d’un redresse seins qui ne cachait rien des larges mamelons marrons et de ses tétons fièrement dressés. Surtout que le décolleté ouvert jusqu’au nombril ne pouvait laisser cachés ses larges mamelons marrons et les tétons qui tentaient de percer la soie du chemisier. Quelques têtes restaient obstinément tournés vers elle. Quelques messieurs gardaient la bouche ouverte et les yeux grands ouvert devant ce spectacle que Karen savait très érotique, très fière comme si elle avait été sur scène pour un strip-tease professionnel. Elle s’est évidement penchée pour ramasser le mouchoir tombé de sa poche. Les seins ayant ainsi écarté les pans de son chemisier, ses seins se sont, durant un instant, balancés librement, lui laissant le plaisir de les "ranger" d’un air hypocritement gênée. Assis, nous avons flirtés jusqu’à l’extinction des feux, je ne manquais pas de lui caresser un sein, tout en le gardant à l’abris sous le chemisier. A peine les feux éteints, un jeune homme s’est faufilé par la rangée arrière et s’est assis à côté de Karen. C’est alors qu’un couple s’est déplacé à son tour pour se mettre dans notre rangée. La jeune femme m’a regardé, sourire aux lèvres, et s’est assise à mes côtés. Très vite, son compagnon lui a délicatement décolleté le chemisier, pour à son tour caresser ses seins pendant un baiser bien appuyé et bien léché. Il en a profité pour glisser une main sous la courte jupe déjà bien haute. Karen avait laissé la sienne s’ouvrir en écartant les cuisses et laissant un accès direct à l’élastique de son bas, côté "voisin" bien sûr. A l’entracte, celui-ci s’est levé pour aller acheter un paquet de bonbons. Pour le laisser passer, Karen c'est bien gardé de serrer ses cuisses laissant au gars une vue directe sur le non port de culotte. Je remarquais que ma voisine faisait de même au passage du gars, mais sa mini jupe un peu trop retroussée par la caresse de son compagnon, laissait quelques poils pubiens ébouriffés prouver également le non port de culotte. Comme moi, le gars était, maintenant, assuré d’un spectacle agréable pendant le film et peut être même plus... avec Karen comme voisine. Et le film a commencé. A la première séquence érotique, j’ai senti la main de Karen caresser ma cuisse. C’était le message habituel pour m’annoncer que son voisin avait commencé l’approche. J’ai constaté du coin de l’oeil, qu’effectivement le gars effleurait la cuisse de Karen. Si elle l’a laissée lui caresser le genoux un petit moment, par convenances, elle a fait mine, sans conviction, de l’empêcher de remonter sa cuisse et de passer sous sa jupette. Elle a renouvelé l’interdiction deux fois mais arrivée à la fin du bas, elle l’a laissé visiter l’entre cuisses et a écarté les cuisses pour lui faciliter l’accès. J’ai vite compris que sa "visite“ était arrivée à destination lorsque j’ai entendu l’accélération de sa respiration, suivi d’un léger gémissement qui laissait comprendre que la fameuse visite devenait fouilleuse. Tournant la tête vers son voisin (que j’appellerais Jean), elle a accepté un baiser à la française, langues en avant. Le baiser a été passionné et baveux. La main de Karen était remonté jusqu’à la braguette de mon pantalon m’annonçant ainsi qu’elle même allait entamer sa propre visite dans le slip de Jean. Pendant ce temps j’ouvrais deux boutons de plus du chemisier et à en écartant les pans je laissais les deux globes s’exhiber, tétons dressés. Jean, s’est tourné vers elle et, de son autre main, n’a put s’empêcher de caresser ou plutôt de pétrir le sein de son côté. Maintenant, les mouvements du bras de mon épouse me faisaient comprendre que Karen avait, pendant le baiser, entamé une bonne masturbation d’un sexe en totale érection. Moi même, j’avais ouvert la braguette de mon pantalon, sorti mon sexe que Karen a prit à pleine main et le caressait doucement. Quittant la bouche de Jean, elle m’a demandé, la bouche entrouverte, un baiser d’acceptation aux caresses d’avec Jean. Voilà, s’était parti, elle branlait Jean à la même cadence que la mienne. C’est là que j’ai senti la main de ma voisine, Jeanne, se poser sur ma cuisse gauche. M’intéressant à elle, je constatais que son chemisier était lui aussi largement ouvert, dénudant une belle poitrine, que son compagnon tétait goulument. Les mamelons, plus larges et plus foncés que ceux de Karen, laissaient des tétons bander fièrement. Comme j’allais caresser le sein libre, son compagnon (Paul) prit ma main et la fit se poser sur une cuisse de Jeanne. Remontant cette cuisse offerte, j’arrivais très vite à une chatte dégoulinante, largement ouverte à toutes caresses. Je ne pus m’empêcher de la fouiller, d’abord d’un doigt puis très vite de deux doigts. De là, je l’ai doigtée lentement au début et accélérant en même temps que Karen accélérait sa branlette. Jeanne s’est penché vers moi et après un baiser furtif sur mes lèvres elle m’a chuchoté:
«- vous seriez d’accord, tous les trois, pour finir la soirée chez nous avec du champagne?
-Toute la nuit?
- Bien sûr!
- OK, mon épouse et moi sommes d’accord, et je pense que son voisin ne sera pas contre.»
C’est ainsi que nous avons passés, tous les cinq, une merveilleuse nuit et Karen et moi sommes rentrés chez nous, le lendemain vers 15 heures après un très bon repas au restaurant. Durant cette merveilleuse nuit, autant Karen que Jeanne ont eut droit chacune à deux baises, plus une DP très jouissives. Nous ne nous sommes jamais revus tous les cinq, mais cette expérience est restée un très bon souvenir.
«- vous seriez d’accord, tous les trois, pour finir la soirée chez nous avec du champagne?
-Toute la nuit?
- Bien sûr!
- OK, mon épouse et moi sommes d’accord, et je pense que son voisin ne sera pas contre.»
C’est ainsi que nous avons passés, tous les cinq, une merveilleuse nuit et Karen et moi sommes rentrés chez nous, le lendemain vers 15 heures après un très bon repas au restaurant. Durant cette merveilleuse nuit, autant Karen que Jeanne ont eut droit chacune à deux baises, plus une DP très jouissives. Nous ne nous sommes jamais revus tous les cinq, mais cette expérience est restée un très bon souvenir.
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