trio en blanc et noir - histoire érotique

Joëlle a terminé, et nous rejoint pour prendre un café. Elles débarrassent la petite table, la font pivoter, déposent une grande poche, mettent un cd de slows, le spectacle va commencer.
Elles sont dans les bras l'une de l'autre, et entament une danse lascive et érotique. Elles s'embrassent, se caressent, se masturbent à travers leurs culottes. Je suis sensé être fatigué, mais mon sexe ne l'entend pas ainsi. Il se redresse et j'enlève mon slip pour le libérer. Les petites me regardent d'un œil amusé et déjà victorieux, enlèvent leur lingerie pour me la jeter au visage. Je ferme les yeux quelques secondes et les renifle pour essayer de les reconnaître. Trop facile, je connais Joëlle par cœur, mais j'ai surtout le souvenir très récent d'Aurélie. J'écarte les cuisses pour exhiber mon service trois pièces, et me caresse sans me toucher, juste en passant sur moi leurs petits bouts de tissu humides.
Elles se séparent et Joëlle se met à quatre pattes sur la table basse. Aurélie s'agenouille derrière elle et je comprends qu'elles aient bougé cette table. Elle est dans un axe tel que je ne peux avoir meilleure vue sur ce qui va suivre. Cette putain de blonde est magnifique et ma queue se raidit encore.
Aurélie s'empare de ses miches à pleines mains, les écartent pour dégager sa petite rondelle puis enfouit son museau dans la raie. Elle renifle, s'enivre de ce parfum anal, puis lèche à grands coups de langue. Elle la doigte pour l'ouvrir et pouvoir glisser sa menteuse musclée. Elle en est à quatre doigts et sa partenaire semble apprécier ce traitement.
Elle fouille dans la poche et en ressort un gode souple, en silicone rouge, environ 20x3.5. Elle le suce, crache dessus, et l'enfile aux 3/4 dans l'anus de Joëlle. Puis elle gobe le bout restant, mord dedans pour bien le maintenir et l'encule avec sa bouche prolongée en bite. De temps en temps elle retire le joujou pour le savourer en entier, puis le remet en place pour la matraquer de plus belle.
Elle le remet dans la poche et en ressort un autre couleur chair, encore plus souple, 40x4, avec un joli gland à chaque extrémité. Elle pose le gland à l'entrée du petit trou, salive abondamment dessus et enfonce cette longue tringle jusqu'à mi course. Elle lèche l'autre gland et me laisse profiter du spectacle. J'ai comme une crampe tellement je bande, je lâche les culottes, saisit ma trique douloureuse à pleine main, et me peigne tendrement la girafe.
Cette salope de blackesse redouble de vice. Elle engloutit le bout, et ses lèvres avancent sur le manche jusqu'à venir se coller sur l'anneau de sa copine. Elle reste un instant ainsi, se retire pour reprendre son souffle, et remets ça. Puis à plusieurs reprises elle mord dans le manche, va et vient, et l'enfonce un peu plus à chaque fois dans le fion de ma pute chérie. Elle se retire, et le gode déborde d'une dizaine de centimètre des miches de Joëlle. En d'autres termes, elle a trente centimètres dans le cul. Elle force sur elle même pour s'en débarrasser. J'ai les yeux rivés sur cette longue saucisse qui n'en finit plus de se retirer, et je bande encore plus.
Le toy est enfin expulsé, Aurélie s'en saisit et s'enfonce dans la gorge la partie toute chaude sortie du petit trou en feu de notre enculée. Puis elle le pose et attrape un troisième appareil effrayant.
C'est un gode ceinture, avec une énorme bite noire, 28x6, un gland gros comme un œuf de cane, et un manche bien veiné. Elle se le fixe solidement pour ne plus faire qu'un avec elle. Elle ouvre un tube de gel lubrifiant et s'en recouvre les mains avec sans doute l'intention de fister son amante avant de la sodomiser.
Trois doigts, quatre, le pouce, la main, et la pastille de Joëlle se referme sur son poignet. Joëlle pousse des petits cris mais l'encourage à continuer. Elle tourne sa main à l'intérieur, la retire dilatant l'œillet à l'extrême, puis la replonge.
Ma blonde gémit, jouit, en redemande.
Aurélie tient fermement son manche d'une main. Elle retire l'autre main du tube anal, et avant qu'il ne se referme enfonce l'énorme gland. Un pause de quelques secondes pour s'assurer que tout va, et lentement mais sûrement son enculeuse avance en elle. Ne reste que les quelques centimètres de la base qu'elle tient fortement pour avoir plus de force. Puis commencent de longs va et vient qui envoie sa petite chérie au septième ciel.
Je n'ai jamais été aussi bien. J'assiste à un spectacle réel, rien que pour moi, je suis à poil, je caresse amoureusement ma pine chérie. La petite noire mâte mon sexe:- Cette trique qu'il se tient ton mec, il ne faut pas le laisser comme çà. Tu vas le sucer salope, pendant que je t'encule.
Joëlle est debout devant moi, son amie en elle, et se penche sur mon sexe:- Cette bite mon salaud ! Je ne t'ai jamais vu aussi membré. Ca t'excite de me voir me faire défoncer par une fille de couleur, ou plutôt c'est elle qui te fait bander. Tu espérer te la faire en tête en tête, mais tu vois c'est moi qui vais profiter de l'effet qu'elle fait sur ta chienne de queue.
Elle me prend en bouche pour une pipe bienfaitrice dont elle a le secret. Elle est devenue experte et sais me faire gicler en quelques secondes, tout comme me faire durer des heures. Et là, elle semble partie pour longtemps.
C'est bien Aurélie qui me fait autant bander, et elle le sait la pute. Elle matraque ma blonde durant de longues minutes avec des insultes et des obscénités aussi vulgaires que les miennes. Puis elle se retire, et Joëlle en profite pour s'agenouiller et s'occuper encore mieux de mon entre cuisses.
La jeune black continue à m'allumer. Elle est assise sur le bord de la table, jambes écartées pour me montrer son joli abricot fraise chocolat nappé de chantilly maison. Elle caresse le gode, lèche le gland noir de sa longue langue toute rose, le gobe comme pour une auto fellation. Je banderai plus si je le pouvais, et pour plusieurs raisons:- Encore une fois je fantasme sur les noires, alors jeune, belle et vicieuse...........
- Je fantasme aussi sur les transsexuels, et elle en a tout l'air avec son manche.
- Enfin quand j'étais jeune et souple, j'arrivais à me la sucer, me faire jouir et avaler mon sperme. La voir m'y fait repenser, et je regrette de ne plus pouvoir le faire.
Je ne la quitte pas des yeux, et son spectacle est de plus en plus torride. Elle se lève et pointe son gland tout près de ma bouche. Je le gobe sans hésiter et me mets à sucer.
- Elle te plait ma grosse bite noire, montre moi comme tu pompes bien.
Je lui avoue que j'aime sucer, mais que sa bite est trop grosse. J'aime les belles queues, un peu molles, souples en bouche, malléables, et de taille raisonnable. Elle se débarrasse de son engin et prend le joujou à deux têtes. Elle se fourre la moitié dans la chatte et se plante devant moi. Je l'engloutis et, tout comme elle a farci sa copine avec sa bouche et ce gode, je la baise jusqu'à ce que mes lèvres viennent se souder aux siennes. Elle se retire, sort son toy, le remet par l'autre bout, m'offre la partie dégoulinante de mouille, et on remet ça. Elle se retire encore:- Tu ne t'es jamais fait sodomiser?
- Non, pas encore.
- Ca te plairait deux jolies filles pour t'initier?
- Oui, pourquoi pas, mais pas avec vos gros engins.
- Et il te faut quelle taille?
Joëlle a toute une panoplie d'objets que lui offre régulièrement le patron du sex-shop, pour services rendus. Je ne pense pas qu'elle en ait de petite taille, et je réponds 2 ou 2,5 pensant reporter l'échéance. C'est compter sans ces deux salopes qui ont tout prévu, y compris deux godes ceintures très minces qu'Aurélie va chercher. Je ne peux reculer.
Ma blonde est à fond dans sa turlutte, et n'a pas tout suivi. Sa copine lui explique, et elle change de rythme et de technique pour me faire jouir rapidement et tout avaler.
On va à la chambre. Je vais être leur pute.
Je suis à quatre pattes sur le lit, le cul à hauteur du bord. Joëlle est allongée cuisses ouvertes, et m'offre sa choune détrempée à dévorer. Aurélie est à genoux sur le sol, derrière moi, et me prépare la rondelle. Elle me lèche, me doigte en douceur, me fouille de sa langue, me fait du bien. Puis elle s'empare d'un des deux toys et à petits coups, toujours en douceur, finit par me l'enfoncer en entier. Elle invite alors Joëlle à s'équiper avec l'autre, pour être la première à me dépuceler, et vient prendre sa place sur le lit. Ses longues jambes se referment sur ma tête, et je suis prisonnier de son étau de chair. Ma petite blonde a libéré mon trou pour s'y mettre, et commence ses va et vient. Elle est encouragée par sa copine:- Vas-y, encule le, casse lui le cul, il aime ça ce fumier. Matraque le comme il te fait, bourre le comme il te bourre, défoule toi, venge toi, il permet tout....................................
Le fait est que j'apprécie cette première. J'ai un peu crié au début, mais mes cris se sont perdus dans la petite grotte qui me bâillonne. Maintenant ce n'est que du plaisir et je regrette presque de n'avoir pas demandé plus gros; une autre fois. Ma maîtresse s'éternise entre mes reins, pour enfin capituler de fatigue. Elle a eu une semaine difficile, a un coup de barre, et nous propose de continuer sans elle.
Aurélie m'entraîne à la salle de bain, où il y a une grande glace qui nous reflète jusqu'à mi-cuisses, et ferme la porte. On chuchote pour ne pas faire de bruit:- Alors ça t'a plu de te faire mettre?
- Génial, si j'avais su j'aurais essayé avant.
- On va rattraper le temps perdu. Je vais t'enculer debout devant la glace, et tu vas te voir en pédé vicieux.
Elle s'équipe et m'introduit sans attendre. Elle est aussi grande que moi, et je la sens bien profond. Me voir me faire enculer par cette belle femelle double le plaisir physique, et je trique de bonheur.
- Tu bandes salope, branles toi, je vais te tringler jusqu'à ce que tu jouisses. Préviens-moi, je veux que tu décharges sur mes seins et que tu bouffes tout.
On fait comme elle dit. Elle me lime, m'insulte, je me masturbe, elle se retire à mon appel, s'agenouille et je gicle sur ses superbes globes. Elle se relève et je la nettoie, savourant ma liqueur.
Joëlle dort profondément, et on va se coucher, sagement, dans la seconde chambre.
Après une nuit de repos, on se réveille avec la même envie: s'enculer, se faire enculer. On allume la lumière, elle s'appareille et me baise. Ma blonde nous rejoint, et s'équipe elle aussi. On est couché sur le côté, la black derrière moi, bien ancrée, et elle se couche devant moi, de dos, offerte. Je la prends, et me retrouve en sandwich dans le rôle de l'enculé enculeur. On se retourne régulièrement et je me fais sodomiser par l'une et l'autre tout en ramonant l'autre et l'une. Après une longue séance je sens que mon plaisir vient, et elles me sucent toutes les deux et se partagent mon offrande.
J'avais prévu 24h avec une, et je me retrouve pour 48h avec les deux. On n'est que le samedi matin et mon week-end est loin d'être fini. Ces petites salopes ont du me prévoir d'autres réjouissances.

A suivre.......................