Trio inattendu, flashback

- Par l'auteur HDS Lolo-Bi -
Récit érotique écrit par Lolo-Bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Trio inattendu, flashback Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2017 dans la catégorie Plus on est
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Trio inattendu, flashback
Ce voyage de retour commence bien mal… En ce mois de septembre, de gros orages à Denver perturbent tous les vols, et je vois que j'ai pas mal de chance de louper ma correspondance à Atlanta pour rentrer sur Paris. J'essaye d'avoir des nouvelles au comptoir de la compagnie aérienne américaine sur laquelle j'ai mon billet, mais ils ne savent rien et à mon avis ils se fichent pas mal du pauvre français que je suis. Je ne m'éloigne pas trop du comptoir pour essayer d'être informé, et c'est comme ça que je repère un couple de français qui devait prendre le même vol entre Atlanta et Paris.
On commence à échanger notre pessimisme sur la situation, et on fait connaissance. Ils s'appellent Laurent et Isabelle, ils ont tous les deux 35 ans. Laurent est grand est bronzé, plutôt élancé et musclé. Isabelle est très belle, grande et avec ses longs cheveux noirs et une peau mat, elle a une poitrine généreuse qu'elle met en valeur dans un T-shirt moulant juste ce qu'il faut et un short en jean à l'américaine, c'est à dire assez court… Moi c'est Patrick, j'ai 38 ans, je suis marié avec une femme que j'adore et qui m'a donné deux beaux enfants. Je suis également plutôt grand avec mes 1m80, et plutôt svelte puisque je pèse 69 kg, et je suis brun aux yeux verts.

On nous annonce finalement que notre vol partira avec au moins 2h30 de retard, mais que des orages à Atlanta perturbent également le trafic et on espère toujours pouvoir attraper notre correspondance. En attendant d'embarquer, on va prendre un verre et on commence à discuter.

Je demande à Laurent :
- Alors, que faisiez vous à Denver ?
- On a profité d'être sur la côté ouest pour s'arrêter sur le chemin du retour dire bonjour à ma sœur qui vit là. Elle ne connaissait pas encore Isa et c'était l'occasion. Sinon, on finit nos vacances, on était à Los Angeles et Sans Diego pendant presque 3 semaines c'était génial. On a eu un temps superbe.
- La région est top, vus avez dû vous régaler. Sans compter les plages du Pacifique, paradis des surfeurs.
- Tu ne crois pas si bien dire. On a visité la région, mais on a surtout bien profité des plages.
Laurent et Isabelle se regardent d'un air complice et ils se rendent compte que je l'ai remarqué, aussi Isabelle ajoute avec un grand sourire :
- Ce que Laurent ne te dit pas, c'est que l'on est naturistes tous les deux, et on a fait toutes les plages naturistes de la côte, et on a même surfé nu, il y a des groupes spécialisés qui existent pour ça ! C'était vraiment une expérience inoubliable… Tout le monde ne comprend pas, il faut avoir essayer au moins une fois pour ça. Je ne te choque pas j'espère ?
- Eh bien le surf, je n'ai jamais essayé, donc nu encore moins, mais tout nu sur la plage, ça j'ai bien profité quand j'étais plus jeune ! J'ai arrêté, à regret d'ailleurs, parce que ma femme n'aime pas trop, ce que je respecte aussi d'ailleurs, mais pendant 4 ans, quand j'étais étudiant à Bordeaux, on était une bande de potes et quand le temps le permettait, on se retrouvait tous sur les plages de la région où on pouvait se mettre à poil. J'avoue en garder un excellent souvenir...

Et puis, on passe à autre chose sans insister, tout naturellement, et on sympathise plutôt même, peut-être rapprochés par cette pratique du nudisme qui nous donne probablement le sentiment d'appartenir à une même communauté. J'apprends qu'ils sont mariés depuis 6 mois, qu'ils n'ont pas d'enfants et qu'ils ont pour ambition de faire le tour de la Terre pendant leurs vacances, pour se cultiver et se dépayser, et aussi justement pour découvrir les plus belles plages naturistes du globe ! Je suis amusé par leur franchise et leur décontraction, et on passe un bon moment en ne voyant pas le temps passer. On finit par embarquer et par décoller avec 5 heures de retard pour Atlanta, où on arrive finalement à 22h30, et où on découvre presque sans surprise que notre avion de retour est parti sans nous. Où cela devient encore moins drôle, c'est que l'on ne peut pas récupérer nos bagages, et qu'il faut voir comment on va faire pour rentrer en France… On trouve finalement à l'autre bout de l'aéroport un comptoir encore ouvert, qui arrive à nous recaser sur un vol retour le lendemain à 10h30. Il est 23h30, et il faut trouver un hôtel où dormir, car on doit se débrouiller seuls, la compagnie aérienne n'étant pas responsable des intempéries qui ont retardé les vols. On prend un taxi qui nous amène à un premier hôtel qui est complet, car beaucoup de personnes se sont retrouvées dans notre situation à Atlanta, qui est un gros point de passage aux États-Unis. On va donc à une deuxième, puis un troisième hôtel, et là même scénario. On commence à se demander comment on va faire… Au quatrième hôtel, le réceptionniste nous indique qu'il ne lui reste qu'une seule chambre, double, et que l'on peut la partager. On se connaît depuis bien peu de temps, mais dans la mesure où l'on a sympathisé, et où on se retrouve dans la même galère depuis une grosse demi-journée, on accepte de faire contre mauvaise fortune bon cœur.

Voilà comment tout a débuté… Avec un peu de recul, j'aurais dû voir que je prenais des risques à partager une chambre d'hôtel avec des inconnus, mais la fatigue était trop forte et je me suis laissé embarqué dans une situation qui allait bientôt dégénérer.

Ça a commencé très vite quand on a déterminé l'ordre de passage à la salle de bains : d'abord Isabelle puis Laurent, et moi en dernier. Après qu'elle a fini sa douche, Isabelle revient dans la chambre enroulée dans une serviette, portant à la main ses vêtements :
- Je ne veux pas dormir dans les vêtements que j'ai déjà portés aujourd'hui, et que je vais devoir remettre demain vu que l'on n'a plus nos valises, donc cette nuit, je dormirai toute nue. Vous voyez une autre solution ?
- Non, tu as raison ma chérie, mais c'est vrai que c'est un peu gênant pour Patrick. Ça ne t'ennuie pas ?
- Je n'y avais pas pensé, mais c'est vrai que je ne me vois pas non plus rester dans mon jus, surtout sachant que je vais déjà devoir reprendre les mêmes sous-vêtements demain ? Non je ne vois pas d'autre solution. Ne vous en faites pas, on fait comme on peut...

Tout naturellement, Isabelle va défaire sa serviette à la salle de bain, et elle traverse la chambre nue pour aller se coucher. Je fais comme si de rien n'était, mais je reste quand même scotché par son aisance et sa beauté, sa peau uniformément bronzée et aussi son épilation intégrale… Alors que Laurent va à la douche, elle se glisse juste sous un drap qu'elle remonte au niveau du ventre, et on continue à bavarder. Je peux mater sans vergogne sa belle poitrine, avec des petits mamelons dressés qui donnent envie de les lécher, je dois bien me l'avouer… Quand Laurent sort à son tour 1/4 d'heure plus tard, il est également nu, et je remarque qu'il est également tout bronzé et tout épilé, ainsi que sa bite de belle taille. Rien de bien étonnant non ? Je file vite me doucher à mon tour, et sachant que je vais devoir faire comme mes compagnons de chambrée, et que j'ai un peu peur de laisser entrevoir une excitation, je décide de me masturber sous la douche pour évacuer un trop plein d'énergie sexuelle qui s'accumule depuis les 5 jours que je viens de passer seul à l'hôtel. Tout ceci n'est pas très glorieux, j'en conviens bien, mais que puis-je faire d'autre ?
Je prends soin de finir ma douche par un bon jet froid sur mon entre-jambes afin d'en diminuer un peu le volume, et je ressors donc aussi naturellement que possible en tenue d'Adam pour aller jusqu'à mon lit.

Je remarque que Laurent et Isabelle sont allongés sur leurs draps. Laurent fixe mon regard et je m'arrête devant leur lit :
- On a trop chaud dans cette chambre, et la climatisation semble ne pas fonctionner. Ça ne te gêne pas trop que l'on reste nus sur notre lit j'espère ?
- C'est quand même une situation un peu exceptionnelle, c'est bien le première fois que je dois partager une chambre d'hôtel avec un couple et que l'on est tous nus. Mais je dois bien reconnaître aussi que je ne vois pas d'autre solution. Et puis, je suis plutôt bien tombé je dois dire, j'aurais pu tomber sur des vieux obèses, ça aurait été moins plaisant…
- C'est gentil merci ! Tu semble plutôt pas mal non plus, et aussi gâté que moi par la nature. J'ai remarqué ta belle marque de maillot, mais tu pourrais presque venir sur une plage naturiste avec ton épilation partielle qui laisse juste des poils au niveau du pubis. C'est très tendance !
- Ah, oui, ma femme n'aime pas trop les poils sur la langue… C'est pas que je vous mate plus que ça, mais j'ai remarqué que de votre côté, outre le fait qu'il n'y a pas de marque de maillot, ce que je pouvais déjà deviner, il n'y a pas de plus du tout de poil.
- Oui, c'est vrai que c'est assez répandu chez les naturistes aujourd'hui. Aller, essayons de dormir jusqu'à demain maintenant.

Et je m'allonge également sur mon lit. Je me mets sur le ventre, et ne tarde pas à m'endormir malgré une certaine excitation que je commence à sentir revenir. Pourtant, vers 5h30 du matin, je me réveille, à cause de bruits qui m'interpellent. Je me suis retourné pendant la nuit et je suis maintenant allongé sur le dos. Je tourne doucement la tête vers le lit d'à côté, et comme il ne fait déjà plus nuit dans la chambre, parce qu'un peu de lumière filtre à travers les double rideaux, je peux admirer Laurent, qui est à quatre pattes penché sur le minou de sa femme qu'il bouffe sans vergogne. Je peux apercevoir sa bite bien droite qui pend sous son ventre, et ce sont les cris étouffés d'Isabelle qui m'ont réveillé. Je n'ose pas bouger de peur de les alerter sur mon réveil, mais je sens ma bite qui se dresse inexorablement ! Sans réfléchir plus que ça, ma main droite vient la caresser doucement, sans pour autant que je me masturbe ouvertement. Mais cela suffit pour attirer l'attention d'Isabelle. Elle me regarde sans gêne aucune, avec un air de défi qui ne fait que renforcer mon excitation. Au bout d'un moment, elle demande à Laurent d'arrêter, et après lui avoir fait signe de me regarder, elle se lève et s'approche de moi.

Si je ne sais plus quoi faire, ce n'est pas son cas : elle se rapproche encore de moi et vient se saisir de mon sexe pour le caresser doucement. Elle s'adresse à Laurent :
- Tu viens m'aider ? Je suis certaine que Patrick va bien aimer ! Laisse toi faire, Laurent et moi on aime bien partager du plaisir avec d'autres. Tu n'as rien à craindre, on est parfaitement sain. Toi aussi ?
- Oui, bien sûr. Je n'ai pas l'habitude de tromper ma femme, je ne sais pas ce qui m'arrive là…

Isabelle ne prend pas le temps de me répondre, elle se penche maintenant au dessus de moi et vient me prendre dans sa bouche. Laurent l'a rejoint, et à ma plus grande stupéfaction, il me suce aussi la bite, qu'ils se partagent en alternant des passages sur mon gland, tout le long de mon manche et jusqu'à mes couilles. A ce moment là, je retourne des années en arrière quand j'étais étudiant en colocation avec Eric. En un flash de quelques secondes, je revis nos parties de sexe avec nos copines respectives, lorsqu'elles nous avaient amenés à nous mélanger tous les 4, réussissant même à nous inciter à nous sucer mutuellement avec Eric. Après plus de deux ans de cohabitation amicale et standard (hormis peut-être nos escapades sur les plages naturistes), on avait vécu 9 mois plutôt rock’n’roll, pendant lesquels on avait tout essayé tous les 4, 2+2 dans tous les sens, 3+1, … tout ce que vous pouvez imaginer... Nos relations entre Eric et moi étant par contre limitées à une fellation entre hommes de temps en temps, que nous disions ne pratiquer que pour faire plaisir aux filles, qui de leur côté ne se faisaient pas prier pour se lécher la chatte… Ce n'était pas tout le temps comme ça, mais il faut bien avouer que cela tournait à l'orgie régulièrement ! Et puis, à trois semaines de la fin définitive de notre collocation, c'était en juillet et nos copines étaient parties en stage d'été et on était seuls avec Eric, les choses ont pris une tournure encore plus incroyable. Il faisait une chaleur épouvantable, et on vivait quasiment tout le temps à poil dans notre appartement, sachant que le reste du temps, on allait souvent à la plage, seuls ou en groupe, et où on était nus également, les plages de l'Atlantique étant propices à ce mode de vie. Tout ça pour vous dire que, je ne me souviens plus comment c'était arrivé, mais on s'était mis à se sucer avec Eric, alors que l'on était que tous les deux, et donc sans le prétexte de faire comme nos copines. Sûrement le besoin de sexe, et le fait que l'on avait commencé à apprécier nos bouches respectives. Et puis, on avait également pris du plaisir à en donner, il ne faut pas se le cacher. J’avais bien senti ma bite durcir en suçant Eric, et que la sienne était aussi bien raide quand il me rendait la réciproque. On a tenu comme ça deux semaines, pendant lesquelles on se suçait, on se touchait, on se passait la main entre les fesses , en insistant même un peu sur la rosette… On en était aussi à avaler après l'expérimentation de gorges profondes... Aussi, une semaine avant de quitter notre colocation quand Eric m'avait demandé de l'enculer, je n'en avais pas été plus surpris que ça. Le point de départ avait été d'en parler au sujet des filles, que l'on prenait en sandwich l'une ou l'autre de temps en temps, et du plaisir qu'elles semblaient y prendre. On savait donc comment préparer l'anus de notre partenaire, avec la langue, puis en le travaillant doucement avec les doigts pour l'assouplir, ce que j'avais donc expérimenté sur Eric, visiblement pour son plus grand plaisir. Eric n'avait pas eu plus mal que ça quand je l’avais pénétré, et il avait surtout pris un pied monumental, ce qui m'avait incité à lui demander la réciprocité le soir même ! On avait passé ainsi une semaine complète dans la peau d'un couple gay, pendant laquelle on avait passé beaucoup de temps au lit et dans les dunes, à expérimenter toutes sortes de positions… Pour moi, cela avait été mon unique expérience de ce genre, car je m'étais mis en couple avec une fille 2 mois plus tard. Je n'évoquais d'ailleurs jamais ma période de vie et surtout de sexe à quatre, et encore moins de ma semaine de plaisirs homosexuels, pourtant au fond de moi, j'étais assez fier d'avoir essayé tout ça, et aussi d'avoir pris autant de plaisir, avant de me ranger.

Tout ça me revient comme un flash, d'autant plus vite qu'au bout de 5 minutes, Laurent abandonne ma bite pour me présenter la sienne ! Devant mon hésitation, c'est Isabelle qui s'arrête et qui me demande :
- Laurent t'a sucé lui, tu ne veux pas essayer ? Tu verras, c'est amusant d'avoir une bite dans la bouche.

Pour toute réponse, je me décide à l'avaler et je commence à le sucer avec ardeur. La technique revient vite. Et je sens que je bande encore plus dur.
- Hum, tu suces super bien Patrick. C'est ta première fois ?
- Non, mais c'était il y a longtemps…
- Tu as de l'expérience, ça se sent.
- Il ne fait pas exagérer, et puis, c'était toujours avec le même mec.
- Tu entends ma chérie, y'a pas que moi qui ai aussi testé les mecs, voilà un point commun intéressant !

Et pendant que je le suce, je sens Isabelle qui descend sa langue jusqu'à mon anus. Elle le lèche et y enfonce sa langue, ce qui me rend raide dingue. J'avais oublié comme c'est bon de se faire lubrifier le fion. Elle y enfonce bientôt un doigt, puis revient avec sa langue avant d'y mettre un deuxième doigt. Je gémis de plaisir, totalement abandonné à ce couple qui m'a ramené bien des années en arrière et à des plaisirs que j'avais voulu oublier trop vite. Bientôt, Isabelle s'arrête et elle remonte face à moi. Elle s'allonge sur le côté, et elle vient m'embrasser. Elle se saisit alors de mon sexe pour se l'enfoncer dans le vagin. Je sens Laurent qui vient derrière moi, et je devine ce qui va se passer… Je peux sentir sa bite qui est bien dure entre me fesses, et ses doigts qui s'enfoncent dans mon cul en y ajoutant encore de la salive. Bientôt, son gourdin se positionne sur ma rondelle, et il pousse doucement pour s'enfoncer en moi jusqu'aux couilles. Je pousse un cri de plaisir et de douleur, ça faisait trop longtemps que je n'avais pas goûté à ce plaisir défendu. Pendant ce temps, Isabelle s'impatiente, et je m'active en elle en la caressant tout le long de son corps. C'est moi qui fait tout le boulot au final : je vais et je viens en elle en ondulant du bassin, ce qui me fait coulisser le long de la bite de son mari. J'entends leurs gémissements, je sens leur chaleur et leur peau contre la mienne, et leurs sexes emmêlés avec moi. Je ne tiens pas longtemps à ce rythme là, et je ne peux pas m'empêcher de me libérer en éjaculant abondamment en Isabelle. Je reste comme ça encore quelque minutes, tandis que Laurent continue de me pilonner, il a une endurance plus forte que la mienne.

Puis, Isabelle prend les devants, elle se libère de mon emprise, et me fait mettre à quatre pattes entre ses jambes pour lui lécher le minou, et le nettoyer de mon propre sperme, tandis que Laurent se replace derrière moi pour mieux m'enculer avec force. On tient encore une dizaine de minutes, et je sens que Laurent est bientôt prêt à exploser à son tour. Malgré mon éjaculation d'il y a peu, je rebande tellement c'est bon. Alors que ma langue s'occupe avec application de son clitoris, tout en léchant de temps en temps mon foutre qui s'écoule de sa chatte, Isabelle se met à trembler dans un orgasme bruyant, et Laurent me lâche enfin une série de giclées de sperme dans le cul. Il s'écroule contre moi, la queue toujours au plus profond de mon cul. On reste ainsi quelques instants, le temps de reprendre nos esprits, et puis Laurent se retire, et on remonte à la hauteur d'Isabelle. Ils s'embrassent tous les deux, puis Isabelle m'embrasse à mon tour, alors que Laurent me donne un baiser dans le cou et m'enlaçant dans ses bras, sa bite maintenant flasque collée entre mes fesses, et en me disant :

- C'était fort tous les trois, et tu as été formidable Patrick. Ça va, tu as aimé ce moment aussi ?
- Oui, je ne peux pas dire le contraire, ça m'a ramené plus de quinze ans en arrière, et ça m'a rappelé à ma bisexualité profonde, c'est comme ça. Je ne suis pas très fier si je pense à ma femme, mais je n'ai pas vraiment le sentiment de l'avoir trompée en fait, comme je l'aurais si je l'avais fait avec une autre femme. J'ai eu trop de plaisir, vraiment. Mais de votre côté, ça ne vous dérange pas de partager vos corps avec un autre ?
- Avec Laurent, on était déjà très libre avant de se rencontrer, et on n'a jamais caché notre part de bisexualité à l'un et à l'autre. Et si on s'aime si fort, c'est justement parce que l'on sait que cela va au-delà d'une partie de jambes en l'air à trois comme aujourd'hui.
- Vous avez bien de la chance, mais je pense que votre situation est quand même un peu exceptionnelle.

Vu qu'il est déjà 6h30, on passe à la salle de bains. J'y vais le premier, puis Isabelle et Laurent y vont ensemble, et je décide de m'allonger un moment pour me reposer. Je suis interrompu dans mes pensées par Isabelle qui m'appelle. J'entre donc encore nu dans la salle de bains, pour les retrouver. Sans rien dire, Isabelle et Laurent s'agenouillent pour me sucer la bite. Je leur présente à tour de rôle, et chacun d'eux me pompe avec application, tout en me caressant avec douceur. Ce massage à deux bouches et quatre mains m'excite au plus haut point, et je bande vite comme un âne. Isabelle s'interrompt pour me dire :
- Laurent a envie d'un bonus lui aussi, et on pense que tu y trouveras tout le plaisir que tu mérites avant que l'on reprenne l'avion et que l'on se sépare.

Et puis, elle passe derrière son mari pour lui bouffer l'anus, tandis que ce dernier continue à me pomper. Au bout d'un moment, Isabelle se relève et me fait signe que je peux y aller. Laurent pose ses mains sur le lavabo, et se penche en me tendant son cul. Sa bite dure pend déjà entre ses jambes. Je m'approche de lui, et je ne résiste pas à lui fourrer à mon tour ma langue dans son anus, et à le préparer pendant quelques minutes avec ma salive. Puis je me relève, et je me positionne derrière lui, la bite dressée qui arrive au niveau de son petit trou. Je n'ai aucune peine à entrer. J'y vais progressivement, puis très fort. Je ressors et j'entre brutalement, et à chaque fois il pousse un petit cri de plaisir. Pendant ce temps, Isabelle est assise par terre, et elle se masturbe avec beaucoup d'application. Tandis que Laurent et Isabelle se branlent l'un et l'autre, j'accélère un peu et je finis par me lâcher au plus profond de Laurent, qui ne tarde pas à jouir à son tour. Isabelle était déjà haletante de son côté. Ça faisait bien longtemps que je n'avais enculé quelqu'un, fille ou garçon, et j'avoue que c'était carrément trop bon !

On repasse à la salle de bains, puis on s'habille en remettant nos vêtements de la veille pour repartir à l'aéroport. Comme on est loin dans l'avion, on ne se revoit pas pendant le voyage, et on se retrouve juste autour du tapis de livraison des bagages, qui ont miraculeusement réussi à nous suivre. Devant tout le monde, on ne fait pas preuve d'intimité, et on se quitte comme ça, comme on s'était rencontré. De mon côté, j'ai retrouvé ma vie d'avant, mais j'ai décidé que cet été, j'insisterai auprès de ma femme pour laisser les enfants une semaine chez ses parents, pour que l'on aille tous les deux sur la côte atlantique. J'ai bon espoir de lui faire tester le naturisme, et avec un peu de chance, j'arriverai peut-être à la convaincre de mater tous ces gens à poil pour que ça lui donne des idées de plaisirs pluriels...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Décidément j'enchaîne tes histoires et ça me parle tellement ces frivolités.
Juste se faire baiser le cul a répétition bouffer du sperme, s'endormir collés à un autre corps masculin et recommencer
Soumettre et se soumettre
J'ai connu ça, avoir le cul défoncé et laisser le jus s'écouler lentement
Montre qu'elle salope je suis dans ces moments là

Histoire Erotique
Très bandant...!!!
J'ai giclé partout sur mon torse...
J'aimerais bien croiser un couple comme ça, ou meme vivre cette situation en compagnie de ma femme...

A bientôt par mail j'espère...



Texte coquin : Trio inattendu, flashback
Histoire sexe : Une rose rouge
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