Trio sonore - histoire érotique

Tu m'appelles:
- Viens. Je veux te présenter Jordan.
Je sors de mon bureau. Tu te trouves dans l'entrée, la porte ouverte et un jeune dans l’entrebâillement.
Je m'approche.
- Jordan travaille à l'école. Il est animateur. Tu veux bien nous ouvrir une bière, mon chéri.
Je m'exécute, en montrant un léger agacement, que tu ne laisses pas passer.
- Et bien! Ton sens de l'hospitalité!
Je bafouille, sous ton regard amusé.
Nous discutons de banalités, mais je sens à ton regard vicieux que tu attends de trouver la façon de profiter de la situation.
En douce, tu me montres tes mains en faisant allé et venir ton index droit dans ta main gauche. Tu fais ce geste explicite pour me parler de sodomie. Plus clairement, quand tu me sodomises. Mais jamais en présence de quelqu'un!
Ton invité, dont je ne m'explique toujours pas la présence, voit tes bras bouger, et d'un pas sur le côté, prend connaissance de tes gestes.
Faussement confuse, tu lui expliques sans aucune pudeur que nous avons nos petits jeux coquins.
Je me demande s'il a compris que c'est toi qui me prends, et pas l'inverse. A ton sourire narquois quand tu me regardes, qui ne lui échappe pas j'imagine qu'il a compris.
Je ne sais pas où me mettre et d'un geste maladroit, je renverse ma bière sur mon tee-shirt et mon pantalon. Alors que je commence à éponger, tu me dis d'un ton autoritaire:
- Tu iras te changer, dans la salle de bain du couloir, je t'amène des vêtements.
Je ne réfléchis pas, je me dis que tu dois avoir une bonne raison. Je vais me déshabiller dans la salle de bain. Je t'entends parler avec Jordan. Tu parles fort, comme pour que je t'entende de la salle de bain toute proche.
- Comme tu le vois, c'est moi qui porte la culotte dans notre couple. Quoique, parfois c'est elle!
Tu viens de parler de moi au féminin. Tu ne fais ça que lorsque nous sommes tous les deux, habituellement. Ça a un effet boeuf sur moi: je sens mon sexe se gonfler, à l'étroit dans mon boxer.
- D'ailleurs, je dois lui ramener des vêtements.
Tu vas dans notre chambre, et je t'entends frapper à la porte de la salle de bains. Quand j'ouvre, je vois des dessous sexy dans tes mains, exposés au regard amusé de ton invité.
- Enfile ça.
Tu me toises avec un sourire en coin, comme si tu savais que la situation m'excitait et que j'allais céder.
- Mais ce sont des dessous féminins! Dis-je pour garder une certaine contenance.
- Enfile ça, vite...
Tu me les lances, je les rattrape, tu refermes la porte. Ces dessous sont très sexy, tu les as achetés pour moi, et j'adore les mettre pour t'exciter.
Je t'entends retourner à ton invité.
- Tu vois, elle fait ce que je lui dit.
- Tu parles de ton mec?
- Oui, bien sûr, qui d'autre? C'est un bon mari soumis.
- Tu l'as bien en main, on dirait!
- Tu n'imagine même pas! Il suffit que je lui parles de le baiser pour qu'il fasse ce que je veux.
Tu dévoiles par des paroles outrageuses notre vie sexuelle à ce mec que je ne connais que depuis 10 minutes, et qui s'amuse de la situation. Il te répond sur le ton du défi, et sûrement avec des idées salaces derrière la tête:
- Arrête, je ne te crois pas...
Tu n'attendais que ça : être défiée de montrer ta domination sur moi.
- Tu vas voir.. J'ai même ma petite collection de godes... pour lui...
Ton récit me scandalise, mais ma queue durcit de plus en plus.
- D'ailleurs, tout ça m'excite, Jordan. Ressers-toi une bière, j'en ai pour un petit quart d'heure avec lui. Mets toi à l'aise et profite bien...
Je n'ai que ces dessous que tu m'as donnés, et une envie de rentrer dans ton jeu, malgré la présence de Jordan. Je les enfile, alors que je t'entends fouiller dans notre chambre.
Quelques secondes plus tard, tu ouvres la porte de la salle de bain avec un gode de belle taille dans la main, encore une fois bien en évidence pour que ton invité le voie.
Je me console en me disant qu'au moins il ne peut pas me voir, moi, d'oû il est: je suis en string, porte-jarretelles et bas. J'ai même mis la nuisette, pour me faire désirer.
Tu parles toujours fort, pour qu'il entende:
- Quelle belle salope! On dirait que tu es prête à tout, ma cochonne!
Je ne sais pas oû me mettre. Mais ma bite me trahit, en sortant de mon string comme un ressort, tant tes mots me tiennent en laisse.
Tu avances dans la salle de bain.
- Tu aimes que je te traite de salope?
Je bafouille, tout bas:
- Oui Maîtresse.
- Comment?
- Oui Maîtresse
- Plus fort, on n'entend rien!
- Oui Maîtresse, j'adore que tu me traites de salope!
J'ai crié, presque en gémissement, tant la situation est troublante.
Ta main s'abat sur me fesses, en une claque sonore.
J'entends un rire moqueur qui vient de la cuisine.
- Appui toi contre le lavabo et montre moi ton cul. ECARTE LES JAMBES.
Le ton que tu as pris est sans appel. Je pense à Jordan qui va tout entendre, mais ton autorité et mon désir sont trop forts.
Je tends les fesses vers toi.
- Écarte tes fesses, avec tes mains.
J'allonge mon torse sur le lavabo et j'ouvre mes fesses, en me cambrant spontanément.
- Tu as un beau cul de pute, je vais bien m'en occuper.


Tu enduis le gode de vaseline, et tu le ballades dans ma raie en tenant des propos obscènes :
- Qui est-ce qui veut un bon gode au fond de son cul? C'est ma petite pute? Dis que tu es ma petite pute.
- Je suis votre pute, Maîtresse
- Dis-le à Jordan.
C'est la première fois que tu le fais entrer directement dans la scène. Cela redouble mon envie de me laisser aller à ma soumission.
- Je suis sa petite pute!
Tu jubiles et ton emportement me vaut une pénétration soudaine, heureusement pas trop profonde, qui m'arrache un cri aigu. Je n'aurait pas dû, je sais que cela t'excite au plus haut point.
- Oui, couine ma salope, prends ça.
Tu m'enfonces lentement le gode de plus en plus profondément, en commençant dès mouvements de va et vient.
- Branle toi, maintenant, et jouis dans le lavabo.
Tu arrêtes de bouger le gode subitement.
- Tu sais qu'il va falloir lécher ton sperme, après. Hein? Tu le sais!
- Oui Maîtresse, je le ferai. Encore, s'il vous plaît...
Je gémis et bouge les fesses. Tu recommences en accélérant progressivement, puis de plus en plus fort, jusqu'à enfoncer le gode en entier dans mes fesses, que tes mains viennent taper à chaque coup de boutoir...
J'explose en recouvrant le lavabo d'une énorme quantité de sperme.
Tu appliques une pression de ta main sur ma tête, en me disant:
- Bonne pute, nettoie maintenant.
Alors que je m'affaire à lécher le lavabo, tu me dis en quittant la salle de bain.
- Je vais raccompagner notre invité.
Je t'entends t'exclamer de retour dans la cuisine.
- Mais on dirait que ça t'a plut, Jordan! Elle est belle...
Jordan ne dit rien. Mais je devine, qu'il a sorti sa bite et s'est branlé durant la scène auditive à laquelle il vient d'assister.
- Continue de te branler, enfin! Ne sois pas timide! Tu vois, Jordan, il ne faut pas me provoquer. Si on avait parié, je peux te dire que tu aurais eu un gage plutôt salé! C'est mon mari qui aurait apprécié...
Ton intonation laisse entendre que tu aurais aimé que ce soit le cas.
- Tu auras le droit de revenir nous voir, mon mari et moi. Mais avant cela, j'aimerai que tu te branles bien fort et que tu jouisses par terre.
Alors que je continue de nettoyer le lavabo, J'entends son souffle s'accélérer, ses gémissements étouffés, et soudain un grand râle suivi de soupirs profonds et entrecoupés.
- Je vois que tu as TRES envie de revenir, dis-tu d'un ton moqueur.
En le raccompagnant à la porte, je t'entends lui dire:
- Tu m'as bien salopé la cuisine, Jordan. Ça passe pour cette fois, mon mari va nettoyer. Mais la prochaine fois, je te trouverai un endroit beaucoup plus adapté pour décharger tout ça.
A cet instant, nous savons, Jordan et moi, que tu as envie que nous fassions connaissance de façon beaucoup plus intime...