Triolisme 3 - histoire érotique

Ma préférence marqué pour le triolisme a débuté dès mon très jeune âge.
En effet, j'ai été initié par une gardienne qui je crois avait 28 ou 29 ans. Elle avait de gros sein et je dois le dire, un assez gros cul dans lequel ma queue et celle de mes cousins s'est retrouvé plus d'une fois.

Cela me suit depuis lors et j'aime, que dis-je, j'adore faire l'amour à une femme avec l'aide d'un autre partenaire. Pour moi, rien n'égale un bon trio homme/homme/femme. Ma gardienne m'a enseignée qu'une femme doit absolument être comblé avant que l'homme n'arrive lui-même à l'extase. J'ai donc développé une technique de retenu plutôt hors du commun et mes partenaires sexuelles en bénéficies.

J'ai donc continué mon évolution sexuelle en essayant de reproduire les expériences à trois le plus souvent possible. Je dois vous avouer qu'au début cela n'a pas toujours été facile mais au fil du temps c'est devenu de plus en plus facile étant donné que mes amis connaissant mon gout pour le triolisme font souvent appel à moi car en plus de mes performances, je suis extrêmement discret. La discrétion est une chose assez recherché pour un couple qui s'adonne à des pratiques sexuelles différentes.

Un de mes grand ami s'était récemment mis en couple avec Aline, une charmante petite femme. Elle avait une petite taille très fine avec un petit cul et des fesses que tout homme normalement constitué ne pouvait faire autrement que regarder.

Mon ami Serge que j'avais rencontré dans un bar m'avait invité à aller prendre un verre chez lui le samedi soir suivant cette rencontre. Il me dit que ce serait une bonne occasion pour rencontrer Aline que je ne connaissais pas encore à ce moment là. Le fameux samedi soir arriva et me voici sur le pas de la porte et juste au moment ou je m'apprêtais à frapper, celle-ci s'ouvrit et Serge à demi nue me fit signe de ne pas dire un mot et de ne pas faire de bruit.

Il m'entraînât dans le couloir jusqu'à l'escalier qui donnait accès à l'étage ou la chambre se trouvait. Toujours en silence et sur la pointe des pieds, nous nous somme retrouvé devant une porte qu'il poussa et là sur le lit il y avait une femme les mains et des pieds attaché avec les yeux bandés. Il me fit signe de m'approcher d'elle et d'entré en action en me montrant sa langue. WOW quel entré en matière pour la première rencontre de sa femme. Couchés sur ce grand lit qui semblait un lit de géant tellement elle était petite étendu dessus.
J'ai retiré ma chemise afin qu'elle ne sente pas le tissu (mon ami était simplement en sous vêtement) et se rende compte de la supercherie. Je me suis placé entre ses jambes et j'ai commencé à lui lécher la chatte, Elle a rapidement commencé à bouger son bassin et ses mouvements on rapidement pris de l'ampleur. Sa respiration s'est accéléré et en seulement quelques minutes elle a jouit dans un mouvement saccadé qui n'était retenu que par ses liens.

Je me suis relevé et Serge lui a demandé si elle avait aimé et elle lui a dit qu'elle avait adoré et qu'il s'était surpassé cette fois-ci. Il lui a délié les pieds et il s'est placé sur elle pour enfiler sa bite bien tendu dans son jardin d'amour tout chaud et humide. Il la pistonnait pendant que je terminais de retirer mes vêtements. Aline était une femme très chaude et les vas-et-viens de Serge la chauffait au plus haut point et elle en redemandait. Il m'a fait signe et je me suis approché. J'ai commencé par prendre un sein en lui pinçant le téton et elle couinait comme une folle. J'ai alors changé de position pour commencer à sucer une tétine. Aline est comme sortie de son extase et a réalisé qu'un autre homme était présent dans la chambre.Elle a commencé à dire à Serge d'arrêter. Espèce de salaud, que fais-tu? Je vais vous poursuivre tous les deux pour viol, arrêtez immédiatement.

Je croyais que bien qu'elle ne savait pas que je serais là elle était tout démêle consentante à une telle surprise. J'ai regardé Serge  et il m'a fait signe de continuer que tout était OK. J'ai donc repris avec ardeur mon travail sur ses sein pendant que lui continuait à la pistonné. Ses cris de désaccord se son soudainement transformé en râlements. Elle en demandait plus et il n'y avait aucun doute qu'elle aimait ce que nous lui faisions. Pour quelques instants, j'ai eu très peur d'avoir commis un viol et ce n'était certainement pas mon intention. J'ai beaucoup trop de respect pour les femmes pour commettre un viol.

Elle demandait à ce qu'on lui détache les mains et aussitôt qu'elle a eu une main libre, plutôt que de retirer son bandeau elle m'a agrippé la queue et a commencé à me masturber. Finalement libre de ses liens, elle s'est replacé pour me prendre en bouche. Elle me taillait une pipe comme si sa vie en dépendait. Elle était affamée. J'ai senti que sa pipe devenait plus lente et détaché c'est à ce moment que j'ai réalisé que le pitonnage de Serge faisait son effet et qu'elle jouissait. Je l'ai laissé profité pleinement de cette jouissance. Quand elle reprit ses esprits elle s'est immédiatement jeter sur ma bite pour reprendre son travail d'experte. Mon ami s'est aussi approcherez et elle le prit en main tout en alternant d'un pénis à l'autre. 

Je me suis déplacé pour prendre place entre ses cuisses et j'ai commencer à introduire ma queue en elle pour la besogner à mon tour. Même après tout le travail déjà fait sur sa magnifique chatte, j'étais agréablement à l'étroit dans sa petite caverne d'amour. Elle s'est mise à jouir encore et encore sous les effets de mon pitonnage.

Une fois terminé, j'ai pris mes vêtements et je me suis retiré doucement de la chambre pour ensuite quitté les lieux. Une chose qui m'étonne encore à ce jour c'est qu'elle n'a jamais retiré son bandeau même si elle aurait été en mesure de le faire à maintes occasions.

La semaine suivante, j'ai reçu un appel de Serge et une invitation à prendre un verre. Aline, qui avait souvent entendu parlé de moi,  voulait me connaitre. Je me suis donc présenté le samedi soir suivant et j'ai finalement été officielle présenté à Aline. 
Au cours de la soirée, l'alcool aidant, sa langue se déliait et étant donné que Serge était un mi d'enfance, Aline me dit être assez en confiance pour me demandé mon avis sur son aventure de la semaine précédente. 

Elle m'a demandé mon opinion sur le fait qu'un homme puisse attacher sa femme et lui faire subir un tel traitement. Elle a même dit qu'elle croyait que j'étais l'homme mystérieux qui avait aidé à ''abuser'' d'elle.

Après lui avoir assuré que non, je lui ai demandé pourquoi elle était tellement hors d'elle car selon ce qu'elle m'avait dit elle avait eu toute les chances de mettre fin à cette ''fâcheuse'' situation si elle l'avait vraiment désiré. Elle avait eu les pieds et les mains libre alors pourquoi n'avait-elle pas retiré le bandeau pour voir qui était l'autre homme?

Elle ne savait quoi dire. Je lui ai demandé si elle avait aimé et elle m'a avoué que bien qu'elle avait souvent fantasmé à ce sujet c'étai la première fois qu'elle faisait l'amour avec deux hommes et oui elle avait aimé. Alors quel était donc le problème si elle avait joui et si elle avait aimé. Elle nous avoua alors que sa peur venait du fait qu'elle ne connaissait pas l'identité de l'autre homme et que cela lui donnait une bizarre de sensation quand elle rencontrait un homme avec Serge. Elle se demandait toujours si la personne était celle qui l'avait si bien besogné. Elle aurait aimé être prévenu afin de se préparer. Je lui ai demandé si vraiment elle serait passé à l'acte si elle avait su et elle a avoué qu'elle ne croyait pas qu'elle aurait eu le courage de passer à l'acte.

Je lui ai demandé, maintenant qu'elle sait, si elle aimerait répéter l'expérience et comme seule réponse, elle s'est approché de moi, s'est mise à genoux devant moi et a entrepris de défaire mon ceinturon tout en jetant un coup d'oeil à Serge assis dans un fauteuil tout près de nous pour voir sa réaction. Elle sortie mon pénis pour le prendre en bouche. Serge s'est levé et a retiré ses vêtements. Son érection était déjà complète. Il s'est approché et a relevé la jupe de sa femme et écarté son string. Sans aucun préambule, il lui a introduit sa queue d'un seul trait jusqu'au fond de sa caverne d'amour. Il la besognait ainsi pendant qu'Aline me faisait une gorge profonde. Elle savait vraiment comment faire une bonne pipe et vu comment elle était menu, j'étais surpris qu'elle puisse en prendre autant à la fois.

Je pouvais voir qu'elle était sur le point de jouir et la vu que j'avais m'excitait terriblement. J'ai senti le plaisir monté en moi. J'ai éjaculé au fond de sa gorge et elle n'a perdu aucune goutte de sperme. Elle s'est mise à jouir elle aussi et Serge presque en simultané s'est vidé en elle.

Nous nous sommes écrasé sur le tapis qui nous servait maintenant de lit. J'ai demandé à Aline si elle regrettait ce que Serge lui avait fait et elle dit que franchement non bien qu'elle aimerait toujours connaitre l'identité de l'autre homme. Elle m'a demandé à nouveau si cet homme c'était moi et préférant garder le mystère je lui ai dit que bien que j'aurais aimé que Serge me fasse confiance pour cette première, non, ce n'était pas moi.

Le temps de partir était arrivé et Aline m'a demandé si je repasserais faire une petite visite et j'ai dit bien sur si je suis toujours aussi bien accueilli. Elle sourit et se tourna vers Serge et dit '' tu as réveillé un monstre, tu vas devoir assumé mon amour''. Je lui ai dit que je reviendrais le samedi suivant mais que j'avais une femme et que je me devais de tout lui dire ce qui s'était passé entre nous. J'ai décelé une certaine crainte dans ses yeux. Je l'ai rassuré en lui disant qu'elle connaissait mon passé et que nous faisions le même genre de pratique sexuelle et qu'elle acceptait que je prenne ainsi plaisir avec mes ami(e)s et qu'elle serait peut-être de la prochaine partie de jambe en l'air. Je serai ici samedi prochain mais elle devait m'accueillir en petit déshabillé avec string et porte jarretelle et être prête pour une prise en double ainsi qu'à faire la connaissance de ma femme. Comme seule réponse en fermant la porte elle m'a dit samedi prochain 21:00 heure et je déteste attendre alors ne soit pas en retard.

Samedi est passé depuis longtemps et je dois vous avouer que je l'ai toujours en mémoire. Je vous raconterai peut-être cette soirée  dans un autre récit.