Triolisme au Sénégal
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2015 dans la catégorie Plus on est
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Triolisme au Sénégal
Je suis muté au Sénégal, pour un an. Dans ma boite on ne fait pas les choses à moitié. Ma femme peut m’accompagner à son grand soulagement: passer une année seule en métropole ne lui plaisait pas du tout, même si elle sait bien se satisfaire. Après plus de 5 heures de vols nous atterrissons à Yoff: le souffle d’air brulant nous étouffe presque quand nous débarquons. Heureusement que l’aérogare est climatisée. Un des responsable local de la boite nous mène vers la villa qui nous est réservée sur la corniche, en bordure de l’océan. Nous y entrons, la climatisation fonctionne très bien. Fatigués du voyage nous nous couchons sans rien faire, sinon nous endormir. Ce n’est que le lendemain que ma femme m’invite dans la salle de bain. Je sais déjà ce qu’elle veut: quand j’y entre elle est déjà sous la douche, le jet sur son entrejambe: elle aime bien se donner ce plaisir d’une masturbation sous l’eau. J’aime la voir se branler et bien sur je bandez rapidement. Elle me dit- Te ne branle pas encore, laisses moi jouir ainsi une ou deux fois.
- Comme tu veux, pourtant j’en ai envie et je veux ton cul.
- Je te le donnerai tout à l’heure.
Je reste ainsi la bite en l’air. Quand elle estime s’être assez branlée, elle se dirige vers la chambre. Elle se couche, écarte les jambes comme une invite à la prendre aussitôt. Contrairement à la promesse je ne la sodomise pas: j’ai envie de lécher sa cyprine. Je passe toute ma langue sur son sexe. Je la sens frémir de bonheur surtout quand je me décide à lui sucer le clitoris. Elle jouit encore, comme toujours quand je la suce. Enfin je viens sur elle. Je la lui met au con. Je ne la baise pas longtemps; juste le temps nécessaire pour enduire ma queue de cyprine. Nous restons dans la même position, je déplace ma pine légèrement vers le bas pour y trouver son anus. Elle s’agrippe à moi, comme si j’allais la laisser. Et quand j’entre dans son cul, ses orgasmes à répétition démarrent. Je ne jouis pas dans ses entrailles. Je sort avant de jouir: elle se précipite sur ma bite. Je me retourne pour faire un 69. J’ai encore toute sa cramouille à ma disposition. Je reviens avec ma langue sur son anus: j’y recueille tout ce qui y est. Elle de son coté a prit ma bite entière dans la bouche. Elle est en son genre la reine de la fellation. Je sens sa langue au début quand elle lèche le gland et ensuite quand elle me prend la plus part de mon vit dans la bouche. Sa tête fait les vas et viens pour que je jouisse. Je ne lui annonce même pas que je jouis: elle s’en rend compte quand mon sperme rempli sa bouche. Elle se relève pour montrer la quantité de semence que je luit ai donné et lentement en me regardant bien dans le yeux, elle déguste comme une friandise en avalant tout. Pour aujourd’hui c’est suffisant. Elle met son peignoir transparent, celui qu’elle porte toujours après une baise.
Le lendemain je ne peux rentrer que vers 17 heures. Elle me reçoit en m’embrassant sur la bouche: nos langues se mêlent. Ce n’ai qu’à ce moment que je remarque qu’elle porte encore le peignoir d’ après l’amour.
- Tu viens de te branler ?
- Non, pourquoi ,- Tu porte ce peignoir que tu met toujours après avoir tirer un coup.
- C’est vrai, j’ai fais l’amour.
- Et avec qui ?
Je pensais aussitôt à un éventuel amant.
- Avec la femme de ménage, celle qui nous est attribuée pour le ménage.
- Ha bon, comment elle est cette femme de ménage.
- Là dans la chambre.
Nous allons dans la chambre et je vois cette sénégalaise nue bien couchée qui se touche le sexe, comme une femme qui n’a pas eu sa baise. Je l’examine de plus près, un corps splendide Qui donne envie de la baiser. Ma femme me la présente: Odile; un nom bien de chez nous, elle est tout simplement chrétienne. Pour la présenter ma femme se couche à ses coté et me détaille tous les trésors. Elle ne le fait pas en parlant, elle touche et caresse tous les endroits qu’un femme normalement constituée a de sensible.
Elles me font bander. Ma femme me demande de me déshabiller, ce que je fait avec plaisir. Les deux femmes recommencent leur câlins. J’ai sans doute du les déranger dans leurs étreintes. Ma femme vient sur Odile pour reprendre sa position de 69.
Dans le temps ma femme baisait quelques fois avec une amie. C’était bien avant que nous fassions connaissance. C’est la première fois que je la vois avec une autre femme. Je me demande ce que je dois faire: Elles arrêtent un moment et je peux parler avez Odile.
- Tu aime les femmes ?
- Oui, et les hommes aussi.
- Tu trouve souvent des filles pour baiser ?
- Pas souvent malheureusement.
- Tu aimes baiser avec un homme est une femme en même temps ?
- Bien sur c’est bien meilleur- Tu veux que je te baise seul avec toi, maintenant ?
- Bien sur, tu peux même m‘enculer si tu veut, je suis comme ta femme j‘aime beaucoup me faire mettre par le petit trouC‘est elle qui décide. Je vais la sodomiser. Ma femme prend de sa cyprine pour étaler sur l’anus de cette noire si sensuelle. Quand je doit venir l’enculer elle est déjà en levrette. C’est ma femme qui prenant ma pine la pose sur le cul. Je n’ai plus qu’à y entre. Je suis surpris de la facilité avec laquelle j’entre. Elle a un cul bien ouvert au début et plus étroit ensuite. J’éprouve un bien être étrange, surtout parce que j’encule cette fille devant ma femme qui ne reste pas immobile: elle s’est couchée sur la dos les jambes ouvertes: la main d’Odile la masturbe. Décidément cette fille est assez dévergondée. Je la sens jouir plusieurs fois, surtout quand ma femme change de position pour venir lui lécher le clitoris. Je sens son front quand je vais et viens dans l’autre cul. Comme j’en ai l’habitude je sort du cul avant de jouir. Les deux femmes se précipitent pour se partager le sperme. Elles s’embrassent sur la bouche pour échanger l’échanger.
Je suis hors jeux pour un instant. Je ne savais pas que Odile soit si agile pour me faire encore bander. Elle est réellement faite pour le triolisme. Cette fois elle me demande de faire un 69. Je suis sous elle, je sens ses seins durs sur mon ventre et ses lèvres, ho, ses lèvres qui entourent mon gland en le léchant lentement. Elle me finit quand elle prend toute ma bite dans sa bouche. Je sens que je suis là bas, au fond de sa gorge quand j’éjacule. Elle garde en bouche tout mon sperme et se relève pour le partager dans un long baiser avec ma femme. Elles se branlent une dernière fois et en partant ma femme lui dit de revenir baiser le lendemain.
En réalité nous avons vécu un ménagez à trois qui nous manque en métropole. Je crois que ma femme cherche une remplaçante chez nous. Je ne dis pas non, j’ai trop apprécié.
- Comme tu veux, pourtant j’en ai envie et je veux ton cul.
- Je te le donnerai tout à l’heure.
Je reste ainsi la bite en l’air. Quand elle estime s’être assez branlée, elle se dirige vers la chambre. Elle se couche, écarte les jambes comme une invite à la prendre aussitôt. Contrairement à la promesse je ne la sodomise pas: j’ai envie de lécher sa cyprine. Je passe toute ma langue sur son sexe. Je la sens frémir de bonheur surtout quand je me décide à lui sucer le clitoris. Elle jouit encore, comme toujours quand je la suce. Enfin je viens sur elle. Je la lui met au con. Je ne la baise pas longtemps; juste le temps nécessaire pour enduire ma queue de cyprine. Nous restons dans la même position, je déplace ma pine légèrement vers le bas pour y trouver son anus. Elle s’agrippe à moi, comme si j’allais la laisser. Et quand j’entre dans son cul, ses orgasmes à répétition démarrent. Je ne jouis pas dans ses entrailles. Je sort avant de jouir: elle se précipite sur ma bite. Je me retourne pour faire un 69. J’ai encore toute sa cramouille à ma disposition. Je reviens avec ma langue sur son anus: j’y recueille tout ce qui y est. Elle de son coté a prit ma bite entière dans la bouche. Elle est en son genre la reine de la fellation. Je sens sa langue au début quand elle lèche le gland et ensuite quand elle me prend la plus part de mon vit dans la bouche. Sa tête fait les vas et viens pour que je jouisse. Je ne lui annonce même pas que je jouis: elle s’en rend compte quand mon sperme rempli sa bouche. Elle se relève pour montrer la quantité de semence que je luit ai donné et lentement en me regardant bien dans le yeux, elle déguste comme une friandise en avalant tout. Pour aujourd’hui c’est suffisant. Elle met son peignoir transparent, celui qu’elle porte toujours après une baise.
Le lendemain je ne peux rentrer que vers 17 heures. Elle me reçoit en m’embrassant sur la bouche: nos langues se mêlent. Ce n’ai qu’à ce moment que je remarque qu’elle porte encore le peignoir d’ après l’amour.
- Tu viens de te branler ?
- Non, pourquoi ,- Tu porte ce peignoir que tu met toujours après avoir tirer un coup.
- C’est vrai, j’ai fais l’amour.
- Et avec qui ?
Je pensais aussitôt à un éventuel amant.
- Avec la femme de ménage, celle qui nous est attribuée pour le ménage.
- Ha bon, comment elle est cette femme de ménage.
- Là dans la chambre.
Nous allons dans la chambre et je vois cette sénégalaise nue bien couchée qui se touche le sexe, comme une femme qui n’a pas eu sa baise. Je l’examine de plus près, un corps splendide Qui donne envie de la baiser. Ma femme me la présente: Odile; un nom bien de chez nous, elle est tout simplement chrétienne. Pour la présenter ma femme se couche à ses coté et me détaille tous les trésors. Elle ne le fait pas en parlant, elle touche et caresse tous les endroits qu’un femme normalement constituée a de sensible.
Elles me font bander. Ma femme me demande de me déshabiller, ce que je fait avec plaisir. Les deux femmes recommencent leur câlins. J’ai sans doute du les déranger dans leurs étreintes. Ma femme vient sur Odile pour reprendre sa position de 69.
Dans le temps ma femme baisait quelques fois avec une amie. C’était bien avant que nous fassions connaissance. C’est la première fois que je la vois avec une autre femme. Je me demande ce que je dois faire: Elles arrêtent un moment et je peux parler avez Odile.
- Tu aime les femmes ?
- Oui, et les hommes aussi.
- Tu trouve souvent des filles pour baiser ?
- Pas souvent malheureusement.
- Tu aimes baiser avec un homme est une femme en même temps ?
- Bien sur c’est bien meilleur- Tu veux que je te baise seul avec toi, maintenant ?
- Bien sur, tu peux même m‘enculer si tu veut, je suis comme ta femme j‘aime beaucoup me faire mettre par le petit trouC‘est elle qui décide. Je vais la sodomiser. Ma femme prend de sa cyprine pour étaler sur l’anus de cette noire si sensuelle. Quand je doit venir l’enculer elle est déjà en levrette. C’est ma femme qui prenant ma pine la pose sur le cul. Je n’ai plus qu’à y entre. Je suis surpris de la facilité avec laquelle j’entre. Elle a un cul bien ouvert au début et plus étroit ensuite. J’éprouve un bien être étrange, surtout parce que j’encule cette fille devant ma femme qui ne reste pas immobile: elle s’est couchée sur la dos les jambes ouvertes: la main d’Odile la masturbe. Décidément cette fille est assez dévergondée. Je la sens jouir plusieurs fois, surtout quand ma femme change de position pour venir lui lécher le clitoris. Je sens son front quand je vais et viens dans l’autre cul. Comme j’en ai l’habitude je sort du cul avant de jouir. Les deux femmes se précipitent pour se partager le sperme. Elles s’embrassent sur la bouche pour échanger l’échanger.
Je suis hors jeux pour un instant. Je ne savais pas que Odile soit si agile pour me faire encore bander. Elle est réellement faite pour le triolisme. Cette fois elle me demande de faire un 69. Je suis sous elle, je sens ses seins durs sur mon ventre et ses lèvres, ho, ses lèvres qui entourent mon gland en le léchant lentement. Elle me finit quand elle prend toute ma bite dans sa bouche. Je sens que je suis là bas, au fond de sa gorge quand j’éjacule. Elle garde en bouche tout mon sperme et se relève pour le partager dans un long baiser avec ma femme. Elles se branlent une dernière fois et en partant ma femme lui dit de revenir baiser le lendemain.
En réalité nous avons vécu un ménagez à trois qui nous manque en métropole. Je crois que ma femme cherche une remplaçante chez nous. Je ne dis pas non, j’ai trop apprécié.
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