Trixie chap 14 - Mon premier rôle
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie chap 14 - Mon premier rôle
Je me présentai à l'adresse indiquée par Robert le Directeur, c'était une bâtisse importante. On me conduisit dans une grande pièce, sorte d'entrepôt, ou il y avait un bureau et plein d'accessoires qui allaient des habits à la machine à écrire en passant par des pistolets et des couteaux factices. Le responsable qui me reçut était chauve, moustachu, il portait des lunettes et avait un sourire paternel qui me mit en confiance. Il cumulait aussi le rôle de metteur en scène et me présenta son assistant, David un gars aux allures de garde du corps. Il me dit qu'il avait reçu des ordres de Robert à mon sujet, et de m'expliquer en quoi consisterait mon boulot.
« Bon, alors voilà pour résumer. Vous avez pu vous rendre compte que nous faisons du cinéma érotique pour ne pas dire porno ! Le patron m'a dit que lors de sa prise de contact vous aviez été plus que parfaite... Notre clientèle est surtout asiatique ou africaine et raffole de ce genre de vidéos où de jeunes et jolies blondes se retrouvent dans des situations difficiles. Pour cela, nous laissons nos acteurs s'exprimer librement. Je dois vous avouer que la plupart du temps votre ou vos partenaires parfois surprenants, ne sont pas au courant qu'on les filme. Nous leur faisons croire que leur rencontre avec vous est fortuite et nous attendons qu'ils prennent des initiatives. Jolie et sexy comme vous êtes, ils ne devraient pas en manquer... et vous devrez jouer le jeu... et accepter d'être complètement soumise... si vous signez ! Mais nous veillons à ce que nos actrices ne soient jamais vraiment maltraitées, David est toujours prêt à intervenir en cas de problème, mais certaines situations peuvent être très hard ou se laisser entièrement dominer, comme par exemple recevoir quelques légers coups de badine. Je vais vous demander de signer une décharge qui précise ce que je viens de vous dire pour qu'il n'y est pas de malentendu. Vous serez payée en liquide à la fin de chaque tournage. »
Il m'annonça une somme qui me fit écarquiller les yeux. Il me tendit le contrat, c'était ce qu'il venait de m'expliquer. Me rappelant mes expériences passées, je n'hésitai pas et apposai ma signature en me disant qu'en plus d'être un petit peu nymphomane, je devais être aussi un tant soit peu masochiste.
« Pouvez-vous faire un strip-tease, nous pourrons ainsi juger de vos talents d'actrice... »
Il appuya sur un interrupteur, une lumière vive surgi d'un spot puissant. Ils s'assirent tous les deux pour profiter du spectacle.
Je me mis face à eux, à environ deux mètres. Mes mains plaquèrent ma jupe sur mes cuisses, pour bien faire ressortir les lanières et les attaches de mon porte-jarretelle. Puis elles remontèrent jusqu'à mon pubis pour le caresser. Je les regardais d'une façon énamourée à tour de rôle de mes yeux bleu-vert. Me déhanchant lentement. Elles remontèrent jusqu'à mes seins, que je caressais. Avec mon index, je frottais mes tétons en cercles concentriques à travers mon chemisier diaphane, déboutonnait deux boutons pour leur laisser entrevoir mon soutien-gorge noir, entièrement transparent, on devinait mes aréoles brunes à travers les vêtements.
Puis je le redescendis lentement sur mes hanches, et à travers ma jupe, fis descendre mon string le long de mes cuisses. Lorsqu'il fut à mes genoux je le laissai tomber sur mes pieds et me dégageai gracieusement de la petite culotte. Je relevai alors ma jupe doucement, dévoilant tout d'abord les attaches de mon porte-jarretelle, puis les lanières qui striaient ma peau bronzée. Je dévoilai juste le début de mes petites lèvres pour leur montrer que j'étais épilée et laissai retomber ma jupe. Je lus de la déception dans leurs yeux.
A travers mon chemisier bleu et transparent, je dégrafais mon soutien-gorge, et baissai les bretelles l'une après l'autre sur mes bras et extirpai mes mains. Je fis sortir le soutien-gorge par le devant du chemisier, mes tétons commençaient à durcir. Mouillant mon majeur avec de la salive, j'en imprégnais le tissus sur les aréoles de mes deux seins. Le tissu se plaqua à la peau, la transparence fut accrue, on aurait dit que le bout de mes seins passait à travers le chemisier. Je m'approchai des deux hommes la poitrine en avant, à hauteur de leurs yeux. Le manager tendit une main pour toucher, mais je me reculai malicieusement, en faisant non de mon index.
Je finis alors de déboutonner mon corsage et l'écartai très lentement sur mes seins, et l'ôtai. Je me pinçai et tirai les tétons pour bien les ériger, je savais qu'ils étaient très érectiles et que les hommes raffolaient de la longueur qu'ils pouvaient atteindre.
Je les regardai à nouveau, ils se masturbaient à travers leurs pantalons. J'attrapais une chaise et bien en face d'eux, mis un pied sur le plateau. J'écartai légèrement les jambes, ils pouvaient voir ma chatte. Je relevai ma jupe, dégrafai les pinces qui tenaient mes bas et les ôtai langoureusement, tout en leur laissant admirer ma vulve qui commençait sous leurs regards à devenir quelque peu moite. Je dégrafai ensuite ma jupe et la laissai tomber à mes pieds. Je m'approchai alors du vieux, il avait sorti son phallus et se masturbait calottant et décalottant son gland. Je me mis de dos devant lui.
« Voulez-vous ôter mon porte-jarretelles... »
Il le fit d'une main tremblante. Une fois nue, il m'examina, me tenant aux hanches, me faisant tourner devant lui, s'extasiant sur mes seins, mes hanches, mes fesses, le galbe de mes jambes. Il ne tarissait pas d'éloges.
« Vous avez le sexe bien épilé, votre clitoris se devine bien, c'est vraiment super, allez habillez-vous. J'ai hâte de vous voir à l'œuvre. Si vous savez vous servir de votre corps merveilleux, je crois que nous pouvons faire tomber le jackpot »
Tout d'un coup je vis son visage s'éclairer.
« Bien dit-il, si vous êtes libre maintenant, nous avons une prise de vue aujourd'hui, vous pourrez remplacer si vous voulez, la personne prévue. Cela nous donnera une idée de vos capacités. »
J'acceptai. Il me dit de revêtir les vêtements qu'il alla choisir, des bas, un porte-jarretelles en dentelle, un soutien-gorge très fin, un string diaphane, un chemisier assez transparent, une jupe courte et des talons aiguilles. Les sous-vêtements et les habits étaient noirs, ma couleur fétiche.
Ils me firent descendre au sous-sol dans une pièce violemment éclairée.
« Nous allons vous mettre dans la situation exigée par le scénario. »
David attacha mes poignets à deux cordelettes qui pendaient d'une poutre et passaient chacune dans une poulie. Le metteur en scène m'expliqua.
« Les caméras sont ici, là et là m'indiqua-t-il. Nous allons faire entrer votre partenaire. Nous lui avons fait croire que nous avions kidnappée une jolie fille très riche pour une rançon et qu'il devait vous surveiller, et qu'il pouvait s'amuser un peu avec vous avec une interdiction de vous maltraiter. Il était très excité à cette idée. Ne vous inquiétez pas David est là pour intervenir à tout moment. »
Les habits de satin noir qu'il m'avait fournsi, moulaient mon corps comme une seconde peau. A genoux, cambrée, mes bras tirés vers le haut faisaient ressortir mes seins, à peine contenus par les bonnets de dentelle, leur transparence laissait deviner mes mamelons. Un bout de ventre semblait offert entre le chemisier et la jupe qui découvrait sur mes cuisses la bande de dentelle des bas et les attaches du porte-jarretelles, j'étais prête pour la suite. Ils me laissèrent seule.
La porte s'ouvrit, d'un coup et tel un pantin surgissant de sa boîte, un nain entra. Noir comme de l'ébène, un mètre vingt environ, des mains crochues...ses traits étaient légèrement trisomiques. Il avait les jambes tordues.
« Alors tu es réveillée ? Ah, ah !! Je suis ton gardien, jusqu'à ce qu'on paye ta rançon, j'espère que ce sera le plus tard possible. »
Dit-il en me jetant des regards lubriques. Je me mis à remuer dans mes liens. En dandinant, il s'approcha de moi. Il se mit sur la pointe des pieds et d'une main me caressa les seins à travers le mince tissu du chemisier. De l'autre, il sorti son sexe, assez gros pour sa petite taille. Il me pinçait les tétons, je remuais mon torse :
« - Sale petit gnome ! L'insultai-je
- Oui, continue, c'est ainsi que tu me plais....regarde, tu me fais bander. »
Il me montra sa queue turgescente, qu'il caressait doucement. Le nain passa derrière moi, il attrapa mon chemisier et en tirant fit sauter les boutons un à un. Mes seins jaillirent tout seuls hors des bonnets de dentelle, mes mamelons gonflés par ses tiraillements étaient aussi durs que son sexe.
Puis repassant devant, s'étirant à nouveau, il fit entrer la pointe brune et gonflée d'un sein entre ses lèvres et l'aspira goulument comme un enfant qui tète. Il les suça chacun leur tour, jusqu'à ce qu'il fut satisfait de la longueur qu'il leur avait donné, il se recula et les fit rouler entre ses doigts noirs et crochus, en les pinçant avec ses ongles acérés. Cela commençait à m'exciter sérieusement. Ses yeux globuleux étaient fixés sur la peau dorée de mon ventre largement dénudé du fait de mes gigotements.
« - Sale porc lubrique, lui dis-je pour l'exciter.
- Tu fais la fière, hein ! Tu vas voir... »
Sa main parti à la rencontre du renflement de mon sexe qui, du fait de ma position, se tendait vers lui, je sentis la chaleur de sa paume sur mon pubis. Il attrapa ma jupe et la tira lentement vers le bas, faisant apparaître le porte-jarretelle, puis le string diaphane qui glissa légèrement et découvrit le haut du petit triangle de poils ras de ma toison blonde et épilée. Il descendait le vêtement avec une lenteur calculée. Ce jeu morbide et sachant que l'on filmait m'excitait de plus en plus :
« - Putain que tu es belle, salope ! J'adore la lingerie, je suis autant excité par le contenant que le contenu !
- Non, arrête... pas ça ! »
Il s'était accroupi et attachait mes chevilles, il tira ensuite sur les cordes et mes jambes furent obligées de s'écarter. Avec mes bras étirés vers le haut, mes jambes écartées, j'offrais aux caméras un plan superbe sur mon intimité. Ça m'excitait et le string commençait à laisser apparaître les traces de mon désir naissant, ce qui le rendait encore plus transparent et laissait deviner la fente de ma chatte.
Le gnome noir se planta devant moi et ses yeux examinèrent mes seins offerts, mon ventre bombé, son doigt frotta le tissu humide du string.
« C'est bien Salope, tu mouilles...dit-il en l'enfonçant dans mon orifice vaginal à travers le string ; »
Il sorti de sa poche deux épingles à linge en acier, et en me disant que les pointes de mes seins avaient diminué de volume, il me les accrocha à la naissance des tétons, qui aussitôt sous la douleur se tendirent à nouveau.
« Ça te plait, on dirait ! Dans la longueur on ne peut pas faire mieux !! »
Les poulies grincèrent. Je me retrouvais à genoux mais le torse presque à l'horizontale, le dos parallèle au sol, les jambes toujours largement ouvertes. La position était vraiment inconfortable. Mais ainsi positionnée, je sentais les lèvres de mon sexe se séparer et celui-ci s'ouvrir lentement sous le string qui était maintenant complètement trempé par mon foutre. Il se mit à plat ventre entre mes cuisses, sa bouche était à hauteur de ma chatte. Je sentis sa langue venir caresser par de petits attouchements mon clitoris à travers le tissu du string. Puis il se débrouilla pour baisser avec sa langue le mince rempart et commença à mordiller mon petit bouton rose qui se gorgea de sang et devint dur, je gémissais de plaisir. J'imaginais les milliers de gens qui allaient voir la vidéo, cela décuplait mon excitation. Et puisqu'elle était principalement destinée à des noirs et à des asiatiques, je voulais qu'ils bandent, se masturbent et éjaculent en me regardant sur ces images. A cette pensée mes hanches furent prises d'un mouvement convulsif, et j'imprimais à mon ventre un balancement lascif, en poussant de petits cris de jouissance, écartant le plus possible les cuisses pour leur faire profiter du spectacle. A ce rythme je sentais que ma délivrance allait arriver. Mais tout à coup, le nain cessa. Il voulait m'exciter jusqu'à ce que je le supplie de me faire jouir.
Il repassa derrière ma tête.
« Tes tétons sont de nouveau en berne. »
Et il tourna les épingles à linge, j'émis un gémissement de plaisir. Il les repositionna bien à la base des aréoles, mes mamelons réagirent aussitôt et pointèrent largement au-dessus des petites mâchoires. Il se pencha, les saisit à tour de rôle entre ses dents, et se mit à me les mordiller assez fortement, pour me tirer des gémissements de plaisir teintés de douleur. Il avait quitté son pantalon et enjambé ma tête, je sentais ses couilles noires me caresser la figure.
« Lèche-les, m'ordonna-t-il »
Je m'exécutai, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspirai l'une après l'autre dans ma bouche, il grogna de plaisir. Puis il mit sa queue dans ma bouche. Elle n'était pas grosse et je l'avalai de suite entièrement. Il commença des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes je sentis sa bite qui commençait à avoir des contractions. Il l'enfila dans ma gorge jusqu'à sa toison bouclée et éjacula à grand traits dans ma bouche :
« Avale Salope, avale le sperme du petit nègre...Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh c'est bon....Tu aimes les nains noirs on dirait...Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme... »
Il s'éloigna et revint avec en main un énorme et très long phallus violet.
« Regarde ce que j'ai trouvé dans un casier. J'ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire jouir... »
Il me montra l'énorme engin, il était orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vis qu'elles étaient flexibles lorsqu'avec un rictus pervers, il en caressa la longueur. Il enfila le godemichet sur son sexe et l'attacha fermement autour de sa taille. D'un geste brusque, il arracha le string qui était saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guida le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le remonta jusqu'à l'orifice vaginal qu'il pénétra légèrement. Il recommença l'opération plusieurs fois, chaque fois que le gland de l'engin arrivait à l'entrée de mon méat je donnais un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant. Je gémissais de frustration. Puis il me pénétra doucement, je criais de délice et de souffrance, la grosseur de l'engin et les cornes me griffaient les parois vaginales. L'extase et la douleur se mélangeaient délicieusement. J'étais une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repensais aux futurs spectateurs et écartais les cuisses en poussant des cris de satisfaction :
« Ah tu aimes ? »
Il enfonça d'un violent coup de reins l'objet au fond de mon vagin. Je hurlai en me cambrant, cela me fit délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvrait davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu'il avait tout enfilé, ses poils crépus et rêches étaient autant de caresses sur mon bas-ventre.
« Aaaaahhh, oui, oui....encore, encore, n'arrête pas...hurlai-je »
Je n'étais plus qu'un sexe qu'il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s'accéléraient, mes râles se mêlaient aux halètements du nain. Puis je me laissais déborder par les premières vagues de ma jouissance, et ce fut ensuite l'orgasme qui déferla sur mon corps, je me cambrais en hurlant, le nain fut rejeté en arrière par la violence de mon spasme.
« Putain dit-il, toi lorsque tu jouis, tu ne fais pas semblant! »
Sur ces mots la porte s'ouvrit le producteur entra, ayant eu ce qu'il voulait ma jouissance devant les caméras :
« Ça va William, dit-il au nain, nous reprenons le contrôle de la situation, la rançon va être versée, tu peux partir... »
Le nain se rhabilla, et en me jetant un regard envieux et triste, sortit de la salle tandis que le producteur me déliait.
« C'était super Trixie, voici votre argent, le montant convenu...Nous vous rappellerons sûrement..! Au vu de votre prestation, le Directeur va être aux anges»
Je pensais que c'était de l'argent facilement, rapidement et agréablement gagné. Appâtée par cet argent facile je décidai de démissionner de la boite ou je travaillais ou tout au moins de prendre au moins deux ans de congés sans solde... ensuite on verrait !
A suivre…
« Bon, alors voilà pour résumer. Vous avez pu vous rendre compte que nous faisons du cinéma érotique pour ne pas dire porno ! Le patron m'a dit que lors de sa prise de contact vous aviez été plus que parfaite... Notre clientèle est surtout asiatique ou africaine et raffole de ce genre de vidéos où de jeunes et jolies blondes se retrouvent dans des situations difficiles. Pour cela, nous laissons nos acteurs s'exprimer librement. Je dois vous avouer que la plupart du temps votre ou vos partenaires parfois surprenants, ne sont pas au courant qu'on les filme. Nous leur faisons croire que leur rencontre avec vous est fortuite et nous attendons qu'ils prennent des initiatives. Jolie et sexy comme vous êtes, ils ne devraient pas en manquer... et vous devrez jouer le jeu... et accepter d'être complètement soumise... si vous signez ! Mais nous veillons à ce que nos actrices ne soient jamais vraiment maltraitées, David est toujours prêt à intervenir en cas de problème, mais certaines situations peuvent être très hard ou se laisser entièrement dominer, comme par exemple recevoir quelques légers coups de badine. Je vais vous demander de signer une décharge qui précise ce que je viens de vous dire pour qu'il n'y est pas de malentendu. Vous serez payée en liquide à la fin de chaque tournage. »
Il m'annonça une somme qui me fit écarquiller les yeux. Il me tendit le contrat, c'était ce qu'il venait de m'expliquer. Me rappelant mes expériences passées, je n'hésitai pas et apposai ma signature en me disant qu'en plus d'être un petit peu nymphomane, je devais être aussi un tant soit peu masochiste.
« Pouvez-vous faire un strip-tease, nous pourrons ainsi juger de vos talents d'actrice... »
Il appuya sur un interrupteur, une lumière vive surgi d'un spot puissant. Ils s'assirent tous les deux pour profiter du spectacle.
Je me mis face à eux, à environ deux mètres. Mes mains plaquèrent ma jupe sur mes cuisses, pour bien faire ressortir les lanières et les attaches de mon porte-jarretelle. Puis elles remontèrent jusqu'à mon pubis pour le caresser. Je les regardais d'une façon énamourée à tour de rôle de mes yeux bleu-vert. Me déhanchant lentement. Elles remontèrent jusqu'à mes seins, que je caressais. Avec mon index, je frottais mes tétons en cercles concentriques à travers mon chemisier diaphane, déboutonnait deux boutons pour leur laisser entrevoir mon soutien-gorge noir, entièrement transparent, on devinait mes aréoles brunes à travers les vêtements.
Puis je le redescendis lentement sur mes hanches, et à travers ma jupe, fis descendre mon string le long de mes cuisses. Lorsqu'il fut à mes genoux je le laissai tomber sur mes pieds et me dégageai gracieusement de la petite culotte. Je relevai alors ma jupe doucement, dévoilant tout d'abord les attaches de mon porte-jarretelle, puis les lanières qui striaient ma peau bronzée. Je dévoilai juste le début de mes petites lèvres pour leur montrer que j'étais épilée et laissai retomber ma jupe. Je lus de la déception dans leurs yeux.
A travers mon chemisier bleu et transparent, je dégrafais mon soutien-gorge, et baissai les bretelles l'une après l'autre sur mes bras et extirpai mes mains. Je fis sortir le soutien-gorge par le devant du chemisier, mes tétons commençaient à durcir. Mouillant mon majeur avec de la salive, j'en imprégnais le tissus sur les aréoles de mes deux seins. Le tissu se plaqua à la peau, la transparence fut accrue, on aurait dit que le bout de mes seins passait à travers le chemisier. Je m'approchai des deux hommes la poitrine en avant, à hauteur de leurs yeux. Le manager tendit une main pour toucher, mais je me reculai malicieusement, en faisant non de mon index.
Je finis alors de déboutonner mon corsage et l'écartai très lentement sur mes seins, et l'ôtai. Je me pinçai et tirai les tétons pour bien les ériger, je savais qu'ils étaient très érectiles et que les hommes raffolaient de la longueur qu'ils pouvaient atteindre.
Je les regardai à nouveau, ils se masturbaient à travers leurs pantalons. J'attrapais une chaise et bien en face d'eux, mis un pied sur le plateau. J'écartai légèrement les jambes, ils pouvaient voir ma chatte. Je relevai ma jupe, dégrafai les pinces qui tenaient mes bas et les ôtai langoureusement, tout en leur laissant admirer ma vulve qui commençait sous leurs regards à devenir quelque peu moite. Je dégrafai ensuite ma jupe et la laissai tomber à mes pieds. Je m'approchai alors du vieux, il avait sorti son phallus et se masturbait calottant et décalottant son gland. Je me mis de dos devant lui.
« Voulez-vous ôter mon porte-jarretelles... »
Il le fit d'une main tremblante. Une fois nue, il m'examina, me tenant aux hanches, me faisant tourner devant lui, s'extasiant sur mes seins, mes hanches, mes fesses, le galbe de mes jambes. Il ne tarissait pas d'éloges.
« Vous avez le sexe bien épilé, votre clitoris se devine bien, c'est vraiment super, allez habillez-vous. J'ai hâte de vous voir à l'œuvre. Si vous savez vous servir de votre corps merveilleux, je crois que nous pouvons faire tomber le jackpot »
Tout d'un coup je vis son visage s'éclairer.
« Bien dit-il, si vous êtes libre maintenant, nous avons une prise de vue aujourd'hui, vous pourrez remplacer si vous voulez, la personne prévue. Cela nous donnera une idée de vos capacités. »
J'acceptai. Il me dit de revêtir les vêtements qu'il alla choisir, des bas, un porte-jarretelles en dentelle, un soutien-gorge très fin, un string diaphane, un chemisier assez transparent, une jupe courte et des talons aiguilles. Les sous-vêtements et les habits étaient noirs, ma couleur fétiche.
Ils me firent descendre au sous-sol dans une pièce violemment éclairée.
« Nous allons vous mettre dans la situation exigée par le scénario. »
David attacha mes poignets à deux cordelettes qui pendaient d'une poutre et passaient chacune dans une poulie. Le metteur en scène m'expliqua.
« Les caméras sont ici, là et là m'indiqua-t-il. Nous allons faire entrer votre partenaire. Nous lui avons fait croire que nous avions kidnappée une jolie fille très riche pour une rançon et qu'il devait vous surveiller, et qu'il pouvait s'amuser un peu avec vous avec une interdiction de vous maltraiter. Il était très excité à cette idée. Ne vous inquiétez pas David est là pour intervenir à tout moment. »
Les habits de satin noir qu'il m'avait fournsi, moulaient mon corps comme une seconde peau. A genoux, cambrée, mes bras tirés vers le haut faisaient ressortir mes seins, à peine contenus par les bonnets de dentelle, leur transparence laissait deviner mes mamelons. Un bout de ventre semblait offert entre le chemisier et la jupe qui découvrait sur mes cuisses la bande de dentelle des bas et les attaches du porte-jarretelles, j'étais prête pour la suite. Ils me laissèrent seule.
La porte s'ouvrit, d'un coup et tel un pantin surgissant de sa boîte, un nain entra. Noir comme de l'ébène, un mètre vingt environ, des mains crochues...ses traits étaient légèrement trisomiques. Il avait les jambes tordues.
« Alors tu es réveillée ? Ah, ah !! Je suis ton gardien, jusqu'à ce qu'on paye ta rançon, j'espère que ce sera le plus tard possible. »
Dit-il en me jetant des regards lubriques. Je me mis à remuer dans mes liens. En dandinant, il s'approcha de moi. Il se mit sur la pointe des pieds et d'une main me caressa les seins à travers le mince tissu du chemisier. De l'autre, il sorti son sexe, assez gros pour sa petite taille. Il me pinçait les tétons, je remuais mon torse :
« - Sale petit gnome ! L'insultai-je
- Oui, continue, c'est ainsi que tu me plais....regarde, tu me fais bander. »
Il me montra sa queue turgescente, qu'il caressait doucement. Le nain passa derrière moi, il attrapa mon chemisier et en tirant fit sauter les boutons un à un. Mes seins jaillirent tout seuls hors des bonnets de dentelle, mes mamelons gonflés par ses tiraillements étaient aussi durs que son sexe.
Puis repassant devant, s'étirant à nouveau, il fit entrer la pointe brune et gonflée d'un sein entre ses lèvres et l'aspira goulument comme un enfant qui tète. Il les suça chacun leur tour, jusqu'à ce qu'il fut satisfait de la longueur qu'il leur avait donné, il se recula et les fit rouler entre ses doigts noirs et crochus, en les pinçant avec ses ongles acérés. Cela commençait à m'exciter sérieusement. Ses yeux globuleux étaient fixés sur la peau dorée de mon ventre largement dénudé du fait de mes gigotements.
« - Sale porc lubrique, lui dis-je pour l'exciter.
- Tu fais la fière, hein ! Tu vas voir... »
Sa main parti à la rencontre du renflement de mon sexe qui, du fait de ma position, se tendait vers lui, je sentis la chaleur de sa paume sur mon pubis. Il attrapa ma jupe et la tira lentement vers le bas, faisant apparaître le porte-jarretelle, puis le string diaphane qui glissa légèrement et découvrit le haut du petit triangle de poils ras de ma toison blonde et épilée. Il descendait le vêtement avec une lenteur calculée. Ce jeu morbide et sachant que l'on filmait m'excitait de plus en plus :
« - Putain que tu es belle, salope ! J'adore la lingerie, je suis autant excité par le contenant que le contenu !
- Non, arrête... pas ça ! »
Il s'était accroupi et attachait mes chevilles, il tira ensuite sur les cordes et mes jambes furent obligées de s'écarter. Avec mes bras étirés vers le haut, mes jambes écartées, j'offrais aux caméras un plan superbe sur mon intimité. Ça m'excitait et le string commençait à laisser apparaître les traces de mon désir naissant, ce qui le rendait encore plus transparent et laissait deviner la fente de ma chatte.
Le gnome noir se planta devant moi et ses yeux examinèrent mes seins offerts, mon ventre bombé, son doigt frotta le tissu humide du string.
« C'est bien Salope, tu mouilles...dit-il en l'enfonçant dans mon orifice vaginal à travers le string ; »
Il sorti de sa poche deux épingles à linge en acier, et en me disant que les pointes de mes seins avaient diminué de volume, il me les accrocha à la naissance des tétons, qui aussitôt sous la douleur se tendirent à nouveau.
« Ça te plait, on dirait ! Dans la longueur on ne peut pas faire mieux !! »
Les poulies grincèrent. Je me retrouvais à genoux mais le torse presque à l'horizontale, le dos parallèle au sol, les jambes toujours largement ouvertes. La position était vraiment inconfortable. Mais ainsi positionnée, je sentais les lèvres de mon sexe se séparer et celui-ci s'ouvrir lentement sous le string qui était maintenant complètement trempé par mon foutre. Il se mit à plat ventre entre mes cuisses, sa bouche était à hauteur de ma chatte. Je sentis sa langue venir caresser par de petits attouchements mon clitoris à travers le tissu du string. Puis il se débrouilla pour baisser avec sa langue le mince rempart et commença à mordiller mon petit bouton rose qui se gorgea de sang et devint dur, je gémissais de plaisir. J'imaginais les milliers de gens qui allaient voir la vidéo, cela décuplait mon excitation. Et puisqu'elle était principalement destinée à des noirs et à des asiatiques, je voulais qu'ils bandent, se masturbent et éjaculent en me regardant sur ces images. A cette pensée mes hanches furent prises d'un mouvement convulsif, et j'imprimais à mon ventre un balancement lascif, en poussant de petits cris de jouissance, écartant le plus possible les cuisses pour leur faire profiter du spectacle. A ce rythme je sentais que ma délivrance allait arriver. Mais tout à coup, le nain cessa. Il voulait m'exciter jusqu'à ce que je le supplie de me faire jouir.
Il repassa derrière ma tête.
« Tes tétons sont de nouveau en berne. »
Et il tourna les épingles à linge, j'émis un gémissement de plaisir. Il les repositionna bien à la base des aréoles, mes mamelons réagirent aussitôt et pointèrent largement au-dessus des petites mâchoires. Il se pencha, les saisit à tour de rôle entre ses dents, et se mit à me les mordiller assez fortement, pour me tirer des gémissements de plaisir teintés de douleur. Il avait quitté son pantalon et enjambé ma tête, je sentais ses couilles noires me caresser la figure.
« Lèche-les, m'ordonna-t-il »
Je m'exécutai, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspirai l'une après l'autre dans ma bouche, il grogna de plaisir. Puis il mit sa queue dans ma bouche. Elle n'était pas grosse et je l'avalai de suite entièrement. Il commença des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes je sentis sa bite qui commençait à avoir des contractions. Il l'enfila dans ma gorge jusqu'à sa toison bouclée et éjacula à grand traits dans ma bouche :
« Avale Salope, avale le sperme du petit nègre...Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh c'est bon....Tu aimes les nains noirs on dirait...Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme... »
Il s'éloigna et revint avec en main un énorme et très long phallus violet.
« Regarde ce que j'ai trouvé dans un casier. J'ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire jouir... »
Il me montra l'énorme engin, il était orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vis qu'elles étaient flexibles lorsqu'avec un rictus pervers, il en caressa la longueur. Il enfila le godemichet sur son sexe et l'attacha fermement autour de sa taille. D'un geste brusque, il arracha le string qui était saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guida le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le remonta jusqu'à l'orifice vaginal qu'il pénétra légèrement. Il recommença l'opération plusieurs fois, chaque fois que le gland de l'engin arrivait à l'entrée de mon méat je donnais un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant. Je gémissais de frustration. Puis il me pénétra doucement, je criais de délice et de souffrance, la grosseur de l'engin et les cornes me griffaient les parois vaginales. L'extase et la douleur se mélangeaient délicieusement. J'étais une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repensais aux futurs spectateurs et écartais les cuisses en poussant des cris de satisfaction :
« Ah tu aimes ? »
Il enfonça d'un violent coup de reins l'objet au fond de mon vagin. Je hurlai en me cambrant, cela me fit délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvrait davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu'il avait tout enfilé, ses poils crépus et rêches étaient autant de caresses sur mon bas-ventre.
« Aaaaahhh, oui, oui....encore, encore, n'arrête pas...hurlai-je »
Je n'étais plus qu'un sexe qu'il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s'accéléraient, mes râles se mêlaient aux halètements du nain. Puis je me laissais déborder par les premières vagues de ma jouissance, et ce fut ensuite l'orgasme qui déferla sur mon corps, je me cambrais en hurlant, le nain fut rejeté en arrière par la violence de mon spasme.
« Putain dit-il, toi lorsque tu jouis, tu ne fais pas semblant! »
Sur ces mots la porte s'ouvrit le producteur entra, ayant eu ce qu'il voulait ma jouissance devant les caméras :
« Ça va William, dit-il au nain, nous reprenons le contrôle de la situation, la rançon va être versée, tu peux partir... »
Le nain se rhabilla, et en me jetant un regard envieux et triste, sortit de la salle tandis que le producteur me déliait.
« C'était super Trixie, voici votre argent, le montant convenu...Nous vous rappellerons sûrement..! Au vu de votre prestation, le Directeur va être aux anges»
Je pensais que c'était de l'argent facilement, rapidement et agréablement gagné. Appâtée par cet argent facile je décidai de démissionner de la boite ou je travaillais ou tout au moins de prendre au moins deux ans de congés sans solde... ensuite on verrait !
A suivre…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bonjour je voulais savoir pourquoi vous passez du chapitre 11 a 14 merci de me repondre au revoir
Oui, effectivement il manque deux chapitres. Ils ont été auto-censurés par mes soins...Mais je vois que mes récits ont l'air de vous plaire...Merci.
Bonjour.
Toujours aussi sympa. C'est vrai qu'on est passé du chap 11 au chap 14...
Toujours aussi sympa. C'est vrai qu'on est passé du chap 11 au chap 14...
Belle petite histoire, et, comme le disait mon Ex. , les nains ont des bites de la taille des autres hommes.
il manque les chapitres 12 et 13.