Trixie chap 16 - L'anniversaire

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Trixie chap 16 - L'anniversaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie chap 16 - L'anniversaire
Alfred mon nouveau patron, fut enchanté de me voir revenir... Au niveau du travail, il ne me demandait pas grand chose. Mon job principal était de me percher sur un escabeau, pour lui laisser apercevoir les attaches de mon porte-jarretelle, la peau nue au dessus de mes bas noirs et mon string qui ne cachait rien. Il passait alors de l'autre coté de l'étagère des livres et choisissait celui qui se trouvait en face de ma chatte. Je prenais alors un bouquin le plus haut possible ce qui faisait remonter ma jupe et lui permettait de voir à travers le voile transparent la fente de mon sexe que j'épilai soigneusement, pour que la vue en soit parfaite. Puis lorsque bien émoustillé, il passait à côté de l'escabeau je faisais semblant lors de ma descente de rater une marche et de l'entrainer dans ma chute sur le tapis. Je me débrouillais pour tomber à califourchon sur ses cuisses, la jupe relevée jusqu'à la taille. Je lui demandais s'il n'avait pas de mal, et ma main explorait sa cuisse à la recherche d'un hypothétique endroit douloureux. Puis je lui tâtais le sexe, que ce petit jeu avait en général fait gonfler, en lui disant qu'il fallait que je vérifie s'il n'y avait rien de cassé. Je descendais sa braguette et le masturbais doucement jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma main, il me demandait alors de lécher son vieux sperme, je le faisais avec délice.
Parfois, après la chute, lorsque j'étais en train de lui sortir la queue, il se relevait, me dégrafait le chemisier, et suçait mes tétons laissés libres par mon demi-soutien gorge noir, puis il m'arrachait le string et m'enfonçait sa bite pas très énorme dans la chatte, cela ne me faisait pas grand chose, mais j'étais très bien payée, pour satisfaire ses caprices.
Je me traitais de petite salope, car je commençais à aimer tout ce je subissais lors du tournage des films. La pénétration des énormes bites, les sévices subis lorsque j'étais attachée, les coups de cravaches, les sodomies et j'en passe... Et j'attendais parfois avec impatience que le producteur me rappelle pour une nouvelle aventure.
Alfred était très gentil avec moi, il m'offrait tout ce que je désirai. Un soir au souper, il me demanda si je n'avais pas une idée de cadeau pour un anniversaire, celui d' un très bon copain de son âge.
Un plan machiavélique germa dans mon esprit. Si tout se passait bien, j'allais pouvoir satisfaire une partie de mes fantasmes.

« Oui Alfred, j'ai une idée de cadeau pour ton ami. Tu n'as qu'a m'offrir moi !! Il n'oubliera jamais ce cadeau...je vais t'expliquer ce que l'on va faire...Je suis sure qu'il n'a jamais baisé une jeune fille comme moi ! Nous allons en plus lui faire croire que vous me baisez à mon insu !! »

Le lendemain, je l'emmenais faire des courses, pour acheter les diverses choses dont nous aurions besoin.
Je lui fis prendre tout d'abord dans une droguerie, de fines cordelettes, puis des épingles à linge en fer qui pinçaient assez fort. Je l'entrainais dans une sex-shop et lui fit acheter deux énormes godemichés d'au moins six cm de large et trente de long, ils avaient des petites boules de caoutchouc assez dures sur toute leur longueur. Ils étaient creux et la bite de l'utilisateur pouvait entrer à l'intérieur, une fois fixés autour de la taille. J'en achetai un autre aussi gros mais tout lisse, on pouvait le poser sur le sol, il tenait tout seul. Je lui dis aussi de prendre aussi une cravache avec un large bout en cuir. En voyant cela, Alfred qui venait d'entrer dans une telle boutique pour la première fois, roulait des yeux effarés. Je le rassurais avec un large sourire, tout en lui déposant un tendre baiser sur la joue.
De retour chez lui, je lui expliquais ce que j'attendais de lui...Il y aurait le repas d'anniversaire. Au dessert, pour le champagne, Alfred ferait semblant de me donner un somnifère et moi je m'endormirai...Il écouta attentivement ce qui devrait se passer ensuite. Je lui caressais la queue pour voir si mon scénario lui convenait, elle était rigide. Pour le remercier de m'avoir bien écouté, je la pris dans ma bouche, il éjacula rapidement preuve que mon plan lui convenait tout à fait.
Il invita donc son copain Jules, pour un repas entre amis. Ce fut succulent. Jules était un vieux monsieur, pas très grand, des cheveux poivre et sel, une moustache blanche et un double menton.
Un ventre assez volumineux. Il avait un complet assez chic. Alfred me présenta comme sa secrétaire et ne tarit pas d'éloge sur mon travail.
Au moment de servir le champagne, il se leva, alla remplir les verres sur une desserte en nous disant de nous installer sur le canapé. Je m'assis à côté de Jules et ma jupe comme par enchantement découvrit les attaches de mon porte jarretelle. Les yeux de Jules se portèrent aussitôt sur la bande de peau découverte. Alfred nous tendit à chacun une coupe de champagne et proposa de porter un toast à Jules. Je bu mon verre d'un seul trait. Il m'en resservi un autre tandis que la conversation roulait sur leurs boulots réciproques, et que ma jupe remontait de plus en plus haut.
Au bout d'un moment je fis comme si je m'endormais, ma tête roula sur le dossier.

« Ah ça y est, elle dort, dit Alfred. Le somnifère a fait effet»

Il passa sa main devant mes yeux pour vérifier.

« Ça fait un mois que cette petite salope travaille pour moi, et elle n'arrête pas de m'exciter sans jamais rien me donner. Tu as vu sa jupe, elle est tellement haute qu'on aperçoit son string ! On va lui faire sa fête, tu es d'accord ! Tu as vu comme elle est bandante, la salope ! »

Et disant cela il retroussa ma jupe sur mes cuisses découvrant complètement mon string transparent...

« Regarde moi ces jambes...une merveille ! Allez Jules aide moi à la porter sur le bureau... C'est ton cadeau d'anniversaire...Tu n'en as jamais baisée une aussi jolie ! Attends, avant de l'attacher, quitte lui son chemisier. »

Jules s'exécuta. Alfred avait sorti les cordelettes, me faisant passer les bras au dessus de la tête, il enroula les cordes à mes poignets et les attacha aux boutons des tiroirs. Au même moment Jules faisait pareil à mes jambes pendantes le long du bureau. Ce fut l'instant ou je choisis de me réveiller. La position de mes bras tendus au dessus de ma tête avait descendu le bord des bonnets de soutien gorge au ras de mes mamelons, la moitié de mes aréoles était découverte. En ouvrant les paupières, je vis que les yeux exorbités de Jules les fixaient intensément. Un mouvement d'épaules fit jaillir mes tétons, hors de leur prison.

« Oh putain, fit Jules ! »

Ses yeux descendirent sur mon ventre et fixèrent ma chatte à peine voilée par le string, découverte par la jupe courte et ample que j'avais enfilé, qui était remontée jusqu'au nombril.
Sachant ce qui allait suivre, cela commençait à m'exciter.

« Bon dit Alfred, si tu la foutais à poil ! Enlève lui sa jupe, dit-il en tendant une paire de ciseaux à Jules, tu peux y aller sans crainte c'est moi qui lui paye ses habits à cette petite salope ! »

J'entendis les ciseaux crisser lentement sur le tissu et la jupe tomba à terre. Puis il passa une lame sous le soutien gorge entre mes seins et coupa en me jetant un regard lubrique. Les bretelles subirent le même sort. Il ôta ce qui avait été un soutien gorge, ce geste m'excita, mon buste se tendit en avant.
Me regardant dans les yeux, il effleura les pointes brunes offertes avec l'acier froid des ciseaux, en faisant mine de les couper, cela me fit tressaillir et elles se dressèrent légèrement. Puis descendant la lame froide sur mon ventre, il l'inséra d'un coté du string et coupa, puis fit subir la même chose à l'autre coté.
Alfred lui, s'était déshabillé, de me voir ainsi jambes écartées, offerte sans défense, seulement vêtue de mes bas noirs, de mes talons aiguilles et de mon porte-jarretelle cela le faisait bander, son vieux phallus était tendu comme un arc. Il devait comme moi penser aussi à ce qui allait suivre.
Cette réflexion, commença à m'humidifier la chatte. Et a me faire durcir les mamelons.

« Putain, dit Jules je sais pas si je lui ai fait de l'effet en la déshabillant mais on dirait qu'elle mouille...et regarde ses tétons ils grossissent à vue d'œil !! »

Alfred sorti alors la cravache et les épingles à linge en acier.

« Vas-y Jules dit-il en lui tendant la cravache, fouette lui les seins pour les lui faire durcir encore plus...! »

Jules me donna léger coup sur un sein, je gémis. Il fit pareil à l'autre. Puis il caressa les mamelons avec le bout en cuir. Alfred qui avait bien retenu ce que je lui avais demandé, lui prit la cravache des mains et lui montra comment faire, il visait mes mamelons en donnant des coups assez forts comme convenu. Je me tordais dans mes liens en poussant de petits cris. Excité au plus haut point, Jules se déshabilla à son tour, tout en ne quittant pas des yeux la cravache qui s'abattait sur mes seins.
Il avait un sexe pas tellement long mais vraiment très large. Il bandait tellement que son gland découvert était presque violet. Albert lui rendit la cravache, en lui disant de bien frapper mes tétons pour bien les faire grossir. Il le fit avec application, j'aimais sentir la morsure du cuir et je sentais mes mamelons se gorger de sang, je me tordais de plaisir en gémissant, ce qui décuplait l'excitation de Jules.

« Encore, encore...oui !! »

A ces mots, Alfred compris ce que je voulais, nous en avions convenu. Il prit les deux pinces en acier, lorsque je le vis s'approcher de moi, mon buste se souleva et je lui présentais mes deux seins durcis et mes mamelons au maximum de leur longueur. Lorsque je senti la morsure de l'acier à la base de mes excroissances brunes, je hurlais de plaisir. Il me semblait que mes tétons s'allongeaient encore. Alfred dit alors à Jules de me les sucer, ce qu'il fit, les aspirant et les mordillant à tour de rôle, je crus m'évanouir d'extase ! Pour cela il s'était positionné au dessus de ma tête. Je senti sa bite se frotter à mes mains attachées, je la lui saisis et je lui caressais son gros mandrin rigide, il eut un gémissement d'extase.
Pour l'instant mon scénario se déroulait à la perfection, Jules était parfait.
Cette séance m'avait faite énormément mouiller. Ma chatte était trempée, une petite flaque de foutre avait même coulé sur le bureau. Jules s'étira sur moi. Ses couilles poilues me caressèrent le visage, je sentis sa main s'aventurer sur mon porte-jarretelle, passer dessous et se diriger vers ma chatte palpitante. Deux de ses doigts s'insinuèrent dans mon vagin. Je serrai sa bite plus fort ! Avisant la tâche sur le bureau, il déclara.

« Putain Alfred, ce qu'elle mouille, on dirait une fontaine...!! »

Puis il se dégagea, pour se diriger à côté d'Alfred qui penché sur ma chatte, avait écarté mes lèvres de sa main gauche, et me chatouillait le clitoris avec son index droit.

« Regarde dit-il à Jules, as-tu déjà vu un clitoris aussi joli... »

Il me le masturba entre son pouce et son index, mon petit bouton se gorgeait de sang. Je haletais et poussais des grognements de plaisir en tortillant mon bassin dans tous les sens sous la caresse. Il passa ensuite deux doigts le long de ma fente en la pénétrant légèrement pour recueillir mon foutre et les suça avec délice.

« Mais je te la laisse, Jules c'est ton anniversaire, goute son foutre il est délicieux.... »

Il ne fallu pas lui dire deux fois, il se mit à genoux, je sentis sa langue s'insinuer entre mes lèvres
écartées de par ma position, il aspira le liquide qui coulait, puis elle titilla mon clitoris, et ses lèvres enserrèrent mon petit bouton qui me sembla-t-il grossit encore et durcit, tandis qu'un flot de mon liquide séminal noyait à nouveau sa bouche.

« Petite Salope, tu aimes ça !! Putain, Alfred je peux la baiser ? Je n'y tiens plus »

Il s'était relevé et attendait l'assentiment d'Alfred, son énorme gland positionné à l'entrée de mon vagin. On aurait dit que son sexe avait une vie propre tellement il palpitait.

« Je t'ai dis qu'elle était à toi ! Je te laisse le bas, tu lui fais ce que tu veux. Moi je me fais sucer »

En disant cela il me mit sa queue dans la bouche. Je sentis l'énorme gland de Jules forcer l'entrée
de ma chatte, celle-ci bien lubrifiée et ayant connu des pénétrations beaucoup plus importantes l'accepta sans problème. Je fis semblant d'éprouver du plaisir, contractant le plus possible mes parois vaginales, elle était vraiment loin de me remplir entièrement. Au bout de cinq minutes d'intenses va et vient Jules trouva que malgré la grosseur de sa bite, les glissements étaient trop faciles.
Prenant la paire de ciseau qui trainait sur le bureau, il coupa les cordes attachant mes jambes. Puis les levant et posant mes chevilles sur ses épaules, pour bien dégager mes fesses, il approcha sa large queue de mon anus et l'enfonça doucement avec lenteur. Elle s'accordait mieux à mon orifice anal. Il sentait pleinement mes parois lui comprimer la queue. Je sentais son gland écarter mes parois anales. Je l'aidais en serrant et relâchant mes sphincters, il était aux anges.

« Tu es vraiment, une merveilleuse petite salope, me dit-il entre deux grognements de plaisir »

Alfred lui avait éjaculé dans ma bouche. Il fallait attendre maintenant que Jules ait vidé ses couilles pour continuer le scénario mis au point, car si j'avais pris pas mal de plaisir je n'avais pas joui.
Jules me malaxait les seins, dont les mamelons étaient toujours enserrés dans les pinces, une délicieuse douleur glauque et lancinante s'irradiait de mes tétons meurtris toujours en érection car Jules avait compris que pour les maintenir en érection, il fallait ouvrir, refermer et tordre les pinces...Cela me faisait gémir de plaisir, les tétons sont une zone très érogène chez moi. Alfred m'avait détaché les poignets et je me débrouillais pour caresser les testicules de Jules. Cette soudaine caresse le fit éjaculer, je sentis son sperme me couler dans l'anus, il se libéra avec un grand cri en enfonçant son mandrin jusqu'à la garde. A chaque soubresauts que lui prodiguait son éjaculation il me disait :

« Tiens Salope, prend mon sperme dans ton cul, tiens encore, encore...Je n'avais jamais baisé une nana aussi jolie que toi...il a fallu que j'attende soixante dix ans passés...je peux mourir maintenant ! »

Sur un signe de tête convenu entre nous Alfred déclara :

« Tu as raison Jules, elle est très belle, mais cette Salope en profite et m'excite sans jamais rien me donner...Il faut la punir encore ! »

Il attrapa mes mains et me les lia dans le dos. Puis posant le gros godemiché lisse par terre, il m'ordonna de m'asseoir dessus face à eux, sinon c'était la cravache dans le dos me dit-il en riant.
Je m'accroupis sur l'énorme engin et en les regardant langoureusement, je descendis le bassin lentement pour le faire entrer dans ma chatte. Je me soulevais et me rabaissais avec une lenteur calculée, ils ne quittaient pas l'engin des yeux, étant persuadés que je n'arriverai pas faire entrer les
sept centimètres de diamètre et les vingt cinq de longueur. Leurs regards m'excitaient, à chaque fois que je me levais du foutre coulait de mon sexe largement ouvert par le godemiché, et coulait le long de l'énorme cylindre.

« Oh, elle mouille fort la garce...!! »
- Regarde, répondit Alfred ses nichons sont aussi durs que du bois »

Il s'approcha pour réajuster les pinces en acier au ras de mes aréoles.

« Putain tu as vu les tétons érectiles qu'elle a...!! Allez Trixie dit nous que ça t'excites...Allons parle !! »

Je sentais que j'étais presque au bout de la longueur de l'engin et que mon foutre dégoulinait de plus en plus.

« Ouiiii, ouiii c'est bon j'aime ça dis-je en le faisant entrer entièrement »

Jules me bascula sur le dos et commença des va et vient avec l'énorme engin, je lui offrais ma chatte grande ouverte.

« Oui, j'en veux encore et même plus...! »

A ces mots, Alfred ouvrir un tiroir et sorti les deux gros godemichés spéciaux...Jules alternait ses pénétrations entre ma chatte et mon orifice anal qui se retrouva lui aussi dégoulinant de mon foutre.

« Jules enfile ça...!! je veux l'entendre crier de jouissance, cette garce !! »

Ils s'équipèrent des deux gros engins, Jules s'étendit sur le sol, Alfred m'amena à l'aplomb de l'énorme tube couvert d'excroissances, Jules le maintenait à l'entrée de mon vagin. Imperceptiblement je me baissais pour commencer à le faire entrer. Jules d'une main s'occupait de mes tétons, toujours turgescents grâce aux pinces.

« Tu aimes ça, hein ? Dis le que tu aimes te faire tripoter mignonne !! »

Cambrée le sexe en avant, la poitrine arrogante, je provoquais Jules et son godemiché, ma chatte était toujours aussi trempée. Alfred appuya un peu sur mes épaules, je senti l'engin s'enfoncer de trois centimètres, les petites boules me griffaient les parois vaginales, c'était très excitant. Je me relevais, Jules m'attrapa à hauteur du porte jarretelle et me força à me rasseoir, l'engin pénétra de dix centimètres, je poussais un petit cri de douleur. Et me relevais.

« Putain ce qu'elle mouille de nouveau, ça dégouline sur mes couilles dit Jules. Je vais faire monter ton plaisir lentement, doucement salope ! »

Et en soulevant son bassin, il enfonça vingt centimètres de l'énorme bite factice. Je sentis Alfred qui m'attrapait sous les bras et me soulevait, puis il me laissa retomber, le cylindre disparu entièrement à l'intérieur de ma chatte. Une délicieuse brulure, provoquée par les excroissances m'irradia le vagin, je hoquetais de plaisir et de douleur. Je commençais alors à me soulever et a me laisser retomber, Jules pris ma cadence et ponctuait ses pénétrations :

« Prends ça salope, tu vas jouir, tu vas jouir... »

Je lu dans ses yeux le contentement de voir l'excitation dans laquelle j'étais, fier que ce soit lui qui soit arrivé à me mettre dans un tel état.

« Oh oui...plus vite, encore, encore plus...!! »

Alfred ayant compris ce que je demandais, me fit basculer sur le gros ventre de Jules. Il écarta doucement mes fesses, dégagea mon orifice anal. Avec son index et son majeur il récupéra du foutre qui coulait à flot de ma chatte, en badigeonna mon anus, ensuite il cracha sur l'énorme godemiché et commença à l'enfoncer très doucement, je criais de plaisir.

« Oui vas-y enfonce, Alfred...ooohhh c'est bon...!! »

Il procédait par petits à coups, crachant pour bien lubrifier l'engin...au bout d'un moment il réussi a me l'enfiler complètement, et commença lui aussi des va et vient, comme dans mon vagin les petites boules me griffaient les parois anales, c'était une sensation délicieuse.
Tout à coup Jules s'arrêta, j'étais arrivé au bord de la jouissance, il ôta entièrement le godemiché de ma chatte.

« Noooon hurlais-je... »

En essayant de m'empaler à nouveau.

« Tu n'avais jamais gouté à ça, n'est-ce pas me dis Jules. Tu aurais jouis si je ne m'étais pas arrêté ?
- Ouiiiiii, je suis sûre que oouuiiii, tu es un salaud !
- Eh bien alors... »

Et d'un grand coup de rein il enfila entièrement l'énorme godemiché au plus profond de mon vagin. Une décharge électrique me traversa le corps, me tétanisant, ma bouche s'ouvrit et se ferma, puis un énorme cri de jouissance sorti de ma poitrine. Je m'affalai sur lui, il en profita pour chercher ma bouche et m'embrasser fougueusement.
Alfred me délia les mains.

« Alors Jules, il t'a plu ton cadeau d'anniversaire ? C'était une idée de Trixie !! »

A suivre...

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Texte coquin : Trixie chap 16 - L'anniversaire
Histoire sexe : Une rose rouge
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