Trixie chap 19 - Un drôle de rêve
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 96 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Trixie ont reçu un total de 798 514 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2013 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 5 520 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Trixie chap 19 - Un drôle de rêve
Cela faisait trois jours que j' avais quitté le village et depuis, malgré les kilomètres parcourus, je n'avais rien trouvé qui ait pu prouver mon courage et mes compétences. Il faisait très chaud, je ne portais comme vêtement fait d'un tissu grossier qu'une jupe très courte et un soutien gorge qui moulait mes seins fermes. Dans mon dos, mon épée à l'intérieur de son fourreau, me battait les omoplates. Mes cheveux blonds flottaient sur mes épaules. Je savais que trois guerriers me surveillaient discrètement pour être témoins de mes exploits et les rapporter ainsi au village.
Si je ne trouvais pas une prouesse à accomplir pour prouver ma valeur dans un délai d'une semaine, je devrais attendre un an complet pour entrer dans la guilde des guerriers la période initiatique étant passée. Je ne me satisfaisais plus de ma condition actuelle au village, ou les hommes ne prêtaient attention qu'a ma beauté. Il est vrai que l'eau de la fontaine ou je m'étais arrêtée pour me désaltérer me renvoyait l'image d'une superbe jeune fille. Mon bronzage faisait ressortir mes yeux bleus verts, le brun de mes mamelons affleurait le bord du soutien gorge.
Je repris ma marche dans la forêt, maudissant les arbres de ne pas trouver un défi à ma hauteur, j' entendis un bruit venant d'une clairière à proximité.
« Ça pourrait être un loup, ou mieux encore un ours !Pensais-je »
Je m''approchait silencieusement. Je ne pouvais pas voir les visages de ceux qui me suivaient , surement goguenards car ils doutaient fortement de ma capacité a affronter les dangers. Si je rapportais une peau d'ours comme preuve de mes compétences, ou peut-être un collier dents de loup, ce ne serait pas si mal !
Quand j 'atteins le bord de la clairière, je n'en croyais pas mes yeux, un Troll, ici !?
J'avais entendu des histoires de Trolls. Délaissant parfois les montagnes froides, il venaient errer dans les chaudes forêts à proximité du village. Mais depuis que j'étais née, il y a vingt cinq ans, jamais je n'avais entendu que quelqu'un ait rapporté en avoir vu un. C'était un monstre énorme. Il devait mesurer plus de deux mètre cinquante haut. Sa tête aux yeux plissés, aux oreilles pointues, au nez aplati inspirait la terreur. Deux canines acérées pontaient du bas de sa bouche énorme. Il était recouvert de poils fins couleur grisâtre, un torse glabre et jaunâtre. Ses mains et ses pieds étaient en rapport avec sa stature, immenses. Je reniflais son odeur, écœurante. On aurait dit du poisson rance.
« C'est ma chance! Si je peux apporter la tête du Troll, ils ne me feront au moins capitaine si ce n'est colonel ! »
Des images de gloire et de renommée traversèrent mon esprit, je tirais mon épée et chargeais droit le Troll sans méfiance. L'adrénaline coulait dans mes veines et, en traversant la clairière, je me mis à hurler, cela me donnait du courage, mais le Troll fut alerté de ma présence.
Comme j'arrivais à sa hauteur et étais sur le point de lui enfoncer mon épée dans le ventre, le
Troll esquiva le coup, et de son poing énorme m'asséna une énorme gifle au visage. La bête avait dosé sa frappe car sinon elle m'aurait tué. Je tombais sur le dos impuissante, à terre les jambes écartées. L'adrénaline palpitait encore dans mes veines, je n'avais pas encore conscience de ce qui venait d'arriver. Dans le choc un de mes seins avait jaillit hors de mon léger soutien gorge, l'excitation avait fait durcir mes mamelons. Ma jupe était remontée jusqu'à mon nombril et mon sexe dénudé s'offrait la vue du monstre. J'essayais de me lever mais mes jambes se dérobèrent. Après quelques secondes d'étourdissement, je réalisais que le Troll était toujours là, me regardant avec un étrange sourire sur son visage.
Le monstre, venait de s'apercevoir que ce qui l'avait attaqué était une femelle humaine. Ce n'était pas par hasard qu'il avait erré dans les montagnes et au travers des profondes forêts. Il était à la recherche d'une femelle appropriée. Il savait que les femelles humaines n'étaient pas compatible pour procréer avec lui, mais cela ne le dérangeait pas d'avoir la possibilité de libérer une partie de la frustration qu'il avait accumulé alors qu'il errait depuis des semaines. Son besoin de sexe était énorme.
Ayant rapidement analysé la situation, je décidais qu'il valait mieux fuir pour l'instant et essayer de le combattre plus tard en essayant de le surprendre par surprise. Je commençais à ramper loin du Troll. Je me mis à quatre pattes et m'éloignais le plus vite possible. Le Monstre me suivait le regard fixé sur mes fesses découvertes qui ondulaient sous ma reptation.
Après avoir rampé sur ce qui me semblait être plusieurs centaines de mètres, je sentis qu'une de mes jambes était attrapée avec force, l'arrêt fut brutal. Je tournais la tête et regardant fixement en arrière, Je vis la face grimaçante du troll, me tirant vers lui. Mes yeux se portèrent sur le pénis du Troll. Il avait le plus grand sexe, que je n'ai jamais vu, et la taille semblait augmenter à chaque seconde. Une paire de bourses grosses comme des pamplemousses pendait entre ses cuisses. Il me tenait la jambe écartée ce qui ouvrait la fente de mon vagin et laissait apercevoir le rose de ma vulve. Je m'aperçus que de la bave coulait des lèvres lippues. Un frisson descendit le long de ma colonne vertébrale. Je me souvins d'une histoire que j'avais entendu une fois dans ma jeunesse au cours d'une soirée au village. Celle d'une jeune femme qui s'était perdue dans la forêt et avait rencontré un Troll. Au lieu de la tuer instantanément le Troll l'avait baisée, la tuant dans cet accouplement sauvage.
À l'époque, j' avais pensé que l'histoire était inventée et que c'était pour effrayer les jeunes filles et les faire rester aux alentours du village. Maintenant, cependant, l'histoire ne me semblait pas tout à fait aussi fausse et je commençais à imaginer les scénarios les plus horribles.
La réalité dépassa la fiction, et je me retrouvais la tête en bas. Le Troll me tenait par une cheville d'une main, de l'autre il m' arracha d'un coup sec ma jupe, puis il tira sur mon soutien gorge libérant le deuxième sein. Puis il étira son bras et me mit face à lui, il examina mon corps, que les hommes du village trouvaient parfait, de ses petits yeux porcins. J 'avais les jambes écartées, il me souleva et se pencha pour me sentir la chatte. Il y insinua un doigt à l'ongle sale, le porta à ses narines et le lécha, il eut l'air d'avoir un grognement de satisfaction.
J'essayais de lui faire lâcher prise en lui donnant des coups de pied au visage, mais il était impossible à atteindre. Je tentais de griffer la peau aussi dure que du cuir en pure perte. Le Troll émit ce qui ressemblait à un rire grossier, il me projeta à plusieurs mètres loin de lui.
Je ne m'attendais pas à être jetée ainsi, je fus à peine capable de me protéger le visage avant de frapper le sol, heureusement j'étais tombée dans l'herbe épaisse. Je réalisais que je ne m'étais rien cassée dans la chute, mais j'avais le souffle coupé. Je me mis à ramper jusqu'à une pierre plate à proximité pour soulager la douleur qui sourdait dans sa poitrine.
En reprenant son souffle, j'entendis des pas lourds s'approchant de moi. Je voulus m'enfuir, mais je pouvais à peine bouger les bras, et encore moins marcher.
Tout à coup, mon bras droit fut brutalement tiré en arrière et mon visage plaqué contre le rocher, J' essayais de bouger, mais la main sur ma tête me maintenait avec force. Je sentis les poils de l'énorme monstre effleurer mes fesses et mon dos, l'odeur du géant me soulevait le cœur.
L'histoire de la femme violée par le monstre dans la forêt resurgi dans ma tête et je commençais à imaginer toutes les sortes de façons atroces qu'il pourrait utiliser pour me tuer.
Mes pensées cédèrent vite la place à la réalité quand je sentis quelque chose de chaud se positionner contre ma chatte, d'abord je ne su pas ce que c'était car je ne pouvais rien distinguer de par ma position. Mais lorsque je ressentis le frottement le long ma fente, je réalisais que c'était le gland de son pénis, seulement c'était si gros, que je n'y avais pas pensé tout de suite.
Au début, je n'imaginais pas qu'il puisse me pénétrer, sa queue était vraiment trop grosse. Mais je sentais que le Troll la pressait et la caressait contre mes fesses, dans un premier temps juste assez pour s'exciter et lui faire atteindre son érection maximale. Mais au fur et à mesure que l'excitation augmentait la bête accentuait sa pression. Je pouvais sentir l'énorme bout lisse commencer a entrer en moi, un tout petit peu à chaque poussée écartant progressivement mes lèvres. Il grognait de plus en plus vite.
Tout à coup, le Troll poussa plus fort et la tête du pénis entra complètement, je cru d'abord qu'elle allait me déchirer, mais après quelques secondes la douleur s'estompa et mon vagin extrêmement distendu commença a palpiter comme pour en faciliter l'insertion. Je percevais chaque battement de cœur du Troll à travers son pénis tressautant. Chaque battement me faisait trembler tout le corps. Je me doutais cependant, que le Troll ne se satisferait pas de ne me pénétrer que de quelques centimètres.
J' étais toujours à genoux sur le rocher, le Troll continuait à pousser plus en plus profond, mes yeux s'obscurcirent et je m'évanouis pendant quelques secondes. Je fus rapidement ramenée à la réalité, lorsque le troll m'attrapant par les cheveux d'une main me tira la tête en arrière, tandis que l'autre il me malaxait les seins en même temps. Mes tétons commençaient à durcir sous la brutale caresse, et mes seins se raffermissaient. Je gémis. Il s'enfonça en moi encore plus loin. Il me semblait que ma chatte était complètement rempli par l'énorme pieu, même si le monstre était loin de l'avoir complètement enfilé.
Le fait de m'avoir rejeté la tête en arrière m'avait fait ouvrir les yeux, je vis que les trois hommes qui me suivaient se trouvaient à quelques mètres de là cachés dans les fourrés. Je me mis à espérer qu'ils allaient venir me délivrer. Je leur criais de venir m'aider. Mais en les regardant mieux, je m''aperçus qu'ils avaient sorti leurs bites qui bandaient au maximum et qu'ils étaient en train de se branler avec vigueur, devant le spectacle d'une fille magnifique se faisant violer par un monstre primitif.
Le Troll avait accentué la cadence de ses va et vient. Malgré moi ma chatte commençait à se lubrifier, et accepter cette monstrueuse pénétration. Le Troll dut le sentir car sa glisse en fut facilité et il gagna encore quelques centimètres. Je haletais, mon sexe était en feu. Je ne pouvais retenir les petits cris qui s'échappaient de mes lèvres.
Le Troll avait aussi remarqué les intrus qui regardaient ses ébats et de sourds grognements sortaient de sa poitrine. On aurait qu'il les défiait de venir reprendre la femelle. Il me saisit aux hanches, se cambra vers l'arrière enfonçant encore un peu son sexe monstrueux. Je sentis les contractions démesurées de sa bite, juste avant qu'il éjacule avec un rugissement rauque. J'avais, au vu de ses bourses, imaginé que ce serait une grosse charge pour une créature si grande. Mais je ne m'attendais pas qu'une si grande quantité de sperme déferla dans ma chatte et emplit mon utérus comme une outre. L'énorme pénis l'emplissait déjà entièrement, de grandes quantités de sa semence jaunâtre et nauséabonde giclèrent hors de ma chatte, et formèrent une flaque sur le sol entre mes jambes. Je fixais toujours le trois hommes de mon village, je les vis éjaculer les uns après les autres en criant de jouissance. Ce fut surement ce qui déclencha mon orgasme. Mon vagin se contracta autour de l'immense queue qui la pénétrait et je aussi ma jouissance, le monstre continuait a rugir de contentement.
Une fois de plus, j'étais proche de l'évanouissement, la pression et la jouissance exercées sur mon corps étaient tout simplement trop grandes pour que je puisse les gérer entièrement. Toutefois, le Troll n'en n'avait pas fini avec moi. Il avait cherché une compagne pendant des mois, le sperme accumulé dans son corps n'avait pas pu être libéré entièrement en une seule éjaculation, quelle qu'en soit l'intensité.
Le sol se déroba sous moi, cette fois le Troll m'avait saisie d'un bras autour de ma taille et soulevée. Il m'écrasait un peu le sternum. De sa main libre il écarta mes jambes et fit reposer ma chatte sur la pointe de son pénis qui n'avait pas débandé. On aurait dit qu'il défiait ainsi face à eux, les trois hommes qui fixaient toujours la scène tétanisés. Il leur lançait des rugissements rauques. Il voulait qu'ils assistent à son accouplement avec l'une de leurs femelles.
Le Troll me descendait lentement son sur son pénis, en utilisant mon poids pour faciliter la pénétration. Ma chatte complètement investi plus tôt, avait été beaucoup distendue et le sperme du monstre lubrifiait l'insertion. Cette fois, cependant, mon propre poids me faisait glisser inexorablement vers le bas et l'énorme bite s'enfonçait de plus en plus profondément, ce qui dans toute autre situation aurait été impossible. Je commençais à sentir mon col s'étirer au maximum, j'écartais les jambes le plus possible, et la tête du pénis continua à glisser plus profondément que lors de la première pénétration. Il me semblait que le diamètre du mandrin était aussi plus volumineux.
Il m'avait saisi sous les fesses me levait et me laissait retomber, de plus en plus vite, il me semblait que cette énorme bite allait passer au travers de la paroi de mon utérus, car elle entrait presque complètement dans ma chatte. Puis je sentis les contractions, cette fois je pus même sentir le trajet du jet de sperme le long du pénis qui emplissait ma cavité vaginale, et à nouveau mon utérus fut encore rempli par le liquide visqueux, chaud et nauséabond. Un long hurlement ponctua son éjaculation. Même si je m'étais mieux préparée cette fois que la dernière, l'énorme quantité de sperme qui remplit mon vagin tendu et se qui répandit en moi, créa une énorme pression à l'intérieur de mon ventre. Je croyais que mon intestin allait exploser, la douleur fut si intense que je perdis de nouveau connaissance.
Le Troll, ayant eu son accouplement avec la femelle humaine, me laissa retomber complètement sur sa queue dont l'érection commençait à s'estomper, je glissais sur le sol.
Le Troll était impressionné par mon endurance et l'extensibilité de ma chatte. Il s'était déjà accouplé avec des femelles humaines, mais la plupart d'entre elles, n'avaient pas supporté son énorme bite de plus de sept centimètres de large ainsi que sa longueur, elles étaient mortes avant son l'éjaculation.
J'étais maintenant étendue dur le sol toujours évanouie, et l'érection du Troll avait presque complètement disparu. Il avait eu son plaisir, avec des grognements de fureurs il chargea les hommes qui s'enfuirent. Satisfait sexuellement maintenant, il partit à la recherche d'autres aventures...
J'entendis à travers un brouillard qu'on m'appelait, ce devait être les hommes du village. On me secouait doucement, j'ouvris les yeux. Alfred était penché sur moi, j'étais nue couchée dans mon lit, au milieu des draps froissés, trempée de sueur.
« Dis donc, il est tard... tu m'as fait peur...tu gémissais...et remuais beaucoup. Mais je vois que ce n'était qu'un rêve...drôlement érotique en tout cas !! me dit-il en avisant la tâche de foutre sur les draps... »
Oui, ce n'était qu'un cauchemar, surement du l'alcool que j' avais ingurgité lors de la fête de la veille... Un drôle de rêve érotique...
A suivre...
Si je ne trouvais pas une prouesse à accomplir pour prouver ma valeur dans un délai d'une semaine, je devrais attendre un an complet pour entrer dans la guilde des guerriers la période initiatique étant passée. Je ne me satisfaisais plus de ma condition actuelle au village, ou les hommes ne prêtaient attention qu'a ma beauté. Il est vrai que l'eau de la fontaine ou je m'étais arrêtée pour me désaltérer me renvoyait l'image d'une superbe jeune fille. Mon bronzage faisait ressortir mes yeux bleus verts, le brun de mes mamelons affleurait le bord du soutien gorge.
Je repris ma marche dans la forêt, maudissant les arbres de ne pas trouver un défi à ma hauteur, j' entendis un bruit venant d'une clairière à proximité.
« Ça pourrait être un loup, ou mieux encore un ours !Pensais-je »
Je m''approchait silencieusement. Je ne pouvais pas voir les visages de ceux qui me suivaient , surement goguenards car ils doutaient fortement de ma capacité a affronter les dangers. Si je rapportais une peau d'ours comme preuve de mes compétences, ou peut-être un collier dents de loup, ce ne serait pas si mal !
Quand j 'atteins le bord de la clairière, je n'en croyais pas mes yeux, un Troll, ici !?
J'avais entendu des histoires de Trolls. Délaissant parfois les montagnes froides, il venaient errer dans les chaudes forêts à proximité du village. Mais depuis que j'étais née, il y a vingt cinq ans, jamais je n'avais entendu que quelqu'un ait rapporté en avoir vu un. C'était un monstre énorme. Il devait mesurer plus de deux mètre cinquante haut. Sa tête aux yeux plissés, aux oreilles pointues, au nez aplati inspirait la terreur. Deux canines acérées pontaient du bas de sa bouche énorme. Il était recouvert de poils fins couleur grisâtre, un torse glabre et jaunâtre. Ses mains et ses pieds étaient en rapport avec sa stature, immenses. Je reniflais son odeur, écœurante. On aurait dit du poisson rance.
« C'est ma chance! Si je peux apporter la tête du Troll, ils ne me feront au moins capitaine si ce n'est colonel ! »
Des images de gloire et de renommée traversèrent mon esprit, je tirais mon épée et chargeais droit le Troll sans méfiance. L'adrénaline coulait dans mes veines et, en traversant la clairière, je me mis à hurler, cela me donnait du courage, mais le Troll fut alerté de ma présence.
Comme j'arrivais à sa hauteur et étais sur le point de lui enfoncer mon épée dans le ventre, le
Troll esquiva le coup, et de son poing énorme m'asséna une énorme gifle au visage. La bête avait dosé sa frappe car sinon elle m'aurait tué. Je tombais sur le dos impuissante, à terre les jambes écartées. L'adrénaline palpitait encore dans mes veines, je n'avais pas encore conscience de ce qui venait d'arriver. Dans le choc un de mes seins avait jaillit hors de mon léger soutien gorge, l'excitation avait fait durcir mes mamelons. Ma jupe était remontée jusqu'à mon nombril et mon sexe dénudé s'offrait la vue du monstre. J'essayais de me lever mais mes jambes se dérobèrent. Après quelques secondes d'étourdissement, je réalisais que le Troll était toujours là, me regardant avec un étrange sourire sur son visage.
Le monstre, venait de s'apercevoir que ce qui l'avait attaqué était une femelle humaine. Ce n'était pas par hasard qu'il avait erré dans les montagnes et au travers des profondes forêts. Il était à la recherche d'une femelle appropriée. Il savait que les femelles humaines n'étaient pas compatible pour procréer avec lui, mais cela ne le dérangeait pas d'avoir la possibilité de libérer une partie de la frustration qu'il avait accumulé alors qu'il errait depuis des semaines. Son besoin de sexe était énorme.
Ayant rapidement analysé la situation, je décidais qu'il valait mieux fuir pour l'instant et essayer de le combattre plus tard en essayant de le surprendre par surprise. Je commençais à ramper loin du Troll. Je me mis à quatre pattes et m'éloignais le plus vite possible. Le Monstre me suivait le regard fixé sur mes fesses découvertes qui ondulaient sous ma reptation.
Après avoir rampé sur ce qui me semblait être plusieurs centaines de mètres, je sentis qu'une de mes jambes était attrapée avec force, l'arrêt fut brutal. Je tournais la tête et regardant fixement en arrière, Je vis la face grimaçante du troll, me tirant vers lui. Mes yeux se portèrent sur le pénis du Troll. Il avait le plus grand sexe, que je n'ai jamais vu, et la taille semblait augmenter à chaque seconde. Une paire de bourses grosses comme des pamplemousses pendait entre ses cuisses. Il me tenait la jambe écartée ce qui ouvrait la fente de mon vagin et laissait apercevoir le rose de ma vulve. Je m'aperçus que de la bave coulait des lèvres lippues. Un frisson descendit le long de ma colonne vertébrale. Je me souvins d'une histoire que j'avais entendu une fois dans ma jeunesse au cours d'une soirée au village. Celle d'une jeune femme qui s'était perdue dans la forêt et avait rencontré un Troll. Au lieu de la tuer instantanément le Troll l'avait baisée, la tuant dans cet accouplement sauvage.
À l'époque, j' avais pensé que l'histoire était inventée et que c'était pour effrayer les jeunes filles et les faire rester aux alentours du village. Maintenant, cependant, l'histoire ne me semblait pas tout à fait aussi fausse et je commençais à imaginer les scénarios les plus horribles.
La réalité dépassa la fiction, et je me retrouvais la tête en bas. Le Troll me tenait par une cheville d'une main, de l'autre il m' arracha d'un coup sec ma jupe, puis il tira sur mon soutien gorge libérant le deuxième sein. Puis il étira son bras et me mit face à lui, il examina mon corps, que les hommes du village trouvaient parfait, de ses petits yeux porcins. J 'avais les jambes écartées, il me souleva et se pencha pour me sentir la chatte. Il y insinua un doigt à l'ongle sale, le porta à ses narines et le lécha, il eut l'air d'avoir un grognement de satisfaction.
J'essayais de lui faire lâcher prise en lui donnant des coups de pied au visage, mais il était impossible à atteindre. Je tentais de griffer la peau aussi dure que du cuir en pure perte. Le Troll émit ce qui ressemblait à un rire grossier, il me projeta à plusieurs mètres loin de lui.
Je ne m'attendais pas à être jetée ainsi, je fus à peine capable de me protéger le visage avant de frapper le sol, heureusement j'étais tombée dans l'herbe épaisse. Je réalisais que je ne m'étais rien cassée dans la chute, mais j'avais le souffle coupé. Je me mis à ramper jusqu'à une pierre plate à proximité pour soulager la douleur qui sourdait dans sa poitrine.
En reprenant son souffle, j'entendis des pas lourds s'approchant de moi. Je voulus m'enfuir, mais je pouvais à peine bouger les bras, et encore moins marcher.
Tout à coup, mon bras droit fut brutalement tiré en arrière et mon visage plaqué contre le rocher, J' essayais de bouger, mais la main sur ma tête me maintenait avec force. Je sentis les poils de l'énorme monstre effleurer mes fesses et mon dos, l'odeur du géant me soulevait le cœur.
L'histoire de la femme violée par le monstre dans la forêt resurgi dans ma tête et je commençais à imaginer toutes les sortes de façons atroces qu'il pourrait utiliser pour me tuer.
Mes pensées cédèrent vite la place à la réalité quand je sentis quelque chose de chaud se positionner contre ma chatte, d'abord je ne su pas ce que c'était car je ne pouvais rien distinguer de par ma position. Mais lorsque je ressentis le frottement le long ma fente, je réalisais que c'était le gland de son pénis, seulement c'était si gros, que je n'y avais pas pensé tout de suite.
Au début, je n'imaginais pas qu'il puisse me pénétrer, sa queue était vraiment trop grosse. Mais je sentais que le Troll la pressait et la caressait contre mes fesses, dans un premier temps juste assez pour s'exciter et lui faire atteindre son érection maximale. Mais au fur et à mesure que l'excitation augmentait la bête accentuait sa pression. Je pouvais sentir l'énorme bout lisse commencer a entrer en moi, un tout petit peu à chaque poussée écartant progressivement mes lèvres. Il grognait de plus en plus vite.
Tout à coup, le Troll poussa plus fort et la tête du pénis entra complètement, je cru d'abord qu'elle allait me déchirer, mais après quelques secondes la douleur s'estompa et mon vagin extrêmement distendu commença a palpiter comme pour en faciliter l'insertion. Je percevais chaque battement de cœur du Troll à travers son pénis tressautant. Chaque battement me faisait trembler tout le corps. Je me doutais cependant, que le Troll ne se satisferait pas de ne me pénétrer que de quelques centimètres.
J' étais toujours à genoux sur le rocher, le Troll continuait à pousser plus en plus profond, mes yeux s'obscurcirent et je m'évanouis pendant quelques secondes. Je fus rapidement ramenée à la réalité, lorsque le troll m'attrapant par les cheveux d'une main me tira la tête en arrière, tandis que l'autre il me malaxait les seins en même temps. Mes tétons commençaient à durcir sous la brutale caresse, et mes seins se raffermissaient. Je gémis. Il s'enfonça en moi encore plus loin. Il me semblait que ma chatte était complètement rempli par l'énorme pieu, même si le monstre était loin de l'avoir complètement enfilé.
Le fait de m'avoir rejeté la tête en arrière m'avait fait ouvrir les yeux, je vis que les trois hommes qui me suivaient se trouvaient à quelques mètres de là cachés dans les fourrés. Je me mis à espérer qu'ils allaient venir me délivrer. Je leur criais de venir m'aider. Mais en les regardant mieux, je m''aperçus qu'ils avaient sorti leurs bites qui bandaient au maximum et qu'ils étaient en train de se branler avec vigueur, devant le spectacle d'une fille magnifique se faisant violer par un monstre primitif.
Le Troll avait accentué la cadence de ses va et vient. Malgré moi ma chatte commençait à se lubrifier, et accepter cette monstrueuse pénétration. Le Troll dut le sentir car sa glisse en fut facilité et il gagna encore quelques centimètres. Je haletais, mon sexe était en feu. Je ne pouvais retenir les petits cris qui s'échappaient de mes lèvres.
Le Troll avait aussi remarqué les intrus qui regardaient ses ébats et de sourds grognements sortaient de sa poitrine. On aurait qu'il les défiait de venir reprendre la femelle. Il me saisit aux hanches, se cambra vers l'arrière enfonçant encore un peu son sexe monstrueux. Je sentis les contractions démesurées de sa bite, juste avant qu'il éjacule avec un rugissement rauque. J'avais, au vu de ses bourses, imaginé que ce serait une grosse charge pour une créature si grande. Mais je ne m'attendais pas qu'une si grande quantité de sperme déferla dans ma chatte et emplit mon utérus comme une outre. L'énorme pénis l'emplissait déjà entièrement, de grandes quantités de sa semence jaunâtre et nauséabonde giclèrent hors de ma chatte, et formèrent une flaque sur le sol entre mes jambes. Je fixais toujours le trois hommes de mon village, je les vis éjaculer les uns après les autres en criant de jouissance. Ce fut surement ce qui déclencha mon orgasme. Mon vagin se contracta autour de l'immense queue qui la pénétrait et je aussi ma jouissance, le monstre continuait a rugir de contentement.
Une fois de plus, j'étais proche de l'évanouissement, la pression et la jouissance exercées sur mon corps étaient tout simplement trop grandes pour que je puisse les gérer entièrement. Toutefois, le Troll n'en n'avait pas fini avec moi. Il avait cherché une compagne pendant des mois, le sperme accumulé dans son corps n'avait pas pu être libéré entièrement en une seule éjaculation, quelle qu'en soit l'intensité.
Le sol se déroba sous moi, cette fois le Troll m'avait saisie d'un bras autour de ma taille et soulevée. Il m'écrasait un peu le sternum. De sa main libre il écarta mes jambes et fit reposer ma chatte sur la pointe de son pénis qui n'avait pas débandé. On aurait dit qu'il défiait ainsi face à eux, les trois hommes qui fixaient toujours la scène tétanisés. Il leur lançait des rugissements rauques. Il voulait qu'ils assistent à son accouplement avec l'une de leurs femelles.
Le Troll me descendait lentement son sur son pénis, en utilisant mon poids pour faciliter la pénétration. Ma chatte complètement investi plus tôt, avait été beaucoup distendue et le sperme du monstre lubrifiait l'insertion. Cette fois, cependant, mon propre poids me faisait glisser inexorablement vers le bas et l'énorme bite s'enfonçait de plus en plus profondément, ce qui dans toute autre situation aurait été impossible. Je commençais à sentir mon col s'étirer au maximum, j'écartais les jambes le plus possible, et la tête du pénis continua à glisser plus profondément que lors de la première pénétration. Il me semblait que le diamètre du mandrin était aussi plus volumineux.
Il m'avait saisi sous les fesses me levait et me laissait retomber, de plus en plus vite, il me semblait que cette énorme bite allait passer au travers de la paroi de mon utérus, car elle entrait presque complètement dans ma chatte. Puis je sentis les contractions, cette fois je pus même sentir le trajet du jet de sperme le long du pénis qui emplissait ma cavité vaginale, et à nouveau mon utérus fut encore rempli par le liquide visqueux, chaud et nauséabond. Un long hurlement ponctua son éjaculation. Même si je m'étais mieux préparée cette fois que la dernière, l'énorme quantité de sperme qui remplit mon vagin tendu et se qui répandit en moi, créa une énorme pression à l'intérieur de mon ventre. Je croyais que mon intestin allait exploser, la douleur fut si intense que je perdis de nouveau connaissance.
Le Troll, ayant eu son accouplement avec la femelle humaine, me laissa retomber complètement sur sa queue dont l'érection commençait à s'estomper, je glissais sur le sol.
Le Troll était impressionné par mon endurance et l'extensibilité de ma chatte. Il s'était déjà accouplé avec des femelles humaines, mais la plupart d'entre elles, n'avaient pas supporté son énorme bite de plus de sept centimètres de large ainsi que sa longueur, elles étaient mortes avant son l'éjaculation.
J'étais maintenant étendue dur le sol toujours évanouie, et l'érection du Troll avait presque complètement disparu. Il avait eu son plaisir, avec des grognements de fureurs il chargea les hommes qui s'enfuirent. Satisfait sexuellement maintenant, il partit à la recherche d'autres aventures...
J'entendis à travers un brouillard qu'on m'appelait, ce devait être les hommes du village. On me secouait doucement, j'ouvris les yeux. Alfred était penché sur moi, j'étais nue couchée dans mon lit, au milieu des draps froissés, trempée de sueur.
« Dis donc, il est tard... tu m'as fait peur...tu gémissais...et remuais beaucoup. Mais je vois que ce n'était qu'un rêve...drôlement érotique en tout cas !! me dit-il en avisant la tâche de foutre sur les draps... »
Oui, ce n'était qu'un cauchemar, surement du l'alcool que j' avais ingurgité lors de la fête de la veille... Un drôle de rêve érotique...
A suivre...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Trixie
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai beaucoup aimé et me serais bien vu avec les trois hommes du village se branlant en te regardant te faire baiser sauvagement par le Troll. À défaut de pouvoir être là, je me suis branlé en te lisant, c'était très bon.
Au fil de tes récits, j'ai pu remarquer que tu étais une grande amatrice de sperme qui ne ratait jamais une occasion de s'en délecter. Fantasme ou goût réel pour la semence masculine ?
Au(x) plaisir(s) de te lire...
Au fil de tes récits, j'ai pu remarquer que tu étais une grande amatrice de sperme qui ne ratait jamais une occasion de s'en délecter. Fantasme ou goût réel pour la semence masculine ?
Au(x) plaisir(s) de te lire...