Trixie chap 21 - Le dîner
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie chap 21 - Le dîner
Alfred aimait bien une fois dans la semaine, que nous mangions le soir tous les deux en tête à tête.
Nous devions nous habiller grand standing. Il mettait un costume sombre, une chemise blanche et une cravate.
Il m'avait acheté pour les grandes occasions plusieurs robes du soir noires, très décolletées. Ce soir j'en avais choisi une, retenue par de fines bretelles sur les épaules. Il n'était pas pensable de porter un soutien gorge en dessous. Mes cheveux châtain doré presque blond étaient noués en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complétement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornaient mes oreilles et un collier du même genre pendait à mon cou. Des deux cotés, la robe était fendue très haut sur les cuisses. A chaque mouvement on apercevait une bande peau blanche, au dessus de mes bas noirs. Assise, le pan de devant tombait entre mes jambes dévoilant les fermetures et les lanières de mon porte jarretelle sur mes deux cuisses.
La table était assez grande, nous étions chacun à un bout. La lumière tremblotante des bougies des trois chandeliers et une lumière tamisée mettaient une ambiance romantique.
Le diner servi par Victor, qui n'avait pas arrêté comme de routine de lorgner mon décolleté et mes jambes, fut succulent. Le vin excellent et j'en avais un peu abusé. Le majordome comme d'habitude était vêtu d'un pantalon noir et de son gilet jaune à rayures noires, d'une chemise blanche et de son éternel nœud papillon. Vu la bosse de son pantalon, je subodorai qu'il ne portait pas de slip. Nous en étions au dessert.
« Victor, une coupe de champagne s'il vous plait »
Le domestique s'empressa de nous servir. Je me penchais pour lui tendre mon verre, la robe bailla sur mes seins, un léger tremblement agita sa main et du champagne se répandit sur la table.
Je bu lentement mon champagne en regardant le vieil Alfred, il me semblait que son regard devenait coquin. Il fit un léger signe de tête à Victor.
« Mademoiselle prendra bien un fruit ! »
Me demanda le majordome, et sans attendre ma réponse, il prit une banane dans la corbeille. Il la pela délicatement, l'approcha lentement de mes lèvres. Je regardais Alfred, ses yeux me fixaient tendrement. Un nouveau jeu, impliquant Victor et son gros phallus ? Je plongeais mon regard dans le celui du valet et sortis ma langue pour lécher le bout du fruit. Victor me la fit pénétrer lentement dans la bouche, puis la ressorti tout aussi lentement. Il recommença trois ou quatre fois l'opération, comme si je suçais un phallus, puis il me la fit entièrement avaler.
Mais avant qu'il ne la ressorte entièrement, je croquais le bout, en souriant à Alfred.
Victor posa un petit panier de fraises sur la table accompagné d'une coupe de crème chantilly.
« Après la banane, Mademoiselle goutera aussi les fraises ! »
Il les trempait dans la crème, et me les faisait manger voluptueusement une à une. Astucieusement, il les approchait de ma bouche puis les reculait, pour que je sois obligée de me pencher en avant, ce qui ouvrait mon décolleté, dans lequel son regard plongeait sans aucune retenue. Alfred semblait subjugué, lorsque ma langue léchait la crème sur les fraises. Victor en avait plein les doigts, il me les fit sucer.
« Mademoiselle à l'air d'aimer la chantilly... Vous allez pouvoir en manger ! »
Il sortit son sexe. J'étais toujours en admiration devant la longueur et la grosseur du phallus de ce vieux de plus de soixante dix ans, qui comme celui d'un jeune homme ne trahissait jamais mes attentes. Mais je savais qu'Alfred l'avait embauché à cause de cela, j'aimais les gros sexes, et Victor compensait le sien qui n'était pas excessivement gros.
« Si Mademoiselle veut bien profiter de ma cuillère... »
Il mit son sexe au dessus de la coupe de crème. Il ne bandait pas et le bout effleurait la chantilly. Je le pris délicatement, décalottais son gland en tirant lentement son prépuce vers l'arrière. Je plongeais au fur et à mesure la bite dans la mousse onctueuse. Je la tournais dans la coupelle pour bien l'enduire. Victor la prit d'une main et me la porta à hauteur de la bouche. Je léchais à petits coups de langue la friandise blanche. Il y en avait pas mal entre son prépuce rétracté et son gland, la pointe de ma langue faisait doucement le tour des seize centimètres de circonférence de son gland bien décalotté. Une bretelle de ma robe avait glissé et mon sein droit était dénudé, dardant un téton brun durci. Ma jambe était aussi découverte jusqu'à l'aine. Victor commençait à bander, sa queue se relevait imposante. Je l'attrapais et la replongeais dans la crème. Puis enfournais cette fois le gland dans ma bouche, j'aspirais comme une gourmande, avec le bout de ma langue j'essayais de nettoyer son méat, dont la fente était assez grosse pour permettre au bout de ma langue de s'y insinuer. Cela lui tira un gémissement de plaisir.
Il me sembla qu'Alfred se masturbait doucement. Le domestique me fit lever, je voulu remonter ma bretelle, il m'en empêcha. Il m'entraina devant Albert toujours assis en bout de table. Je m'assis sur celle-ci, Victor m'attrapant sous les cuisses me fit basculer vers l'arrière, je m'appuyais sur mes avants bras. Il avait largement remonté sur mon ventre ma robe, laissant mon ventre dénudé par une large bande de peau bronzée au dessus de mon porte jarretelle. Victor me tournant légèrement de côté, m'écarta largement les jambes, pour offrir une vue complète de la suite des opérations à Alfred. Il m'attrapa le sein droit, et me roula le téton entre son pouce et son index. Puis sa main gauche descendit sur mon ventre et se glissa sous le porte jarretelle. Tout en me caressant l'abdomen. Avec le majeur de sa main droite, il frotta mon string, le long de la fente de ma chatte. Celui-ci fut aussitôt trempé par le foutre qui s'en écoulait. Il enfonça le léger tissu dans mon orifice vaginal, comme pour bien l'imprégner.
« Vous avez vu Monsieur, elle mouille la petite coquine ! Son string est trempé. »
En disant cela, il me l'arracha d'un coup sec. Il enfila son majeur dans mon vagin qui offrait à Alfred une vue parfaite sur mon orifice béant et de son pouce me caressa le clitoris. Il était vieux, mais il savait y faire pour exciter les jeunes femmes, Victor.
Albert s'était levé et avez sorti son sexe. Il bandait, et se caressait doucement.
« A mon tour d'être gourmand.... »
Le majordome attrapa la coupe de chantilly prit le reste de la crème sur son index et son majeur et me badigeonna la chatte, la faisant pénétrer assez profondément. Puis il commença à me lécher, je sentais sa langue me fouiller, remonter au clitoris, qu'il suçait avidement, me le mordillant. Je me tortillais et gémissais de plaisir. J'avais réussi à attraper le pénis d'Alfred et le masturbait vigoureusement.
« C'est délicieux, Monsieur la chantilly parfumée au foutre de Mademoiselle. Voulez-vous gouter ? »
Alfred ne se le fit pas dire deux fois, je sentis sa petite barbiche me frotter l'entrejambe, tandis que sa langue me parcourait le vagin.
« C'est dommage, il n'y en a plus...
- Bon alors on va nettoyer la chatte de Mademoiselle ! »
Victor attrapa la bouteille de champagne et me versa une rasade de liquide sur le mont de vénus. Il écarta de deux doigts mes lèvres et en fit couler encore un peu à l'intérieur.
« Si Monsieur veut bien boire ! »
Alfred se pencha, lécha ma fente, aspira le liquide mêlé au mon foutre de mon vagin.
« Victor, dit-il vous avez des idées merveilleuses ! »
- Si Monsieur veut bien me permettre... »
Le domestique s'installa entre mes jambes. Il me sorti l'autre sein, les caressa pour bien faire dresser mes mamelons.
« Monsieur, les tétons de Mademoiselle m'étonneront toujours, avez-vous remarqué la longueur qu'ils peuvent atteindre ? »
Il me mit la jambe droite sur son épaule. Son énorme gland chercha mon orifice anal, le champagne l'avait imprégné et le fait que ma jambe soit surélevée l'ouvrait largement. L'énorme rouleau y pénétra tout en douceur, mais sans aucun arrêt. Victor était un as de la sodomie, ce n'était pas la première fois qu'il me prenait ainsi, sa toison blanche vint me chatouiller, le mont de vénus. Alfred ne perdait pas une miette du spectacle. J'avais repris sa queue en main et la caressais doucement.
Il avait l'air admiratif, de ce que me faisait Victor. Je lisais dans ses yeux une légère pointe de jalousie, pour l'exciter je me mis à gémir, disant à Victor que j'adorai sa queue.
Le domestique dut le sentir.
« Mettez-vous à l'aise, Monsieur, je vous laisse la place... »
Alfred se déshabilla en un tour de main. Lorsqu'il baissa son slip sa verge, jaillit comme un diable monté sur ressort. Il me fit mettre à genoux sur la table, je cru qu'il allait lui aussi me sodomiser. Mais je sentis son phallus s'insérer dans mon vagin, et il commença de lents mouvements de pénétration. Il s'appliquait à bien faire entrer sa virilité jusqu'au bout, pour me tirer lui aussi des gémissements de plaisir. Victor s'était mis devant moi, il me pencha la tête sur son appendice ou quelques gouttes de liquide perlaient. Je le suçais comme un bâton de sucre d'orge. Il me malaxait les seins. Alfred me tenait par les hanches et s'escrimait toujours pour me tirer des râles de plaisir, ses coups de boutoir et la caresse sur ma poitrine, me firent enfin gémir de plaisir.
Alfred, aidé en cela par Victor grimpa sur la table, il se coucha sur les coudes et me demanda de m'empaler sur sa verge. Ce que je fis lui tournant le dos. Mes deux seins hors de ma robe, tressautaient sous les assauts de mon vieux patron. Dans cette position son phallus me faisait plus d'effet. Victor empli une coupe de champagne et me fit boire le liquide ambré et pétillant. Il en fit couler sur mes seins, suçant ensuite mes mamelons. La faisant passer par dessus ma tête, il quitta ma robe. Il fit ensuite couler du liquide ambré sur mon ventre, et se mit à me caresser le clitoris ruisselant de vin pétillant, tandis que genoux écartés, cuisses ouvertes j'avais englouti entièrement la bite d'Alfred et m'étais assise sur ses cuisses. Je hurlais d'extase. J'embrassais le vieux valet pervers, lui titillant sa langue avec la mienne, puis l'aspirant dans ma bouche. Je sentis les mains d'Alfred me saisir les seins, les presser fortement. Il se vida de sa vieille semence, dans mon vagin ruisselant de champagne, j'attendis le dernier spasme de son pénis pour descendre de la table, me pencher sur lui et bien le lui lécher.
Victor était monté à son tour sur la table, jambes pendantes de chaque côté de la table. Il entretenait sa condition physique, le vieil homme. Il me dit de venir le rejoindre et de m'accroupir de dos sur son pénis tendu. Il le tenait fermement d'une main.
« Met le dans ton anus... »
Je guidais l'imposant mandrin, dans mon orifice anal bien ouvert, avec ma position accroupi, il glissa presque tout seul entre mes parois anales elles aussi détrempées par le champagne. Lentement pour bien profiter de la grosseur de la queue qui m'empalait, je me relevais et me rabaissais tout aussi doucement. Puis tenant la bite rigide d'une main, j'alternais les pénétrations entre ma chatte et mon anus. Lorsque les poils pubiens blancs de Victor frottaient mon entrejambe, son sexe emplissant bien à fond mon vagin, je remuais lascivement mon bassin d'avant en arrière ou en rotation autour de l'énorme pieu.
Alfred lui s'était accroupi devant la table et ne ratait rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi et me caressant les seins se mis à m'embrasser comme un fou.
« Maintenant, tourne toi et met toi à genoux, Victor enfoncez bien votre bite dans la chatte de Trixie »
Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il l'ouvrit, me fit pencher sur le torse de Victor et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussais un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. Alfred s'était mit à plat ventre sur la table et je sentis sa langue s'insinuer dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.
Victor avait récupéré la bouteille, et me faisait boire de petites gorgées glacées. Je ne sais si c'était qui l'alcool commençait à me faire de l'effet mais il me semblait être dans un rêve. La sensation de bien-être était décuplée par la chaleur qui montait de mes entrailles...Victor accélérait la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse, il me plaqua sur la base de sa bite, m'empêchant de bouger, comme s'il ne voulait pas qu'une goutte de sa vieille semence puisse gicler au dehors.
« Je t'avais bien dit, que je te le ferai payer, salope *....
Bon le repas n'est pas terminé, sans que l'on félicite le cuisinier et son marmiton. Il vont d'ailleurs amener quelques friandises...Trixie reste allongée sur la table... »
Simplement vêtue de mes, de mon porte-jarretelle, mes bas et de mes talons aiguilles j'obtempérai à la demande d'Alfred. Victor en profita pour le remettre en place autour de mes hanches et de rattacher une fermeture. Je sentais le sperme faire une petite tâche sur la table. Les deux vieux nus comme des vers, les bites en berne maintenant, prirent place chacun à un bout de table. Alfred fit tinter sa sonnette.
La porte s'ouvrit, deux noirs nus sous un tablier blanc de cuisinier qui faisait ressortir la couleur anthracite de leur peau entrèrent. Les vêtements avaient été découpés sur le devant, et ils portaient leurs bites passant au travers, sur un plat de faïence blanche. On aurait dit deux gros boudins noirs, d'environ 25 ou 30 cm de long, d'un diamètre vraiment conséquent. Ils passèrent de chaque côté de la table et déposèrent les plats et leur contenu à hauteur de ma tête. Je les examinais à tour de rôle. Les phallus étaient légèrement plus gros et plus longs que celui de Victor, noirs de surcroit...J'avais parlé à Alfred de ma passion pour les noirs aux grosses bites...Le prépuce de la plus grosse était légèrement retiré et laissait apercevoir la fente du méat et un bout de gland rose. Je senti ma chatte palpiter à nouveau devant ce spectacle. Mes seins étaient encore fermes suite à mon orgasme. Ils avancèrent chacun une main pour me les malaxer doucement.
Dans le seau à champagne, ils se saisirent chacun d'un gros glaçon et avec un ensemble parfait m'en frottèrent le pourtour des aréoles, je frissonnais. Elles se couvrirent aussitôt de chair de poule, je gémis de plaisir quant il les passèrent sur mes tétons qui s'érigeaient à ne plus en finir...
Puis le plus membré, fit descendre son glaçon sur mon ventre lentement, très lentement...Avec deux doigts il décapuchonna mon clitoris, je tremblais littéralement attendant la morsure glacée et avais soulevé mon bassin à la rencontre du petit morceau de givre. Il en fit le tour encore et encore, me faisant crier de plaisir.
J'avais saisi les deux grosses queues et je les branlais calottant et décalottant les prépuces. Je sentais une partie de l'eau glacée couler dans mon orifice vaginal tandis qu'un petit filet coulait jusqu'à mon anus. Deux longs doigts s'insinuèrent dans ma chatte tandis que le pouce caressait mon petit bouton rose maintenant aussi dur que la glace qu'il avait fait fondre...
Son collègue m'embrassait goulument, sa grosse langue rose avait envahi ma bouche, puis elle descendit sur mon menton, le long de mon cou et il me lécha les seins mouillés. Mes aréoles disparurent à tour de rôle dans sa bouche. Il suçait et me mordillait les tétons qui en réclamaient encore plus.
Je sentis qu'on me tournait la tête, j'ouvris la bouche, le premier insinua son gland entre mes lèvres.
Me tenant derrière la tête, il enfonça doucement le reste de son tuyau noir, puis il me laissa faire, mes succions et aspirations lui tiraient des râles de contentement. Il accorda la pénétration de ses doigts aux mouvements de ma bouche, c'était loin de me déplaire...
Je me retrouvais en travers de la table, jambes pendantes d'un côté ma tête dépassant de l'autre. Je vis Alfred et Victor se lever et venir se positionner de chaque côté du noir. Ils bandaient à nouveau. Le noir aussi d'ailleurs, on aurait dit que son immense queue tendue à l'horizontale, était douée d'une vie propre tellement elle frétillait. J'écartais au maximum les cuisses pour que mes deux vieillards puissent profiter pleinement de la pénétration de cette monstrueuse bite noire.
« Elle est vraiment très belle »
Leur dit le noir en ouvrant mon mon vagin qui ruisselait de foutre, mes hanches se cambraient vers le monstrueux sexe, qui ne me pénétrait pas assez vite...Il fit enfin pénétrer son gland...
« Oui, et regardez comme elle gémi et tremble d'envie cette petite coquine, dit Alfred en me pinçant le bout d'un sein
Croyez-vous que je peux entrer entièrement ma bite, elle est quand même énorme et je ne voudrez pas la blesser !
Oh, vous pouvez y aller sans crainte, répondit Victor, cette petite garce à l'habitude, on ne vous aurez pas demandé de la baiser, si cela ne lui avait pas plu...Il y avait comme une pointe de jalousie dans sa voix »
Rassuré le noir continua sa progression jusqu'à ce que ses poils frisés viennent buter mon mont de vénus. Il commença alors de lents va et vient qui me firent gémir d'extase. Excité par mes halètements de plaisir, il augmenta progressivement la cadence. Victor se branlait d'une main, de l'autre il me caressait rapidement le clitoris, ce qui augmentait mon plaisir.
L'autre noir avait mis ses jambes de chaque coté de ma tête, et m'avait demandé de lui lécher les couilles et la bite, et de la branler doucement pour ne pas le faire éjaculer, il réservait son sperme pour un autre endroit.
« Tu veux la baiser...allez prends ma place. Mais toi sur la chaise là ! »
Dit alors le noir à son copain. Il m'entrainèrent sur une chaise, je m'empalais sur la bite tendue, me levais et me rabaissais rapidement. Au bout d'un petit moment je senti qu'on me saisissait la taille au niveau de mon porte-jarretelle et que l'on stoppait mes soubresauts.
« Si ces Messieurs veulent approcher... »
Alfred et Victor ne se firent pas dire deux fois. Le noir au sexe le plus important me fit pencher légèrement en avant, présenta son gros gland rose à l'entrée de mon anus, et poussa d'un seul coup.
Ils accordèrent ensuite leur cadence, me tirant des râles et des cris de plaisir...je ne voulais pas que cela s'arrête...Alfred subjugué regardait les deux « énormes sexes noirs disparaître à tour de rôle au fond de mes deux orifices.
Mais celui qui me sodomisait me saisit tout d'un coup sous les bras, me tourna face à lui et m'empala à nouveau sur la queue de son copain...je me demandais bien pourquoi. Je ne mis pas longtemps à comprendre, lorsque le vis diriger son membre noir et luisant de mon foutre, vers mon orifice vaginal ou frétillait déjà la bite de son pote. J'avais déjà subi ce genre de double pénétration vaginale, j'avais aimé**.
Son énorme tuyau, força pour se créer une place, je me décontractais le plus possible, écartais les jambes au maximum...celui qui était assis écartait mes lèvres de ses mains...le gland entra.
« Oooohhhh putain, la salope...dirent en chœur Alfred et Victor »
Lorsqu'ils m'entendirent râler de plaisir, et de demander au noir de continuer. Ils se branlaient vigoureusement tous les deux. Me caressant un sein de temps en temps.
Le grand noir, en insistant fit entrer la moitié de son énorme sexe, et ils me besognèrent longtemps mon corps était couvert de sueur et mes halètements entrecoupés de cris de plaisir étaient incessants...Je sentis soudain l'énorme queue tressauter et du sperme chaud s'écoula de ma chatte, il se retira me mettant la bite dans la bouche, je léchais et avalais le liquide poisseux.
Le second avait investi, mon trou intime et donnait de grands coups de reins, son éjaculation était proche, surement accélérée par ce qu'ils avaient fait à la jolie femme blanche et blonde. Il explosa à son tour avec un cri de plaisir. Je crois que ma jouissance fut provoquée par les éjaculations sur mon corps d'Alfred et Victor qui avaient les yeux écarquillés par ce qu'ils avaient vu.
« Salope, salope dit Victor...Nous aussi nous te ferons la même chose...n'est ce pas Monsieur ? »
A suivre...
* voir le majordome
** Voir les basketteurs
Nous devions nous habiller grand standing. Il mettait un costume sombre, une chemise blanche et une cravate.
Il m'avait acheté pour les grandes occasions plusieurs robes du soir noires, très décolletées. Ce soir j'en avais choisi une, retenue par de fines bretelles sur les épaules. Il n'était pas pensable de porter un soutien gorge en dessous. Mes cheveux châtain doré presque blond étaient noués en un savant chignon, laissant ma nuque et mon dos complétement nus. Des pendentifs en pierres précieuses ornaient mes oreilles et un collier du même genre pendait à mon cou. Des deux cotés, la robe était fendue très haut sur les cuisses. A chaque mouvement on apercevait une bande peau blanche, au dessus de mes bas noirs. Assise, le pan de devant tombait entre mes jambes dévoilant les fermetures et les lanières de mon porte jarretelle sur mes deux cuisses.
La table était assez grande, nous étions chacun à un bout. La lumière tremblotante des bougies des trois chandeliers et une lumière tamisée mettaient une ambiance romantique.
Le diner servi par Victor, qui n'avait pas arrêté comme de routine de lorgner mon décolleté et mes jambes, fut succulent. Le vin excellent et j'en avais un peu abusé. Le majordome comme d'habitude était vêtu d'un pantalon noir et de son gilet jaune à rayures noires, d'une chemise blanche et de son éternel nœud papillon. Vu la bosse de son pantalon, je subodorai qu'il ne portait pas de slip. Nous en étions au dessert.
« Victor, une coupe de champagne s'il vous plait »
Le domestique s'empressa de nous servir. Je me penchais pour lui tendre mon verre, la robe bailla sur mes seins, un léger tremblement agita sa main et du champagne se répandit sur la table.
Je bu lentement mon champagne en regardant le vieil Alfred, il me semblait que son regard devenait coquin. Il fit un léger signe de tête à Victor.
« Mademoiselle prendra bien un fruit ! »
Me demanda le majordome, et sans attendre ma réponse, il prit une banane dans la corbeille. Il la pela délicatement, l'approcha lentement de mes lèvres. Je regardais Alfred, ses yeux me fixaient tendrement. Un nouveau jeu, impliquant Victor et son gros phallus ? Je plongeais mon regard dans le celui du valet et sortis ma langue pour lécher le bout du fruit. Victor me la fit pénétrer lentement dans la bouche, puis la ressorti tout aussi lentement. Il recommença trois ou quatre fois l'opération, comme si je suçais un phallus, puis il me la fit entièrement avaler.
Mais avant qu'il ne la ressorte entièrement, je croquais le bout, en souriant à Alfred.
Victor posa un petit panier de fraises sur la table accompagné d'une coupe de crème chantilly.
« Après la banane, Mademoiselle goutera aussi les fraises ! »
Il les trempait dans la crème, et me les faisait manger voluptueusement une à une. Astucieusement, il les approchait de ma bouche puis les reculait, pour que je sois obligée de me pencher en avant, ce qui ouvrait mon décolleté, dans lequel son regard plongeait sans aucune retenue. Alfred semblait subjugué, lorsque ma langue léchait la crème sur les fraises. Victor en avait plein les doigts, il me les fit sucer.
« Mademoiselle à l'air d'aimer la chantilly... Vous allez pouvoir en manger ! »
Il sortit son sexe. J'étais toujours en admiration devant la longueur et la grosseur du phallus de ce vieux de plus de soixante dix ans, qui comme celui d'un jeune homme ne trahissait jamais mes attentes. Mais je savais qu'Alfred l'avait embauché à cause de cela, j'aimais les gros sexes, et Victor compensait le sien qui n'était pas excessivement gros.
« Si Mademoiselle veut bien profiter de ma cuillère... »
Il mit son sexe au dessus de la coupe de crème. Il ne bandait pas et le bout effleurait la chantilly. Je le pris délicatement, décalottais son gland en tirant lentement son prépuce vers l'arrière. Je plongeais au fur et à mesure la bite dans la mousse onctueuse. Je la tournais dans la coupelle pour bien l'enduire. Victor la prit d'une main et me la porta à hauteur de la bouche. Je léchais à petits coups de langue la friandise blanche. Il y en avait pas mal entre son prépuce rétracté et son gland, la pointe de ma langue faisait doucement le tour des seize centimètres de circonférence de son gland bien décalotté. Une bretelle de ma robe avait glissé et mon sein droit était dénudé, dardant un téton brun durci. Ma jambe était aussi découverte jusqu'à l'aine. Victor commençait à bander, sa queue se relevait imposante. Je l'attrapais et la replongeais dans la crème. Puis enfournais cette fois le gland dans ma bouche, j'aspirais comme une gourmande, avec le bout de ma langue j'essayais de nettoyer son méat, dont la fente était assez grosse pour permettre au bout de ma langue de s'y insinuer. Cela lui tira un gémissement de plaisir.
Il me sembla qu'Alfred se masturbait doucement. Le domestique me fit lever, je voulu remonter ma bretelle, il m'en empêcha. Il m'entraina devant Albert toujours assis en bout de table. Je m'assis sur celle-ci, Victor m'attrapant sous les cuisses me fit basculer vers l'arrière, je m'appuyais sur mes avants bras. Il avait largement remonté sur mon ventre ma robe, laissant mon ventre dénudé par une large bande de peau bronzée au dessus de mon porte jarretelle. Victor me tournant légèrement de côté, m'écarta largement les jambes, pour offrir une vue complète de la suite des opérations à Alfred. Il m'attrapa le sein droit, et me roula le téton entre son pouce et son index. Puis sa main gauche descendit sur mon ventre et se glissa sous le porte jarretelle. Tout en me caressant l'abdomen. Avec le majeur de sa main droite, il frotta mon string, le long de la fente de ma chatte. Celui-ci fut aussitôt trempé par le foutre qui s'en écoulait. Il enfonça le léger tissu dans mon orifice vaginal, comme pour bien l'imprégner.
« Vous avez vu Monsieur, elle mouille la petite coquine ! Son string est trempé. »
En disant cela, il me l'arracha d'un coup sec. Il enfila son majeur dans mon vagin qui offrait à Alfred une vue parfaite sur mon orifice béant et de son pouce me caressa le clitoris. Il était vieux, mais il savait y faire pour exciter les jeunes femmes, Victor.
Albert s'était levé et avez sorti son sexe. Il bandait, et se caressait doucement.
« A mon tour d'être gourmand.... »
Le majordome attrapa la coupe de chantilly prit le reste de la crème sur son index et son majeur et me badigeonna la chatte, la faisant pénétrer assez profondément. Puis il commença à me lécher, je sentais sa langue me fouiller, remonter au clitoris, qu'il suçait avidement, me le mordillant. Je me tortillais et gémissais de plaisir. J'avais réussi à attraper le pénis d'Alfred et le masturbait vigoureusement.
« C'est délicieux, Monsieur la chantilly parfumée au foutre de Mademoiselle. Voulez-vous gouter ? »
Alfred ne se le fit pas dire deux fois, je sentis sa petite barbiche me frotter l'entrejambe, tandis que sa langue me parcourait le vagin.
« C'est dommage, il n'y en a plus...
- Bon alors on va nettoyer la chatte de Mademoiselle ! »
Victor attrapa la bouteille de champagne et me versa une rasade de liquide sur le mont de vénus. Il écarta de deux doigts mes lèvres et en fit couler encore un peu à l'intérieur.
« Si Monsieur veut bien boire ! »
Alfred se pencha, lécha ma fente, aspira le liquide mêlé au mon foutre de mon vagin.
« Victor, dit-il vous avez des idées merveilleuses ! »
- Si Monsieur veut bien me permettre... »
Le domestique s'installa entre mes jambes. Il me sorti l'autre sein, les caressa pour bien faire dresser mes mamelons.
« Monsieur, les tétons de Mademoiselle m'étonneront toujours, avez-vous remarqué la longueur qu'ils peuvent atteindre ? »
Il me mit la jambe droite sur son épaule. Son énorme gland chercha mon orifice anal, le champagne l'avait imprégné et le fait que ma jambe soit surélevée l'ouvrait largement. L'énorme rouleau y pénétra tout en douceur, mais sans aucun arrêt. Victor était un as de la sodomie, ce n'était pas la première fois qu'il me prenait ainsi, sa toison blanche vint me chatouiller, le mont de vénus. Alfred ne perdait pas une miette du spectacle. J'avais repris sa queue en main et la caressais doucement.
Il avait l'air admiratif, de ce que me faisait Victor. Je lisais dans ses yeux une légère pointe de jalousie, pour l'exciter je me mis à gémir, disant à Victor que j'adorai sa queue.
Le domestique dut le sentir.
« Mettez-vous à l'aise, Monsieur, je vous laisse la place... »
Alfred se déshabilla en un tour de main. Lorsqu'il baissa son slip sa verge, jaillit comme un diable monté sur ressort. Il me fit mettre à genoux sur la table, je cru qu'il allait lui aussi me sodomiser. Mais je sentis son phallus s'insérer dans mon vagin, et il commença de lents mouvements de pénétration. Il s'appliquait à bien faire entrer sa virilité jusqu'au bout, pour me tirer lui aussi des gémissements de plaisir. Victor s'était mis devant moi, il me pencha la tête sur son appendice ou quelques gouttes de liquide perlaient. Je le suçais comme un bâton de sucre d'orge. Il me malaxait les seins. Alfred me tenait par les hanches et s'escrimait toujours pour me tirer des râles de plaisir, ses coups de boutoir et la caresse sur ma poitrine, me firent enfin gémir de plaisir.
Alfred, aidé en cela par Victor grimpa sur la table, il se coucha sur les coudes et me demanda de m'empaler sur sa verge. Ce que je fis lui tournant le dos. Mes deux seins hors de ma robe, tressautaient sous les assauts de mon vieux patron. Dans cette position son phallus me faisait plus d'effet. Victor empli une coupe de champagne et me fit boire le liquide ambré et pétillant. Il en fit couler sur mes seins, suçant ensuite mes mamelons. La faisant passer par dessus ma tête, il quitta ma robe. Il fit ensuite couler du liquide ambré sur mon ventre, et se mit à me caresser le clitoris ruisselant de vin pétillant, tandis que genoux écartés, cuisses ouvertes j'avais englouti entièrement la bite d'Alfred et m'étais assise sur ses cuisses. Je hurlais d'extase. J'embrassais le vieux valet pervers, lui titillant sa langue avec la mienne, puis l'aspirant dans ma bouche. Je sentis les mains d'Alfred me saisir les seins, les presser fortement. Il se vida de sa vieille semence, dans mon vagin ruisselant de champagne, j'attendis le dernier spasme de son pénis pour descendre de la table, me pencher sur lui et bien le lui lécher.
Victor était monté à son tour sur la table, jambes pendantes de chaque côté de la table. Il entretenait sa condition physique, le vieil homme. Il me dit de venir le rejoindre et de m'accroupir de dos sur son pénis tendu. Il le tenait fermement d'une main.
« Met le dans ton anus... »
Je guidais l'imposant mandrin, dans mon orifice anal bien ouvert, avec ma position accroupi, il glissa presque tout seul entre mes parois anales elles aussi détrempées par le champagne. Lentement pour bien profiter de la grosseur de la queue qui m'empalait, je me relevais et me rabaissais tout aussi doucement. Puis tenant la bite rigide d'une main, j'alternais les pénétrations entre ma chatte et mon anus. Lorsque les poils pubiens blancs de Victor frottaient mon entrejambe, son sexe emplissant bien à fond mon vagin, je remuais lascivement mon bassin d'avant en arrière ou en rotation autour de l'énorme pieu.
Alfred lui s'était accroupi devant la table et ne ratait rien des pénétrations. Puis il se leva, passa à coté de moi et me caressant les seins se mis à m'embrasser comme un fou.
« Maintenant, tourne toi et met toi à genoux, Victor enfoncez bien votre bite dans la chatte de Trixie »
Ouvrant une seconde bouteille de champagne, qui trempait dans un seau de glace, il l'ouvrit, me fit pencher sur le torse de Victor et fit couler le liquide glacé entre mes fesses. Je poussais un cri de surprise et le froid me couvrit de chair de poule. Alfred s'était mit à plat ventre sur la table et je sentis sa langue s'insinuer dans mon orifice anal. Il lécha le breuvage répandu. Puis deux et enfin trois doigts remplacèrent la douce caresse de son appendice buccal.
Victor avait récupéré la bouteille, et me faisait boire de petites gorgées glacées. Je ne sais si c'était qui l'alcool commençait à me faire de l'effet mais il me semblait être dans un rêve. La sensation de bien-être était décuplée par la chaleur qui montait de mes entrailles...Victor accélérait la cadence de ses pénétrations. De violents spasmes contractèrent ses bourses, il me sembla que sa queue devenait encore plus grosse, il me plaqua sur la base de sa bite, m'empêchant de bouger, comme s'il ne voulait pas qu'une goutte de sa vieille semence puisse gicler au dehors.
« Je t'avais bien dit, que je te le ferai payer, salope *....
Bon le repas n'est pas terminé, sans que l'on félicite le cuisinier et son marmiton. Il vont d'ailleurs amener quelques friandises...Trixie reste allongée sur la table... »
Simplement vêtue de mes, de mon porte-jarretelle, mes bas et de mes talons aiguilles j'obtempérai à la demande d'Alfred. Victor en profita pour le remettre en place autour de mes hanches et de rattacher une fermeture. Je sentais le sperme faire une petite tâche sur la table. Les deux vieux nus comme des vers, les bites en berne maintenant, prirent place chacun à un bout de table. Alfred fit tinter sa sonnette.
La porte s'ouvrit, deux noirs nus sous un tablier blanc de cuisinier qui faisait ressortir la couleur anthracite de leur peau entrèrent. Les vêtements avaient été découpés sur le devant, et ils portaient leurs bites passant au travers, sur un plat de faïence blanche. On aurait dit deux gros boudins noirs, d'environ 25 ou 30 cm de long, d'un diamètre vraiment conséquent. Ils passèrent de chaque côté de la table et déposèrent les plats et leur contenu à hauteur de ma tête. Je les examinais à tour de rôle. Les phallus étaient légèrement plus gros et plus longs que celui de Victor, noirs de surcroit...J'avais parlé à Alfred de ma passion pour les noirs aux grosses bites...Le prépuce de la plus grosse était légèrement retiré et laissait apercevoir la fente du méat et un bout de gland rose. Je senti ma chatte palpiter à nouveau devant ce spectacle. Mes seins étaient encore fermes suite à mon orgasme. Ils avancèrent chacun une main pour me les malaxer doucement.
Dans le seau à champagne, ils se saisirent chacun d'un gros glaçon et avec un ensemble parfait m'en frottèrent le pourtour des aréoles, je frissonnais. Elles se couvrirent aussitôt de chair de poule, je gémis de plaisir quant il les passèrent sur mes tétons qui s'érigeaient à ne plus en finir...
Puis le plus membré, fit descendre son glaçon sur mon ventre lentement, très lentement...Avec deux doigts il décapuchonna mon clitoris, je tremblais littéralement attendant la morsure glacée et avais soulevé mon bassin à la rencontre du petit morceau de givre. Il en fit le tour encore et encore, me faisant crier de plaisir.
J'avais saisi les deux grosses queues et je les branlais calottant et décalottant les prépuces. Je sentais une partie de l'eau glacée couler dans mon orifice vaginal tandis qu'un petit filet coulait jusqu'à mon anus. Deux longs doigts s'insinuèrent dans ma chatte tandis que le pouce caressait mon petit bouton rose maintenant aussi dur que la glace qu'il avait fait fondre...
Son collègue m'embrassait goulument, sa grosse langue rose avait envahi ma bouche, puis elle descendit sur mon menton, le long de mon cou et il me lécha les seins mouillés. Mes aréoles disparurent à tour de rôle dans sa bouche. Il suçait et me mordillait les tétons qui en réclamaient encore plus.
Je sentis qu'on me tournait la tête, j'ouvris la bouche, le premier insinua son gland entre mes lèvres.
Me tenant derrière la tête, il enfonça doucement le reste de son tuyau noir, puis il me laissa faire, mes succions et aspirations lui tiraient des râles de contentement. Il accorda la pénétration de ses doigts aux mouvements de ma bouche, c'était loin de me déplaire...
Je me retrouvais en travers de la table, jambes pendantes d'un côté ma tête dépassant de l'autre. Je vis Alfred et Victor se lever et venir se positionner de chaque côté du noir. Ils bandaient à nouveau. Le noir aussi d'ailleurs, on aurait dit que son immense queue tendue à l'horizontale, était douée d'une vie propre tellement elle frétillait. J'écartais au maximum les cuisses pour que mes deux vieillards puissent profiter pleinement de la pénétration de cette monstrueuse bite noire.
« Elle est vraiment très belle »
Leur dit le noir en ouvrant mon mon vagin qui ruisselait de foutre, mes hanches se cambraient vers le monstrueux sexe, qui ne me pénétrait pas assez vite...Il fit enfin pénétrer son gland...
« Oui, et regardez comme elle gémi et tremble d'envie cette petite coquine, dit Alfred en me pinçant le bout d'un sein
Croyez-vous que je peux entrer entièrement ma bite, elle est quand même énorme et je ne voudrez pas la blesser !
Oh, vous pouvez y aller sans crainte, répondit Victor, cette petite garce à l'habitude, on ne vous aurez pas demandé de la baiser, si cela ne lui avait pas plu...Il y avait comme une pointe de jalousie dans sa voix »
Rassuré le noir continua sa progression jusqu'à ce que ses poils frisés viennent buter mon mont de vénus. Il commença alors de lents va et vient qui me firent gémir d'extase. Excité par mes halètements de plaisir, il augmenta progressivement la cadence. Victor se branlait d'une main, de l'autre il me caressait rapidement le clitoris, ce qui augmentait mon plaisir.
L'autre noir avait mis ses jambes de chaque coté de ma tête, et m'avait demandé de lui lécher les couilles et la bite, et de la branler doucement pour ne pas le faire éjaculer, il réservait son sperme pour un autre endroit.
« Tu veux la baiser...allez prends ma place. Mais toi sur la chaise là ! »
Dit alors le noir à son copain. Il m'entrainèrent sur une chaise, je m'empalais sur la bite tendue, me levais et me rabaissais rapidement. Au bout d'un petit moment je senti qu'on me saisissait la taille au niveau de mon porte-jarretelle et que l'on stoppait mes soubresauts.
« Si ces Messieurs veulent approcher... »
Alfred et Victor ne se firent pas dire deux fois. Le noir au sexe le plus important me fit pencher légèrement en avant, présenta son gros gland rose à l'entrée de mon anus, et poussa d'un seul coup.
Ils accordèrent ensuite leur cadence, me tirant des râles et des cris de plaisir...je ne voulais pas que cela s'arrête...Alfred subjugué regardait les deux « énormes sexes noirs disparaître à tour de rôle au fond de mes deux orifices.
Mais celui qui me sodomisait me saisit tout d'un coup sous les bras, me tourna face à lui et m'empala à nouveau sur la queue de son copain...je me demandais bien pourquoi. Je ne mis pas longtemps à comprendre, lorsque le vis diriger son membre noir et luisant de mon foutre, vers mon orifice vaginal ou frétillait déjà la bite de son pote. J'avais déjà subi ce genre de double pénétration vaginale, j'avais aimé**.
Son énorme tuyau, força pour se créer une place, je me décontractais le plus possible, écartais les jambes au maximum...celui qui était assis écartait mes lèvres de ses mains...le gland entra.
« Oooohhhh putain, la salope...dirent en chœur Alfred et Victor »
Lorsqu'ils m'entendirent râler de plaisir, et de demander au noir de continuer. Ils se branlaient vigoureusement tous les deux. Me caressant un sein de temps en temps.
Le grand noir, en insistant fit entrer la moitié de son énorme sexe, et ils me besognèrent longtemps mon corps était couvert de sueur et mes halètements entrecoupés de cris de plaisir étaient incessants...Je sentis soudain l'énorme queue tressauter et du sperme chaud s'écoula de ma chatte, il se retira me mettant la bite dans la bouche, je léchais et avalais le liquide poisseux.
Le second avait investi, mon trou intime et donnait de grands coups de reins, son éjaculation était proche, surement accélérée par ce qu'ils avaient fait à la jolie femme blanche et blonde. Il explosa à son tour avec un cri de plaisir. Je crois que ma jouissance fut provoquée par les éjaculations sur mon corps d'Alfred et Victor qui avaient les yeux écarquillés par ce qu'ils avaient vu.
« Salope, salope dit Victor...Nous aussi nous te ferons la même chose...n'est ce pas Monsieur ? »
A suivre...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire très bien écrite de manière très suggestive .Bravo