Trixie chap 23 - La dette de jeu

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Trixie chap 23 - La dette de jeu Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Trixie chap 23 - La dette de jeu
Pour les besoins du tournage d'une vidéo, je m'étais absentée presque une semaine. Ce jour là, prenais mon petit déjeuner assise en face d'Alfred. Victor ayant fait le service, se tenait debout à côté du maître de maison, dans son sempiternel gilet noir à rayures jaunes. Il me regardait avec un air satisfait, un sourire aux coins des lèvres, il me semblait que ses yeux pétillaient de contentement. Alfred lui, avait l'air un peu gêné. Il s'essuya la bouche et sa petite barbiche.
« Bon, voilà Trixie, avec Victor pendant ton absence...nous ne savions pas trop à quoi nous occuper...sans toi la maison nous paraissait vide...alors pour nous distraire nous avons joué au poker...et...la dernière mise...le tapis...était que si je gagnais Victor perdait une semaine de gage et si c'était lui, il pouvait prendre ma place en tant que patron pendant deux jours entiers... Et j'ai perdu...
Donc comme disent les Québécois, Dette de jeu dette d'honneur... A partir de maintenant Victor prend ma place et nous devrons lui obéir...tu es d'accord ?
Mais oui, Alfred je ne vous laisserai pas tomber, je me plierai aux caprices de Victor.»
Un large sourire éclairait maintenant la face de Victor. Alfred se leva et échangea sa veste avec le gilet du majordome. Je pouffais de rire.
« Bien dis-je, Alfred vous pouvez débarrasser...! »
N'ayant pas à sortir je m'étais habillée comme Alfred m'avait demandé de l'être. Déshabillé translucide béant sur une nuisette complètement transparente s'arrêtant au ras de mon pubis, porte jarretelle, bas noirs, la nuisette comportait deux ouvertures qui laissaient sortir mes mamelons, mes seins étaient bien galbés grâce aux demi bonnets du léger soutien gorge noir en dentelle.
« Si Mademoiselle Trixie veut bien venir ici me dit mon nouveau patron.  Pour moi ce déshabillé est superflu, il voile vos magnifiques jambes et vos non moins superbes fesses...Alfred veuillez lui l'enlever...et n'en profitez pas pour la tripoter...! »
La jalousie qui ressortait...Je pensais que pendant ces deux jours on allait rigoler ! Alfred ôta le déshabillé. Je me retrouvais face à Victor seulement vêtue de ma nuisette laissant transparaitre bas et porte jarretelle. Il m'examinait, comme si quelque chose le contrariait.
« Trixie, tu n'as besoin de soutien gorge non plus, cela gâche l'harmonie de ton corps. Alfred enlevez le aussi...et pas de caresse...! Débrouillez-vous pour le lui quitter sans ôter la nuisette. »
Alfred les mains tremblantes, défit l'agrafe dorsale du vêtement, puis il fit glisser les bretelles le long de mes bras, le soutien gorge tomba à mes pieds. Victor avait surveillé attentivement l'opération...
« Approche...me dit Victor »
Lentement, en regardant Alfred, il écarta largement les bords des fentes de la nuisette pour bien dégager mes deux seins. Il les malaxa longuement, suçant les pointes qui durcissaient, en fixant Alfred avec un petit air de défi.
« Tu vois, me dit-il, tes nichons sont assez fermes, pas besoin de support...par contre tu sais que j'adore tes mamelons...surtout lorsqu'ils sont en érection comme maintenant...on va faire en sorte qu'ils le soient en permanence... »
Il sortit de sa poche un écrin noir, l'ouvrit et sortit un bijou en or.
Il s'approcha de moi et m'accrocha le bijou autour du cou. Ce collier de poitrine disposait d'une goutte d’hématite à chacun des deux tétons ainsi qu’une autre à la hauteur du décolleté, il était relié à un tour de coup en or par l’intermédiaire d’une discrète main en métal précieux donnant l’impression de maitrise de la situation. Elle tenait un anneau duquel partaient deux chaînettes, le chemin tracé par celles-ci attirait obligatoirement les regards vers les tétons, enserrés par les rubans de satin noir. Victor fit passer le nœud coulant autour de chaque mamelon, je frissonnais de plaisir. Il serra...je gémis de plaisir...mes mamelons s'érigèrent en deux dômes parfaits, il ajusta les rubans au ras de mes aréoles serrant un peu plus. Puis sa bouche se posa sur le bout de mes seins durcis et il se mit à les aspirer à tour de rôle, me tirant des gémissements de plaisir. Mes mamelons étaient une zone particulièrement érogène chez moi. Sa main était descendu entre mes fesses, et je sentais son majeur s'insinuer dans ma chatte qui commençait à mouiller sous les habiles caresses du vieux pervers. Je jetais un coup d'œil à Alfred qui se tenait coi à deux mètres de notre couple. Il avait la mine renfrognée. Pour le rendre encore plus jaloux, je me mis à caresser la bite de Victor à travers son pantalon. Victor me repoussa gentiment.
«Trixie, tu restes ainsi...  Qu'en pensez-vous Alfred ? Mademoiselle n'est-elle pas mieux ainsi ? Si ses tétons diminuent un peu, il suffit de tirer un peu sur la goutte d'hématite...comme ceci... »
Sous la légère douleur mes mamelons se tendirent encore plus...
« Et attention, Alfred pendant deux jours c'est moi le Boss...vous ne la touchez qu'avec ma permission... Mais vous pouvez vous rincer l'œil tant que vous voulez... Allez, Trixie sors ma queue et tu suces la grosse bite de ton nouveau patron... »
Je débouclais sa ceinture, il ne portait jamais de slip...le pantalon tomba sur les chevilles, son sexe de vingt cinq centimètres, tendu par mes caresses jaillit. Je tombais à genoux, le pris dans ma bouche, en regardant Alfred...Je dus le sucer longtemps avant que je sente le liquide chaud et visqueux s'épancher dans ma gorge...
Alfred s'acquitta toute la matinée de sa tâche de majordome, faisant le ménage...astiquant les meubles. J'étais allée prendre une douche, il m'avait suivi. Je le voyais par la porte de la salle de bain grande ouverte, me regardant depuis le couloir dans la grande glace posée exprès * pour que l'on puisse m'observer sous la douche. Je jouais avec le collier de poitrine, cela devait l'exciter car il sorti son membre turgescent et commença à se masturber. N'y tenant plus, il entra.
« Alfred, Alfred...une dette de jeu est une dette d'honneur...il ne faut pas me toucher...pendant deux jours...Il ne fallait pas jouer...avec Victor, êtes-vous sûr qu'il n'a pas triché ? 
Mais vous pouvez me regarder à loisir... »
Tête basse il obtempéra, je me rhabillais langoureusement devant lui, comme le majordome me l'avait ordonné...seins et chatte offerts aux regards, resserrant bien les petits nœuds coulants pour faire ressortir mes tétons bruns.
« Ainsi mis en valeur, mes seins sont beaux , hein Alfred ? dis-je pour attiser un peu sa jalousie... »
Victor pendant ce temps était descendu à la cave, ou avait eu lieu le dépucelage du neveu d'Alfred ** . Nous entendions des coups de marteau et un certain remue ménage.
Dans le courant de l'après midi, celui qui maintenant dirigeait la maison, nous pria de descendre au sous sol. Il avait placé des spots qui éclairaient la pièce d'une lumière crue. A un mètre de la poutre à laquelle j'avais été attachée lors de séance d'initiation du jeune puceau, il avait rapproché la table , sur laquelle il m'avait rasé.
« Alfred, mettez-vous tout nu...et ne discutez pas ! »
Celui-ci obéit, Victor l'attacha à la poutre, la corde passait dans un anneau derrière la poutre et venait se lier à ses poignets, ce qui lui laissait une certaine autonomie de mouvements.
« A toi, Trixie...tu te couches sur la table »
Il me lia les bras au dessus la tête, il écarta mes jambes et attacha mes chevilles aux pieds de la table. Alfred avait ainsi une vue parfaite sur ma chatte grande ouverte parfaitement épilée.
« Vous pouvez la caresser Alfred... »
Mon vieux patron envoya ses mains pour profiter de la permission, mais la corde les lui bloqua à cinq centimètres de mon corps...Sa queue qui avait commencer à bander retomba d'un seul coup. Une immense déception teinta son visage...il avait compris...le supplice de Tantale...
« Eh oui, c'est moi qui décide...!! Regardez... »
Victor se déshabilla à son tour...Enjambant ma tête il me mit son sexe dans la bouche, me malaxant les seins. Il craqua les bretelles de la nuisette et la déchirant sauvagement sur la longueur...J'étais allongée nue, seulement vêtue de mon porte-jarretelle de mes bas et mes talons aiguilles, cela m'excita. Se mettant sur le côté pour ne pas gêner la vue d'Alfred, il décapuchonna mon clitoris, et se mit à le caresser en petit ronds concentriques, je gémis de plaisir. Mon petit bouton réagissait la caresse, je le sentais durcir. Sa langue remplaça ses doigts, mon bassin allait au devant de la caresse.
Il écarta mes grandes lèvres et elle s'insinua dans ma fente ruisselante.
Alfred gémissait, sa vieille bite commençait à se tendre. Il essayait de se rapprocher, les mains tendues. Victor le surveillait. Il mit deux doigts dans ma vulve, les imprégna de mon foutre, les extirpa ruisselants et les fit lécher à Albert qui les suça avidement.
D'un petit meuble, il sortit une cravache, les deux godemichés à excroissances qui avaient été utilisés pour l'anniversaire de Jules *** ainsi que celui qui était énorme et lisse. Il les déposa sur la table à côté de moi. La vue de ces engins et de la cravache m'envoyèrent une onde de plaisir dans les entrailles. Je sentais ma chatte palpiter toute seule.
« Bien, dit Victor...il faut d'abord que je punisse cette petite Salope pour s'être fait faire un double vaginal**** par les deux noirs l'autre jour et avoir aimé ça, elle a joui comme une folle. »
Il leva la badine, ma poitrine se tendit vers le cuir, une légère douleur irradia mon téton droit, puis ce fut du gauche, je me tortillais dans mes liens. Il ne frappait pas fort...Je regardais Alfred, sa verge
était maintenant tendue à tout rompre, ca devait lui plaire et l'exciter de me voir fouetter...Le salaud ! Il allait en avoir pour son plaisir. Je me mis à pousser de petits cris, demandant à Victor de taper un peu plus fort, celui-ci émoustillé bandait aussi, son monstrueux rouleau pointant vers le plafond. La cravache descendit sur mon ventre, puis s'insinuant dans non vagin il tapota mon clitoris, m'arrachant des cris d'extase.
« Salope, tu as aimé te faire baiser par les deux noirs ensemble ?
Oui... »
La cravache s'abattit sur un de mes seins
« Tu as aimé, leurs deux grosses queues noires...dans ta chatte ?
Oui, je les ai adorées.. »
Ce fut le tour de l'autre.
« Leurs bites étaient meilleures que la mienne ?
Oui, oui, elle étaient plus grosses, plus jeunes, plus raides...
Tu as joui en recevant leur sperme ?
Oui...oui...j'adore que les noirs éjaculent dans ma chatte...j'adore avaler leur sperme... il est meilleur que celui des vieux blancs... »
Les coups continuèrent mais légèrement plus fort, mes réponses devaient attiser sa jalousie, ce qui n'était pas pour me déplaire...Je me tortillais sur la table, râlant, gémissant, jouant la comédie...Alfred ne savait pas si je souffrais ou si ça me plaisait, mais toujours est-il qu'il caressait son membre tendu ardemment.
« Tu as l'air d'aimer ça aussi dit Victor, le fouet... en avisant la petite flaque de foutre entre mes jambes. Attends... »
Il enfila sur sa bite énorme et raide un godemiché à excroissance, elle était tellement grosse qu'il batailla pour l'enfiler. Affublée de ce latex boursouflé le diamètre de sa verge semblait presque avoir doublé. Heureusement que les petites pastilles n'étaient pas trop dures. Il avait disposé la table pour qu'Alfred ne puisse rien rater de sa pénétration. Il approcha son énorme engin de mes lèvres entrouvertes palpitantes. C'était moi qui avait fait acheter à Alfred cet ustensile, j'adorai la sensation de griffure des petites boules, mais le membre de Victor était vraiment gros. Le bout pénétra, Victor guettait mes réactions, j'écartais les jambes autant que mes liens me le permettait. Il comprit que je ne me déroberai pas. Il me détacha les jambes, je les ouvris en grand. Il repositionna son gland entre mes grandes lèvres et poussa lentement. Les excroissances écartèrent mes petites lèvres et la queue de Victor glissa plus profondément. Mes parois trempées facilitaient l'insertion du gros cylindre, les petits grains de latex les griffaient au passage, sensation délicieuse. Je gémissais de bonheur.
« Regardez Alfred, je lui ai enfoncé toute ma queue, elle aime...Allez action ! »
Disant cela il se mit à me labourer la chatte à grand coups de reins, me tirant à chaque pénétration des cris d'extase. Alfred se tortillait maintenant dans ses liens.
« Victor, pitié...pitié...je veux la baiser aussi !!
Ben non, Alfred...c'est vous qui avez perdu...et qui avez fixé le pot, non ? »
Les mains biens ancrées sur mes hanches et passées sous mon porte-jarretelle,Victor accéléra la cadence, son âge avancé n'avait apparemment pas altéré ses capacités sexuelles, il avait quarante ans de plus que moi et il allait me faire jouir...
Notre attention fut attirée par les halètements de Alfred qui se calottait et décalottait la bite de plus en plus vite.
« Oh non, oh non....je vais...je vais jouir...ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!! »
Son vieux corps se cambra, sa main enserra fortement son phallus, et son sperme s'écoula entre ses doigts.
« Et voilà dit, Victor... à nous maintenant... »
Il ôta la gaine caoutchoutée de sa queue.
« Regardez Alfred, c'est dommage que vous ayez éjaculé... »
Il enfila de nouveau, avec facilité, entièrement sa grosse queue dans ma chatte inondée. Il me fit basculer sur le côté me souleva une jambe et se saisissant du godemiché lisse, il me le fit pénétrer lentement dans l'anus...et commença de lents et profonds va et vient.
« Tu aimes, hein Salope...dis moi que tu aimes ça autant que les bites des noirs !!
oui mais...
Mais quoi...? Bon Alfred je vais préparer le terrain pour la prochaine fois...et je vais la faire jouir, la petite Trixie... »
Il me remit sur dos, sa verge était toujours dans ma chatte, il remuait lentement les reins, la faisant pénétrer entièrement. Écartant mes lèvres de ma vulve, il commença à introduire la tête du cylindre en plastique lisse.
« Écarte bien les jambes pour que Alfred puisse bien en profiter ! Il m'a promis qu'on te ferait un double vaginal...alors je prépare le terrain !! »
J'obéis, le godemiché s'enfonça au dessus de sa queue, il me détacha les mains.
Je haletais, je pris la main ridée pour guider l'insertion...
« Alors, salope ça ne te rappelle rien...je vois que tu aimes...autant que les queues des noirs !! »
Ma main orchestrait les entrées et sorties du gros tube, Victor bougeait doucement, mais je sentais aux battement de son membre que son plaisir montait...le mien aussi d'ailleurs et j'explosais de jouissance...Il retira d'un seul coup le gros cylindre lisse et rigide, poussa sa bite bien au fond de mes entrailles et éjacula avec un grand cri.
« Tiens, Tiens Salope le sperme du Vieux Victor...Il t'a fait jouir comme les jeunes noirs !! »
Il se vida longtemps avec des spasmes et des hoquets de plaisir.
Pendant le repas, notre patron temporaire nous informa qu'il avait pour la soirée invité son neveu. Il n'allait d'ailleurs pas tarder à arriver.
«Il n'est pas puceau, lui. Mais il a une particularité...enfin vous verrez !  J'espère Alfred que votre service sera impeccable...Quant à toi Trixie, tu restes habillée comme tu es. Ta nouvelle nuisette n'a rien à envier à celle que j'ai déchirée... »
On n'attendit pas longtemps le coup de sonnette. Victor s'empressa de bien faire sortir mes seins par l'échancrure des fentes en les écartant au maximum sur mes deux globes fermes, il resserra les nœuds coulants sur mes tétons, les faisant rouler au passage entre ses doigts. S'assura que la nuisette s'arrêtait bien juste sous mon porte jarretelle, et laissait une vue dégagée de mes fesses et de ma chatte.
« Trixie, tu vas avec Alfred, accueillir mon neveu...! »
Alfred me précéda jusqu'à la porte, l'ouvrit en s'effaçant. Je me retrouvais sous la lumière vive du plafonnier du couloir, nez à nez avec le neveu. Je vis sa bouche s'arrondir mais aucun son n'en sorti, ses yeux s'écarquillèrent, on aurait dit qu'il était coulé dans du béton tellement il était figé de stupeur.
Il devait avoir une quarantaine d'années, il avait le crane absolument chauve luisant, des bajoues flasques qui tombaient, un triple menton, un nez légèrement tordu. Il mesurait plus de deux mètres, ses bras étaient aussi gros que mes cuisses. Il devait avoisiner les cent cinquante kilos. Il faisait vraiment négligé, avec ses habits froissés. Son ventre était tellement gros que je me demandais quelle taille devait faire son pantalon ! Ses yeux porcins me scrutaient de la tête aux pieds. Je les vis suivre les chaînettes du collier de poitrine, se poser sur mes tétons tendus, descendre lentement sur mon ventre et se fixer sur mon pubis épilé.
« Si Monsieur veut bien se donner la peine d'entrer...dit Alfred »
Le gros bondit presque dans le couloir, et se retrouva comme par magie à mes côtés. Une énorme main velue se posa sur ma hanche me retournant vers l'appel de Victor qui nous invitait à le rejoindre à l'intérieur de la maison.
« Alors c'est toi la secrétaire, dit l'obèse...Putain que tu es belle, tu es un vrai canon...Victor ne n'avait pas menti. Oh làla, tes seins, la taille de tes tétons ! Ces bas ! Ce porte-jarretelle ! C'est pour moi que tu as mis tout ça ou tu es toujours habillée ainsi ? Les deux croulants ne doivent pas s'ennuyer avec toi !!»
Tout en marchant vers Victor, la main se glissa sous la lanière du porte jarretelle, descendit le long du galbe de ma fesse, et le majeur s'insinua entre mes jambes cherchant l'entrée de ma chatte. Avec l'autre il faisait rouler mon téton gonflé entre le pouce et l'index. Arrivé devant son oncle, il avait réussi à entrer deux phalanges de son majeur dans ma chatte. D'un geste sec je lui repoussais les bras.
« Trixie, on agit pas ainsi avec les invités voyons ! Et toi Marc un peu de patience...les présentations n'ont pas été faites ! Trixie je te présente donc Marc. Tu vois, je ne t'avais pas raconté de salades lorsque je t'ai dit que nous possédions une Déesse chez nous. Regarde ses seins parfaits...et ses tétons en as-tu déjà vu qui sont aussi érectiles. »
Victor se tenait derrière moi, il resserra les nœuds coulants et les repositionna au plus près de mes aréoles gonflées et couvertes de chair de poule. La légère douleur les fit s'allonger un peu plus...Il fit l'éloge de mes jambes, descendant lentement ses main sue les lanières du porte jarretelle. Il passa devant moi, me courba, fesses offertes aux regards de l'adipeux, je sentais ma chatte devenir moite sous les regards inquisiteurs du gros neveu. Il me demanda d'écarter les jambes et de poser les mains au sol, j'obéis...Ses vieilles mains écartèrent mes globes bronzés dégageant mon anus, son index et son majeur pénétrèrent dans mon conduit anal largement ouvert.
« Pas mal hein !! Attends la suite... »
Avec sa main gauche, il ouvrit mes grandes lèvres, ses deux doigts quittèrent mon anus pour investir ma cavité vaginale, deux autres doigts vinrent rejoindre les premiers tandis que son pouce me massait délicatement le clitoris.
« Mais c'est qu'elle mouille fort la petite salope, tu veux venir goûter ? »
Le gros se précipita et tomba malgré son poids, rapidement à genoux derrière moi, sa langue s'enfouit dans ma chatte, elle me semblait aussi grosse que la queue d'Alfred. Victor assis sur le canapé avait sorti sa verge et me demanda d'approcher. A quatre pattes, son corpulent neveu me léchant toujours, je me présentais devant le membre tendu qui se se balançait devant ma bouche. Il força mes lèvres, il appuya derrière ma tête pour la faire entrer, je l'avalais par à coup.
Le bouffi aspirait délicatement mon clitoris, son pouce caressait doucement mon anus palpitant qui ne demandait qu'a être forcé. Il appuya doucement et l'énorme doigt velu pénétra dans mon trou intime. Je râlais de plaisir.
« Putain ce qu'elle est belle et qu'elle m'excite cette salope, son foutre est délicieux. Je sens que je vais bander comme un âne, sans vouloir te vexer mon oncle, ma bite devrait être presque deux fois plus grosse que la tienne !!
 Eh oui, c'est de famille , dit le majordome... Tous bien montés...mais Marc nous surpasse tous attends de voir Trixie, il dit la vérité...!! 
Oui dit ce dernier, je veux qu'elle me suce, au moins le gland !! Tu peux me laisser ta place ?
Alfred, allez nous chercher un verre de whisky...»
Marc prit place sur le divan, il était vraiment souple malgré son poids. Il déboutonna la ceinture de son pantalon, défit le zip de sa braguette, il souleva ses fesses et baissa son pantalon sur ses chevilles, et l'envoya sur le tapis. Il ne portait pas de slip. Il écarta ses énormes cuisses. J'en restais bouche bée, il prit dans sa main, ce qui était plus qu'énorme rouleau de chair. Je n'avais jamais vu un tel engin. Celle de Victor était déjà énorme, mais celle là était une « difformité », je ne trouvais pas d'autre mot pour la qualifier. Elle devait mesurer dix centimètres de diamètre, son énorme main velue n'en faisait pas le tour, presque trente centimètres de long. Mandigo, mon acteur porno préféré, noir américain était battu. Une excitation malsaine me traversa le corps, cet énorme tas graisseux allait surement me baiser, me pénétrer avec avec cette bite géante ! Il se mit à la calotter et la décalotter en me regardant avec un grand sourire de me voir à mon tour changée en statue de pierre...Chaque rétractation de son prépuce découvrait son énorme gland violet. Sa bite pour l'instant pendait flasque.
« Alors qu'est-ce que tu attends lèche... »
Ses mains velues se mirent à ma malaxer les seins, à me tordre les tétons...Il demanda à Victor s'il pouvait ôter ma nuisette, sans attendre la réponse, il me la fit passer par dessus la tête. Il me fallut les deux mains pour tirer le prépuce vers l'arrière et dégager le gland monstrueux, ma langue en lécha le pourtour, tandis que mes mains allaient et venaient le long de cette hampe monstrueuse. Elle commença à se redresser, et prendre de la rigidité. Je lui caressais, puis léchais ses énormes testicules, ma langue parcourait la longueur du phallus géant. Sa bite bien que graisseuse était devenue sous mes caresses d' une rigidité phénoménale. Le diamètre et la longueur étaient maintenant vraiment impressionnants. Cette expérience démesurée me titillait le bas ventre, tout en en me faisant un peu peur, mon foutre suintait le long de mes cuisses, je me traitais de perverse de désirer me faire baiser par un tel engin. Je me rappelais les paroles de mon gynéco. Il m'avait expliqué que la vulve d'une femme était d'une élasticité à toute épreuve, et qu'elle pouvait avec un peu d'entrainement accepter des insertions énormes. Et il me l'avait prouvé en enfilant complètement sa main à l'intérieur de ma chatte. Il m'avait en outre dit que d'après l'échographie, mon vagin mesurait 17 cm de long au repos mais que l'excitation pouvait le faire grandir.
Le gros me fit asseoir face à lui sur ses cuisses, le gland de son sexe rigide me chatouillait sous les seins. Le haut de mes bas était trempé de mon foutre.
« Bien, me dit-il, je vais y aller très doucement...je ne veux pas te faire mal ! Mais je vois que tu es trempée petite salope, tu n'attends que ça ! »
Et il me mordilla les mamelons durcis autant par le désir que par les petits rubans. Je me levais, jambes largement ouvertes, de deux doigts j'écartais mes lèvres, il mit son énorme gland à l'entrée de mon vagin.
Je sentais mon foutre couler sur sa verge, les chaines de mon collier me caressaient la peau sous mes seins tendus par le désir, mes tétons frottaient contre les plis de ses pectoraux glabres. Je descendis lentement son pénis était rigide comme un pieu, je ne savais pas par quel miracle une masse graisseuse comme lui pouvait avoir une bite aussi dure.
« Alfred pouvez-vous me faire passer le flacon qui se trouve dans la poche de mon pantalon ? Demanda le replet .»
Alfred les yeux exorbités par ce qui allait se passer s'exécuta. L'énorme ventru fit couler dans sa main une bonne dose de gel lubrifiant et l'étala sur sa bite en la massant doucement. Il introduisit le bouchon dans ma chatte et envoya une giclée du produit. Puis sa bouche se posa sur la mienne, sa langue se noua avec ma langue...j'abaissais mon bassin.
Je sentis son gland m'écarter les parois vaginales, je descendis en forçant, le gland peinait à entrer, pourtant je ruisselais de foutre, le gel devait faciliter la pénétration. Je me relevais et puis redescendis un peu plus violemment. Son gland entra entièrement, je fis plusieurs tractions gagnant chaque fois deux ou trois centimètres. Je jetais un coup d'œil à Alfred et Victor qui semblaient hypnotisés par la grosseur du boa que j'étais entrain d'engloutir. La queue était maintenant enfoncée d'une dizaine de centimètres. J'augmentais la vitesse de mes soubresauts, les zones érogènes et les plus sensibles d'une femme se trouvant environ à cette distance, cela me faisait beaucoup d'effet. Je commençais à râler de plaisir me sentant rempli par cet énorme sexe. Je voulais le sentir encore plus profondément en moi. Je contractais mes parois vaginales, chaque contraction faisait que le monstrueux rouleau glissait encore un peu plus loin. Le monstre adipeux, avait l'air d'aimer cela, il donnait de petits coups de reins qui faisaient glisser encore et encore son sexe bien lubrifié par le gel et mon foutre. Entre chaque petites poussées, il me suçait le bout des seins. Je sentis que son gland frottait le col de mon utérus, je me laissais retomber. Il glissa au plus profond et il me sembla que son gland venait buter au fond. Mais j'avais avalé presque entièrement les trente centimètres de sa bite. Je râlais de plaisir.
« Putain salope ! C'est bien la première fois, que je peux enfiler ma queue entièrement dans une fille !! »
Je commençais alors à me trémousser lentement d'avant en arrière, sa queue bien plantée en moi.
Il me prit sous les bras me souleva, et accompagna doucement ma descente, je m'empalais avec vigueur et délice sur son membre. A chaque pénétration je sentais la brulure de cette énorme bite, qui écartelait ma vulve au maximum et emplissait entièrement mes entrailles. Il avait oublié ce qu'il m'avait dit, qu'il serait doux avec moi. La frénésie sexuelle le gagnait. Il me mordit les bouts de tétons. Je hurlais, de douleur et d'extase.
Il m'avait saisi aux hanches, me levait et me rabaissait de plus en plus vite, il haletait de plus en plus fort. Je sentais sa queue prête à déverser son sperme, j'allais moi aussi jouir sans tarder.
Il m'empala une dernière fois, et me tenant plaquée fermement sur ses cuisses, son énorme bite frottant le fond de mon vagin, il se libéra avec de grands hoquets suivis de râles à chaque fois qu'une giclée de son sperme coulait en moi.  Les deux vieux qui regardaient ébahis la scène n'eurent qu'un cri.
« Oh putain, la garce...il lui a tout enfilé... »
Je les regardais, ils étaient l'un à côté de l'autre et leur sperme giclait par saccade sur le tapis. A la pensée qu'ils avaient pris leur pied se masturbant en regardant cette pénétration monstrueuse, une onde brulante parti de mes entrailles et irradia mon ventre, je me tendis en arc de cercle, comme pour enfoncer le pieu encore plus loin en moi, comme pour mieux recevoir le liquide séminal qui s'en épanchait, et je hurlais mon plaisir comme une bête.
Je voulus me relever mais il me maintint fortement par les hanches, en me levant et me descendant doucement le long de sa hampe qui malgré son éjaculation n'avait presque rien perdu de sa rigidité.
« Ne soit pas pressée, c'est la première fois que je peux enfiler ma bite entièrement dans une fille, et jamais dans une aussi jolie que toi, alors je veux en profiter...ne pas gâcher mon plaisir !! »
Lorsqu'enfin il débanda, lorsqu'il sorti son sexe adipeux suintant de mon foutre et de son sperme de ma vulve, un flot de liquide séminal s'écoula. Il m'ordonna de lui sucer le sexe jusqu'à ce qu'il soit propre, de nettoyer le canapé avec ma langue, ce que je fis avec application en regardant voluptueusement les deux vieux, déglutissant à chaque coup de langue le sperme recueilli.
Chacun regagna sa chambre pour une nuit de repos...Il restait encore un jour à Victor pour faire valoir ses droits. Le matin suivant, il nous dicta notre conduite pour la journée à venir.
« Comme ni Alfred ni moi n'avons connu les joies du mariage, et surtout celles d'une nuit de noce, nous allons nous en offrir une. Malheureusement je dois raccompagner mon neveu chez ma sœur, j'ai des affaires de famille à régler, cela devrait me prendre presque toute la matinée. Donc Alfred, puisque vous êtes un cinéaste hors pair...avec votre matériel sophistiqué, vous allez filmer Trixie et son mari, que j'ai choisi en fonction des goûts et des couleurs de Mademoiselle !! Il est d'ailleurs arrivé, je l'ai installé dans la chambre bleue, au premier étage. Alfred j'espère que le film sera réussi car je voudrai le regarder tout en baisant mademoiselle Trixie à mon retour, ce qui ne devrait pas être désagréable et très émoustillant...Je veux des gros plans, et si je pouvais avoir l'éjaculation ce serait parfait. Attention Alfred...Le Mari de Trixie a des consignes...on ne touche pas, on filme seulement !! Cela vous convient-il ?
Je suis bien obligé, d'obéir dit Alfred...
Pour l'instant, je suis aux anges, dis-je en riant.
Allons habiller Trixie.»
Il me fit revêtir un bustier blanc sans bretelle, mes tétons toujours emprisonnés par le ruban du collier de seins affleuraient les bonnets, le haut de mes aréoles était apparent. Partant du bustier des lanières soutenaient des bas blancs, un string complètement transparent cachait la fente de mon sexe, de hauts talons aiguilles de la même couleur rehaussaient ma taille. Il posa sur mes cheveux un diadème assorti d'un voile de marié qui tombait sur mes fesses...
« Voilà, à vous de jouer maintenant...Je compte sur vous Alfred pour me faire bander avec la vidéo...mais je sais qu'avec Mademoiselle il ne devrait pas y avoir de problème... »
Lui et son neveu partirent alors.
Alfred récupéra sa caméra. Je montais au premier étage et lui demandais de me filmer descendant les escaliers langoureusement. Arrivée en bas, je passais devant lui, il fit un zoom sur mes fesses. Je me retournais, il s'agenouilla, filma ma main qui enfonçait le string le long de ma fente. Alfred me suivant, je remontais les escaliers, arrivée au premier étage, j'écartais le mince rempart de tissu et me caressais le clitoris en gros plan, m'insérant l 'index et le majeur dans la vulve. Cela m'excitait malgré moi, comme chaque fois que je tournais un clip vidéo... ma chatte s'humidifiait. La caméra remonta jusqu'à ma poitrine, je baissais lentement un bonnet du bustier, caressais mon téton gonflé réajustais le ruban, serrais le clip, remettais le sein en place et sortais l'autre pour faire pareil. C'est à ce moment que la porte de la chambre s'ouvrit. Et comme promis par Victor, ce fut ma couleur préférée qui sortit de la pièce, un noir, costaud et barbu. Il s'approcha de moi et m'embrassa avec fougue, sa main parti à la rencontre de mes seins sous le bustier...
« Très joli ton collier...avec ça tes tétons sont magnifiques... »
Il avait dénudé ma poitrine en baissant les bonnets du corset. Il se mit à les mordiller, il les aspirait l'un après l'autre, cela me plaisait énormément. Sa main se glissa sous mon string et deux doigts noirs s'enfilèrent dans la moiteur de ma chatte. Il me le quitta délicatement. Je lui ôtais veste et chemise, frottais mes mamelons sur le torse noir et glabre, et ma main partit en reconnaissance à travers son pantalon sous sa ceinture. Lui non plus ne portait pas de slip, je suivis son membre qui descendait encore flasque le long de sa cuisse, il était au moins aussi gros et long que celui de Victor.
Je m'assurais que Alfred filmait sans interruption, m'accroupis et me mis à lécher à travers le pantalon le phallus qui commençait à prendre consistance. Je défis la fermeture éclair et la ceinture du pantalon et sortis l'objet de mes désirs. En le décalottant je le présentais à la caméra et l'engloutissais lentement dans ma bouche regardant l'objectif, Alfred filmait en gros plan.
Une main à la base de son sexe, l'autre lui malaxant les testicules, j'entrais et sortais de ma bouche le sexe noir tendu comme un arc maintenant. Au bout de trois ou quatre minutes de succion buccale, il me releva, me fit tourner de dos les mains appuyées sur la rambarde des escaliers, écartant mes jambes, il demanda à Alfred de filmer la pénétration en gros plan. Avec deux doigts, il ouvrit mon conduit vaginal pour en permettre une bonne prise de vue et lentement, très lentement fit glisser son gros rouleau noir dans mes entrailles. Attrapant mes seins il se mit à me labourer avec de sourds grognements.
D'une main j'écartais une fesse pour que ce diable de Victor me perde pas une miette du spectacle.
La queue était énorme, la cadence infernale, ça me changeait de la baise des deux vieux qui certes savaient m'amener au plaisir, mais là il y avait la fougue de la jeunesse. Et je réagissais, sans tricher...ce qui devait rendre Alfred un peu jaloux...mais qui continuait à filmer pour payer sa dette.

Le noir me souleva comme un fétu de paille, je l'attrapais par le cou, me tenant sous les fesses, il m'empala sur sa queue dure comme du bois. Puis tout en m'embrassant il m'emmena dans la chambre et me déposa sur la moquette. Il recula pour que je puisse devant l'objectif ouvrir largement les jambes et me masturber le clitoris. Ma tête touchait le lit bas, il se mit à genoux et sa bite retrouva tout naturellement sa place dans ma chatte, et les pénétrations succédèrent aux pénétrations. Alfred, s'appliquait, il zoomait, approchait l'objectif, un vrai professionnel. Le noir me porta sur le lit, notre cameraman put ainsi filmer entre ses jambes, la pénétration de l'énorme phallus noir dans mon anus. Il me fit tourner légèrement sur le côté, me relevant une jambe pour que le cinéaste enregistre la sodomie en gros plan, ce dont ne se privait pas Alfred. Les grosses mains noires me malaxaient les seins, tirant parfois sur les chaînettes, ça me m'arrachait des râles d'extases et des cris de béatitude. Je prenais plaisir à lui dire que j'aimais sa longue bite noire et dure, qu'aucune autre ne me faisait autant d'effet que la sienne, qu'il fallait qu'il me l'enfonce encore plus profondément, que je mouillais comme une folle, tout cela pour rendre jaloux Victor. Alfred c'était déjà fait, il grommelait des insanités...tout en continuant à filmer...ce devait être un calvaire pour mon vieux patron !
Sentant qu'il allait éjaculer, le noir me coucha sur le lit. Comme Victor le lui avait expliqué, il fallait que Alfred filme son éjaculation dans ma chatte. Il demanda donc au vieil homme de positionner l'objectif entre ses jambes, juste sous ses couilles pour ne rien rater. Son énorme phallus envahi à nouveau ma chatte et il commença de lents va et vient faisant pénétrer sa queue entièrement.
« Salope, me dit-il tu aimes les noirs avec des grosses bites...Je crois que je n'ai jamais senti une nana mouiller comme toi, ma queue est trempée et visqueuse de tout foutre...Putain le vieux a eu raison de me demander de te baiser...Il va se régaler ce vieux pervers...à voir le sperme que je vais envoyer dans ta chatte !! Putain que c'est bon de baiser une jolie blanche comme toi...!! »
Je sentais sa semence qui montait. Il me demanda de m'écarter les lèvres, tenant sa queue d'une main il positionna son gland à l'entrée de mon orifice vaginal bien ouvert et lâcha son liquide séminal avec des râles de plaisir, une petite partie coula le long de mes fesses, le reste dans ma chatte.
« C'est bon dit Alfred, j'ai eu ce que voulait Victor..., il voulait que cela cesse...il était jaloux du noir. 
Continuez à filmer, lui dis-je... »
Je pris la bite encore tendue et la remis dans mon vagin palpitant, je n'avais pas joui, mais j'étais au bord de l'explosion, le noir du le sentir car il enfonça doucement son sexe comme pour bien pousser son sperme dans mes entrailles, son baiser couvrit le cri de jouissance que je poussais. Je me rapprochais du bord du lit, et écartais les jambes au maximum, je caressais et contractais ma chatte pour faire sortir du sperme, j'y enfonçais deux doigts qui ressortirent luisants et visqueux de semence tiède, je récupérais celui qui coulait sur mes grandes lèvres et léchait mes doigts. Le grand noir s'était mis de coté après m'avoir fait sucer sa queue. Les jambes toujours largement écartées, je caressais ma chatte largement ouverte, gluante de sperme et de foutre que Alfred filmait toujours, je m'adressais au vieux pervers à travers la caméra, en suçant mes doigts poisseux.
« Alors Victor, satisfait du film... de l'opérateur et des comédiens …? As-tu vas la quantité de sperme que le noir m'a injecté...il est délicieux ! Coupez ! »
Celui-ci arriva en début d'après midi. J'avais remis ma tenue d'intérieur, exactement comme il me l'avait demandé. A peine arrivé, il s'installa au salon, demanda à Alfred de brancher la caméra sur le l' écran de la télévision un Led de 189 cm home cinéma, on ne pouvait rien rater !! Il me demanda de venir m'asseoir à côté de lui. Il était excité comme un enfant à qui on vient de donner un nouveau jouet.
« Vous pouvez rester Alfred, pour profiter du spectacle, j'espère que le film est excellent... »
Le clip du effectivement lui plaire, il était déchaîné, m'embrassant, me caressant, me suçant la chatte, se faisant sucer, me prenant par devant, par derrière, mais en faisant attention de ne pas aller trop loin pour ne pas éjaculer.
« Tu es vraiment une petite salope, tu aimes vraiment les noirs avec des grosses queues...
oui, je les adore...mais je vous aime bien aussi avec Alfred !! »
Alfred lui, nous regardait autant excité par le film ou le grand noir me baisait que par ce que me faisait subir Victor...Il se masturbait ne nous quittant pas des yeux...Victor, riait en le regardant...
« Allez Alfred, dit-il en fin d'après midi, je vais être comme vous un bon patron...votre supplice a assez duré...Venez la baiser avec moi, nous allons lui faire un double vaginal puisqu'elle a l'air d'aimer ça !! »
Mes deux vieux peinèrent un peu pour trouver la position adéquate, mais une fois trouvée , ils me besognèrent en douceur et leur éjaculation presque simultanée scella dans ma chatte leur amitié retrouvée...

A suivre....  

* voir : le voleur
** voir : le puceau
*** voir : l'anniversaire
**** voir : le dîner

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Texte coquin : Trixie chap 23 - La dette de jeu
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