Trixie chap 5 - Confidences
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie chap 5 - Confidences
Avec mon amie Chantal, nous trompions notre ennuie en regardant un DVD porno de Mandingo. Nous nous caressions chacune de notre côté. Chantal était de mon âge, blonde comme moi, la poitrine un peu plus grosse et des jambes aussi jolies que les miennes. Tous les hommes de la boîte ou nous travaillons auraient bien voulu faire l'amour avec l'une de nous deux ou avec toutes les deux ensembles.
« Dis donc, me dis Chantal, la queue de cet acteur dépasse l'entendement, elle est énorme !
- Tu sais, les noirs ont souvent un sexe aussi important. Tu connais Gérald le magasinier noir des fournitures diverses, il a presque le même...
- Eh comment tu sais ça toi, tu l'as vu ? »
Je réalisais que j'en avais peut-être trop dit, mais il fallait donner une explication, c'était une bonne copine ça resterai entre nous. Je bus un verre pour me donner du courage et lui racontais l'épisode de l'inventaire.
Elle écouta attentivement.
« Confidence pour confidence, moi aussi je vais te raconter quelque chose, ainsi on sera quitte. Nous connaîtrons les petits secrets de l'autre.
J'avais été mutée au magasin des produits finis. Tu te rappelles qu'a cette époque le personnel commençait à être réduit. Il n'y avait plus que Michel, Bertrand le conducteur du chariot automoteur et un intérim qui s'occupait des charrois Ludo, je crois.
J'avais des vues sur Michel, cela faisait pas mal de temps que je lui faisais du rentre dedans, mais jusqu'à présent sans trop de résultats. Souvent en sa présence, ma jupe remontait et découvrait largement mes cuisses. Lorsqu'on était seul, il pouvait même apercevoir mon string voilé par mes collants...eh oui, c'était la mode !!
Mais dès que j'ai pu être en permanence avec lui, j'ai vraiment testé mon pouvoir de séduction. Pour me monter le travail, il venait souvent s'asseoir à côté de moi. Je décidais de mettre une jupe apparemment très sage car assez longue. Mais elle était faite d'un seul panneau qui s'enroulait autour de la taille, et lorsque j'écartais les jambes, un côté avait la « fâcheuse » tendance de glisser sur une cuisse et la jupe s'ouvrait jusqu'à ma taille.
Un jour ou je lui demandais certaines explications sur le boulot, il déplaça son siège et vint s'asseoir à côté. Mon cœur se mit à battre plus vite. J'avais déjà commencé à laisser glisser le pan de la jupe. La moitié de ma cuisse était découverte. Ses yeux s'y portèrent aussitôt, un léger mouvement et elle s'écarta encore. Il commença ses explications, je me tournais légèrement vers lui ce qui découvrit entièrement ma cuisse. Je sentis alors sa main droite se poser sur mon genou, et commencer une lente progression vers le haut de ma jambe, au plus sa main montait, au plus j'écartais les jambes.
Mais l'ouverture de la porte des escaliers et des bruits de pas stoppèrent notre petit jeu.
Pour déjeuner, je ne quittais pas l'usine. Je prenais mon repas dans le petit vestiaire attenant au bureau. Michel rentrait vers les 13 heures, nous étions seuls pendant une grande demi-heure.
Lorsque je l'entendis rentrer dans le magasin, je l'appelais du fond de celui-ci. J'avais choisi un endroit ou l'on ne pouvait pas nous apercevoir, cachés par les palettes remplies de gros cartons. Je faisais semblant de compter de la marchandise penchée en avant. Il s'approcha doucement, posa ses mains sur ma taille, les descendit sur mes cuisses, écarta ma jupe. Je me tournais vers lui, et l'embrassais avec passion. Ses mains remontèrent enserrèrent mes seins, il souleva mon pull, baissa les bonnets du soutien gorge et il suça mes tétons qui se dressèrent aussitôt.
Écartant à nouveau la jupe, il s'attaqua à quitter le collant et le string, ce qui ne fut pas une mince affaire ! La position ne s'y prêtait vraiment pas. Nous avions aussi peur de nous faire surprendre si cela s'éternisait trop ! Mais cela ne m'empêchait pas mouiller, la situation m'excitait. Après bien des contorsions, il eut raison des deux récalcitrants. Je me penchais en avant, il fit pénétrer deux doigts dans ma chatte :
« Putain tu mouilles fort me dit-il
- Mets moi vite ta queue, répondis-je en rigolant, c'est bientôt l'heure »
Il attrapa mes hanches, et d'un seul coup enfila son sexe. J'eus un hoquet de plaisir. Au bout d'une dizaine de va et vient, il me dit qu'il valait mieux cesser car c'était bientôt l'heure, mais que nous remettrions ça en s'organisant mieux.
L'après midi au bureau face à face, je ne le quittais pas des yeux pour voir si j'avais réussi à atteindre mon objectif. Il se leva, passa derrière moi, comme pour regarder mon travail. Je senti ses mains se poser dans mon dos sur l'attache de mon soutien gorge. Il le dégrafa, cela me fit frisonner.
Sur mon épaule, il prit la bretelle gauche et lentement la fit descendre le long de mon bras jusqu'à ma main, il la sortit de la bretelle. Il fit subir le même traitement à la bretelle droite, je mouillais comme une petite folle. Passant une main dans mon pull sur le devant il attrapa le soutien gorge et me l'enleva, je gémis de plaisir, j'étais trempée :
« Mets le dans ton tiroir... dit-il en malaxant mes tétons, à travers le tissu du pull. Ça à l'air de t'avoir plu !! »
Et à partir de jour ce fut un rituel...à part l'été ou je ne portais pas de soutien gorge, nous commencions toujours la journée ainsi.
« Tu vois me dit-il, ce matin cela n'a pas été très pratique...Je pense que si tu avais des bas et un porte-jarretelle cela se serait beaucoup mieux passé ! Tu n'as même pas eu le temps de me sucer la bite ! Mais peut-être que ça ne te plaît-pas...
- Ça ne me plaît pas ? Viens avec moi et tu vas voir si ça ne me plaît pas ! »
Je l'entrainais dans le vestiaire, dégrafais son pantalon, m'accroupissais et commençais lui sucer la queue. Il passa ses mains à l'intérieur de mon pull et me caressa les seins :
« J'adore les filles qui ont des tétons érectiles comme les tiens... »
Il me les pinçait délicieusement, personne ne n'avait fait ça ainsi avant lui. J'engloutissais entièrement sa bite, j'avais posé mes mains sur ses fesses et accompagnait le mouvement de ses hanches d'avant en arrière. Je le sentis se raidir, et avoir un mouvement de recul, pour la première fois, il ne savait pas si j'accepterai qu'il éjacule dans ma bouche. J'accentuais ma pression sur les fesses en enfournait sa bite le plus profondément, en gargouillant :
« Noooon reste.....dans ma bouche... »
Il éjacula de longs jets tièdes, j'aspirais délicieusement le liquide poisseux et l'avalais. Je suçais sa queue comme on l'aurait fait pour une tétine aspirant le bout de son gland. Il frissonna et gémit de plaisir, en me caressant les cheveux .
« Ton sperme est délicieux...lui dis-je »
Il me releva et m'embrassa avec tendresse.
Pour le porte jarretelle, je ne voulais pas avoir l'air de céder trop vite à ses désirs, mais j'en avais acheté deux un noir et un blanc ainsi que des bas noirs. Le lundi suivant, je portais une robe droite, bariolée d'anneaux noirs et blancs, je la portais sans ceinture, elle était assez ample. Après qu'il m'eut ôté mon soutien gorge, ce qui me faisait toujours autant d'effet et me laissait pantelante, il s'était assis à sa place, je me positionnais à côté de lui, à sa droite, me penchait les coudes appuyés sur le bureau.
« Je t'ai écouté...vérifie... »
Sa main droite se posa dans le creux derrière mon genou et commença une lente ascension, mes jambes s'ouvraient...Ses doigts arrivèrent sur une attache et frôla la peau nue au dessus des bas, je gémis de plaisir, il me sembla que mon corps se couvrait de chair de poule. Il continua sa lente progression le long de la lanière, sa main gauche avait rejoint la droite sur mon autre jambe. Il palpait la dentelle enserrant ma taille, puis une main redescendit et je sentis son majeur s'enfoncer dans ma chatte, tandis que l'autre, remontait sous la robe jusqu'à mes seins et les caressait.
«Tu as aussi quitté ta culotte, petite salope... Putain ce que tu mouilles me dit-il en ajoutant deux autres doigts dans ma vulve...
- Ouiiii !!hoquetais-je, c'est vrai tu as raison, c'est plus pratique comme ça et dorénavant je porterai des portes-jarretelle et je ne mettrais plus de string !!! »
Je ne regrettais jamais la décision que j'avais prise ce jour là !
Tous les jours, Michel arrivait vers 12 heures 50, il me rejoignait dans le petit vestiaire et nous baisions jusqu'à 13 heures 25.
Nous faisions plein de jeux érotiques tout au long de la journée. Il me demandait lorsque Bertrand était assis à son bureau, qu'en rangeant les papiers dans les différents casiers qui étaient posés sur son bureau, de bien me pencher en avant et de lui laisser voir mes seins par l'entrebâillement de mon chemisier ou l'échancrure de mon pull. Prise au jeu, car cela m'excitait je le faisais volontiers.
Souvent je venais m'appuyer sur le bureau à côté de lui, pour qu'il me fasse un bon doigté ou m'enfile un énorme feutre servant à écrire sur les palettes, qui était bientôt enduit de mon foutre. J'en arrivais presque à jouir, mais avant l'explosion finale, je me dégageais en riant et partais m'asseoir sur ma chaise. Le laissant sur sa faim la queue raide et grosse.
«Demande et je t'obéis...
- Bon d'accord, voilà ce qu'on vas faire...me dit-il »
Il s'approcha de moi, releva ma jupe à hauteur des attaches du porte-jarretelle, on voyait la bande plus foncée des bas...il avait reculé la chaise et l'avait légèrement tournée vers la place du magasinier. Le bureau possédait de grandes baies vitrées et était inondé de lumière, un rai de soleil m'éclairait.
«Tu restes ainsi, et lorsque Bertrand sera assis à son bureau au moindre mouvement ta jupe remontera et il pourra s'apercevoir que tu as des porte- jarretelles...et il pourra peut-être entre-apercevoir ta chatte...si elle est assez haute !
- Ça me convient répondis-je... »
Ce ne fut pas Bertrand mais le jeune intérim qui fit irruption dans le local et s'assit au bureau, je regardais Michel. Il avait saisi le gros feutre ruisselant de foutre et le suçait consciencieusement, l'entrant et le ressortant doucement, il me regardait avec des yeux lubriques. Malgré moi mon bassin ondula deux ou trois fois vers l'avant. Effectivement ma jupe remonta, découvrant les deux attaches du porte jarretelle et une bande peau assez conséquente. Je jetais un coup d'œil à Ludo, son regard était fixé sur mes jambes.
« C'est bon ton truc ? Me demanda Michel, comme s'il me parlait du boulot
- Oui, c'est fait...
- Tu devrais espacer un peu plus les lignes, le client aurait un meilleur aperçu !! »
Je compris ce qu'il voulait dire, en souriant j'écartais doucement les jambes, me tournais légérement ver l'intérim, pour lui demander un renseignement, puis ramenais la chaise et mes jambes entièrement sous le bureau. Ludo ne devait plus savoir quoi penser, se demandant si c'était sciemment ou par hasard qu'il avait entre-aperçu ma chatte. Il sortit précipitamment du bureau et nous l'entendîmes dévaler l'escalier. Michel me demanda de venir à côté de lui, il passa la main sous ma jupe, insinua son majeur dans mon intimité.
« Eh bien, ça t'a plu, on dirait, c'est trempe !!
- Oui, masturbe moi, fait moi jouir !
- A une condition, vu l'état dans lequel tu l'as mis, s'il tente quoi que ce soit avec toi, tu me racontes...promis !!
- Oui, mais fait moi jouir ! »
Le gros feutre entra en action. Comme promis au cours de semaine suivante je fis mon rapport.
« Tu sais, ce matin en me disant bonjour Ludo m'a tenu la main et me l'a pressée sur sa bite. Il n'est pas grand mais je crois que je n'ai jamais senti une queue aussi grosse et dure. Je l'ai bien senti elle est énorme, car il a insisté assez longtemps. Cela ne m'a pas déplu, mais je ne lui ai pas fait sentir.
- Bien ça, mais il va falloir le surveiller le bougre...! »
Mais ce fut lui qui nous surveilla. Il dut percer à jour notre petit manège de la pause déjeuner, car plusieurs fois nous entendîmes des bruits, derrière la porte quand nous étions enfermés dans le vestiaire.
Nous étions persuadés qu'il nous regardait par le trou de serrure, nous l'avions plusieurs fois surpris trainant dans l'allée jouxtant le local, faisant semblant de vérifier une palette. Tout excités, nous décidâmes de lui faire profiter pleinement de nos ébats. La table sur laquelle nous faisions l'amour se retrouva bien en face du trou de la serrure, nous vérifiâmes que la vue était parfaite. Le lendemain, je nous enfermais et ôtais la clef de la serrure pour qu'aucun obstacle ne gène la vue. Nous retenions notre respiration espérant de ne pas nous être trompés. Nous entendîmes la porte de communication avec le magasin s'ouvrir tout doucement. Michel s'approcha de moi, m'embrassa avec tendresse, sa langue écartant mes lèvres, tandis que ses doigts commençaient à défaire lentement les boutons de mon chemisier. Il avait une façon de me déshabiller que j'adorais. Chaque endroit qu'il dénudait était aussitôt couvert de baisers, ou léché tendrement. Il me quitta mon chemisier et tout en me suçant les mamelons me coucha sur la table.
« Tu aimes qu'on te regarde, hein ? Me dit-il avec un clin d'œil, assez fort pour que Ludo l'entende. Regarde tes tétons comme ils pointent, il me les tira vers le haut, cela m'arracha un gémissement. Montre nous le reste, maintenant... »
Il défit la fermeture éclair de ma jupe, et tira lentement celle-ci vers le bas, il la laissa tomber par terre en faisant attention de ne pas se mettre en face du trou de la serrure.
« Putain ce que tu es belle avec tes bas et ton porte jarretelle...Allez écarte les jambes, pour bien nous montrer ta chatte, petite salope. Imagine qu'il y ait quelqu'un qui te mate par le trou de la serrure...Oui c'est ça écarte encore plus, montre lui...Attends j'écarte tes lèvres. Putain on dirait que ce que je dis ça t'excite...Fais voir...Mes deux doigts entrent tout seuls...Je vais bien dégager ton clitoris en lui faire profiter du spectacle...Si c'était le cas, tu préfèrerais que se soit Bertrand qui regarde ou Ludo ?
- Ludo, répondis-je assez fort, il a une queue énorme...
- Mais tu coules littéralement petite salope...Attends je vais boire ton jus... »
Il passa entre mes cuisses, je sentis sa langue s'insinuer dans ma fente, ses lèvres enrober mon clitoris, mon bassin se mit à onduler et je poussais de petits cris...Ses mains malaxaient mes seins.
« Tais toi, pas si fort...tu vas exciter notre voyeur... »
Il avait quitté son pantalon, il se releva, il me caressa la chatte avec sa bite, n'enfonçant que le gland
me titillant le clitoris avec un pouce. Il me sembla que cette douce caresse s'éternisait....
« Baise moi, maintenant, vas-y enfonce moi ta bite je n'en peux plus...je te veux »
Je regardais en direction de la porte avec des yeux de velours. Michel s'exécuta, j'accueillis avec délice sa queue, d'autant que je savais que Ludo nous regardait, nous avions perçus ses halètements à travers la porte. Cela dut m'émoustiller car j'atteignis rapidement la jouissance et me libérais avec un cri de plaisir étouffé. Michel éjacula peu après. Dans le silence qui suivi notre contentement, nous entendîmes la porte se refermer doucement, Ludo était parti. Michel prit la clef et ouvrit lentement la porte du vestiaire pour s'en assurer, j'étais descendu de la table, nue ramassant mes habits.
« Regarde me dit Michel, c'est quoi ce liquide sur la porte, il n'y avait rien tout à l'heure ? Du sperme ? Goutte...c'est toi la spécialiste !! »
Je prélevais une goutte sur mon index, et le suçais.
« Oui, c'est bien du sperme ! Ludo a éjaculé contre la porte !
- C'est de ta faute, me dit Michel, tu es tellement belle et tu l'as tellement excité... il va falloir nettoyer. Tu veux bien le lécher ?
- Ce que tu ne me fais pas faire, dis-je en m'accroupissant et je commençais à lécher la trainée visqueuse, ça y est il n'y en a plus...pas mauvais du tout, dis-je en déglutissant !!
- Rien à dire tu es une vrai petite salope... »
A genoux, derrière moi les mains posées sur la ma taille caressant mon porte jarretelle, il me léchait le dos à petit coup de langue. La porte du magasin aurait pu s'ouvrir à nouveau, nous n'en avions rien à faire...
« Mais je t'adore. Ludo va surement tenter quelque chose avec toi maintenant... je ne t'empêche pas si tu en envie de le laisser faire, mais promet moi de me le raconter... »
Il me pressa contre lui, et nous échangeâmes un baiser passionné plein de sperme de Ludo.
On ne cessait d'inventer d'autres jeux érotiques, j'en étais la pièce maîtresse, mais cela me plaisait...
On essayait toujours que cela ait l'air naturel, comme de me pencher pour ranger les papiers devant Bertrand, qui maintenant savait que je portais pas de soutien gorge et devait se douter que j'avais aussi un porte jarretelle. Je portais en général des jupes noires très moulantes, les attaches et les lanières du porte jarretelle se dessinaient en relief à travers le tissu. En me penchant dans le magasin sur les palettes ou en m'accroupissant ma jupe remontait et découvrait les attaches, cela m'excitait de sentir le regard des mâles.
Michel me demanda si je ne possédais pas un pull avec des mailles un peu larges. J'en avais un...il me dit de le mettre pour le jour suivant. Après le rituel du soutien gorge, mes mamelons gorgés de sang sortaient par les trous, on pouvait même apercevoir mes aréoles pigmentées de chair de poule;
« Non, ça ne va pas...pas être assez discret...les trous sont trop gros...me dit-il, il faudrait que les trous ne laissent sortir que les pointes de tes seins...J'enfilais un gilet par dessus.
- Je dois avoir cela... »
Le lendemain matin, j'avais opté pour un pull bleu ciel avec des mailles assez larges, il moulait parfaitement mes seins. Après une bonne excitation de mes pointes brunes, Michel s'arrangea pour que celles-ci érigées au maximum transpercent les mailles assez lâches du pull. La laine était assez serrée pour en comprimer la base et leur faire tenir une érection d'au moins deux centimètres et demi.
« Tu veux que je reste comme ça devant les magasiniers ? Mais je reste assise, je ne me balade pas dans le bureau. Et si c'est quelqu'un d'autre qui arrive, je me lève, regarde par la fenêtre et me réajuste.
- Oui, si tu es d'accord...sinon tant pis...Ils se sont aperçus que tu ne mets pas de soutien gorge, tes tétons sont peut-être sortis tout seuls...à travers les mailles !!
- Oui, mais ils ne tiendront jamais l'érection...
- Ne t'inquiète pas, je m'en occupe... »
Disant cela, il passa derrière moi et commença à me les malaxer entre le pouce et l'index, les griffer en les tirant avec ses ongles, pinçant le bout entre les ongles du pouce et du majeur. J'avais la tête renversée, je sentais mes seins réagir, je sus que je serai prête pour les faire bander.
En trois quart d'heure, je venais à peine de subir un deuxième massage, plus par plaisir que pour en maintenir l'érection, que les deux magasiniers entrèrent dans le bureau.
Je ne les avais pas encore vu de la matinée, ils s'approchèrent pour me faire la bise, je vis leurs yeux s'écarquiller lorsqu'ils aperçurent les deux petits dards bruns bien tendus qui dépassaient du pull, leur couleur brune tranchait sur le bleu, on ne pouvait pas, ne pas les apercevoir. Tout en continuant à les fixer Bertrand en tant que « vieux briscard », bien que surpris n'avait rien laissé paraître, il alla s'asseoir à son bureau. Ludo s'approcha pour me faire la bise, je vis sa bouche faire un « OOOOH » de surprise mais aucun son n'en sorti. Je me sentis légèrement rougir...Je me dis que nous étions complètement fous de jouer à de tels jeux. Mais maintenant ils avaient vu, je ne pouvais plus les rentrer. Ils auraient compris que j'avais vraiment fait exprès de les faire sortir par les trous...Je me disais que comme ils savaient que je ne portais pas de soutien gorge, ils pouvaient penser que c'était « un accident ». En fin, j'essayais de m'en persuader... ! Et puis s'ils voulaient continuer à profiter de ce que je leur montrais, ils n'avaient pas intérêt à en parler à qui que se soit. Michel scrutait mon visage, cherchant mes émotions. Je savais qu'il lisait en moi comme dans un livre. Je savais aussi que lorsque nous serions seuls, il me demanderait de lui raconter ce que j'avais pensé et ressenti pendant cette expérience et je le ferais sans rien cacher...Le jeune intérim prit une chaise et s'assit près de moi pour ne rien rater du spectacle. J'avais mis une jupe noire assez moulante, à travers le tissu on voyait nettement les attaches de mon porte jarretelle, mais là dans l'excitation des caresses prodiguées par Michel, elle était remontée à mi cuisse. Découvrant les fermoirs et une bande de peau, j'en étais consciente et on devait apercevoir ma chatte ou tout au moins la pilosité de mon mont de vénus. Je sentais leurs regards perçants posés à cet endroit, cela me faisait mouiller et accentuait l'érection de mes tétons. Je n'osais pas bouger. J'essayais de garder le plus possible mes jambes sous le bureau, mais ce diable de Ludo les matait. Il devait chercher à deviner les attaches du porte-jarretelle et la peau blanche au dessus des bas et même essayer d' apercevoir ma toison pubienne. D'un seul coup il se leva et partit vers les toilettes. Michel prit le gros feutre et commença à le sucer...
« Recule un peu, me dit-il très doucement pour ne pas que Bertrand l'entende »
Doucement je repoussai mon siège vers l'arrière de dix centimètres d'abord, puis encore un peu. Bertrand s'approcha de mon bureau et me faisant face appuya ses fesses sur le rebord. Il tournait le dos à Michel, qui se leva pour aller ranger un papier dans les casiers, mais surtout pour avoir un aperçu de ma situation. Revenu à sa place il me fit signe d'écarter un peu les jambes...Je le fis mais pas trop car j'estimais que mon vis à vis avait une vue assez complète sur mon intimité qui commençait à vachement ruisseler...La conversation s'éternisait, son regard allait de mes pointes tendues à mon entrejambe. Le téléphone sonna, un camion à charger...Bertrand à regret descendit faire son boulot.
« Ben dit donc c'est chaud, me dit Michel...tu vas les faire exploser !
- Ben oui, Bertrand n'a pas cessé de regarder ma chatte, il bandait comme un âne, j'ai crus un moment qu'il allait me pincer les tétons, viens voir ma chaise et ma jupe sont toutes mouillées !! Avec ce que tu me fais faire, j'ai vraiment envie qu'ils me baisent...maintenant.
- Ludo est parti au WC...se branler...Va falloir nettoyer la porte à nouveau...dit-il en souriant »
Le bureau était vitré jusqu'à moitié, Michel me poussa doucement dans le coin, près de la cloison derrière le bureau de Bertrand, si quelqu'un arrivait, il ne voyait que le haut de notre corps. Il passa derrière moi, je me penchais en avant tout en gardant un œil sur la grande porte des escaliers. Ma jupe remontait, mes jambes s'écartaient. Cette situation nouvelle, baiser dans le bureau, au risque de se faire surprendre m'excitait follement, je le laissais faire mais il ne fallait pas que cela s'éternise. Il me pénétra doucement.
« Tu aimes ça, me dit-il, ça t'excites ces situations... »
Je le laissais me pénétrer deux ou trois minutes...mais nous risquions gros. Je me dégageais rabaissais ma jupe, et rentrais mes mamelons.
« Viens, je vais te sucer dans le vestiaire...lui dis-je en le prenant par la main. »
Le chef nous informa que l'intérim de Ludo se terminait vendredi prochain. Michel prenait un jour de congé le jeudi. Lorsqu'il rentra le vendredi matin, je décidais de lui raconter comme il me l'avait demandé, ce qui c'était passé lors de son absence. Mon petit chéri, dis-je à Michel voici ce qui c'est passé hier.
« Hier, jeudi à midi, pour la pause déjeuner, je me retrouvais dans le vestiaire, pour manger mon repas et bouquiner un peu. La porte était grande ouverte, j'étais seule. Lorsque tout à coup Ludo entra rapidement, surprise je me levais. Il me plaqua contre le mur, les poignets au dessus de la tête. Pour la forme je lui dis de cesser et de me laisser tranquille...
J'aurais pu me défendre, mais je je le laissais faire, c'est de ta faute ! ...Il me dit qu'il allait partir demain, qu'il savait que je portais un porte jarretelle, il l'avait nettement vu le jour ou le bout de mes seins sortaient de mon pull. Sa main droite se positionna à hauteur des attaches et commença à me caresser la cuisse. Il me demanda de lui laisser voir mes dessous, il en rêvait la nuit, il se masturbait en pensant à moi. Il commença à remonter ma jupe, elle arriva vite à hauteur de ma taille. Tu m'avais bien dit que je pouvais le laisser faire, non ?
« Dis donc, tu ne portes pas de culotte non plus !! »
Je voulais voir ce qui aller se passer. Voyant que je ne réagissais pas, il lâcha mes poignets, je les gardais toujours au dessus de ma tête pour faire ressortir mes seins. C'est d'ailleurs sur eux qu'il reporta son attention, en me disant qu'il les avait déjà vu lorsque je me penchais, qu'ils étaient merveilleux et qu'il avait beaucoup aimé lorsque mes tétons sortaient du pull, mais qu'il voulait les voir entièrement et les toucher... Il déboutonna à toute vitesse mon chemisier et me l'enleva carrément. Sa bouche suçait à tour de rôle mes mamelons qui s'érigeaient. Il mordillait les pointes, aspirait entièrement les aréoles, mes seins devenaient durs comme du bois. Je commençais à haleter. Sans ménagement il enfonça deux doigts dans ma chatte et commença des va et vient. Il avait sorti sa bite qui comme je le pensais été très, très grosse, beaucoup plus que la tienne, aussi grosse que celle de Rocco Siffrédi ! Je ne m'étais jamais faite baiser par un tel engin. Je voulais savoir quelle sensation cela pouvait donner. Il s'appuya de dos les coudes sur la table et me demanda de le sucer. Je me mis à genoux et je le fis lentement en faisant attention de me pas le faire éjaculer, je voulais qu'il me pénètre. Elle était tellement grosse que malgré ma bonne volonté, je ne pu pas l'avaler entièrement, il se mit à trembler. Je sentis qu'il n'était pas loin de la jouissance, je me levais et me couchant sur la table je lui demandais de me pénétrer. Heureusement que je mouillais énormément, son énorme gland força l'entrée de non orifice vaginal, il tenait sa queue fermement d'un main et sa grosse bite me pénétra d'un seul coup, au moins vint cinq centimètres. Je senti ma chatte empli d'une énorme grosseur, je décontractais mes muscles pour bien la faire pénétrer puis les contractais pour en apprécier la dureté. Il eut l'air d'apprécier, il se coucha sur moi pour m'embrasser à pleine bouche, il me martela durement pendant dix minutes... Chaque fois il sortait entièrement sa queue, et d'un seul coup la ré enfonçait entièrement dans mon vagin béant. Je dois te dire que cela ne me laissait pas indifférente, il éjacula avec un cri, en me traitant de petite salope qui l'avait excité pendant trois mois...En sentant les soubresauts de son énorme engin écarter encore plus mes parois vaginales et son sperme chaud couler en moi...j'ai joui à mon tour...beaucoup...Il m'a ensuite demandé de lui lécher la queue, d'en aspirer le sperme qui restait. Je l'ai fait et l'ai avalé, la aussi j'ai aimé, je ne te mens pas, tu vois ! Mais rassure toi, je préfère que ce soit toi qui me baise, c'est beaucoup plus doux et tendre. Et au niveau des préliminaires, il n'y a pas photo...Voilà, il va partir aujourd'hui et je ne t'ai rien caché... »
Je demandais à Michel s'il était jaloux et s'il avait aimé que je le lui raconte ce qu'il m'était arrivé. Il me dit que oui, il avait apprécié le récit, non il n'était pas jaloux car je n'étais pas sa propriété, mais qu'il me réservait un « petit truc »...
Le lundi suivant, après m'avoir savamment déshabillée et couchée sur la table, me laissant seulement vêtue de mes bas et de mon porte-jarretelle noir, ce qui me mettait dans tout mes états, Michel farfouilla dans le casier inoccupé à côté du mien. Il sortit une mince cordelette, et un espèce de gros cable électrique flexible mais assez rigide d'environ 45 cm de long et d'un centimètre de diamètre. Sans un mot, il me fit passer les bras au dessus de la tête me lia les poignets, et attacha l'extrémité de la cordelette au chauffe eau fixé au mur. Un nouveau petit jeu ?
« Ah ! tu t'ai faite baiser par quelqu'un d'autre...attend ma petite salope !! »
Se saisissant de la cravache improvisée, il commença à me caresser les seins, faisant le tour des aréoles, titillant les tétons qui réagirent aussitôt.
« Tu as aimé baiser avec Ludo
- Oui, je te l'ai dit !
Il donna un coup sec à chacun des tétons, je gémis sous le léger impact
- Tu as aimé sa grosse bite ?
- Ouuiiii...!
Il se mit à taper les mamelons d'un côté puis de l'autre. Ma poitrine se tendait vers les coups... Cela commençait à m'exciter sérieusement...Je senti le bout descendre sur mon ventre comme une caresse
- Tu as aimé le sucer ?
- Oui, j'ai adoré son sperme..
Pan, un nouveau coup. Le bout descendit jusqu'à mon sexe, il l'insinua dans ma fente, pénétrant légèrement mon conduit vaginal.
- Elle mouille, la dame dit-il en suçant le bout luisant. Il te faisait autant mouiller salope ?
- Oui ma chatte était plus que trempe.
Il se mit à titiller mon clitoris.
- Tu aimais qu'il te caresse le clitoris ?
- Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pénétrait, et je me mis à miner une pénétration. Sa grosse queue, m'a faite jouiirrr....j'ai adoré....me faire défoncer... »
A chaque tortillement de bassin je recevais un léger coup. Il me fit tourner sur le ventre. Se mit à me caresser le dos, avec la badine, puis lorsqu'il voyait que je j'avais des frissons m'assenait un coup. Je prenais plaisir à ce traitement, il attaqua mes fesses, il les tapait doucement, mais je les sentais s'échauffer...
« Tape légèrement plus fort, lui demandais- je »
Cela me tirait des frissons depuis le bas ventre, ils remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je frottais ma chatte et mes seins sur la table. Une flaque de foutre poissait mes poils et coulait sur le formica du meuble.
« Tu te feras encore baiser par un autre ?
- Oh oui, si c'est pour avoir encore ce que tu me fais...tu vas me faire jouir... »
Lorsqu'il me prit, j'étais tellement excitée qu'il ne me fallut pas longtemps pour exploser d'extase...
Les semaines, les mois, passèrent...à toute vitesse...ponctués de nouvelle expériences...
Michel m'initia à la sodomie, j'en redemandais...Cela nous donna l'idée d'une expérience que nous nous étions jurés de mener à bien, mais qui n'a malheureusement jamais abouti. Nous avions décider d'essayer de faire participer Bertrand à nos jeux érotiques, de faire l'amour à trois !! Je sais que pour en avoir discuté avec Michel après, il désirait ardemment le faire et moi je lui avouais que j'aurais bien voulu me faire baiser par mes deux orifices simultanément ! Nous nous sommes donnés du mal, pour le faire tomber dans nos filets. Je vais te donner un exemple. C'était l'été, je ne portais aucun dessous, j'avais une sorte de tee-shirt, largement échancré sous les bras. Je trouvais un prétexte pour que Bertrand vienne se positionner derrière moi, ma main gauche suivait les lignes des listings, tandis qu'innocemment mon coude droit s'écartait de mon corps et dévoilait sous le tee-shirt baillant, un sein bronzé au mamelon érigé, je pouvais sentir son regard me le caresser.
J'avais acheté une robe bustier blanche, laissant mes épaules nues, elle n'avait pas bretelle, c'était mes seins qui l'empêchait de tomber. Michel me la positionnait au ras de mes aréoles et en la présence du magasinier on attendait qu'un téton surgisse par dessus, beaucoup aidé en cela par un mouvement d'épaule, sans y faire cas je le lui laissais visionner, puis repositionnais la robe en souriant...et parfois comme par hasard c'était les deux qui surgissaient. Mais rien n'y fit...jamais il n'eut un geste déplacé...
Puis, il y eu pas mal de changements, un nouveau chef, qui apparemment aurait bien voulu me baiser. J'avais confié à Michel que chaque fois que nous étions seuls, il faisait tout pour mater mes seins, ou essayer de voir mon porte jarretelle. Aussi, j'essayais de ne pas trop lui offrir d'occasions, mais parfois c'était tentant de le faire bander. Pour m'exciter davantage lorsque nous faisions l'amour, Michel me parlait pour me faire fantasmer. Me disant que j'aimerai bien me faire baiser par le chef, le grand Jean-Pierre, que c'était lui qui m'enfilait sa queue, et que j'adorai cela. Le plus fort c'est que cela m'excitait et que dans ma tête, tout en appréciant ce que Michel me faisait, tant une sodomie qu'un cunnilingus appuyé, je m'imaginais me faire prendre par « le grand » comme nous l'appelions, et malgré moi je dois reconnaître que je jouissais plus fort.
Un jour d'été, « Le grand »l me demanda de rester après l'heure le soir pour l'aider à terminer un dossier urgent. Je savais pertinemment qu'il ne serait pas question d'un quelconque dossier. Il me dit j'acceptais, j'aurai peut être une revalorisation de salaire... Dans cette perspective, je ne pouvais pas refuser. Je me retrouvais avec lui dans son bureau, habillée avec la robe bustier, comme d'habitude complètement nue dessous, tout le monde était sorti. Nous étions seuls. Il me demanda de fermer la porte, et d'attraper un classeur sur la plus haute étagère de l'armoire, je ne pus qu'obéir. Mais même en faisant attention en levant les bras, un sein surgit presque entièrement hors de la robe...Effarée, et surprise mon visage s'empourpra. Je faillis lâcher le classeur, et le rattrapait des deux mains. Mes mains étant occupées, je ne pus remettre de suite en place le fautif qui malgré moi dardait son téton brun. Le temps que je pose le classeur sur son bureau, il eut tout le loisir de l'admirer. Il s'était levé et approché de moi...juste pour me monter la bosse qui déformait son pantalon...
Pourtant cette fois je ne l'avais pas fait exprès de lui montrer un sein..Je pense, qu'il avait calculé ce qui allait arriver. J'avais réussi à remettre le fugueur en place.
« Très, très joli...Je les avais déjà entre aperçu lorsque tu te penchais, j'avais remarqué que tu ne mettais pas de soutien gorge ! »
Il s'était mis à me tutoyer...ça allait surement être chaud !! Il s'approcha les mains tendues vers ma poitrine. Je reculais.
« NON, non...
- Allez Chantal, laisse moi les toucher. Regarde comme tu me fais bander
- Non...
- Tu sais si tu me montres tes seins et que tu me laisses les toucher, tu vois ma queue elle a pris du volume et bien ton salaire pourrait connaître lui aussi une augmentation substantielle.... »
A ces mots le sigle de l'euro et de ses deux barres, se mit à danser devant mes yeux...presque sans réfléchir je répondis.
« D'accord, mais vous les touchez et on s'en tient là !! »
Mes yeux se portèrent sur son sexe, il me sembla que la bosse sous son pantalon avait encore grossi. Il se planta devant moi, il me dépassait d'une bonne tête. Ses mains attrapèrent le bord de la robe et descendirent les bonnets englobant mes seins vers le bas. Ils se dressèrent fièrement semblant le défier. Mes tétons avaient gonflés et durcis de se retrouver exposés à ses regards. Il les engloba de ses grandes mains, les caressa, pinça la pointe de mes mamelons qui se gorgeaient de sang. Il m'attrapa par la taille se pencha, ses lèvres se posèrent sur les miennes et sa langue força ma bouche. Je sentis une de ses mains se poser sur ma cuisse au bas de ma robe, se glisser dessous et remonter rapidement jusqu'à mes fesses.
« Petite Salope, tu es complètement nue dessous !! »
Je voulu m'échapper mais de son bras entourant ma taille, il me retînt fortement me plaquant contre lui.
Il avait du remarquer que ma robe se avait sur un côté une fermeture éclair. En un tour de main, il la descendit.
« Non, non pas ça... »
Je retenais la robe pour qu'elle ne tombe pas. Me lâchant, il se recula. Je n'arrivai pas à remonter la fermeture qui avait du se coincer.
« Je savais que tu mettais des portes-jarretelles, et que souvent tu mettais pas de soutien gorge, ça m'excitait à un point que presque toutes les nuits je me branlais en pensant à toi. Mais là, ça dépasse toutes mes espérances...Laisse tomber ta robe...
- NON, on avait convenu que vous me toucheriez juste les seins !
- Tu sais petite garce, j'ai percé à jour le jeu que tu joues avec ton copain Michel, je vous ai surpris dans les vestiaires en regardant par le trou de la serrure. Alors tu choisis, ou tu laisses tomber ta robe et on continue et tu as une augmentation, ou je prends des sanctions envers toi et ton copain ! »
Je n'avais guère le choix, la mine déconfite, je laissais tomber la robe à mes pieds. J'étais complètement piégée.
« Merveilleux, ce que tu peux être belle...cet hiver je veux te voir en porte jarretelle ! »
Il s'approcha de moi, me fit reculer et coucher sur le bureau.
« Sors mon sexe, défait mon pantalon »
Pendant qu'il me caressait les seins, je m'exécutais. Il avait un pénis tout à fait dans les normes, il bandait énormément, il était tendu en arc de cercle. Il ôta complétement son pantalon et son slip. Ses mains avides parcouraient mon corps ne sachant ou se fixer. Puis il me mit deux doigts dans le vagin. La pensée de ce que me racontait Michel pour me faire fantasmer avec ce mec, me donna une boule de chaleur dans les entrailles...j'y étais, c'était la réalité? Il me baisait. Ma chatte devint moite, je me laissais aller advienne que pourra...Il le sentit, il me caressa le clitoris de son pouce, j'étouffais un gémissement.
« Ah, ah Jean-Pierre te fait de l'effet, putain ce que tu peux m'exciter...je ne sais pas si je vais tenir longtemps... »
Je tendis la main pour me saisir de son sexe et le branler. Je n'en eu pas le temps, il ne fit lever, me tournant me faisant appuyer les coudes sur le bureau, il écarta mes jambes sans ménagement et enfila à toute vitesse son phallus dans mon vagin. Je senti trois ou quatre pénétrations et il éjacula avec un grand cri....
« Oh putain c'est boooooonnnnn, j'en rêvais depuis des mois, éjaculer dans ta chatte... »
J'étais éberluée par la rapidité de l'action. J'éclatais de rire en le regardant, il avait l'air pitoyable tenant son sexe qui commençait déjà a débander d'une main. A cette vue mon rire redoubla.
« Oui, j'en avais tellement envie, que je n'ai pas pu me retenir...
- J'avais entendu dire que vous étiez un chaud lapin, et question lapin....vous vous posez un peu la... »
Je ramassais ma robe et me rhabillais, tout en riant toujours...
« Bon d'accord, vous l'aurez votre augmentation. A condition que personne ne soit au courant de cet incident...et il n'y aura pas de sanction... »
« Voilà mon histoire Trixie, je pense que par incident, il voulait parler de l'éjaculation précoce. Quand aux sanctions il y en a eu. Michel c'est trouvé muté au poste qu'il occupe aujourd'hui. Ce qui ne ne nous empêche pas de nous voir de temps en temps. Quant à moi, il m'a donné une promotion...et m'a plus ou moins laissé tranquille... Mais au fait, puisque tu connais bien Gérald, on ne pourrait pas faire l'amour a trois ? Je ne me suis jamais faite baiser par un noir, surtout si tu m'assures qu'il a un sexe aussi gros que celui de Mandingo... »
Je lui répondis que cela pourrait se faire, j'en parlerai au principal intéressé...
A suivre....
« Dis donc, me dis Chantal, la queue de cet acteur dépasse l'entendement, elle est énorme !
- Tu sais, les noirs ont souvent un sexe aussi important. Tu connais Gérald le magasinier noir des fournitures diverses, il a presque le même...
- Eh comment tu sais ça toi, tu l'as vu ? »
Je réalisais que j'en avais peut-être trop dit, mais il fallait donner une explication, c'était une bonne copine ça resterai entre nous. Je bus un verre pour me donner du courage et lui racontais l'épisode de l'inventaire.
Elle écouta attentivement.
« Confidence pour confidence, moi aussi je vais te raconter quelque chose, ainsi on sera quitte. Nous connaîtrons les petits secrets de l'autre.
J'avais été mutée au magasin des produits finis. Tu te rappelles qu'a cette époque le personnel commençait à être réduit. Il n'y avait plus que Michel, Bertrand le conducteur du chariot automoteur et un intérim qui s'occupait des charrois Ludo, je crois.
J'avais des vues sur Michel, cela faisait pas mal de temps que je lui faisais du rentre dedans, mais jusqu'à présent sans trop de résultats. Souvent en sa présence, ma jupe remontait et découvrait largement mes cuisses. Lorsqu'on était seul, il pouvait même apercevoir mon string voilé par mes collants...eh oui, c'était la mode !!
Mais dès que j'ai pu être en permanence avec lui, j'ai vraiment testé mon pouvoir de séduction. Pour me monter le travail, il venait souvent s'asseoir à côté de moi. Je décidais de mettre une jupe apparemment très sage car assez longue. Mais elle était faite d'un seul panneau qui s'enroulait autour de la taille, et lorsque j'écartais les jambes, un côté avait la « fâcheuse » tendance de glisser sur une cuisse et la jupe s'ouvrait jusqu'à ma taille.
Un jour ou je lui demandais certaines explications sur le boulot, il déplaça son siège et vint s'asseoir à côté. Mon cœur se mit à battre plus vite. J'avais déjà commencé à laisser glisser le pan de la jupe. La moitié de ma cuisse était découverte. Ses yeux s'y portèrent aussitôt, un léger mouvement et elle s'écarta encore. Il commença ses explications, je me tournais légèrement vers lui ce qui découvrit entièrement ma cuisse. Je sentis alors sa main droite se poser sur mon genou, et commencer une lente progression vers le haut de ma jambe, au plus sa main montait, au plus j'écartais les jambes.
Mais l'ouverture de la porte des escaliers et des bruits de pas stoppèrent notre petit jeu.
Pour déjeuner, je ne quittais pas l'usine. Je prenais mon repas dans le petit vestiaire attenant au bureau. Michel rentrait vers les 13 heures, nous étions seuls pendant une grande demi-heure.
Lorsque je l'entendis rentrer dans le magasin, je l'appelais du fond de celui-ci. J'avais choisi un endroit ou l'on ne pouvait pas nous apercevoir, cachés par les palettes remplies de gros cartons. Je faisais semblant de compter de la marchandise penchée en avant. Il s'approcha doucement, posa ses mains sur ma taille, les descendit sur mes cuisses, écarta ma jupe. Je me tournais vers lui, et l'embrassais avec passion. Ses mains remontèrent enserrèrent mes seins, il souleva mon pull, baissa les bonnets du soutien gorge et il suça mes tétons qui se dressèrent aussitôt.
Écartant à nouveau la jupe, il s'attaqua à quitter le collant et le string, ce qui ne fut pas une mince affaire ! La position ne s'y prêtait vraiment pas. Nous avions aussi peur de nous faire surprendre si cela s'éternisait trop ! Mais cela ne m'empêchait pas mouiller, la situation m'excitait. Après bien des contorsions, il eut raison des deux récalcitrants. Je me penchais en avant, il fit pénétrer deux doigts dans ma chatte :
« Putain tu mouilles fort me dit-il
- Mets moi vite ta queue, répondis-je en rigolant, c'est bientôt l'heure »
Il attrapa mes hanches, et d'un seul coup enfila son sexe. J'eus un hoquet de plaisir. Au bout d'une dizaine de va et vient, il me dit qu'il valait mieux cesser car c'était bientôt l'heure, mais que nous remettrions ça en s'organisant mieux.
L'après midi au bureau face à face, je ne le quittais pas des yeux pour voir si j'avais réussi à atteindre mon objectif. Il se leva, passa derrière moi, comme pour regarder mon travail. Je senti ses mains se poser dans mon dos sur l'attache de mon soutien gorge. Il le dégrafa, cela me fit frisonner.
Sur mon épaule, il prit la bretelle gauche et lentement la fit descendre le long de mon bras jusqu'à ma main, il la sortit de la bretelle. Il fit subir le même traitement à la bretelle droite, je mouillais comme une petite folle. Passant une main dans mon pull sur le devant il attrapa le soutien gorge et me l'enleva, je gémis de plaisir, j'étais trempée :
« Mets le dans ton tiroir... dit-il en malaxant mes tétons, à travers le tissu du pull. Ça à l'air de t'avoir plu !! »
Et à partir de jour ce fut un rituel...à part l'été ou je ne portais pas de soutien gorge, nous commencions toujours la journée ainsi.
« Tu vois me dit-il, ce matin cela n'a pas été très pratique...Je pense que si tu avais des bas et un porte-jarretelle cela se serait beaucoup mieux passé ! Tu n'as même pas eu le temps de me sucer la bite ! Mais peut-être que ça ne te plaît-pas...
- Ça ne me plaît pas ? Viens avec moi et tu vas voir si ça ne me plaît pas ! »
Je l'entrainais dans le vestiaire, dégrafais son pantalon, m'accroupissais et commençais lui sucer la queue. Il passa ses mains à l'intérieur de mon pull et me caressa les seins :
« J'adore les filles qui ont des tétons érectiles comme les tiens... »
Il me les pinçait délicieusement, personne ne n'avait fait ça ainsi avant lui. J'engloutissais entièrement sa bite, j'avais posé mes mains sur ses fesses et accompagnait le mouvement de ses hanches d'avant en arrière. Je le sentis se raidir, et avoir un mouvement de recul, pour la première fois, il ne savait pas si j'accepterai qu'il éjacule dans ma bouche. J'accentuais ma pression sur les fesses en enfournait sa bite le plus profondément, en gargouillant :
« Noooon reste.....dans ma bouche... »
Il éjacula de longs jets tièdes, j'aspirais délicieusement le liquide poisseux et l'avalais. Je suçais sa queue comme on l'aurait fait pour une tétine aspirant le bout de son gland. Il frissonna et gémit de plaisir, en me caressant les cheveux .
« Ton sperme est délicieux...lui dis-je »
Il me releva et m'embrassa avec tendresse.
Pour le porte jarretelle, je ne voulais pas avoir l'air de céder trop vite à ses désirs, mais j'en avais acheté deux un noir et un blanc ainsi que des bas noirs. Le lundi suivant, je portais une robe droite, bariolée d'anneaux noirs et blancs, je la portais sans ceinture, elle était assez ample. Après qu'il m'eut ôté mon soutien gorge, ce qui me faisait toujours autant d'effet et me laissait pantelante, il s'était assis à sa place, je me positionnais à côté de lui, à sa droite, me penchait les coudes appuyés sur le bureau.
« Je t'ai écouté...vérifie... »
Sa main droite se posa dans le creux derrière mon genou et commença une lente ascension, mes jambes s'ouvraient...Ses doigts arrivèrent sur une attache et frôla la peau nue au dessus des bas, je gémis de plaisir, il me sembla que mon corps se couvrait de chair de poule. Il continua sa lente progression le long de la lanière, sa main gauche avait rejoint la droite sur mon autre jambe. Il palpait la dentelle enserrant ma taille, puis une main redescendit et je sentis son majeur s'enfoncer dans ma chatte, tandis que l'autre, remontait sous la robe jusqu'à mes seins et les caressait.
«Tu as aussi quitté ta culotte, petite salope... Putain ce que tu mouilles me dit-il en ajoutant deux autres doigts dans ma vulve...
- Ouiiii !!hoquetais-je, c'est vrai tu as raison, c'est plus pratique comme ça et dorénavant je porterai des portes-jarretelle et je ne mettrais plus de string !!! »
Je ne regrettais jamais la décision que j'avais prise ce jour là !
Tous les jours, Michel arrivait vers 12 heures 50, il me rejoignait dans le petit vestiaire et nous baisions jusqu'à 13 heures 25.
Nous faisions plein de jeux érotiques tout au long de la journée. Il me demandait lorsque Bertrand était assis à son bureau, qu'en rangeant les papiers dans les différents casiers qui étaient posés sur son bureau, de bien me pencher en avant et de lui laisser voir mes seins par l'entrebâillement de mon chemisier ou l'échancrure de mon pull. Prise au jeu, car cela m'excitait je le faisais volontiers.
Souvent je venais m'appuyer sur le bureau à côté de lui, pour qu'il me fasse un bon doigté ou m'enfile un énorme feutre servant à écrire sur les palettes, qui était bientôt enduit de mon foutre. J'en arrivais presque à jouir, mais avant l'explosion finale, je me dégageais en riant et partais m'asseoir sur ma chaise. Le laissant sur sa faim la queue raide et grosse.
«Demande et je t'obéis...
- Bon d'accord, voilà ce qu'on vas faire...me dit-il »
Il s'approcha de moi, releva ma jupe à hauteur des attaches du porte-jarretelle, on voyait la bande plus foncée des bas...il avait reculé la chaise et l'avait légèrement tournée vers la place du magasinier. Le bureau possédait de grandes baies vitrées et était inondé de lumière, un rai de soleil m'éclairait.
«Tu restes ainsi, et lorsque Bertrand sera assis à son bureau au moindre mouvement ta jupe remontera et il pourra s'apercevoir que tu as des porte- jarretelles...et il pourra peut-être entre-apercevoir ta chatte...si elle est assez haute !
- Ça me convient répondis-je... »
Ce ne fut pas Bertrand mais le jeune intérim qui fit irruption dans le local et s'assit au bureau, je regardais Michel. Il avait saisi le gros feutre ruisselant de foutre et le suçait consciencieusement, l'entrant et le ressortant doucement, il me regardait avec des yeux lubriques. Malgré moi mon bassin ondula deux ou trois fois vers l'avant. Effectivement ma jupe remonta, découvrant les deux attaches du porte jarretelle et une bande peau assez conséquente. Je jetais un coup d'œil à Ludo, son regard était fixé sur mes jambes.
« C'est bon ton truc ? Me demanda Michel, comme s'il me parlait du boulot
- Oui, c'est fait...
- Tu devrais espacer un peu plus les lignes, le client aurait un meilleur aperçu !! »
Je compris ce qu'il voulait dire, en souriant j'écartais doucement les jambes, me tournais légérement ver l'intérim, pour lui demander un renseignement, puis ramenais la chaise et mes jambes entièrement sous le bureau. Ludo ne devait plus savoir quoi penser, se demandant si c'était sciemment ou par hasard qu'il avait entre-aperçu ma chatte. Il sortit précipitamment du bureau et nous l'entendîmes dévaler l'escalier. Michel me demanda de venir à côté de lui, il passa la main sous ma jupe, insinua son majeur dans mon intimité.
« Eh bien, ça t'a plu, on dirait, c'est trempe !!
- Oui, masturbe moi, fait moi jouir !
- A une condition, vu l'état dans lequel tu l'as mis, s'il tente quoi que ce soit avec toi, tu me racontes...promis !!
- Oui, mais fait moi jouir ! »
Le gros feutre entra en action. Comme promis au cours de semaine suivante je fis mon rapport.
« Tu sais, ce matin en me disant bonjour Ludo m'a tenu la main et me l'a pressée sur sa bite. Il n'est pas grand mais je crois que je n'ai jamais senti une queue aussi grosse et dure. Je l'ai bien senti elle est énorme, car il a insisté assez longtemps. Cela ne m'a pas déplu, mais je ne lui ai pas fait sentir.
- Bien ça, mais il va falloir le surveiller le bougre...! »
Mais ce fut lui qui nous surveilla. Il dut percer à jour notre petit manège de la pause déjeuner, car plusieurs fois nous entendîmes des bruits, derrière la porte quand nous étions enfermés dans le vestiaire.
Nous étions persuadés qu'il nous regardait par le trou de serrure, nous l'avions plusieurs fois surpris trainant dans l'allée jouxtant le local, faisant semblant de vérifier une palette. Tout excités, nous décidâmes de lui faire profiter pleinement de nos ébats. La table sur laquelle nous faisions l'amour se retrouva bien en face du trou de la serrure, nous vérifiâmes que la vue était parfaite. Le lendemain, je nous enfermais et ôtais la clef de la serrure pour qu'aucun obstacle ne gène la vue. Nous retenions notre respiration espérant de ne pas nous être trompés. Nous entendîmes la porte de communication avec le magasin s'ouvrir tout doucement. Michel s'approcha de moi, m'embrassa avec tendresse, sa langue écartant mes lèvres, tandis que ses doigts commençaient à défaire lentement les boutons de mon chemisier. Il avait une façon de me déshabiller que j'adorais. Chaque endroit qu'il dénudait était aussitôt couvert de baisers, ou léché tendrement. Il me quitta mon chemisier et tout en me suçant les mamelons me coucha sur la table.
« Tu aimes qu'on te regarde, hein ? Me dit-il avec un clin d'œil, assez fort pour que Ludo l'entende. Regarde tes tétons comme ils pointent, il me les tira vers le haut, cela m'arracha un gémissement. Montre nous le reste, maintenant... »
Il défit la fermeture éclair de ma jupe, et tira lentement celle-ci vers le bas, il la laissa tomber par terre en faisant attention de ne pas se mettre en face du trou de la serrure.
« Putain ce que tu es belle avec tes bas et ton porte jarretelle...Allez écarte les jambes, pour bien nous montrer ta chatte, petite salope. Imagine qu'il y ait quelqu'un qui te mate par le trou de la serrure...Oui c'est ça écarte encore plus, montre lui...Attends j'écarte tes lèvres. Putain on dirait que ce que je dis ça t'excite...Fais voir...Mes deux doigts entrent tout seuls...Je vais bien dégager ton clitoris en lui faire profiter du spectacle...Si c'était le cas, tu préfèrerais que se soit Bertrand qui regarde ou Ludo ?
- Ludo, répondis-je assez fort, il a une queue énorme...
- Mais tu coules littéralement petite salope...Attends je vais boire ton jus... »
Il passa entre mes cuisses, je sentis sa langue s'insinuer dans ma fente, ses lèvres enrober mon clitoris, mon bassin se mit à onduler et je poussais de petits cris...Ses mains malaxaient mes seins.
« Tais toi, pas si fort...tu vas exciter notre voyeur... »
Il avait quitté son pantalon, il se releva, il me caressa la chatte avec sa bite, n'enfonçant que le gland
me titillant le clitoris avec un pouce. Il me sembla que cette douce caresse s'éternisait....
« Baise moi, maintenant, vas-y enfonce moi ta bite je n'en peux plus...je te veux »
Je regardais en direction de la porte avec des yeux de velours. Michel s'exécuta, j'accueillis avec délice sa queue, d'autant que je savais que Ludo nous regardait, nous avions perçus ses halètements à travers la porte. Cela dut m'émoustiller car j'atteignis rapidement la jouissance et me libérais avec un cri de plaisir étouffé. Michel éjacula peu après. Dans le silence qui suivi notre contentement, nous entendîmes la porte se refermer doucement, Ludo était parti. Michel prit la clef et ouvrit lentement la porte du vestiaire pour s'en assurer, j'étais descendu de la table, nue ramassant mes habits.
« Regarde me dit Michel, c'est quoi ce liquide sur la porte, il n'y avait rien tout à l'heure ? Du sperme ? Goutte...c'est toi la spécialiste !! »
Je prélevais une goutte sur mon index, et le suçais.
« Oui, c'est bien du sperme ! Ludo a éjaculé contre la porte !
- C'est de ta faute, me dit Michel, tu es tellement belle et tu l'as tellement excité... il va falloir nettoyer. Tu veux bien le lécher ?
- Ce que tu ne me fais pas faire, dis-je en m'accroupissant et je commençais à lécher la trainée visqueuse, ça y est il n'y en a plus...pas mauvais du tout, dis-je en déglutissant !!
- Rien à dire tu es une vrai petite salope... »
A genoux, derrière moi les mains posées sur la ma taille caressant mon porte jarretelle, il me léchait le dos à petit coup de langue. La porte du magasin aurait pu s'ouvrir à nouveau, nous n'en avions rien à faire...
« Mais je t'adore. Ludo va surement tenter quelque chose avec toi maintenant... je ne t'empêche pas si tu en envie de le laisser faire, mais promet moi de me le raconter... »
Il me pressa contre lui, et nous échangeâmes un baiser passionné plein de sperme de Ludo.
On ne cessait d'inventer d'autres jeux érotiques, j'en étais la pièce maîtresse, mais cela me plaisait...
On essayait toujours que cela ait l'air naturel, comme de me pencher pour ranger les papiers devant Bertrand, qui maintenant savait que je portais pas de soutien gorge et devait se douter que j'avais aussi un porte jarretelle. Je portais en général des jupes noires très moulantes, les attaches et les lanières du porte jarretelle se dessinaient en relief à travers le tissu. En me penchant dans le magasin sur les palettes ou en m'accroupissant ma jupe remontait et découvrait les attaches, cela m'excitait de sentir le regard des mâles.
Michel me demanda si je ne possédais pas un pull avec des mailles un peu larges. J'en avais un...il me dit de le mettre pour le jour suivant. Après le rituel du soutien gorge, mes mamelons gorgés de sang sortaient par les trous, on pouvait même apercevoir mes aréoles pigmentées de chair de poule;
« Non, ça ne va pas...pas être assez discret...les trous sont trop gros...me dit-il, il faudrait que les trous ne laissent sortir que les pointes de tes seins...J'enfilais un gilet par dessus.
- Je dois avoir cela... »
Le lendemain matin, j'avais opté pour un pull bleu ciel avec des mailles assez larges, il moulait parfaitement mes seins. Après une bonne excitation de mes pointes brunes, Michel s'arrangea pour que celles-ci érigées au maximum transpercent les mailles assez lâches du pull. La laine était assez serrée pour en comprimer la base et leur faire tenir une érection d'au moins deux centimètres et demi.
« Tu veux que je reste comme ça devant les magasiniers ? Mais je reste assise, je ne me balade pas dans le bureau. Et si c'est quelqu'un d'autre qui arrive, je me lève, regarde par la fenêtre et me réajuste.
- Oui, si tu es d'accord...sinon tant pis...Ils se sont aperçus que tu ne mets pas de soutien gorge, tes tétons sont peut-être sortis tout seuls...à travers les mailles !!
- Oui, mais ils ne tiendront jamais l'érection...
- Ne t'inquiète pas, je m'en occupe... »
Disant cela, il passa derrière moi et commença à me les malaxer entre le pouce et l'index, les griffer en les tirant avec ses ongles, pinçant le bout entre les ongles du pouce et du majeur. J'avais la tête renversée, je sentais mes seins réagir, je sus que je serai prête pour les faire bander.
En trois quart d'heure, je venais à peine de subir un deuxième massage, plus par plaisir que pour en maintenir l'érection, que les deux magasiniers entrèrent dans le bureau.
Je ne les avais pas encore vu de la matinée, ils s'approchèrent pour me faire la bise, je vis leurs yeux s'écarquiller lorsqu'ils aperçurent les deux petits dards bruns bien tendus qui dépassaient du pull, leur couleur brune tranchait sur le bleu, on ne pouvait pas, ne pas les apercevoir. Tout en continuant à les fixer Bertrand en tant que « vieux briscard », bien que surpris n'avait rien laissé paraître, il alla s'asseoir à son bureau. Ludo s'approcha pour me faire la bise, je vis sa bouche faire un « OOOOH » de surprise mais aucun son n'en sorti. Je me sentis légèrement rougir...Je me dis que nous étions complètement fous de jouer à de tels jeux. Mais maintenant ils avaient vu, je ne pouvais plus les rentrer. Ils auraient compris que j'avais vraiment fait exprès de les faire sortir par les trous...Je me disais que comme ils savaient que je ne portais pas de soutien gorge, ils pouvaient penser que c'était « un accident ». En fin, j'essayais de m'en persuader... ! Et puis s'ils voulaient continuer à profiter de ce que je leur montrais, ils n'avaient pas intérêt à en parler à qui que se soit. Michel scrutait mon visage, cherchant mes émotions. Je savais qu'il lisait en moi comme dans un livre. Je savais aussi que lorsque nous serions seuls, il me demanderait de lui raconter ce que j'avais pensé et ressenti pendant cette expérience et je le ferais sans rien cacher...Le jeune intérim prit une chaise et s'assit près de moi pour ne rien rater du spectacle. J'avais mis une jupe noire assez moulante, à travers le tissu on voyait nettement les attaches de mon porte jarretelle, mais là dans l'excitation des caresses prodiguées par Michel, elle était remontée à mi cuisse. Découvrant les fermoirs et une bande de peau, j'en étais consciente et on devait apercevoir ma chatte ou tout au moins la pilosité de mon mont de vénus. Je sentais leurs regards perçants posés à cet endroit, cela me faisait mouiller et accentuait l'érection de mes tétons. Je n'osais pas bouger. J'essayais de garder le plus possible mes jambes sous le bureau, mais ce diable de Ludo les matait. Il devait chercher à deviner les attaches du porte-jarretelle et la peau blanche au dessus des bas et même essayer d' apercevoir ma toison pubienne. D'un seul coup il se leva et partit vers les toilettes. Michel prit le gros feutre et commença à le sucer...
« Recule un peu, me dit-il très doucement pour ne pas que Bertrand l'entende »
Doucement je repoussai mon siège vers l'arrière de dix centimètres d'abord, puis encore un peu. Bertrand s'approcha de mon bureau et me faisant face appuya ses fesses sur le rebord. Il tournait le dos à Michel, qui se leva pour aller ranger un papier dans les casiers, mais surtout pour avoir un aperçu de ma situation. Revenu à sa place il me fit signe d'écarter un peu les jambes...Je le fis mais pas trop car j'estimais que mon vis à vis avait une vue assez complète sur mon intimité qui commençait à vachement ruisseler...La conversation s'éternisait, son regard allait de mes pointes tendues à mon entrejambe. Le téléphone sonna, un camion à charger...Bertrand à regret descendit faire son boulot.
« Ben dit donc c'est chaud, me dit Michel...tu vas les faire exploser !
- Ben oui, Bertrand n'a pas cessé de regarder ma chatte, il bandait comme un âne, j'ai crus un moment qu'il allait me pincer les tétons, viens voir ma chaise et ma jupe sont toutes mouillées !! Avec ce que tu me fais faire, j'ai vraiment envie qu'ils me baisent...maintenant.
- Ludo est parti au WC...se branler...Va falloir nettoyer la porte à nouveau...dit-il en souriant »
Le bureau était vitré jusqu'à moitié, Michel me poussa doucement dans le coin, près de la cloison derrière le bureau de Bertrand, si quelqu'un arrivait, il ne voyait que le haut de notre corps. Il passa derrière moi, je me penchais en avant tout en gardant un œil sur la grande porte des escaliers. Ma jupe remontait, mes jambes s'écartaient. Cette situation nouvelle, baiser dans le bureau, au risque de se faire surprendre m'excitait follement, je le laissais faire mais il ne fallait pas que cela s'éternise. Il me pénétra doucement.
« Tu aimes ça, me dit-il, ça t'excites ces situations... »
Je le laissais me pénétrer deux ou trois minutes...mais nous risquions gros. Je me dégageais rabaissais ma jupe, et rentrais mes mamelons.
« Viens, je vais te sucer dans le vestiaire...lui dis-je en le prenant par la main. »
Le chef nous informa que l'intérim de Ludo se terminait vendredi prochain. Michel prenait un jour de congé le jeudi. Lorsqu'il rentra le vendredi matin, je décidais de lui raconter comme il me l'avait demandé, ce qui c'était passé lors de son absence. Mon petit chéri, dis-je à Michel voici ce qui c'est passé hier.
« Hier, jeudi à midi, pour la pause déjeuner, je me retrouvais dans le vestiaire, pour manger mon repas et bouquiner un peu. La porte était grande ouverte, j'étais seule. Lorsque tout à coup Ludo entra rapidement, surprise je me levais. Il me plaqua contre le mur, les poignets au dessus de la tête. Pour la forme je lui dis de cesser et de me laisser tranquille...
J'aurais pu me défendre, mais je je le laissais faire, c'est de ta faute ! ...Il me dit qu'il allait partir demain, qu'il savait que je portais un porte jarretelle, il l'avait nettement vu le jour ou le bout de mes seins sortaient de mon pull. Sa main droite se positionna à hauteur des attaches et commença à me caresser la cuisse. Il me demanda de lui laisser voir mes dessous, il en rêvait la nuit, il se masturbait en pensant à moi. Il commença à remonter ma jupe, elle arriva vite à hauteur de ma taille. Tu m'avais bien dit que je pouvais le laisser faire, non ?
« Dis donc, tu ne portes pas de culotte non plus !! »
Je voulais voir ce qui aller se passer. Voyant que je ne réagissais pas, il lâcha mes poignets, je les gardais toujours au dessus de ma tête pour faire ressortir mes seins. C'est d'ailleurs sur eux qu'il reporta son attention, en me disant qu'il les avait déjà vu lorsque je me penchais, qu'ils étaient merveilleux et qu'il avait beaucoup aimé lorsque mes tétons sortaient du pull, mais qu'il voulait les voir entièrement et les toucher... Il déboutonna à toute vitesse mon chemisier et me l'enleva carrément. Sa bouche suçait à tour de rôle mes mamelons qui s'érigeaient. Il mordillait les pointes, aspirait entièrement les aréoles, mes seins devenaient durs comme du bois. Je commençais à haleter. Sans ménagement il enfonça deux doigts dans ma chatte et commença des va et vient. Il avait sorti sa bite qui comme je le pensais été très, très grosse, beaucoup plus que la tienne, aussi grosse que celle de Rocco Siffrédi ! Je ne m'étais jamais faite baiser par un tel engin. Je voulais savoir quelle sensation cela pouvait donner. Il s'appuya de dos les coudes sur la table et me demanda de le sucer. Je me mis à genoux et je le fis lentement en faisant attention de me pas le faire éjaculer, je voulais qu'il me pénètre. Elle était tellement grosse que malgré ma bonne volonté, je ne pu pas l'avaler entièrement, il se mit à trembler. Je sentis qu'il n'était pas loin de la jouissance, je me levais et me couchant sur la table je lui demandais de me pénétrer. Heureusement que je mouillais énormément, son énorme gland força l'entrée de non orifice vaginal, il tenait sa queue fermement d'un main et sa grosse bite me pénétra d'un seul coup, au moins vint cinq centimètres. Je senti ma chatte empli d'une énorme grosseur, je décontractais mes muscles pour bien la faire pénétrer puis les contractais pour en apprécier la dureté. Il eut l'air d'apprécier, il se coucha sur moi pour m'embrasser à pleine bouche, il me martela durement pendant dix minutes... Chaque fois il sortait entièrement sa queue, et d'un seul coup la ré enfonçait entièrement dans mon vagin béant. Je dois te dire que cela ne me laissait pas indifférente, il éjacula avec un cri, en me traitant de petite salope qui l'avait excité pendant trois mois...En sentant les soubresauts de son énorme engin écarter encore plus mes parois vaginales et son sperme chaud couler en moi...j'ai joui à mon tour...beaucoup...Il m'a ensuite demandé de lui lécher la queue, d'en aspirer le sperme qui restait. Je l'ai fait et l'ai avalé, la aussi j'ai aimé, je ne te mens pas, tu vois ! Mais rassure toi, je préfère que ce soit toi qui me baise, c'est beaucoup plus doux et tendre. Et au niveau des préliminaires, il n'y a pas photo...Voilà, il va partir aujourd'hui et je ne t'ai rien caché... »
Je demandais à Michel s'il était jaloux et s'il avait aimé que je le lui raconte ce qu'il m'était arrivé. Il me dit que oui, il avait apprécié le récit, non il n'était pas jaloux car je n'étais pas sa propriété, mais qu'il me réservait un « petit truc »...
Le lundi suivant, après m'avoir savamment déshabillée et couchée sur la table, me laissant seulement vêtue de mes bas et de mon porte-jarretelle noir, ce qui me mettait dans tout mes états, Michel farfouilla dans le casier inoccupé à côté du mien. Il sortit une mince cordelette, et un espèce de gros cable électrique flexible mais assez rigide d'environ 45 cm de long et d'un centimètre de diamètre. Sans un mot, il me fit passer les bras au dessus de la tête me lia les poignets, et attacha l'extrémité de la cordelette au chauffe eau fixé au mur. Un nouveau petit jeu ?
« Ah ! tu t'ai faite baiser par quelqu'un d'autre...attend ma petite salope !! »
Se saisissant de la cravache improvisée, il commença à me caresser les seins, faisant le tour des aréoles, titillant les tétons qui réagirent aussitôt.
« Tu as aimé baiser avec Ludo
- Oui, je te l'ai dit !
Il donna un coup sec à chacun des tétons, je gémis sous le léger impact
- Tu as aimé sa grosse bite ?
- Ouuiiii...!
Il se mit à taper les mamelons d'un côté puis de l'autre. Ma poitrine se tendait vers les coups... Cela commençait à m'exciter sérieusement...Je senti le bout descendre sur mon ventre comme une caresse
- Tu as aimé le sucer ?
- Oui, j'ai adoré son sperme..
Pan, un nouveau coup. Le bout descendit jusqu'à mon sexe, il l'insinua dans ma fente, pénétrant légèrement mon conduit vaginal.
- Elle mouille, la dame dit-il en suçant le bout luisant. Il te faisait autant mouiller salope ?
- Oui ma chatte était plus que trempe.
Il se mit à titiller mon clitoris.
- Tu aimais qu'il te caresse le clitoris ?
- Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pénétrait, et je me mis à miner une pénétration. Sa grosse queue, m'a faite jouiirrr....j'ai adoré....me faire défoncer... »
A chaque tortillement de bassin je recevais un léger coup. Il me fit tourner sur le ventre. Se mit à me caresser le dos, avec la badine, puis lorsqu'il voyait que je j'avais des frissons m'assenait un coup. Je prenais plaisir à ce traitement, il attaqua mes fesses, il les tapait doucement, mais je les sentais s'échauffer...
« Tape légèrement plus fort, lui demandais- je »
Cela me tirait des frissons depuis le bas ventre, ils remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je frottais ma chatte et mes seins sur la table. Une flaque de foutre poissait mes poils et coulait sur le formica du meuble.
« Tu te feras encore baiser par un autre ?
- Oh oui, si c'est pour avoir encore ce que tu me fais...tu vas me faire jouir... »
Lorsqu'il me prit, j'étais tellement excitée qu'il ne me fallut pas longtemps pour exploser d'extase...
Les semaines, les mois, passèrent...à toute vitesse...ponctués de nouvelle expériences...
Michel m'initia à la sodomie, j'en redemandais...Cela nous donna l'idée d'une expérience que nous nous étions jurés de mener à bien, mais qui n'a malheureusement jamais abouti. Nous avions décider d'essayer de faire participer Bertrand à nos jeux érotiques, de faire l'amour à trois !! Je sais que pour en avoir discuté avec Michel après, il désirait ardemment le faire et moi je lui avouais que j'aurais bien voulu me faire baiser par mes deux orifices simultanément ! Nous nous sommes donnés du mal, pour le faire tomber dans nos filets. Je vais te donner un exemple. C'était l'été, je ne portais aucun dessous, j'avais une sorte de tee-shirt, largement échancré sous les bras. Je trouvais un prétexte pour que Bertrand vienne se positionner derrière moi, ma main gauche suivait les lignes des listings, tandis qu'innocemment mon coude droit s'écartait de mon corps et dévoilait sous le tee-shirt baillant, un sein bronzé au mamelon érigé, je pouvais sentir son regard me le caresser.
J'avais acheté une robe bustier blanche, laissant mes épaules nues, elle n'avait pas bretelle, c'était mes seins qui l'empêchait de tomber. Michel me la positionnait au ras de mes aréoles et en la présence du magasinier on attendait qu'un téton surgisse par dessus, beaucoup aidé en cela par un mouvement d'épaule, sans y faire cas je le lui laissais visionner, puis repositionnais la robe en souriant...et parfois comme par hasard c'était les deux qui surgissaient. Mais rien n'y fit...jamais il n'eut un geste déplacé...
Puis, il y eu pas mal de changements, un nouveau chef, qui apparemment aurait bien voulu me baiser. J'avais confié à Michel que chaque fois que nous étions seuls, il faisait tout pour mater mes seins, ou essayer de voir mon porte jarretelle. Aussi, j'essayais de ne pas trop lui offrir d'occasions, mais parfois c'était tentant de le faire bander. Pour m'exciter davantage lorsque nous faisions l'amour, Michel me parlait pour me faire fantasmer. Me disant que j'aimerai bien me faire baiser par le chef, le grand Jean-Pierre, que c'était lui qui m'enfilait sa queue, et que j'adorai cela. Le plus fort c'est que cela m'excitait et que dans ma tête, tout en appréciant ce que Michel me faisait, tant une sodomie qu'un cunnilingus appuyé, je m'imaginais me faire prendre par « le grand » comme nous l'appelions, et malgré moi je dois reconnaître que je jouissais plus fort.
Un jour d'été, « Le grand »l me demanda de rester après l'heure le soir pour l'aider à terminer un dossier urgent. Je savais pertinemment qu'il ne serait pas question d'un quelconque dossier. Il me dit j'acceptais, j'aurai peut être une revalorisation de salaire... Dans cette perspective, je ne pouvais pas refuser. Je me retrouvais avec lui dans son bureau, habillée avec la robe bustier, comme d'habitude complètement nue dessous, tout le monde était sorti. Nous étions seuls. Il me demanda de fermer la porte, et d'attraper un classeur sur la plus haute étagère de l'armoire, je ne pus qu'obéir. Mais même en faisant attention en levant les bras, un sein surgit presque entièrement hors de la robe...Effarée, et surprise mon visage s'empourpra. Je faillis lâcher le classeur, et le rattrapait des deux mains. Mes mains étant occupées, je ne pus remettre de suite en place le fautif qui malgré moi dardait son téton brun. Le temps que je pose le classeur sur son bureau, il eut tout le loisir de l'admirer. Il s'était levé et approché de moi...juste pour me monter la bosse qui déformait son pantalon...
Pourtant cette fois je ne l'avais pas fait exprès de lui montrer un sein..Je pense, qu'il avait calculé ce qui allait arriver. J'avais réussi à remettre le fugueur en place.
« Très, très joli...Je les avais déjà entre aperçu lorsque tu te penchais, j'avais remarqué que tu ne mettais pas de soutien gorge ! »
Il s'était mis à me tutoyer...ça allait surement être chaud !! Il s'approcha les mains tendues vers ma poitrine. Je reculais.
« NON, non...
- Allez Chantal, laisse moi les toucher. Regarde comme tu me fais bander
- Non...
- Tu sais si tu me montres tes seins et que tu me laisses les toucher, tu vois ma queue elle a pris du volume et bien ton salaire pourrait connaître lui aussi une augmentation substantielle.... »
A ces mots le sigle de l'euro et de ses deux barres, se mit à danser devant mes yeux...presque sans réfléchir je répondis.
« D'accord, mais vous les touchez et on s'en tient là !! »
Mes yeux se portèrent sur son sexe, il me sembla que la bosse sous son pantalon avait encore grossi. Il se planta devant moi, il me dépassait d'une bonne tête. Ses mains attrapèrent le bord de la robe et descendirent les bonnets englobant mes seins vers le bas. Ils se dressèrent fièrement semblant le défier. Mes tétons avaient gonflés et durcis de se retrouver exposés à ses regards. Il les engloba de ses grandes mains, les caressa, pinça la pointe de mes mamelons qui se gorgeaient de sang. Il m'attrapa par la taille se pencha, ses lèvres se posèrent sur les miennes et sa langue força ma bouche. Je sentis une de ses mains se poser sur ma cuisse au bas de ma robe, se glisser dessous et remonter rapidement jusqu'à mes fesses.
« Petite Salope, tu es complètement nue dessous !! »
Je voulu m'échapper mais de son bras entourant ma taille, il me retînt fortement me plaquant contre lui.
Il avait du remarquer que ma robe se avait sur un côté une fermeture éclair. En un tour de main, il la descendit.
« Non, non pas ça... »
Je retenais la robe pour qu'elle ne tombe pas. Me lâchant, il se recula. Je n'arrivai pas à remonter la fermeture qui avait du se coincer.
« Je savais que tu mettais des portes-jarretelles, et que souvent tu mettais pas de soutien gorge, ça m'excitait à un point que presque toutes les nuits je me branlais en pensant à toi. Mais là, ça dépasse toutes mes espérances...Laisse tomber ta robe...
- NON, on avait convenu que vous me toucheriez juste les seins !
- Tu sais petite garce, j'ai percé à jour le jeu que tu joues avec ton copain Michel, je vous ai surpris dans les vestiaires en regardant par le trou de la serrure. Alors tu choisis, ou tu laisses tomber ta robe et on continue et tu as une augmentation, ou je prends des sanctions envers toi et ton copain ! »
Je n'avais guère le choix, la mine déconfite, je laissais tomber la robe à mes pieds. J'étais complètement piégée.
« Merveilleux, ce que tu peux être belle...cet hiver je veux te voir en porte jarretelle ! »
Il s'approcha de moi, me fit reculer et coucher sur le bureau.
« Sors mon sexe, défait mon pantalon »
Pendant qu'il me caressait les seins, je m'exécutais. Il avait un pénis tout à fait dans les normes, il bandait énormément, il était tendu en arc de cercle. Il ôta complétement son pantalon et son slip. Ses mains avides parcouraient mon corps ne sachant ou se fixer. Puis il me mit deux doigts dans le vagin. La pensée de ce que me racontait Michel pour me faire fantasmer avec ce mec, me donna une boule de chaleur dans les entrailles...j'y étais, c'était la réalité? Il me baisait. Ma chatte devint moite, je me laissais aller advienne que pourra...Il le sentit, il me caressa le clitoris de son pouce, j'étouffais un gémissement.
« Ah, ah Jean-Pierre te fait de l'effet, putain ce que tu peux m'exciter...je ne sais pas si je vais tenir longtemps... »
Je tendis la main pour me saisir de son sexe et le branler. Je n'en eu pas le temps, il ne fit lever, me tournant me faisant appuyer les coudes sur le bureau, il écarta mes jambes sans ménagement et enfila à toute vitesse son phallus dans mon vagin. Je senti trois ou quatre pénétrations et il éjacula avec un grand cri....
« Oh putain c'est boooooonnnnn, j'en rêvais depuis des mois, éjaculer dans ta chatte... »
J'étais éberluée par la rapidité de l'action. J'éclatais de rire en le regardant, il avait l'air pitoyable tenant son sexe qui commençait déjà a débander d'une main. A cette vue mon rire redoubla.
« Oui, j'en avais tellement envie, que je n'ai pas pu me retenir...
- J'avais entendu dire que vous étiez un chaud lapin, et question lapin....vous vous posez un peu la... »
Je ramassais ma robe et me rhabillais, tout en riant toujours...
« Bon d'accord, vous l'aurez votre augmentation. A condition que personne ne soit au courant de cet incident...et il n'y aura pas de sanction... »
« Voilà mon histoire Trixie, je pense que par incident, il voulait parler de l'éjaculation précoce. Quand aux sanctions il y en a eu. Michel c'est trouvé muté au poste qu'il occupe aujourd'hui. Ce qui ne ne nous empêche pas de nous voir de temps en temps. Quant à moi, il m'a donné une promotion...et m'a plus ou moins laissé tranquille... Mais au fait, puisque tu connais bien Gérald, on ne pourrait pas faire l'amour a trois ? Je ne me suis jamais faite baiser par un noir, surtout si tu m'assures qu'il a un sexe aussi gros que celui de Mandingo... »
Je lui répondis que cela pourrait se faire, j'en parlerai au principal intéressé...
A suivre....
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