Trixie chapitre 27 - Souvenirs érotiques - 1
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie chapitre 27 - Souvenirs érotiques - 1
Bien souvent les soirs d'hiver à la veillée devant la cheminée où brûlait un bon feu de bois, Alfred me demandait de lui raconter mes expériences sexuelles. Il était friand de mes histoires érotiques, et souvent, il se branlait lors de mes récits. Je crois que les oreilles de Victor, le majordome, ne perdaient-elles aussi, pas une miette de mes histoires... Ce soir là dans ma tenue habituelle, déshabillé vaporeux ouvert sur une nuisette complètement transparente, sous laquelle j'étais nue, à part mon porte-jarretelle et mes bas noirs, je commençais mon récit devant un Alfred tout ouï et un Victor qui faisait semblant de s'occuper à quelques sombres tâches ménagères :
C'était au début du mois de juillet, ce vendredi-là une forte canicule sévissait, j'avais donc revêtu une robe légère. De grosses fleurs vert et jaune parsemaient le fin tissu, une mince bande d'étoffe passant autour de mon cou, laissait mes épaules nues, et retenait les pans du décolleté qui plongeait entre mes seins, l'échancrure dorsale descendait jusqu'à la naissance de mes fesses. La robe s'évasait ensuite en corolle pour s'arrêter à mi-cuisse. Avec un tel vêtement, il était hors de question de porter un soutien-gorge, mes seins étaient donc libres de toutes entraves. C'était une robe d'été faite pour les vacances... Et comme je pratiquais depuis le mois de juin le bronzage intégral, au bord de ma piscine aucune marque blanche disgracieuse ne venait couper le hâle parfait de ma peau. La chaleur était accablante, j'avais décidé de la porter aujourd'hui... Je me moquais du qu'en dira-t-on...!
Alfred, je t'ai déjà raconté qu'avec Gérald, le grand noir, gestionnaire des fournitures diverses, je faisais pour le boulot un inventaire et que lors du dernier, nous avions profité de cette occasion pour faire l'amour dans le local en sous-sol réservé au stockage des marchandises.
Maxime, mon petit copain de l'informatique avec qui je baisais depuis pas mal de temps, et à qui j'avais avoué mon désir de me faire sauter par un noir bien membré... Je lui avais un peu menti car j'avais déjà connu une telle expérience... M'avait mise sur la piste de Gérald en me disant qu'il avait remarqué que je ne laissais pas le grand black indifférent. Ce qui c'était révélé exact. Et Maxime persuadé que j'avais couché avec celui-ci, me questionnait sans cesse pour que je lui donne des détails. Je lui avais simplement avoué, que Gérald m'avait fait un doigté merveilleux un jour à la pause de midi... Il était persuadé que cela était allé beaucoup plus loin que ce que je voulais bien lui raconter, et qu'il aimerait bien que je lui fasse partager la suite...
Cela faisait maintenant trois mois que l'inventaire n'avait pas été fait... Trois mois que Gérald ne m'avait plus touché, je savais qu'il en avait une énorme envie, souvent il me l'avouait au téléphone.
Cela tombait bien, il fallait attaquer l'inventaire semestriel. J'appelais le magasinier pour lui signaler que je pouvais me libérer de 15 heures à 16 heures 30 pour commencer l'inventaire. Je donnais rendez-vous à Maxime à 14 heures 45 au local de l'appareil à boisson... J'avais une idée perverse en tête ! !
Juste avant de me rendre à mon premier rancard, je quittais mon string... J'étais nue sous le mince voile de ma robe. Maxime assit sur le banc, entouré de deux hommes buvait un café. Deux copines étaient là et discutaient debout. J'entrais le bas de ma robe froufroutant autour de mes jambes. Je m'approchais pour embrasser les filles, bien dans la lumière du soleil qui entrait à flot par la porte.
Je savais pertinemment ce qui se passait, d'ailleurs la conversation des mecs avait cessé. Je sentais leurs yeux fixés sur mes fesses que le soleil, perçant le mince tissu, dévoilait en transparence à leurs regards ébahis. Mes copines placées du mauvais côté ne pouvaient rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose. J'écartais un peu les jambes, devineraient-ils que j'étais nue dessous ? Surement...
Les pointes de mes seins se tendirent, ma chatte devint moite. C'est osé pensais-je, mais je n'étais pas sensée m'apercevoir que la lumière du soleil donnait une telle transparence à ma robe...
Les deux filles s'éclipsèrent pour retourner au boulot, je me retournais en souriant vers les garçons, présentant mon coté pile, leurs yeux s'écarquillèrent encore plus. La nitescence du soleil devait laisser transparaître les moindres détails de mon corps, ils devaient même apercevoir juste au-dessus de la fente de ma chatte, mon petit bout de toison triangulaire épilé au plus ras. Je pensais que ces deux mecs, lorsqu'ils me croiseraient à nouveau, même habillée chaudement en hiver, avec ce qu'ils venaient de voir, banderaient comme des ânes. Ils n'eurent toutefois pas le loisir de mater bien plus longtemps, Maxime s'était levé, m'attrapant par un bras, il m'entraina hors du rayon de soleil vers la machine à café.
« Ve...ve...vee..ux-tu un thé ?
- Oui, merci... »
Les deux gars, un sourire en coin se levèrent et retournèrent travailler à regret, la pause était terminée.
« Dis donc petite salope, tu le fais exprès... Tu es complètement à poil la dessous... On a tous pu le voir, ta robe est complètement transparente au soleil... C'était vachement excitant... Touche... Je bande. Alors les deux autres......! !
- Elle te plait ma robe ? Oui, je suis à poil dessous... Regarde... »
Je dénudais lentement mon sein droit en faisant glisser le tissu vers la gauche, le regardant avec un regard un brin provocateur, lui laissant admirer mon téton érigé.
« Dis donc tes mamelons sont bien tendus, je suis sûr que tu mouilles... Ça t'excite ce petit jeu ! »
Et tandis que je me penchais pour prendre mon gobelet de thé, sa main passa sous ma robe entre mes cuisses et son index s'insinua dans ma chatte.
« Salope... J'avais raison tu mouilles...Tu es gonflée quand même... De te donner en spectacle ainsi...
- Tu es jaloux...! ! »
Lui dis-je avec un petit sourire, c'était un peu ce que je cherchais... Attiser sa jalousie... Pour que, lorsqu'il me baiserait, il le fasse avec un désir accru et un petit brin de vengeance. Je n'avais pas, loin de là, à me plaindre de nos ébats sexuels. Mais un peu de piment supplémentaire, et comme il me questionnait beaucoup sur mes éventuelles relations avec Gérald, j'allais profiter de la situation...
« Ah, Ah...Maxime, est donc jaloux...
- Mais non, ça me plait beaucoup de te voir faire bander les mecs, et tant mieux si ça t'excite !
- Bon... Tant mieux ! Car je vais retrouver Gérald, au magasin en sous-sol... Pour commencer l'inventaire... Et à cette heure-ci, le soleil y pénètre à flot par les vasistas... »
Je retournais me mettre en pleine lumière...
« Tu crois qu'il va aimer ?
- Tu vas vraiment y aller comme ça ?
- Ben oui, c'est pour le boulot... Je suis obligée... Lui répondis-je avec une petite moue navrée...
- Tu sais qu'il a envie de te sauter...! ! »
Il me regardait avec un air légèrement contrit. Je ne lui avouais pas encore qu'il l'avait déjà fait...
Mon stratagème avait l'air de marcher...
« Eh bien mon petit chéri... Tu es jaloux du grand noir ? C'est toi qui m'a dit qu'il avait une bite énorme... C'est toi qui me fait jouer à des jeux érotiques dans le local de la lingerie devant son bureau, il est vrai que je t'ai dit que les noirs ne me laissaient pas indifférente... Allez, quelle heure est-il ? 15 heures... C'est l'heure... Promis, dans une heure trente, je passe dans ton bureau... Je te raconterai...
- Donc tu as envie de te faire baiser...! !
- Qui sait... À toute à l'heure... »
Je soulevais le bas de ma robe pour lui montrer, bien qu'il l'ait déjà remarqué, que je ne portais aucun string, et lui envoyant un baiser du bout des lèvres, je tournais les talons...
La porte du magasin était fermée à clef, un panneau indiquant « Fermé pour cause d'inventaire » y était apposé. L'accès est interdit pensais-je, en souriant, mais pas seulement pour l'inventaire ! ! Je toquais suivant le code établit. La porte s'ouvrit.
« Entre vite me dit Gérald en jetant un coup d'œil derrière moi pour voir si le couloir était désert. »
La serrure cliqueta deux fois...nous étions seuls...!
« Ça fait longtemps, la dernière fois me dit-il, en me faisant une bise appuyée, je crois que je me suis masturbé tous les jours en pensant à toi... »
Je le regardais l'air amusé par ce qu'il venait de me dire, il était vêtu d'une blouse bleue genre ¾ qui ne descendait pas plus bas que le haut de ses cuisses. Il était nu dessous son énorme sexe pendait mollement plus loin que la moitié de sa cuisse musclée. En pensant que ce mandrin noir gigantesque allait bientôt entrer en moi, une bouffée de chaleur, partie de ma chatte et se propagea jusqu'à la racine de mes cheveux.
« Il fait chaud, ici je me suis mis à l'aise... Me dit-il, en souriant »
Je regardais les fenêtres accolées au plafond, qui s'ouvraient au ras du sol de la cour ; de l'extérieur personne ne pouvait voir l'intérieur, par contre des puits de lumière étincelante entraient en oblique.
Je coupais la lumière, ce fut comme si des projecteurs trouaient la pénombre. Perchée sur mes talons hauts ondulant des fesses, je me dirigeais vers le premier. Face à la fenêtre, je levais les bras et m'offrir à la caresse du soleil.
« Oooooh ! Magnifique… On dirait que tu es nue... On voyait bien que tu n'avais pas de soutien-gorge... Mais tu as un string, non ? La ficelle est entre tes fesses ? Tu ne te balades pas ainsi, nue sous ta robe ?
- Et si ! Regarde... »
Je me tournais vers lui... Il me semblait qu'ici dans la pénombre de la pièce, le soleil transperçait encore plus le mince tissu de ma robe. Je réalisais l'effet que cela devait faire à un mec. J'écartais les jambes pour qu'il puisse se délecter du spectacle.
« Salope... C'est vrai tu es à poil...! ! Putain, que tu es belle... »
Il s'avança vers moi, mes yeux ne quittaient pas le balancement de sa queue, le désir avait fait se rétracter légèrement son prépuce, et son gland mauve tranchant sur le noir de sa bite était à moitié découvert, excitant au possible.
« Regarde derrière toi ce que j'ai récupéré dans une salle de repos d'un atelier... »
Je me retournais, un divan trônait dans un coin de la pièce.
« Baisse-toi, écartes les jambes, touche le sol avec tes mains... Tu as vraiment des jambes magnifiques...»
J'obéis...Ma courte robe remonta sur mes fesses, découvrant la raie séparant mes deux globes bronzés, offrant mon vagin à ses regards. Je sentais perler une goutte de foutre... Au bord de ma chatte... La lumière dut la faire scintiller...
« Tu mouilles ? Tu as l'air d'adorer te faire mater ainsi, dans cette tenue...! ! Tu restes ainsi, tu ne bouges pas... »
Il ralluma la lumière, entre mes jambes, je le regardais arriver. Il calottait et décalottait doucement sa grosse bite noire tendue à l'horizontale. Il allait me prendre ainsi... Je mouillais encore plus...
Arrivé derrière moi, il me passa le gland le long de ma fente, en entrant un tout petit peu le bout dans mon vagin, puis il écarta mes fesses et je sentis le gland glisser jusqu'à mon trou intime... Il le promena tout autour de l'anus exerçant parfois une légère pression, mais il ne me pénétra pas. Ses mains se glissèrent de chaque côté de mes côtes, et saisirent mes seins, qu'elles malaxèrent, tandis qu'il embrassait mon dos avec passion. Il me fit relever et me poussa gentiment vers le divan. Il m'y coucha dessus. Il se mit à genoux.
« Quitte-moi ma blouse... »
Tandis que je déboutonnais les boutons, sa main passa entre mes cuisses, ma robe remonta plus haut que ma taille. Il se mit à embrasser et à lécher ma cuisse, ses doigts effleurant ma chatte.
J'avais réussi à lui quitter la blouse, et lui caressait doucement le dos, son torse noir brillait sous la lumière des néons. Je fis passer la lanière du haut de ma robe par-dessus ma tête et lui présentais mes deux seins, sa bouche avala aussitôt entièrement mon aréole droite, et ses lèvres tirèrent avec force sur le mamelon qui dardait, puis il s'occupa du sein gauche, mordillant le bout sensible, je gémissais de plaisir. Ma robe était maintenant enroulée autour de ma taille.
Sa bouche descendit en un long baiser jusqu'à ma chatte, que la paume de sa main n'avait pas arrêté de caresser. Sa langue s'attarda sur mon petit triangle de poils ras, je passais ma jambe droite par-dessus sa tête et la posais sur son dos ce qui m'écartela. Ses grosses lèvres lippues s'emparèrent de mon clitoris bien dégagé par ma position, et se mirent à le téter. Ses doigts le tenaient décapuchonné tandis que sa langue en titillait la base pour bien le faire durcir et gonfler. Sous cette caresse mon bassin se tortillait dans tous les sens. Sa langue partait de mon anus, et remontait le long de ma fente vaginale, puis redescendait comme pour humidifier mon petit trou rectal, qui se relâchait et permettait ainsi petites incursions. Son index se mit à caresser mon petit trou rugueux, puis par petites pressions il l'enfonça doucement. Il entrait et sortait lentement bientôt rejoint par son majeur, il ajouta son annulaire et les trois doigts s'enfoncèrent comme pour bien retourner mon ampoule rectale. Ce traitement ajouté aux pénétrations de sa langue dans mon vagin, à la succion de mon clitoris maintenant gonflé, à ses mains qui ne cessaient de malaxer mes seins, à ses doigts qui me trituraient, pinçaient les mamelons, me tirait des râles de plaisir. Dans un gémissement permanent, je lui demandais de ne pas cesser ses caresses... Ma main partit à la recherche de sa bite, je me mis à masturber fermement la monstrueuse hampe noire qui avait atteint des proportions gigantesques.
« La dernière fois j'ai adoré sodomiser ton petit cul, je sais, tu as aimé... Me susurra-t-il... Je n'ai pas arrêté d'y penser pendant ces trois mois... Alors avant de te baiser, je vais commencer par te sodomiser... Dis-moi que tu aimes... »
Ses grands doigts noirs entrèrent plus profondément en tournant dans mon anus. Je hoquetais
« Ouu.... Ouiiiiii… J'ai... J'aime ta grosse bite noire.... Fais...Fais ce que tu veux...
- Redis le... Petite salope... Je veux t'entendre dire que tu aimes ma grosse bite noire ! »
Ses doigts fouillaient mon vagin pour bien s'imprégner de mon foutre, puis il y crachait dessus pour bien humidifier mon anus, cela m'excitait énormément. C'est vrai que la première fois, il m'avait sodomisé, c'est encore vrai que j'avais adoré... Et il allait encore le faire... Il me fit mettre à genoux, il écarta avec sa main gauche ma fesse droite, le bout de son phallus dont le diamètre devait maintenant atteindre les sept centimètres, fermement tenu par son autre main, s'enfonça légèrement dans mon anus distendu.
« Tu es prête... ? »
Sans attendre la réponse, il commença à pousser, l'énorme sexe glissa lentement entre mes parois anales, il m'attrapa à la taille, pour m'attirer vers lui… Je devançais son désir en envoyant mon bassin en arrière...
« Aaaahh... Salope, tu as entièrement fait entrer ma bite... Dans ton cul...
- Ouuuuiiiiiii, c'est... C'est bon.... »
Je commençais à jouer des hanches d'avant en arrière, je sentais ses couilles battre mon périnée, puis je lui laissait le contrôle des opérations... Il entrait et sortait dans un premier temps doucement, puis il entrait la moitié de sa bite et d'un coup de rein brusque enfonçait le reste donnant de petits à coups lorsque son pubis touchait mes fesses, puis il ne bougeait plus pour bien me laisse sentir la grosseur de son pénis phénoménal ! Ma tête était enfouie dans le canapé, mes ongles griffaient le tissu, je hoquetais et râlais de plaisir....
« Je.... Je.... Vais… Jouuuuuuiiiiiir, cria-t-il au bout de dix minutes de ce délicieux supplice »
Il me saisit les seins, les serra et je sentis les soubresauts de sa queue déversant son sperme dans mon cul. Je ne pus me retenir plus longtemps, mon plaisir était au paroxysme, je ne le retins plus et j'explosais à mon tour dans une gerbe de jouissance. Je ne crois pas que pendant ces trois mois, il ait fait abstinence sexuelle, mais la quantité de sperme qu'il éjacula fut extraordinaire. Il se retira, je me couchais sur le dos, il m'embrassa longuement sa langue se nouant avec la mienne... Puis, il parcourut mon corps avec de petits baisers.
Au diable le boulot... Personne ne viendrait nous déranger... La porte était d'ailleurs fermée à double tour. Il s'assit à côté de moi, je me tournais sur le ventre et commençais à jouer avec sa bite qui maintenant était flasque et pendait sur sa cuisse. La conversation roula sur pas mal de sujets, je lui avouais que depuis mes 18 ans, je fantasmais sur les noirs, mais pas seulement parce qu'ils avaient en général un gros sexe... Mais aussi parce qu'il y avait dans notre société, tout au moins jusqu'à maintenant, un tabou sur le fait qu'une blanche puisse faire l'amour avec un noir, et que cela m'excitait de transgresser cet « interdit » ; surtout si en plus les bites étaient aussi grosses que la sienne. Il m'avoua lui aussi, en riant, que son rêve avait été de baiser une blanche, blonde si possible, ce qui chez un noir ne pouvait être plus basique, mais qu'il n'aurait jamais pensé pouvoir me baiser et que la réalité dépassait ses espérances... Il s'était souvent masturbé, après avoir maté mes jeux érotiques dans le local jouxtant son bureau...
Cela me remit en mémoire, le plan que j'avais ourdi. Il fallait que Gérald me baise à nouveau et qu'il éjacule dans ma chatte, l'heure tournait et il fallait que je retrouve Maxime aux alentours de 16 heures 30 pour finaliser mon projet... En plus, c'était vendredi et la majorité du personnel aurait quitté la boîte pour partir en week-end... On devrait, là aussi, être tranquille...
A suivre...
C'était au début du mois de juillet, ce vendredi-là une forte canicule sévissait, j'avais donc revêtu une robe légère. De grosses fleurs vert et jaune parsemaient le fin tissu, une mince bande d'étoffe passant autour de mon cou, laissait mes épaules nues, et retenait les pans du décolleté qui plongeait entre mes seins, l'échancrure dorsale descendait jusqu'à la naissance de mes fesses. La robe s'évasait ensuite en corolle pour s'arrêter à mi-cuisse. Avec un tel vêtement, il était hors de question de porter un soutien-gorge, mes seins étaient donc libres de toutes entraves. C'était une robe d'été faite pour les vacances... Et comme je pratiquais depuis le mois de juin le bronzage intégral, au bord de ma piscine aucune marque blanche disgracieuse ne venait couper le hâle parfait de ma peau. La chaleur était accablante, j'avais décidé de la porter aujourd'hui... Je me moquais du qu'en dira-t-on...!
Alfred, je t'ai déjà raconté qu'avec Gérald, le grand noir, gestionnaire des fournitures diverses, je faisais pour le boulot un inventaire et que lors du dernier, nous avions profité de cette occasion pour faire l'amour dans le local en sous-sol réservé au stockage des marchandises.
Maxime, mon petit copain de l'informatique avec qui je baisais depuis pas mal de temps, et à qui j'avais avoué mon désir de me faire sauter par un noir bien membré... Je lui avais un peu menti car j'avais déjà connu une telle expérience... M'avait mise sur la piste de Gérald en me disant qu'il avait remarqué que je ne laissais pas le grand black indifférent. Ce qui c'était révélé exact. Et Maxime persuadé que j'avais couché avec celui-ci, me questionnait sans cesse pour que je lui donne des détails. Je lui avais simplement avoué, que Gérald m'avait fait un doigté merveilleux un jour à la pause de midi... Il était persuadé que cela était allé beaucoup plus loin que ce que je voulais bien lui raconter, et qu'il aimerait bien que je lui fasse partager la suite...
Cela faisait maintenant trois mois que l'inventaire n'avait pas été fait... Trois mois que Gérald ne m'avait plus touché, je savais qu'il en avait une énorme envie, souvent il me l'avouait au téléphone.
Cela tombait bien, il fallait attaquer l'inventaire semestriel. J'appelais le magasinier pour lui signaler que je pouvais me libérer de 15 heures à 16 heures 30 pour commencer l'inventaire. Je donnais rendez-vous à Maxime à 14 heures 45 au local de l'appareil à boisson... J'avais une idée perverse en tête ! !
Juste avant de me rendre à mon premier rancard, je quittais mon string... J'étais nue sous le mince voile de ma robe. Maxime assit sur le banc, entouré de deux hommes buvait un café. Deux copines étaient là et discutaient debout. J'entrais le bas de ma robe froufroutant autour de mes jambes. Je m'approchais pour embrasser les filles, bien dans la lumière du soleil qui entrait à flot par la porte.
Je savais pertinemment ce qui se passait, d'ailleurs la conversation des mecs avait cessé. Je sentais leurs yeux fixés sur mes fesses que le soleil, perçant le mince tissu, dévoilait en transparence à leurs regards ébahis. Mes copines placées du mauvais côté ne pouvaient rien deviner, ou tout au moins, pas grand-chose. J'écartais un peu les jambes, devineraient-ils que j'étais nue dessous ? Surement...
Les pointes de mes seins se tendirent, ma chatte devint moite. C'est osé pensais-je, mais je n'étais pas sensée m'apercevoir que la lumière du soleil donnait une telle transparence à ma robe...
Les deux filles s'éclipsèrent pour retourner au boulot, je me retournais en souriant vers les garçons, présentant mon coté pile, leurs yeux s'écarquillèrent encore plus. La nitescence du soleil devait laisser transparaître les moindres détails de mon corps, ils devaient même apercevoir juste au-dessus de la fente de ma chatte, mon petit bout de toison triangulaire épilé au plus ras. Je pensais que ces deux mecs, lorsqu'ils me croiseraient à nouveau, même habillée chaudement en hiver, avec ce qu'ils venaient de voir, banderaient comme des ânes. Ils n'eurent toutefois pas le loisir de mater bien plus longtemps, Maxime s'était levé, m'attrapant par un bras, il m'entraina hors du rayon de soleil vers la machine à café.
« Ve...ve...vee..ux-tu un thé ?
- Oui, merci... »
Les deux gars, un sourire en coin se levèrent et retournèrent travailler à regret, la pause était terminée.
« Dis donc petite salope, tu le fais exprès... Tu es complètement à poil la dessous... On a tous pu le voir, ta robe est complètement transparente au soleil... C'était vachement excitant... Touche... Je bande. Alors les deux autres......! !
- Elle te plait ma robe ? Oui, je suis à poil dessous... Regarde... »
Je dénudais lentement mon sein droit en faisant glisser le tissu vers la gauche, le regardant avec un regard un brin provocateur, lui laissant admirer mon téton érigé.
« Dis donc tes mamelons sont bien tendus, je suis sûr que tu mouilles... Ça t'excite ce petit jeu ! »
Et tandis que je me penchais pour prendre mon gobelet de thé, sa main passa sous ma robe entre mes cuisses et son index s'insinua dans ma chatte.
« Salope... J'avais raison tu mouilles...Tu es gonflée quand même... De te donner en spectacle ainsi...
- Tu es jaloux...! ! »
Lui dis-je avec un petit sourire, c'était un peu ce que je cherchais... Attiser sa jalousie... Pour que, lorsqu'il me baiserait, il le fasse avec un désir accru et un petit brin de vengeance. Je n'avais pas, loin de là, à me plaindre de nos ébats sexuels. Mais un peu de piment supplémentaire, et comme il me questionnait beaucoup sur mes éventuelles relations avec Gérald, j'allais profiter de la situation...
« Ah, Ah...Maxime, est donc jaloux...
- Mais non, ça me plait beaucoup de te voir faire bander les mecs, et tant mieux si ça t'excite !
- Bon... Tant mieux ! Car je vais retrouver Gérald, au magasin en sous-sol... Pour commencer l'inventaire... Et à cette heure-ci, le soleil y pénètre à flot par les vasistas... »
Je retournais me mettre en pleine lumière...
« Tu crois qu'il va aimer ?
- Tu vas vraiment y aller comme ça ?
- Ben oui, c'est pour le boulot... Je suis obligée... Lui répondis-je avec une petite moue navrée...
- Tu sais qu'il a envie de te sauter...! ! »
Il me regardait avec un air légèrement contrit. Je ne lui avouais pas encore qu'il l'avait déjà fait...
Mon stratagème avait l'air de marcher...
« Eh bien mon petit chéri... Tu es jaloux du grand noir ? C'est toi qui m'a dit qu'il avait une bite énorme... C'est toi qui me fait jouer à des jeux érotiques dans le local de la lingerie devant son bureau, il est vrai que je t'ai dit que les noirs ne me laissaient pas indifférente... Allez, quelle heure est-il ? 15 heures... C'est l'heure... Promis, dans une heure trente, je passe dans ton bureau... Je te raconterai...
- Donc tu as envie de te faire baiser...! !
- Qui sait... À toute à l'heure... »
Je soulevais le bas de ma robe pour lui montrer, bien qu'il l'ait déjà remarqué, que je ne portais aucun string, et lui envoyant un baiser du bout des lèvres, je tournais les talons...
La porte du magasin était fermée à clef, un panneau indiquant « Fermé pour cause d'inventaire » y était apposé. L'accès est interdit pensais-je, en souriant, mais pas seulement pour l'inventaire ! ! Je toquais suivant le code établit. La porte s'ouvrit.
« Entre vite me dit Gérald en jetant un coup d'œil derrière moi pour voir si le couloir était désert. »
La serrure cliqueta deux fois...nous étions seuls...!
« Ça fait longtemps, la dernière fois me dit-il, en me faisant une bise appuyée, je crois que je me suis masturbé tous les jours en pensant à toi... »
Je le regardais l'air amusé par ce qu'il venait de me dire, il était vêtu d'une blouse bleue genre ¾ qui ne descendait pas plus bas que le haut de ses cuisses. Il était nu dessous son énorme sexe pendait mollement plus loin que la moitié de sa cuisse musclée. En pensant que ce mandrin noir gigantesque allait bientôt entrer en moi, une bouffée de chaleur, partie de ma chatte et se propagea jusqu'à la racine de mes cheveux.
« Il fait chaud, ici je me suis mis à l'aise... Me dit-il, en souriant »
Je regardais les fenêtres accolées au plafond, qui s'ouvraient au ras du sol de la cour ; de l'extérieur personne ne pouvait voir l'intérieur, par contre des puits de lumière étincelante entraient en oblique.
Je coupais la lumière, ce fut comme si des projecteurs trouaient la pénombre. Perchée sur mes talons hauts ondulant des fesses, je me dirigeais vers le premier. Face à la fenêtre, je levais les bras et m'offrir à la caresse du soleil.
« Oooooh ! Magnifique… On dirait que tu es nue... On voyait bien que tu n'avais pas de soutien-gorge... Mais tu as un string, non ? La ficelle est entre tes fesses ? Tu ne te balades pas ainsi, nue sous ta robe ?
- Et si ! Regarde... »
Je me tournais vers lui... Il me semblait qu'ici dans la pénombre de la pièce, le soleil transperçait encore plus le mince tissu de ma robe. Je réalisais l'effet que cela devait faire à un mec. J'écartais les jambes pour qu'il puisse se délecter du spectacle.
« Salope... C'est vrai tu es à poil...! ! Putain, que tu es belle... »
Il s'avança vers moi, mes yeux ne quittaient pas le balancement de sa queue, le désir avait fait se rétracter légèrement son prépuce, et son gland mauve tranchant sur le noir de sa bite était à moitié découvert, excitant au possible.
« Regarde derrière toi ce que j'ai récupéré dans une salle de repos d'un atelier... »
Je me retournais, un divan trônait dans un coin de la pièce.
« Baisse-toi, écartes les jambes, touche le sol avec tes mains... Tu as vraiment des jambes magnifiques...»
J'obéis...Ma courte robe remonta sur mes fesses, découvrant la raie séparant mes deux globes bronzés, offrant mon vagin à ses regards. Je sentais perler une goutte de foutre... Au bord de ma chatte... La lumière dut la faire scintiller...
« Tu mouilles ? Tu as l'air d'adorer te faire mater ainsi, dans cette tenue...! ! Tu restes ainsi, tu ne bouges pas... »
Il ralluma la lumière, entre mes jambes, je le regardais arriver. Il calottait et décalottait doucement sa grosse bite noire tendue à l'horizontale. Il allait me prendre ainsi... Je mouillais encore plus...
Arrivé derrière moi, il me passa le gland le long de ma fente, en entrant un tout petit peu le bout dans mon vagin, puis il écarta mes fesses et je sentis le gland glisser jusqu'à mon trou intime... Il le promena tout autour de l'anus exerçant parfois une légère pression, mais il ne me pénétra pas. Ses mains se glissèrent de chaque côté de mes côtes, et saisirent mes seins, qu'elles malaxèrent, tandis qu'il embrassait mon dos avec passion. Il me fit relever et me poussa gentiment vers le divan. Il m'y coucha dessus. Il se mit à genoux.
« Quitte-moi ma blouse... »
Tandis que je déboutonnais les boutons, sa main passa entre mes cuisses, ma robe remonta plus haut que ma taille. Il se mit à embrasser et à lécher ma cuisse, ses doigts effleurant ma chatte.
J'avais réussi à lui quitter la blouse, et lui caressait doucement le dos, son torse noir brillait sous la lumière des néons. Je fis passer la lanière du haut de ma robe par-dessus ma tête et lui présentais mes deux seins, sa bouche avala aussitôt entièrement mon aréole droite, et ses lèvres tirèrent avec force sur le mamelon qui dardait, puis il s'occupa du sein gauche, mordillant le bout sensible, je gémissais de plaisir. Ma robe était maintenant enroulée autour de ma taille.
Sa bouche descendit en un long baiser jusqu'à ma chatte, que la paume de sa main n'avait pas arrêté de caresser. Sa langue s'attarda sur mon petit triangle de poils ras, je passais ma jambe droite par-dessus sa tête et la posais sur son dos ce qui m'écartela. Ses grosses lèvres lippues s'emparèrent de mon clitoris bien dégagé par ma position, et se mirent à le téter. Ses doigts le tenaient décapuchonné tandis que sa langue en titillait la base pour bien le faire durcir et gonfler. Sous cette caresse mon bassin se tortillait dans tous les sens. Sa langue partait de mon anus, et remontait le long de ma fente vaginale, puis redescendait comme pour humidifier mon petit trou rectal, qui se relâchait et permettait ainsi petites incursions. Son index se mit à caresser mon petit trou rugueux, puis par petites pressions il l'enfonça doucement. Il entrait et sortait lentement bientôt rejoint par son majeur, il ajouta son annulaire et les trois doigts s'enfoncèrent comme pour bien retourner mon ampoule rectale. Ce traitement ajouté aux pénétrations de sa langue dans mon vagin, à la succion de mon clitoris maintenant gonflé, à ses mains qui ne cessaient de malaxer mes seins, à ses doigts qui me trituraient, pinçaient les mamelons, me tirait des râles de plaisir. Dans un gémissement permanent, je lui demandais de ne pas cesser ses caresses... Ma main partit à la recherche de sa bite, je me mis à masturber fermement la monstrueuse hampe noire qui avait atteint des proportions gigantesques.
« La dernière fois j'ai adoré sodomiser ton petit cul, je sais, tu as aimé... Me susurra-t-il... Je n'ai pas arrêté d'y penser pendant ces trois mois... Alors avant de te baiser, je vais commencer par te sodomiser... Dis-moi que tu aimes... »
Ses grands doigts noirs entrèrent plus profondément en tournant dans mon anus. Je hoquetais
« Ouu.... Ouiiiiii… J'ai... J'aime ta grosse bite noire.... Fais...Fais ce que tu veux...
- Redis le... Petite salope... Je veux t'entendre dire que tu aimes ma grosse bite noire ! »
Ses doigts fouillaient mon vagin pour bien s'imprégner de mon foutre, puis il y crachait dessus pour bien humidifier mon anus, cela m'excitait énormément. C'est vrai que la première fois, il m'avait sodomisé, c'est encore vrai que j'avais adoré... Et il allait encore le faire... Il me fit mettre à genoux, il écarta avec sa main gauche ma fesse droite, le bout de son phallus dont le diamètre devait maintenant atteindre les sept centimètres, fermement tenu par son autre main, s'enfonça légèrement dans mon anus distendu.
« Tu es prête... ? »
Sans attendre la réponse, il commença à pousser, l'énorme sexe glissa lentement entre mes parois anales, il m'attrapa à la taille, pour m'attirer vers lui… Je devançais son désir en envoyant mon bassin en arrière...
« Aaaahh... Salope, tu as entièrement fait entrer ma bite... Dans ton cul...
- Ouuuuiiiiiii, c'est... C'est bon.... »
Je commençais à jouer des hanches d'avant en arrière, je sentais ses couilles battre mon périnée, puis je lui laissait le contrôle des opérations... Il entrait et sortait dans un premier temps doucement, puis il entrait la moitié de sa bite et d'un coup de rein brusque enfonçait le reste donnant de petits à coups lorsque son pubis touchait mes fesses, puis il ne bougeait plus pour bien me laisse sentir la grosseur de son pénis phénoménal ! Ma tête était enfouie dans le canapé, mes ongles griffaient le tissu, je hoquetais et râlais de plaisir....
« Je.... Je.... Vais… Jouuuuuuiiiiiir, cria-t-il au bout de dix minutes de ce délicieux supplice »
Il me saisit les seins, les serra et je sentis les soubresauts de sa queue déversant son sperme dans mon cul. Je ne pus me retenir plus longtemps, mon plaisir était au paroxysme, je ne le retins plus et j'explosais à mon tour dans une gerbe de jouissance. Je ne crois pas que pendant ces trois mois, il ait fait abstinence sexuelle, mais la quantité de sperme qu'il éjacula fut extraordinaire. Il se retira, je me couchais sur le dos, il m'embrassa longuement sa langue se nouant avec la mienne... Puis, il parcourut mon corps avec de petits baisers.
Au diable le boulot... Personne ne viendrait nous déranger... La porte était d'ailleurs fermée à double tour. Il s'assit à côté de moi, je me tournais sur le ventre et commençais à jouer avec sa bite qui maintenant était flasque et pendait sur sa cuisse. La conversation roula sur pas mal de sujets, je lui avouais que depuis mes 18 ans, je fantasmais sur les noirs, mais pas seulement parce qu'ils avaient en général un gros sexe... Mais aussi parce qu'il y avait dans notre société, tout au moins jusqu'à maintenant, un tabou sur le fait qu'une blanche puisse faire l'amour avec un noir, et que cela m'excitait de transgresser cet « interdit » ; surtout si en plus les bites étaient aussi grosses que la sienne. Il m'avoua lui aussi, en riant, que son rêve avait été de baiser une blanche, blonde si possible, ce qui chez un noir ne pouvait être plus basique, mais qu'il n'aurait jamais pensé pouvoir me baiser et que la réalité dépassait ses espérances... Il s'était souvent masturbé, après avoir maté mes jeux érotiques dans le local jouxtant son bureau...
Cela me remit en mémoire, le plan que j'avais ourdi. Il fallait que Gérald me baise à nouveau et qu'il éjacule dans ma chatte, l'heure tournait et il fallait que je retrouve Maxime aux alentours de 16 heures 30 pour finaliser mon projet... En plus, c'était vendredi et la majorité du personnel aurait quitté la boîte pour partir en week-end... On devrait, là aussi, être tranquille...
A suivre...
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