Trixie chapitre 29 - Pour épater les copains

- Par l'auteur HDS Trixie -
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Trixie chapitre 29 - Pour épater les copains Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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Trixie chapitre 29 - Pour épater les copains
Alfred, avait trois amis de son âge, des relations de travail et de jeunesse, avec lesquels il se réunissait plusieurs fois par an, pour faire un bon repas et parler du bon vieux temps. C'était des hommes très comme il faut. Tous 70 ans passés, costume cravate. Ma présence permanente chez lui, en tant que secrétaire n'était pas passée inaperçue. Mais pour l'instant aucun d'eux ne me connaissait...et Alfred se faisait souvent « chambrer » gentiment, sur nos éventuelles relations... Il laissait planer un certain mystère.

« Allez dis-nous le que tu la baises..
- Non, non...
- Alors comment est-elle ?
- Blonde, les cheveux longs, svelte, 1,70 mètre, les yeux bleus-vert, des jambes parfaites, je crois qu'elle met des porte-jarretelles et sa poitrine ferait se damner un saint...
- Tu dois bien avoir une photo a nous montrer ?
-Non, non pourquoi en aurai-je une ? »

Ce n'était pas vrai, une photo de sa secrétaire adorée trônait dans son porte-feuille, mais dessus elle posait dans une pose suggestive seulement vêtue de son porte-jarretelle et de ses bas noirs. Pour l'instant il ne voulait rien dévoiler.
Après un repas bien arrosé, l'alcool aidant il décida de leur faire une surprise et les invita tous les trois chez lui...pour lever un coin du voile leur dit-il !
Le téléphone sonna, je décrochais. C'était Alfred, il me demanda d'aller chercher Victor, de mettre le haut-parleur...Il nous expliqua ce qu'il attendait de nous... pour épater ses copains...

« Voilà, dit-il.... Il faut que cela soit réaliste... mais je sais que je peux compter sur vous...!! »

La nuit était tombée lorsqu'ils arrivèrent, Victor les installa dans le living-room, leur servit des boissons et s'éclipsa.

« Oui, dit Alfred cette Trixie est très belle...au niveau du travail, il n'y a rien à lui reprocher... mais elle ne fait que nous exciter Victor et moi...J'aimerai bien la baiser... Mais je ne sais pas comment faire... Peut-être que ce soir... si vous vouliez bien participer...on pourrait lui montrer qui est le maître...et lui faire cesser ses simagrées !! Qu'en dites-vous ? »

Les regards se firent lubriques...
La sonnette d'appel retentit le majordome se précipita.

« Victor, avez-vous acheté ce que je vous ai demandé ?
- Oui, monsieur.. tout est là dans le tiroir de la table basse...
- Mademoiselle Trixie est ici ?
- Elle est en train de lire dans le salon...
- Dans sa tenue habituelle, bien sûr ?
- Tout à fait Monsieur !
- Pouvez-vous aller la chercher ! »

Victor me poussa avec rudesse à l'intérieur du living-room. Trois paires d'yeux se braquèrent sur moi, me détaillant des pieds à la tête. Mon déshabillé était fermé, mais sa transparence ne cachait rien, ils pouvaient apercevoir la nuisette diaphane qui s'arrêtait au ras de mon pubis et laissait ma chatte découverte à peine voilée par un string arachnéen, encadrée par les lanières noires du porte-jarretelle qui soutenaient mes bas, noirs eux aussi, mes tétons qui sortaient par les fentes du bustier de la nuisette attachées lâchement se devinaient aisément, ainsi que les aréoles brunes. Les trois visages des amis d'Alfred exprimèrent une intense stupéfaction.

« Enfin te voilà sale petite allumeuse, tu n'es qu'une garce ? J'ai compris pourquoi la porte de ta chambre est toujours entrouverte... ensuite, c'est pour nous exciter que tu te promènes ainsi vêtue sous ton déshabillé dans toute la maison ... Victor, quittez-le-lui pour que ces messieurs puissent juger, de l'impertinence de cette petite salope !
- NON... ne me touchez pas vieux porc !!
- Victor tenez- la ! »

Alfred avait sorti une cravache du tiroir, il s'approcha l'air menaçant, il me caressa la poitrine avec le bout de cuir, en me disant que si je n'obéissais pas, je gouterai au fouet.

« Non, vous n'avez pas le droit... »

La cravache s'abattit sur mes fesses... je capitulais...
Victor se mit derrière moi, il défit un à un les boutons de mon déshabillé, Il ne se pressait pas... Je regardais les trois hommes, leurs yeux brillaient, leurs respirations s'accéléraient...
Victor écarta lentement les pans du vêtement...Cela commençait à m'exciter de voir leurs bouches et leurs mains trembler, des renflements étaient en train de naitre sous leurs ceintures...Avec grâce, le majordome fit glisser l'enveloppe diaphane le long de mes bras et la laissa tomber sur le sol.

« voilà, Monsieur, dois-je continuer ?
- Oui, ôtez lui son string, et sortez ses nichons, vous allez voir comme ils sont beaux et fermes.
- Non, non...laissez moi...vous n'avez pas le droit... »

Je gesticulais et me débattais.

« Je suis sûr que ça te fait mouiller, me chuchota Victor à l'oreille
- Oui...ça commence... Lui répondis-je dans un souffle
-  Victor, tenez la fermement, pour l'empêcher de gigoter... Qui veut lui ôter son string ? »

Les quatre copains de Victor étaient comme paralysés, ils se regardaient béatement. Puis un petit bedonnant, aux bajoues rebondies, le dessus du crâne chauve, s'avança timidement. Son nœud papillon ne cachait pas les mouvements incessants de sa pomme d'Adam, le désir et l'excitation devaient lui donner des tics.
En tremblant, ses mains se posèrent sur mes hanches, il hésitait ne sachant pas s'il devait quitter le mince morceau de tissu ou l'arracher d'un seul coup. Il opta pour la deuxième solution, ses pouces s'insinuèrent sur les côtés du string et il tira d'un coup sec. La mince ficelle ne résista pas, j'écartais les jambes, la petite culotte transparente tomba sur le sol.

« Espèce de salaud... vieux dégoutant... Persiflais-je, l'air très en colère »

Mais Victor me tenait fermement, le petit dodu me plaqua sa main sur la chatte, son index remonta le long de ma fente et s'insinua dans mon vagin. Une lueur d'étonnement traversa son regard.

« Putain ! Mais elle mouille, cette petite salope... Petite vicieuse, tu aimes ça tu es trempée c'est moi qui t'excite ainsi ? »

Son index vint aussitôt rejoindre le doigt enfoncé dans mon méat humide. Il fit trois ou quatre allers et retours, et d'un air triomphant se retourna vers ses copains pour leur montrer ses phalanges imbibées de mon foutre.

« Vous voyez ! Je ne vous mens pas... »

Il les porta à sa bouche et me regardant avec un air conquérant se mit à les sucer.

« Délicieux, vraiment... Un vrai nectar... c'est aphrodisiaque... je bande »

Il voulut recommencer, tandis que d'une main, il déboutonnait sa braguette, et sortait sa queue raide, son autre main repartie en direction de ma chatte.

« Attends, Ernest... laisse en pour tout le monde, Vincent tu veux bien nous montrer ses seins. Elle a l'air d'aimer ça, je vous avez bien dit que c'était une vicieuse... »

A regret Ernest laissa sa place, Vincent costume trois pièces, chemise blanche, cravate, les yeux bleus perçants, le nez aquilin, les cheveux argentés sur les tempes, 75 ans bien sonnés s'avança d'un pas décidé... la prestation d'Ernest avait dû l'émoustiller.
Victor me serra les bras dans le dos, cela fit bomber ma poitrine. Mes mamelons durcis pointaient par les fentes de la nuisette, avec un petit rictus, Vincent tira religieusement sur les fins cordons, les fentes s'élargirent mes aréoles gorgées de sang et pi graillées de chair de poule s'offrirent à leur vue.
Puis lentement, il retroussa sur chaque globe l'étoffe transparente jusqu'à ce qu'ils soient entièrement dénudés. Le tissu repoussé à la base de mes seins les comprimait, et les faisait dresser avec arrogance.

« Merveilleux, merveilleux... Alfred... Alfred, je peux les sucer... Je crois que je n'en ai jamais vu de si parfaits ! »

Sans attendre la permission, sa bouche se mit à me téter les mamelons à tour de rôle, il aspirait entièrement mes aréoles, ses dents trop parfaites pour être des vrais, mordillaient mes pointes brunes qui devaient avoir triplé leur longueur. J'ai toujours adoré cela, ce traitement me tirait des petits gémissements de plaisir... Une de ses mains se posa sur ma hanche, descendit le long de la lanière de mon porte-jarretelle, remonta doucement à l'intérieur de ma cuisse, et son majeur pénétra à son tour dans ma chatte. Son pouce remonta jusqu'à mon clitoris et le caressa, je frémis sous cet attouchement. Victor, plaqué contre moi sentit mon frisson.

« Salope, murmura-t-il... Tu aimes ! »

Les lèvres de Vincent remontaient lentement vers ma bouche.

« Allez, au tour de ton petit camarade... Adémar, tu lui ôtes sa nuisette, on pourra mieux apprécier sa nudité »

Le troisième larron susnommé ne se le fit pas dire deux fois, il bouscula presque Vincent pour prendre la place. Il était assez corpulent, les cheveux tout blancs et une épaisse moustache blanche elle aussi, ornait le dessous de son nez.

« Victor, dit Alfred, je crois que vous pouvez lâcher mademoiselle Trixie, elle a compris je pense que, si elle regimbe, la cravache ne demande qu'a entrer en action. »

Adémar avait fait comme Ernest, il avait sorti sa queue, et ma foi son érection était conséquente.
Il passa derrière moi, sa bite vint aussitôt se frotter sur mes fesses, il attrapa ma taille. Il était malin...je sentis le gros mandrin essayer de s'insinuer entre mes fesses. Ses mains remontèrent sous la nuisette, il remit le tissu en place sur ma poitrine, en englobant délicatement mes seins, il fit rouler mes tétons entre ses pouces et ses index. Je bougeais mon bassin pour que sa bite pénètre légèrement dans la raie de mes deux globes charnus.

« Alors, tu la déshabilles demanda Vincent, qui lui aussi avait sorti sa bite »

Les grandes mains fripées redescendirent, la bite avait glissé entre mes jambes, le coquin essayait de me pénétrer... Je regardais Victor, il avait compris, il me fit non de la tête. Je me dégageais doucement.
Il attrapa le bas de la nuisette, et les mains plaquées sur ma peau, il entama une lente reptation vers le haut entrainant le vêtement dans cette ascension.
J'entendais ses copains respirer fort, ce n'était pas ma nudité qui les émoustillait, car la nuisette ne cachait rien de mon corps, non, c'était la façon de me déshabiller. Je levais les bras, le fin voile de tissu quitta mon corps, mes longs cheveux blonds retombèrent sur mes épaules. J'étais complètement nue, avec seulement mon porte-jarretelle, mes bas et mes talons aiguilles. En face de moi les deux hommes se masturbaient les yeux fixés sur mon sexe bien épilé.
Vincent enfouit sa tête dans mes cheveux et m'embrassa avec passion dans le cou, tandis que ses mains faisaient le chemin inverse, trituraient mon porte-jarretelle, écartaient les lèvres de ma chatte pour offrir à ses amis la vision de mon clitoris devenu dur comme un petit-pois.

« Bien, dit Alfred, continuons... Victor venez ici, Trixie, tu vas lui sortir sa queue...et...
- Noooonnnn, nooooonnnn....je ne veux pas....elle...elle est trop grosse...l'autre jour je l'ai vu sous la douche...elle est énnoorme... après je sais ce que vous voulez me faire... nooonnn... il va me défoncer... je ne veux pas me faire baiser par ce monstre !!
- Bien, puisque c'est ça...!! Attrapez la cette salope, nous allons la soumettre... »

Les trois vieux me bondirent littéralement dessus.

« Mettez-la à genoux, que ses fesses soient bien exposées »

Tout excités, les trois amis me forcèrent à m'agenouiller. Les paumes appuyées au sol, les fesses relevées. Un premier coup cingla mes fesses.

« Écarte les jambes...que l'on puisse voir ta chatte.
- Non, vous n'avez pas le droit de... »

Un second coup tomba, ne tirant un petit cri de douleur. Alfred s'il voulait que cela paraisse réel était obligé de frapper assez fort. Il savait, car je lui avais raconté, que j'aimais me faire flageller.

« Alors tu vas la lui sortir sa queue, regarde il est devant toi...
- Nooonnnn, elle est trop grosse... »

Une série de coups, atterrit sur mes fesses...à part le bruit du cuir qui s'abattait et mes petits cris, on entendait les mouches voler.

« Alors ?
- Oui, oui, je vais vous obéir...arrêtez de me frapper
- Eh bien vas-y, sors sa bite, après on verra ! »

Pendant la séance de flagellation Adémar, Vincent et Ernest n'avaient pas cessé de se masturber, ils avaient dû ralentir leur cadence, car je pense qu'ils auraient éjaculé. Et je crois qu'ils gardaient l'espoir de me baiser.
Je me redressais sur les genoux. Victor se tenait devant moi, vêtu de son pantalon noir de son gilet rayé jaune et noir sur sa chemise blanche. Je savais qu'il ne portait jamais de slip, cela facilitait nos ébats. Les trois vieillards s'étaient approchés et nous entouraient.
Je déboutonnais lentement les quatre boutons de la braguette de Victor, ma main droite, plaqua le tissu de son pantalon sur sa queue, et je la suivis jusqu'au bout, c'est a dire vingt-cinq centimètres, cela leur donna une idée de la longueur du membre de Victor.
Je débouclais sa ceinture en les regardant à tour de rôle, écartait légèrement les pans, je voulais surprendre les vieux qui étaient loin de se douter de la longueur et de la grosseur de la bite de Victor qui était aussi âgé qu'eux. Ma main plongea à l'intérieur, je palpai, il ne bandait pas encore, tant mieux... J'extirpais le monstrueux rouleau de chair, qui tranchait sur le noir du pantalon. Le bout arrivait presque à son genou.

« Oooooooohhhhhhh putain....c'est monstrueux...ce n'est pas possible....jamais vu ça !! »

Tel fut le cri unanime des trois copains d'Alfred. J'écartais les pans de la braguette et sortait les couilles de Victor qui elles aussi tombaient dans la démesure.
Ma main faisait à peine le tour de la bite au repos, la tenant de la main gauche à la base, ma main droite descendit le long de ce phénoménal tuyau, pour tirer vers l'arrière le prépuce et décalotter le gland rose. Leurs yeux ébahis suivaient le moindre de mes gestes. La stupeur se lisait sur leurs visages, s'ils avaient pensé que j'exagérai, maintenant, ils étaient fixés. Je masturbais doucement l'énorme phallus calottant et décalottant le gland, caressant les couilles. Victor c'était entièrement rasé ce qui accentuait encore la taille de son sexe. Je sentais qu'il commençait à réagir à mes caresses.

« S'il vous plait... regardez la... Je ne veux pas me faire baiser par un tel monstre...elle est vraiment trop grosse...
- Non mais, vous avez vu les amis...je ne vous ai pas menti, cette salope nous excite à mort, elle se balade dans la maison à poil sous nos yeux, on bande comme des ânes...et elle pleure lorsqu'on la met au pied du mur...cette petite vicieuse...Qu'en pensez-vous , elle doit se faire baiser, non ? »

A l'idée de me voir pénétrée par ce sexe monstrueux, ils furent tous de l'avis d'Alfred...je devais être punie.

«Victor, asseyez-la sur la table... »

Le majordome me repoussa vers la table, les trois vieux collaient à nos talons, il me fit écarter les jambes et poser un pied sur la table. Mes jambes formaient un angle ouvert à 180 degrés, les invités d'Alfred avaient une vue imprenable sur ce qui allait suivre. Victor s'agenouilla devant moi.
Tenant les lèvres de ma chatte légèrement écartées entre le pouce et l'index de sa main gauche, son pouce droit commença à me frotter doucement la fente, d'abord de haut en bas, puis son index décapuchonna mon clitoris qu'il se mit à caresser en petits cercles concentriques, le doigt faisant parfois de brèves incursions dans mon conduit vaginal. Il était appliqué guettant les moindres tressaillements qu'il tirait de mon corps, et ils commençaient à être nombreux, ma respiration s'accélérait.
Tandis que son index fouillait ma vulve, sa langue vint lécher mon petit bouton rose, le titillant d'un côté et de l'autre, ses lèvres l'aspiraient, je mis ma jambe sur son épaule pour lui permettre d'accéder
plus facilement à mon petit bourgeon. Les aspirations, les coups de langue redoublèrent, me tirant des gémissements d'extase.
Adémar, le plus osé des trois, se mit à me caresser les seins, je lui en su grès, les tiraillements de mes mamelons m'excitaient davantage. Au bout de dix minutes de ce traitement ininterrompu, Alfred s'approcha, il fit reculer son domestique. Son index et son majeur pénétrèrent entre mes lèvres béantes, il les ressortit dégoulinant de foutre.

« Alors tu vois, tu adores ça, Victor va pouvoir te baiser !
- Noooonnnn, sa bite est trop grosse...
- Eh bien on va préparer le terrain, couchez la sur la table... »

Il se dirigea vers le tiroir de la table basse, il sortit un énorme godemiché d'un diamètre devant avoisiner les six centimètres. Il était noir, semblait ultra souple et devait surgir d'un fantasme. Sa forme était arquée et saillante au possible, des petites ridules semblables à des bourrelets de peau en parsemaient la longueur.
L'énorme appareil en forme de verge s'approchait de mon entrecuisse, je hurlais et me débattais. Tout mon corps semblait se refuser à cette monstrueuse pénétration.

« Oui, qu'elle crie...qu'elle gémisse cette salope... mais elle va y avoir droit... Écartez-lui les jambes... »

Il enfonça doucement l'énorme godemiché, tous ces regards lubriques posés sur moi m'excitaient, ma chatte commençait à tiédir. Les petites ridules frottaient mes parois. Cette excitation sexuelle avait déclenché une abondante lubrification vaginale. Un liquide clair suintait hors de ma chatte, il formait une enveloppe visqueuse sur le godemiché et sur ma muqueuse qui s'était dilatée lors de cette vasocongestion. Mes parois vaginales palpitaient autour du gode, J'étais parcourue par d'intenses frissons. Un immense brasier dévorait mes entrailles, l'air commençait à me manquer, je hoquetais. Il s'activait en moi lentement, mais profondément, j'aimais ça.

« Elle adore ça, vous voyez ! Elle est toute mouillée, regardez... »

Il leur montra le bout du godemiché ou perlait mon foutre luisant. C'était vrai, je devais me rendre à l'évidence cela m'échauffait les sens, mais il fallait que je leur fasse croire le contraire.

« Oui...mais noooon...arrêtez, je ne veux pas....stooooop !!
- Alors pourquoi es-tu aussi trempée ? Je continue ? »

Leur demanda-t-il, ils acquiescèrent tous les trois... Victor lui se marrait franchement sachant que de toute façon, il me baiserait...il devait trouver que j'étais très bonne comédienne.
Deux des trois vieux se mirent à me lécher et sucer les seins, le troisième se mit a me caresser le clitoris. Ils frottaient leurs bites sur mes cotes, puis Adémar toujours lui, s'enhardit, son gland vint se poser sur mes lèvres.

« Suce, ordonna Alfred »

J'ouvris la bouche, la bite glissa dans ma bouche, je commençais à la sucer avec application.

«Doucement, doucement ne me fait pas jouir...
- Branle Ernest salope... »

J'empoignais la queue qui se frottait sur mes seins et la caressait doucement sur sa longueur, un énorme soupir s'échappa de la poitrine du dit Ernest. Les deux ancêtres tenaient toujours fermement mes jambes écartées, ne ratant en rien les mouvements de l'énorme phallus factice avec lequel Alfred me pénétrait.

« Je crois qu'elle est à point... Victor ça va être à vous...
- Noooonnnn, il est trop gros...cet engin me fait déjà mal...
- Ah oui, à voir comme tu gémissais et te tortillais, on n'aurait pas dit, salope... »

Victor adorait me baiser, aussitôt qu'Alfred lui donnait la permission, on aurait que sa queue était en prise directe avec son cerveau et devenait énorme. Il était nu, il s'approcha tenant d'une main sa bite qui grossissait à vue d'œil, pour atteindre des proportions pharamineuses.

« Oh putain, s'exclama Vincent, il va lui enfiler tout ça !!
- J'espère bien que oui, répondit Adhémar
- Je suis sûr qu'elle va jouir surenchérit Ernest, allez Victor...au boulot...au boulot »

Victor, frotta son gland le long de ma fente pour l'enduire de mon foutre, il caressa plusieurs fois d'un air gourmand la longueur de ma chatte du bout de sa queue durcie, puis il présenta l'énorme gland à l'entrée de mon conduit vaginal, pour leur montrer qu'il était beaucoup plus volumineux que la circonférence de mon méat.
Les trois vieux écarquillaient des yeux, persuadés que j'allais hurler lors de la pénétration, et qu'elle ne rentrerait jamais toute dans ma chatte. Victor sourit, cracha avec précision sur le bout de sa bite, et poussa, mes petites lèvres s'écartèrent le gland démesuré glissa sans heurt, pour bien leur laisser savourer la pénétration, il poussait doucement comme s'il éprouvait des difficultés à entrer son phallus monstrueux,mais son énorme bite entrait centimètre après centimètre.
Des « OOOOHHHH », des « AAAAAHHH », des « Putain ce n'est pas vrai... » Fusaient de l' assistance, « La salope...il va tout lui mettre », cette pénétration extraordinaire, avait l'air de les amener au sommet de l'extase.
J'adorai la bite de Victor, malgré son âge avancé, il baisait mieux qu'un jeune étalon, il avait l'expérience, il savait me donner un maximum de plaisir, il savait lorsque je désirai qu'il s'active plus vite, qu'il s'enfonce encore plus profondément, il était attentif au moindre de mes tressaillements. Son mandrin était entré entièrement, sa bite de vingt-sept centimètres de long et de sept centimètres de circonférence était en moi. Il regarda narquoisement les trois spectateurs, qui s'extasiaient sur sa prouesse, il était aussi âgé, si ce n'est plus qu'eux, mais pour l'instant c'était lui qui possédait la jeune et jolie blonde avec sa grosse verge dont ils devaient envier la longueur et la grosseur.
Sa main gauche se posa sur le haut de mon mont de venus et se glissa sous mon porte-jarretelle, il commença à me labourer d'abord avec de petits coups de reins, puis il leur donna de l'amplitude, son immense queue raide, sortait puis entrait entièrement dans mes entrailles, je me laissais aller, des râles et des gémissements de plaisir s'échappaient de mes lèvres, ma tête dodelinait dans tous les sens. J'avais attrapé les queues des deux vieux les plus proches et les masturbais vigoureusement.
Alfred les laissa se régaler à admirer les prouesses de Victor pendant dix minutes, ou je crus jouir trois fois...

« Allez salope, dit le que tu aimes ma grosse queue...Ou je laisse la place à Monsieur Adémar...
- Noooonnn continue, ooouuuuiiii je l'aime ta bite, enfonce la, plus profond encore, encore...
- C'est bien joli tout ça, mais votre patron n'a encore eu droit à rien...Cette salope m'a nargué et excité autant que vous Victor... nous devrions pouvoir la partager...! Vous allez voir dit-il a ses amis »

Alfred c'était déshabillé lui aussi. Il s'allongea sur l'épaisse moquette, mit en appétit par le spectacle, sa vieille bite se dressait vers le plafond, elle était ma foi de bonne taille. Victor avait compris, il me fit coucher sur le dos sur le ventre d'Alfred jambes largement écartées, celui me pénétra sans coup férir le passage avait était fait par Victor, celui-ci laissa son patron bien s'installer en moi. Il se mit à genoux entre mes cuisses. Il approcha sa bite de ma chatte, au dessus de celle d'Alfred me caressant le clitoris avec son pouce. Il força pour enfoncer son énorme phallus dans mon sexe ruisselant, son gland entra un tout petit peu. Mais je criais qu'elle n'entrerait pas, que cela commençait à me faire mal, que leurs bites étaient vraiment trop grosses, qu'il fallait qu'ils arrêtent.

« Mais petite salope, nous avons des invités...il faut y arriver...
- Oui, oui...répondirent en chœur les trois copains d'Alfred »

Ils étaient de plus en plus émoustillés. Vincent passa derrière moi, il se mit à me caresser les cheveux.

« Écartez bien les jambes, pouvez-vous tirer sur vos lèvres pour ouvrir votre chatte, oui c'est bien...ça glisse...ça y est son gland est entré...Victor poussez doucement...Alfred ralentit...oui c'est bien la queue de Victor entre bien maintenant...il en a rentré la moitié...Putain que c'est excitant...Alfred tu ne pourrais pas la basculer sur le côté ? Oui et maintenant soulève-lui la jambe. »

Alfred s'exécuta, Victor se trouva couché sur le côté ce qui lui permit de s'enfoncer davantage, je sentais bien maintenant les deux bites dans ma chatte. Ils commencèrent de lents mouvement de va-et-vient.
Vincent s'était couché sur le côté et avait maintenant devant lui mon anus béant qui s'ouvrait au rythme des pénétrations de mes deux amants. Il me saisit au niveau de mon porte-jarretelle et enfonça d'un seul coup sa bite tendue par le désir. Je criais de plaisir en sentant cette nouvelle pénétration énorme et sauvage.
Adémar et Ernest voyaient, le sexe de Vincent entrer, puis ressortir entièrement, et disparaître à nouveau, englouti tout entier entre mes fesses. Ils m'entendaient hurler de plaisir. Je ne sais pas lequel me donna un baiser passionné, me fouillant la bouche de sa langue, je lui mordis la sienne. Entre deux cris de plaisir, je hoquetais à celui ci venait de m'embrasser..

« Tu ne veux pas que je te suce ? »

Il ne se le fit pas dire deux fois, comme par magie sa virilité prête à exploser trouva sa place dans ma cavité buccale.

« Putain, tu es extra, je crois que je vais jouir, aspire-moi bien la queue »

J'eus à peine le temps d'avaler son membre qu'il éjacula au fond ma gorge, je déglutis la semence tiède. Mon plaisir arrivait aussi.
Alfred enserrant mes nichons, lâcha, avec un grand cri de volupté son sperme dans ma chatte meurtrie. Ma jouissance arriva d'un seul coup, un grand spasme me secoua, je hurlais de plaisir, mon vagin se contracta serrant la grosse bite qui était encore en moi. Victor suivit presque aussitôt, mais les deux tiers de son liquide séminal, furent projetés entre mes jambes et sur le ventre d'Alfred, car j'étais secouée par les spasmes de jouissance, et son sexe bien qu'énorme fut projeté hors de ma chatte, par la force de ma jouissance. Ensuite, je restais inerte, vidée, secouée par les assauts puissants de Vincent qui continuait sa sodomie. Alfred me dit alors de lécher le sperme répandu sur son ventre. En offrant toujours mon orifice anal à Vincent, je me mis à genoux et léchais à petits coups de langue et déglutissais le sperme étalé sur le ventre et dans la blanche toison pubienne. Vincent, me saisissant les cheveux, se lâcha avec un grand cri, son sperme tiède coula dans mon conduit rectal..

« Putain, il y a bien longtemps que je n'avais pas baisé une aussi jolie salope...
- Adémar, tu ne vas pas rester ainsi ! Ta bite va éclater si elle reste ainsi... Viens soulager tes couilles, tu as le choix...la baise ou la sodomie !
- Je...je...je crois que je vais jouir...oh putain ! »

Je lui attrapais la bite ouvrais la bouche, et avalais le sperme légèrement acidulé.

« Alors, dit Alfred en riant. Elle vous a plu ma secrétaire ? Une vrai petite salope non ? »

C'est vrai pensais-je, je suis une vrai salope, je me laisse traiter comme leur objet sexuel, mais j'aime ça ! Et Alfred ne paye-t-il pas généreusement pour satisfaire tous ses désirs...Et surement qu'avec Victor ils vont en avoir de nouveaux...

A suivre....

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Texte coquin : Trixie chapitre 29 - Pour épater les copains
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