Trixz chap 22 - Les voleurs
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Trixz chap 22 - Les voleurs
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La vie continuait son cours normal. Les deux vieux se jalousaient un peu à mon sujet, c'était touchant. Alfred s'absenta deux jours pour ses travaux, et Victor avait pris le samedi et le dimanche en congé. Je me retrouvais seule dans la grande maison isolée. Le Dimanche, ayant fait la grasse matinée, vêtue d'une courte nuisette transparente, je mangeais un bon petit déjeuner. J'allais dans la salle de bain prendre une bonne douche. Sur une demande d'Alfred, j'avais l'habitude de ne pas fermer les portes, tant celle du couloir que celle de la cabine de douche pour que si l'un des deux autres occupants de la maison passait, il puisse admirer mes ablutions. Le maître des lieux avait fait poser une grande glace murale. Du couloir on apercevait entièrement l'intérieur de la pièce, douche comprise.
L'eau chaude coula sur mon corps, je me savonnais ensuite avec un gel douche parfumé, caressant mes seins, les malaxant. Ma main descendit sur mon pubis, écarta mes lèvres et frotta mon clitoris. Je fis ensuite une toilette que l'on aurait pu appeler plus qu'intime, autant devant que derrière.
Il me sembla entendre du bruit dans le couloir. Ce devait être le chat, et je ne m'en formalisais pas, les portes et les fenêtres étaient bien verrouillées, l'alarme enclenchée. Je coupais l'eau chaude, attendis que l'eau devienne vraiment froide et m'arrosais les seins, ceux ci réagirent à la morsure du froid, mes téton durcirent et s'allongèrent, le jet descendit sur mon vagin, j'écartais les lèvres, le jet pénétra dans mon orifice vaginal béant. Je frissonnais de plaisir. Je me séchais. De nouveau un léger bruit...Je jetais un coup d'œil dans la glace, mais le couloir était sombre je ne voyais rien.
Alfred et Victor étaient absents, ce n'était pas une raison pour que je m'habille pas comme Alfred me l'avait demandé. Surtout qu'un peignoir en éponge était toujours accroché à une patère dans le hall à côté de l'entrée, pour que je puisse l'enfiler dans le cas ou j'aurais été obligée d'ouvrir la porte à un visiteur. J'enfilais donc, la nuisette noire mais translucide. Positionnais bien mes aréoles en face des fentes nouait lâchement les petits rubans. Ajustais mon porte-jarretelle, enfilais mes bas noirs, les lissais sur mes jambes fines. Le string était prohibé.* Fermais les attaches en posant un pied sur un tabouret. Je séchais ensuite mes longs cheveux presque blonds.
Les mouvements de la brosse et du sèche cheveux, faisaient remonter la nuisette bien plus haut que le porte jarretelle, découvrant largement ma chatte bien épilée, ainsi que mon ventre plat, je laissais repousser le petit triangle de poils ras au dessus de la fente de mon sexe. La séance de rasage avec Victor maniant le blaireau avait été divine**. Le brushing fini, je décidais de laisser ma chevelure flotter sur mes épaules, et enfilais le déshabillé, qui lui aussi ne cachait rien de mon corps. Mais en fin de compte j'aimais être ainsi vêtue et faire bander mes deux vieux. Je me dirigeais vers le bureau d'Alfred j'avais une lettre à taper. L'entrée du bureau donnait dans la salle à manger, la porte fenêtre ouverte... laissait entrer la clarté du soleil matinal, bizarre !! A peine la porte de la pièce franchie un ordre retenti.
« Pas un geste et pas un cri... Nous savons que tu es seule... »
Me signifia un homme maigre coiffé d'une casquette baseball, il me menaçait d'un pistolet. Un autre se trouvait derrière lui. C'était donc ça les bruits que j'avais entendu. Des cambrioleurs, ils avaient du se rincer l'œil pendant toute ma toilette, cachés dans le couloir. Une boule d'appréhension noua mon estomac. Ils avaient forcé la porte fenêtre donnant sur le jardin... Mais pourquoi l'alarme ne c'était-elle pas déclenchée ? Ils avaient du la neutraliser !
« Que me voulez-vous ?
- Comme si tu n'en avais aucune idée ! Tu es bien la secrétaire du vieux, et tu dois savoir ou il planque son fric dans cette maison, il doit en avoir un paquet... ! Va fermer la porte»
Ils avaient déjà une vue parfaite sur mon anatomie, la clarté du jour accentua la transparence des vêtements. J'entendis leurs sifflements admiratifs résonner dans la pièce.
« Reste là, c'est trop beau ! Si tu te balades ainsi devant les deux séniles, ils doivent être en érection toute la journée ! Alors, il est ou le fric ?
Je ne sais pas moi ! Il n'y a pas longtemps que je travaille ici »
Le mec au chapeau me donna une gifle.
« Je connais des méthodes pour la faire parler. Même si elle est rebelle, je peux t'assurer qu'elle deviendra vite aussi bavarde qu'une pie ! »
C'était l'autre, un gros chauve avec des lunettes de soleil qui venait de proférer ces menaces.
« Alors, pour la dernière fois, tu craches le morceau ? Ou dois-je laisser faire mon copain ?
Ce serait dommage de faire mal à une aussi jolie fille que toi. »
Disant cela, il s'approcha et me quitta le déshabillé. Je savais très bien qu'Alfred gardait une somme conséquente dans un coffre bien cachée derrière un tableau dans son bureau. Mais j'essayais de parlementer en leur racontant des salades...Ils écoutaient en secouant la tête, et en souriant sournoisement, ils se caressaient à travers leurs pantalons. Ils me laissèrent terminer mon laïus, et me dire que puisque je ne voulais pas coopérer de mon plein gré, c'était tant pis pour moi !
« Laisse lui la nuisette, c'est plus érotique. Et puis on dirait qu'elle a choisi ce vêtement pour ce que veux lui faire... »
Ils attachèrent mes bras au dessus de ma tête à une poutre du plafond à la française. La nuisette remonta sur mon ventre, leur offrant la vue de mon porte jarretelle encadrant mon sexe. Ma position bras tendus m'obligeait à avoir la poitrine en avant. Aussitôt les mains brulantes du gars à la casquette passèrent sous les lanières de mon porte jarretelle et il se mit à caresser la peau nue de mes cuisses. Il remonta un peu la droite et elle se plaqua sur mon mont de vénus qui se tendait vers eux. Je remuais mes hanches.
« On dirait que tu aimes ça, te faire tripoter ! »
Le gros chauve, défit les rubans qui fermaient les fentes de la nuisette laissant poindre mes mamelons. Il les écarta le tissu libérant mes aréoles, puis la totalité de mes seins. Il se mit à pétrir ma poitrine. Mes deux globes devinrent durs comme du marbre. Il titilla mes tétons qui ne cessaient de prendre du volume et de s'étirer mes aréoles se gonflèrent. Sa bouche vint se plaquer sur le bout de mes seins, je frissonnais. Je me traitais de salope, vu la façon dont mon corps commençait à réagir.
« Tu as vu les super dessous qu'elle a, cette nana ne demande qu'a jouir ! Tu vas parler, ou on va te violer !
Mais je n'en sais rien, je vous l'ai déjà dit...laissez-moi...!! »
L'homme se jeta alors sur moi, il couvrit ma poitrine de baisers, la lécha d'une langue baveuse. Puis il suça consciencieusement mes tétons qui semblaient vouloir éclater tellement ils répondaient à la caresse.
« Putain tu as vu ses mamelons, ils ont triplé de volume...!! »
Puis sa bouche descendit vers mon ventre, qu'il explora lentement avec sa langue.
« Alors tu vas te décider... »
Les mains passées sous les lanières de mon porte jarretelle, il s'agenouilla entre mes cuisses, sa langue titilla mon clitoris et ses lèvres lippues enserrèrent et sucèrent mon petit bouton rose, qui grossit et devint aussi dur que mes tétons. Il insinua un doigt, puis deux dans mon vagin...
Je commençais à gémir, mon bassin ondulait sous la caresse.
« Putain elle mouille ça lui plait...Mais tu vas parler salope ! Ou il va falloir qu'on aille plus loin »
Et disant cela, il farfouilla dans un sac à dos.
« Tu vois cette fine ficelle, elle est pleine de charme et de raffinement, tout au moins pour moi, j'en fait profiter les filles récalcitrantes comme toi ! Tes seins son vraiment adorables et vu leur longueur, tes tétons ont l'air vraiment sensibles à toutes les stimulations ! »
Ils se regardèrent, et ensemble, sortirent leurs sexes.
« Tu vois, tu me fais vraiment bander... »
Le gros s'approcha de moi, il me tira sur les mamelons, les suçant et les mordillant pour bien les étirer, lorsqu'il jugea leur longueur suffisante, il le enserra avec les cordelettes dont le bout était terminé par un petit nœud coulant genre, bijoux de sein. Il serra assez fortement ce qui les fit se dresser encore plus, je poussais un cri de douleur.
« Ouais, fait lui mal, fait la hurler dit son copain
Ça m'avait toujours excité que l'on tripote et malmène un tant soit peu les pointes de mes seins. Je sentais maintenant le foutre qui coulait le long de mes cuisses. Mes parois vulvaires palpitaient, ouvrant et fermant mes lèvres. Le gros chauve tout en me mettant deux doigts dans le vagin attrapa les ficelles pendant de mes seins. Ce qui comprima douloureusement mes tétons, les faisant saillir encore plus. Mais j'aimais cette douleur sourde qui irradiait mes seins, cela me faisait encore plus mouiller.
Mais tira deux ou trois fois assez fortement sur les cordelettes. Mes seins commençaient à me faire vraiment mal. La douleur commençait à devenir trop forte. Ils me décrivirent par le détail ce qu'ils me feraient si je ne leur disais pas ou se trouvait l'argent...je frissonnais... J'étais courageuse, mais seulement jusqu'à un certain point...Je cédais.
« L'argent se trouve dans un coffre dans le bureau, derrière le tableau représentant une mare .
Donnes la combinaison.... »
Je leur donnais le combinaison.
Le gros chauve détacha mes mamelons. Tout en passant deux doigts le long de ma fente.
« Putain, mes doigts sont trempes, elle a aimé ça la salope ! Mais je vais te donner, pour te remercier, une chose plus agréable mon chou !»
Sa bite énorme et tumescente à la main, il s'approcha de moi et me l'enfonça jusqu'au tréfonds du vagin, ses va et vient s'accélérant progressivement. Sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue, força mes lèvres...Le deuxième homme passa derrière moi et parti à l'assaut de mon anus, j'avais cessé de lutter, je poussais de petits cris de plaisir lorsqu'il me pénétra. Il malaxa mes mamelons meurtris, mais je sentais monter l'orgasme, j'explosais au moment ou je sentis leurs giclées chaudes se déverser à la fois dans mon vagin et dans mon orifice anal, la jouissance vint balayer toutes mes souffrances passées.
Ils raflèrent toutes les liasses de billets se trouvant dans le coffre. Au moment de partir, le gros coupa les cordes me liant à la poutre. Mes jambes tremblantes cédèrent, je tombais sur le plancher. Ils s'enfuirent en courant.
Au moment après, toujours frémissante, les bras autour de mes genoux ramenés sur ma poitrine, j'entendis arriver une voiture. On sonna. Alfred ? Non, il m'avait dit qu'il ne rentrait que tard ce soir , et puis il avait ses clefs.
D'une démarche hésitante, je me dirigeais vers la porte d'entrée, je sentais du sperme qui coulait de mes orifices...En tremblant j'enfilais le peignoir, nouais la ceinture d'une main hésitante. Je regardais à travers l'œilleton, un jeune homme se tenait sur le seuil. Je décrochais l'interphone.
« Oui, que voulez-vous ?
Police, votre alarme s'est déclenchée chez nous, mais faute d'effectif je n'ai pas pu venir avant...
Montrez-moi votre carte !! »
Le jeune policier s'exécuta, je le fis entrer. Un peu plus rassurée maintenant.
« Vous avez-été cambriolée ?
Oui, venez-voir... »
Je l'entrainais dans le bureau d'Alfred lui montrais le coffre vide. Il me regardait avec des yeux suspicieux. Je l'emmenais dans la salle à manger pour lui faire constater l'effraction sur la porte.
Il me dit gentiment de m'asseoir sur le divan, se mit en face de moi sur un fauteuil et me dit de lui raconter mon agression.
Il roulait des yeux étonnés, en m'écoutant, la tenue que je portais, la façon dont ils avaient procédé pour me faire avouer...je lui cachais que j'avais pris du plaisir...
Toute énervée, et ponctuant mon récit de gesticulations plus ou moins contrôlées, je ne m'étais pas aperçu qu'un pan du peignoir c'était ouvert sur ma cuisse dévoilant une large bande de peau au dessus de mon bas noir. J'avais aussi mal noué la ceinture et il commençait à béer largement sur ma poitrine. Je réalisais d'un coup que le jeune policier ne prenait plus de note, mais que ses yeux me parcouraient des pieds à la tête. Il semblait réfléchir, un sourire illumina son visage.
« Bien mademoiselle, il y a quand même un petit problème. Monsieur Alfred Delaroux lors de l'installation de son alarme, nous a donné les noms des résidents de cette maison. Vous n'y figurez pas !
Mais, il a du oublier, cela ne fait pas longtemps que je travaille ici !
Bien, montrez moi votre carte d'identité. Écoutez, je veux bien vous croire. Mais votre histoire me surprend. Qui me dit que vous n'êtes pas complice ? Il n'y a personne pour vous contredire. Avez-vous un numéro de téléphone ou l'on pourrait joindre Monsieur Delaroux ?
Hélas, non...Il n'a pas de portable et ne m'a pas laissé le numéro de l'hôtel ou il descendait. Mais il doit revenir en fin de soirée, il vous confirmera à ce moment là.
Bon, dans ces conditions, je vais vous demander de vous habiller et de me suivre au commissariat, je ne voudrais pas laisser s'échapper un éventuel suspect...Je vais laisser un mot expliquant la situation...lui demandant de venir nous rejoindre »
Je fus choquée, qu'il ne me croit pas. Mais effectivement ce qui m'était arrivé pouvait paraître aberrant, je ne portais aucun stigmate des violences que j'avais subi. Je me résignais donc à aller m'habiller et à le suivre.
Il était jeune, beau garçon, un plan germa dans mon esprit. J'allais perdre le reste de la journée, à attendre Alfred au commissariat ! Non...j'allais essayer de m'occuper... agréablement ! Un petit ange aux ailes blanches se matérialisa devant mes yeux et me dit d'une voix douce.
« Trixie, ce n'est pas bien ! Tu es une vrai nympho, tu tombes dans la luxure !! »
Aussitôt surgit un diablotin noir comme du charbon, qui d'une voix mielleuse s'adressa à moi.
« Mais non, il n'y a aucun mal à se faire du bien...et puis cette fois c'est toi qui décide, personne ne te force !! »
Le petit démon noir gagna la partie. Je me levais et me dirigeais vers ma chambre. Le flic me suivit. Restant à la porte. Je choisis une veste blanche, une jupe noire, j'hésitais à prendre un chemisier, mais je porterai la veste à même la peau. Je décidais de prendre de la lingerie blanche. Bas, porte-jarretelle, string, je choisi aussi un corset blanc dont le bas s'arrêtait bien au dessus de mon pubis, de longues lanières soutenaient les bas. Il n'avait pas de bonnets et laissait mes seins complètement libres. J'allais ensuite vers la salle de bain. Il m'emboîta le pas.
« Vous pouvez m'attendre dans le couloir...je ne vais pas m'échapper je prends une douche, je m'habille et je vous suis »
Je laissais la porte entrebâillée, il s'était positionné juste devant. Je me mis devant la glace, enlevais mon peignoir, lentement fit passer la nuisette par dessus ma tête, dégrafait mes bas et les quittait avec des manières de stripteaseuse...la porte s'entrebâilla plus avant. Je pris une douche. Je le vis en train de me mater dans la glace.
Je m'habillais lentement, arrangeant le haut du corset sous mes seins, enfilant langoureusement mon mini string qui ne « cachait » que le bas de ma chatte. J'entendais sa respiration s'accélérer derrière la porte. Je crus un moment qu'il allait entrer, mais il n 'en fit rien, il devait avoir peur de se faire surprendre par Alfred, s'il tentait quelque chose ici. Une fois prête, je sortis et lui signifiais que nous pouvions y aller.
Pendant tout le trajet, il lorgna sur mes cuisses, ou essaya de voir à l'intérieur de ma veste. Je voulais l'exciter encore plus, et le meilleur moyen d'y arriver, c'était de ne rien lui montrer pour l'instant et de le laisser sur sa faim.
Au poste de police, il me fit entrer dans une grande salle. Je remarquais aussitôt la cellule au fond, à l'intérieur, il y avait un lit et un lavabo. Mon regard fit le tour de la pièce. Il y avait trois bureaux, le sien vide, les deux autres étaient occupés par un homme qui devait être près de la retraite et avait l'air de s'ennuyer ferme et par un noir qui jouait à la console. Ils levèrent les yeux à notre entrée.
« Tu as l'air d'avoir attrapé une bien jolie voleuse, Nathan.
Non, pour l'instant, il n'y a aucune charge contre elle, mais par précaution en attendant le retour de Monsieur Delaroux, je préfère la garder ici. »
Il me conduisit dans la cellule me disant de m'asseoir sur le lit. Le lit était assez bas ma jupe remonta, laissant voir le haut des bas et les attaches du porte jarretelle, je ne fis rien pour la rabaisser.
« Je n'ai rien fait, je suis innocente... »
Les bureaux n'étaient pas très éloignés des barreaux du cachot. Leurs yeux s'allumèrent lorsqu'ils s'en aperçurent. J'avançais les fesses sur le rebord du lit, découvrant ma peau bronzée au dessus des bas. Depuis toute petite, j'avais le don de faire couler mes larmes, quand je le désirai. Cela m'avait évité bien souvent d'être grondée par mes parents et des punitions à l'école. Je fis donc semblant de pleurer, pour les attendrir. Je tripotais un bouton de ma veste et bien sûr, il sortit de sa boutonnière et la veste bailla sur ma poitrine.
Nathan voyant là une chance, de me séduire en me consolant, se précipita dans la cellule, s'assit sur le lit et me passa un bras autour des épaules. Le pan écarté de ma veste lui laissait apercevoir un sein, je sentis mon téton s'étirer sous le regard inquisiteur du jeune homme.
« Ne pleurez pas, Mademoiselle Trixie, je ne vous accuse de rien! Mais mettez vous à ma place, je risque gros si vous m'avez menti...surtout que vous m'avez dit que le vol était assez important... »
Avec des trémolos dans la voix, je lui dit que je comprenais, mais que c'était injuste me mettre en prison. Je posais ma tête sur son épaule en reniflant. Il me caressa les cheveux, il me fit une bise sur la joue, d'un mouvement de tête je me débrouillais pour que mes lèvres se retrouvent sur les siennes. Ma langue les força, il me rendit mon baiser. Puis sa bouche descendit le long de mon cou, tandis que sa main droite passait par l'échancrure de la veste pour me caresser le sein. Ma poitrine se tendit vers lui, il déboutonna entièrement la veste et écartant les pans, offrit mes seins pointant hors du bustier aux regards de ses collègues. Ils s'étaient approchés des barreaux et les avaient empoigné à deux mains, regardant la scène avec des yeux ronds. Nathan, sans s'occuper des voyeurs enleva ma veste, embrassa mes seins, les malaxa, tira, pinça mes mamelons. Je lui quittais sa chemise, léchant sa poitrine glabre, suçant à mon tour ses tétons qui eux aussi durcirent. Je débouclais la ceinture de son pantalon, le quitta en même temps que son slip. Son sexe tendu se retrouva à hauteur de ma bouche, j'ouvris les lèvres et le masturbant d'une main je l'avalais doucement, en regardant les deux autres policiers. Le noir avait sorti sa verge, qui pour une fois n'était si grosse que ça. Le vieux monsieur lui regardait, plutôt l'air gêné.
Nathan se coucha sur le lit. Je me tournais, pour continuer à enfourner son phallus dans ma cavité buccale, les jambes bien tendues, la jupe remontée autour de ma taille j'offrais une vue splendide de mes fesses à ses coéquipiers, la lanière du string ne cachant rien de la base de ma fente et de mon orifice anal.
Puis il me fit basculer à sa place sur le sommier et me quitta ma jupe. Se mettant sur le côté du matelas, il fit descendre doucement sur mes cuisses le mince triangle de tissu qui semblait être passé sous un robinet tant il était mouillé. Il m'écarta largement les jambes, pour offrir je pense la vue de ma chatte palpitante, trempée et largement ouverte à ses amis.
Je leur jetais un regard, le policier noir se masturbait plus vigoureusement. Nathan s'allongea entre mes jambes, les mains passées sous les lanières du corset tendues sur mes cuisses comme des cordes de guitare. Avec ses pouces il ouvrit largement mes lèvres vaginales et sa langue partit à l'exploration de ma vulve. Mon clitoris subit une multitude de succions, de mordillements qui chaque fois me tiraient des gémissements de plaisir. Le noir se masturbait avec de plus en plus de d'énergie. Tout en titillant mon petit bouton rose avec de petits attouchements du bout de sa langue, Nathan introduisit son index et son majeur dans mon vagin ruisselant. Je me caressais les seins avec vigueur, en regardant le noir avec des yeux langoureux, en passant ma langue sur mes lèvres. Le jeune homme voyant mon regard et mon petit jeu, se mit à me faire un doigter extrêmement rapide et appuyé. Cela me fit hoqueter de plaisir.
«C'est moi qui te baises, pas lui... »
Légèrement en colère, il se coucha sur le lit, les jambes pendantes, les pieds posés sur le sol. Il me fit accroupir sur le matelas au dessus de lui jambes bien écartées face à son collègue, et me demanda de descendre lentement sur sa queue raide et droite, une fois bien empalée il me passa les mains sous les fesses me soulevant et me laissant retomber sur ses cuisses. Je râlais de bonheur. Le téléphone sonna, le vieux policier décrocha, au bout d'un moment il s'adressa au noir qui tétanisé se masturbait fortement .
« Viens Bakkri, on nous demande en intervention, vite...
- Oui, oui deux minutes, va à la voiture je te rejoins... »
Disant cela, il pénétra dans la cellule, et s'approcha de nous. Il était prêt à éjaculer. Il mit sa bite sur mes seins; et libéra sa semence en de grandes contractions.
« Tiens poupée, prends ça, et ça....et encore ça...putain que tu es belle....Si j'avais su...je serai allé voir pourquoi cette alarme c'était déclenchée...je regrette...de ne pas avoir saisis ma chance !! »
Son sperme, coulait sur mes deux seins, j'en frottait le bout de mes tétons et suçait mes doigts.
« Alors !! Tu arrives Bakkri... »
Le noir à regret sorti en reculant, ne nous perdant pas des yeux tant qu'il n'eut pas franchi la porte.
Nous étions seuls...Nathan tenait une bonne cadence, puis les bras endoloris, il me fit basculer sur le coté. Me fit poser la jambe droite sur son épaule, ce qui facilitait l'insertion de sa verge. Je lui demandais de me sodomiser.
« Mais je n'ai jamais fait ça à une fille !!
Fais le tu vas voir, je suis sûre que tu vas adorer, moi ce n'est pas la première fois...je souris en pensant aux sexes énormes qui m'avaient prise ainsi... »
Avec une infini douceur, son sexe s'enfonça entre mes parois anales, voyant que je ne disais rien, mais qu'au contraire je l'encourageais à aller de l'avant il s'enhardit et commença à me labourer à grand coups de reins...
Effectivement cela eut l'air de lui plaire, la cadence de ses pénétrations ne faiblissait pas. Je fermais les yeux toute à mon plaisir. L'air de la pièce vibrait de l'écho de nos gémissements, gloussements, râles et diverses exclamations. J'appréciais cela durait longtemps.
J'ouvris les yeux...Alfred était là devant nous, me regardant tendrement à travers les barreaux. Nous ne l'avions pas entendu arriver. Comment était-il entré ? Bakkri tellement perturbé avait du oublier de fermer la porte à clef en partant.
« Alfred...,!!
- Oui, la porte était ouverte et je suis entré !
- Qui est-ce....??
- Mon patron...
- Mince alors... Je... je... crois que je vais jouir...!! »
Nathan paniqué par cette intrusion, sortit sa verge d'une main. Alfred put admirer son éjaculation, un jet de sperme s'éleva pour finir sa course sur le bas de mon bustier. Puis les saccades suivantes se déversèrent autour de mon vagin, poissant mon mont de venus épilé du liquide chaud.
Fixant Alfred, j'attrapais le sexe de Nathan, le frottait dans le suc visqueux, j'envoyais des lèvres un baiser à mon vieux patron, et enfilait le phallus encore raide dans ma chatte, j'avançais le bassin pour bien le faire pénétrer, j'étais moi aussi au bord de la jouissance, au bout de quatre ou cinq poussées, j'explosais à mon tour, embrassant le jeune homme à pleine bouche...
Un long moment après, Alfred confirma bien que je travaillais chez lui, qu'il se portait garant de moi. Et bras dessus nous quittâmes le poste de police.
Alfred me demanda si les voyous ne m'avaient pas fait du mal. Il ne me tînt pas rigueur d'avoir cédé, pour lui l'argent n'était pas aussi important que moi.
A suivre ...
* Voir : « Le Majordome »
** Voir : « Le puceau »
La vie continuait son cours normal. Les deux vieux se jalousaient un peu à mon sujet, c'était touchant. Alfred s'absenta deux jours pour ses travaux, et Victor avait pris le samedi et le dimanche en congé. Je me retrouvais seule dans la grande maison isolée. Le Dimanche, ayant fait la grasse matinée, vêtue d'une courte nuisette transparente, je mangeais un bon petit déjeuner. J'allais dans la salle de bain prendre une bonne douche. Sur une demande d'Alfred, j'avais l'habitude de ne pas fermer les portes, tant celle du couloir que celle de la cabine de douche pour que si l'un des deux autres occupants de la maison passait, il puisse admirer mes ablutions. Le maître des lieux avait fait poser une grande glace murale. Du couloir on apercevait entièrement l'intérieur de la pièce, douche comprise.
L'eau chaude coula sur mon corps, je me savonnais ensuite avec un gel douche parfumé, caressant mes seins, les malaxant. Ma main descendit sur mon pubis, écarta mes lèvres et frotta mon clitoris. Je fis ensuite une toilette que l'on aurait pu appeler plus qu'intime, autant devant que derrière.
Il me sembla entendre du bruit dans le couloir. Ce devait être le chat, et je ne m'en formalisais pas, les portes et les fenêtres étaient bien verrouillées, l'alarme enclenchée. Je coupais l'eau chaude, attendis que l'eau devienne vraiment froide et m'arrosais les seins, ceux ci réagirent à la morsure du froid, mes téton durcirent et s'allongèrent, le jet descendit sur mon vagin, j'écartais les lèvres, le jet pénétra dans mon orifice vaginal béant. Je frissonnais de plaisir. Je me séchais. De nouveau un léger bruit...Je jetais un coup d'œil dans la glace, mais le couloir était sombre je ne voyais rien.
Alfred et Victor étaient absents, ce n'était pas une raison pour que je m'habille pas comme Alfred me l'avait demandé. Surtout qu'un peignoir en éponge était toujours accroché à une patère dans le hall à côté de l'entrée, pour que je puisse l'enfiler dans le cas ou j'aurais été obligée d'ouvrir la porte à un visiteur. J'enfilais donc, la nuisette noire mais translucide. Positionnais bien mes aréoles en face des fentes nouait lâchement les petits rubans. Ajustais mon porte-jarretelle, enfilais mes bas noirs, les lissais sur mes jambes fines. Le string était prohibé.* Fermais les attaches en posant un pied sur un tabouret. Je séchais ensuite mes longs cheveux presque blonds.
Les mouvements de la brosse et du sèche cheveux, faisaient remonter la nuisette bien plus haut que le porte jarretelle, découvrant largement ma chatte bien épilée, ainsi que mon ventre plat, je laissais repousser le petit triangle de poils ras au dessus de la fente de mon sexe. La séance de rasage avec Victor maniant le blaireau avait été divine**. Le brushing fini, je décidais de laisser ma chevelure flotter sur mes épaules, et enfilais le déshabillé, qui lui aussi ne cachait rien de mon corps. Mais en fin de compte j'aimais être ainsi vêtue et faire bander mes deux vieux. Je me dirigeais vers le bureau d'Alfred j'avais une lettre à taper. L'entrée du bureau donnait dans la salle à manger, la porte fenêtre ouverte... laissait entrer la clarté du soleil matinal, bizarre !! A peine la porte de la pièce franchie un ordre retenti.
« Pas un geste et pas un cri... Nous savons que tu es seule... »
Me signifia un homme maigre coiffé d'une casquette baseball, il me menaçait d'un pistolet. Un autre se trouvait derrière lui. C'était donc ça les bruits que j'avais entendu. Des cambrioleurs, ils avaient du se rincer l'œil pendant toute ma toilette, cachés dans le couloir. Une boule d'appréhension noua mon estomac. Ils avaient forcé la porte fenêtre donnant sur le jardin... Mais pourquoi l'alarme ne c'était-elle pas déclenchée ? Ils avaient du la neutraliser !
« Que me voulez-vous ?
- Comme si tu n'en avais aucune idée ! Tu es bien la secrétaire du vieux, et tu dois savoir ou il planque son fric dans cette maison, il doit en avoir un paquet... ! Va fermer la porte»
Ils avaient déjà une vue parfaite sur mon anatomie, la clarté du jour accentua la transparence des vêtements. J'entendis leurs sifflements admiratifs résonner dans la pièce.
« Reste là, c'est trop beau ! Si tu te balades ainsi devant les deux séniles, ils doivent être en érection toute la journée ! Alors, il est ou le fric ?
Je ne sais pas moi ! Il n'y a pas longtemps que je travaille ici »
Le mec au chapeau me donna une gifle.
« Je connais des méthodes pour la faire parler. Même si elle est rebelle, je peux t'assurer qu'elle deviendra vite aussi bavarde qu'une pie ! »
C'était l'autre, un gros chauve avec des lunettes de soleil qui venait de proférer ces menaces.
« Alors, pour la dernière fois, tu craches le morceau ? Ou dois-je laisser faire mon copain ?
Ce serait dommage de faire mal à une aussi jolie fille que toi. »
Disant cela, il s'approcha et me quitta le déshabillé. Je savais très bien qu'Alfred gardait une somme conséquente dans un coffre bien cachée derrière un tableau dans son bureau. Mais j'essayais de parlementer en leur racontant des salades...Ils écoutaient en secouant la tête, et en souriant sournoisement, ils se caressaient à travers leurs pantalons. Ils me laissèrent terminer mon laïus, et me dire que puisque je ne voulais pas coopérer de mon plein gré, c'était tant pis pour moi !
« Laisse lui la nuisette, c'est plus érotique. Et puis on dirait qu'elle a choisi ce vêtement pour ce que veux lui faire... »
Ils attachèrent mes bras au dessus de ma tête à une poutre du plafond à la française. La nuisette remonta sur mon ventre, leur offrant la vue de mon porte jarretelle encadrant mon sexe. Ma position bras tendus m'obligeait à avoir la poitrine en avant. Aussitôt les mains brulantes du gars à la casquette passèrent sous les lanières de mon porte jarretelle et il se mit à caresser la peau nue de mes cuisses. Il remonta un peu la droite et elle se plaqua sur mon mont de vénus qui se tendait vers eux. Je remuais mes hanches.
« On dirait que tu aimes ça, te faire tripoter ! »
Le gros chauve, défit les rubans qui fermaient les fentes de la nuisette laissant poindre mes mamelons. Il les écarta le tissu libérant mes aréoles, puis la totalité de mes seins. Il se mit à pétrir ma poitrine. Mes deux globes devinrent durs comme du marbre. Il titilla mes tétons qui ne cessaient de prendre du volume et de s'étirer mes aréoles se gonflèrent. Sa bouche vint se plaquer sur le bout de mes seins, je frissonnais. Je me traitais de salope, vu la façon dont mon corps commençait à réagir.
« Tu as vu les super dessous qu'elle a, cette nana ne demande qu'a jouir ! Tu vas parler, ou on va te violer !
Mais je n'en sais rien, je vous l'ai déjà dit...laissez-moi...!! »
L'homme se jeta alors sur moi, il couvrit ma poitrine de baisers, la lécha d'une langue baveuse. Puis il suça consciencieusement mes tétons qui semblaient vouloir éclater tellement ils répondaient à la caresse.
« Putain tu as vu ses mamelons, ils ont triplé de volume...!! »
Puis sa bouche descendit vers mon ventre, qu'il explora lentement avec sa langue.
« Alors tu vas te décider... »
Les mains passées sous les lanières de mon porte jarretelle, il s'agenouilla entre mes cuisses, sa langue titilla mon clitoris et ses lèvres lippues enserrèrent et sucèrent mon petit bouton rose, qui grossit et devint aussi dur que mes tétons. Il insinua un doigt, puis deux dans mon vagin...
Je commençais à gémir, mon bassin ondulait sous la caresse.
« Putain elle mouille ça lui plait...Mais tu vas parler salope ! Ou il va falloir qu'on aille plus loin »
Et disant cela, il farfouilla dans un sac à dos.
« Tu vois cette fine ficelle, elle est pleine de charme et de raffinement, tout au moins pour moi, j'en fait profiter les filles récalcitrantes comme toi ! Tes seins son vraiment adorables et vu leur longueur, tes tétons ont l'air vraiment sensibles à toutes les stimulations ! »
Ils se regardèrent, et ensemble, sortirent leurs sexes.
« Tu vois, tu me fais vraiment bander... »
Le gros s'approcha de moi, il me tira sur les mamelons, les suçant et les mordillant pour bien les étirer, lorsqu'il jugea leur longueur suffisante, il le enserra avec les cordelettes dont le bout était terminé par un petit nœud coulant genre, bijoux de sein. Il serra assez fortement ce qui les fit se dresser encore plus, je poussais un cri de douleur.
« Ouais, fait lui mal, fait la hurler dit son copain
Ça m'avait toujours excité que l'on tripote et malmène un tant soit peu les pointes de mes seins. Je sentais maintenant le foutre qui coulait le long de mes cuisses. Mes parois vulvaires palpitaient, ouvrant et fermant mes lèvres. Le gros chauve tout en me mettant deux doigts dans le vagin attrapa les ficelles pendant de mes seins. Ce qui comprima douloureusement mes tétons, les faisant saillir encore plus. Mais j'aimais cette douleur sourde qui irradiait mes seins, cela me faisait encore plus mouiller.
Mais tira deux ou trois fois assez fortement sur les cordelettes. Mes seins commençaient à me faire vraiment mal. La douleur commençait à devenir trop forte. Ils me décrivirent par le détail ce qu'ils me feraient si je ne leur disais pas ou se trouvait l'argent...je frissonnais... J'étais courageuse, mais seulement jusqu'à un certain point...Je cédais.
« L'argent se trouve dans un coffre dans le bureau, derrière le tableau représentant une mare .
Donnes la combinaison.... »
Je leur donnais le combinaison.
Le gros chauve détacha mes mamelons. Tout en passant deux doigts le long de ma fente.
« Putain, mes doigts sont trempes, elle a aimé ça la salope ! Mais je vais te donner, pour te remercier, une chose plus agréable mon chou !»
Sa bite énorme et tumescente à la main, il s'approcha de moi et me l'enfonça jusqu'au tréfonds du vagin, ses va et vient s'accélérant progressivement. Sa bouche se plaqua sur la mienne, sa langue, força mes lèvres...Le deuxième homme passa derrière moi et parti à l'assaut de mon anus, j'avais cessé de lutter, je poussais de petits cris de plaisir lorsqu'il me pénétra. Il malaxa mes mamelons meurtris, mais je sentais monter l'orgasme, j'explosais au moment ou je sentis leurs giclées chaudes se déverser à la fois dans mon vagin et dans mon orifice anal, la jouissance vint balayer toutes mes souffrances passées.
Ils raflèrent toutes les liasses de billets se trouvant dans le coffre. Au moment de partir, le gros coupa les cordes me liant à la poutre. Mes jambes tremblantes cédèrent, je tombais sur le plancher. Ils s'enfuirent en courant.
Au moment après, toujours frémissante, les bras autour de mes genoux ramenés sur ma poitrine, j'entendis arriver une voiture. On sonna. Alfred ? Non, il m'avait dit qu'il ne rentrait que tard ce soir , et puis il avait ses clefs.
D'une démarche hésitante, je me dirigeais vers la porte d'entrée, je sentais du sperme qui coulait de mes orifices...En tremblant j'enfilais le peignoir, nouais la ceinture d'une main hésitante. Je regardais à travers l'œilleton, un jeune homme se tenait sur le seuil. Je décrochais l'interphone.
« Oui, que voulez-vous ?
Police, votre alarme s'est déclenchée chez nous, mais faute d'effectif je n'ai pas pu venir avant...
Montrez-moi votre carte !! »
Le jeune policier s'exécuta, je le fis entrer. Un peu plus rassurée maintenant.
« Vous avez-été cambriolée ?
Oui, venez-voir... »
Je l'entrainais dans le bureau d'Alfred lui montrais le coffre vide. Il me regardait avec des yeux suspicieux. Je l'emmenais dans la salle à manger pour lui faire constater l'effraction sur la porte.
Il me dit gentiment de m'asseoir sur le divan, se mit en face de moi sur un fauteuil et me dit de lui raconter mon agression.
Il roulait des yeux étonnés, en m'écoutant, la tenue que je portais, la façon dont ils avaient procédé pour me faire avouer...je lui cachais que j'avais pris du plaisir...
Toute énervée, et ponctuant mon récit de gesticulations plus ou moins contrôlées, je ne m'étais pas aperçu qu'un pan du peignoir c'était ouvert sur ma cuisse dévoilant une large bande de peau au dessus de mon bas noir. J'avais aussi mal noué la ceinture et il commençait à béer largement sur ma poitrine. Je réalisais d'un coup que le jeune policier ne prenait plus de note, mais que ses yeux me parcouraient des pieds à la tête. Il semblait réfléchir, un sourire illumina son visage.
« Bien mademoiselle, il y a quand même un petit problème. Monsieur Alfred Delaroux lors de l'installation de son alarme, nous a donné les noms des résidents de cette maison. Vous n'y figurez pas !
Mais, il a du oublier, cela ne fait pas longtemps que je travaille ici !
Bien, montrez moi votre carte d'identité. Écoutez, je veux bien vous croire. Mais votre histoire me surprend. Qui me dit que vous n'êtes pas complice ? Il n'y a personne pour vous contredire. Avez-vous un numéro de téléphone ou l'on pourrait joindre Monsieur Delaroux ?
Hélas, non...Il n'a pas de portable et ne m'a pas laissé le numéro de l'hôtel ou il descendait. Mais il doit revenir en fin de soirée, il vous confirmera à ce moment là.
Bon, dans ces conditions, je vais vous demander de vous habiller et de me suivre au commissariat, je ne voudrais pas laisser s'échapper un éventuel suspect...Je vais laisser un mot expliquant la situation...lui demandant de venir nous rejoindre »
Je fus choquée, qu'il ne me croit pas. Mais effectivement ce qui m'était arrivé pouvait paraître aberrant, je ne portais aucun stigmate des violences que j'avais subi. Je me résignais donc à aller m'habiller et à le suivre.
Il était jeune, beau garçon, un plan germa dans mon esprit. J'allais perdre le reste de la journée, à attendre Alfred au commissariat ! Non...j'allais essayer de m'occuper... agréablement ! Un petit ange aux ailes blanches se matérialisa devant mes yeux et me dit d'une voix douce.
« Trixie, ce n'est pas bien ! Tu es une vrai nympho, tu tombes dans la luxure !! »
Aussitôt surgit un diablotin noir comme du charbon, qui d'une voix mielleuse s'adressa à moi.
« Mais non, il n'y a aucun mal à se faire du bien...et puis cette fois c'est toi qui décide, personne ne te force !! »
Le petit démon noir gagna la partie. Je me levais et me dirigeais vers ma chambre. Le flic me suivit. Restant à la porte. Je choisis une veste blanche, une jupe noire, j'hésitais à prendre un chemisier, mais je porterai la veste à même la peau. Je décidais de prendre de la lingerie blanche. Bas, porte-jarretelle, string, je choisi aussi un corset blanc dont le bas s'arrêtait bien au dessus de mon pubis, de longues lanières soutenaient les bas. Il n'avait pas de bonnets et laissait mes seins complètement libres. J'allais ensuite vers la salle de bain. Il m'emboîta le pas.
« Vous pouvez m'attendre dans le couloir...je ne vais pas m'échapper je prends une douche, je m'habille et je vous suis »
Je laissais la porte entrebâillée, il s'était positionné juste devant. Je me mis devant la glace, enlevais mon peignoir, lentement fit passer la nuisette par dessus ma tête, dégrafait mes bas et les quittait avec des manières de stripteaseuse...la porte s'entrebâilla plus avant. Je pris une douche. Je le vis en train de me mater dans la glace.
Je m'habillais lentement, arrangeant le haut du corset sous mes seins, enfilant langoureusement mon mini string qui ne « cachait » que le bas de ma chatte. J'entendais sa respiration s'accélérer derrière la porte. Je crus un moment qu'il allait entrer, mais il n 'en fit rien, il devait avoir peur de se faire surprendre par Alfred, s'il tentait quelque chose ici. Une fois prête, je sortis et lui signifiais que nous pouvions y aller.
Pendant tout le trajet, il lorgna sur mes cuisses, ou essaya de voir à l'intérieur de ma veste. Je voulais l'exciter encore plus, et le meilleur moyen d'y arriver, c'était de ne rien lui montrer pour l'instant et de le laisser sur sa faim.
Au poste de police, il me fit entrer dans une grande salle. Je remarquais aussitôt la cellule au fond, à l'intérieur, il y avait un lit et un lavabo. Mon regard fit le tour de la pièce. Il y avait trois bureaux, le sien vide, les deux autres étaient occupés par un homme qui devait être près de la retraite et avait l'air de s'ennuyer ferme et par un noir qui jouait à la console. Ils levèrent les yeux à notre entrée.
« Tu as l'air d'avoir attrapé une bien jolie voleuse, Nathan.
Non, pour l'instant, il n'y a aucune charge contre elle, mais par précaution en attendant le retour de Monsieur Delaroux, je préfère la garder ici. »
Il me conduisit dans la cellule me disant de m'asseoir sur le lit. Le lit était assez bas ma jupe remonta, laissant voir le haut des bas et les attaches du porte jarretelle, je ne fis rien pour la rabaisser.
« Je n'ai rien fait, je suis innocente... »
Les bureaux n'étaient pas très éloignés des barreaux du cachot. Leurs yeux s'allumèrent lorsqu'ils s'en aperçurent. J'avançais les fesses sur le rebord du lit, découvrant ma peau bronzée au dessus des bas. Depuis toute petite, j'avais le don de faire couler mes larmes, quand je le désirai. Cela m'avait évité bien souvent d'être grondée par mes parents et des punitions à l'école. Je fis donc semblant de pleurer, pour les attendrir. Je tripotais un bouton de ma veste et bien sûr, il sortit de sa boutonnière et la veste bailla sur ma poitrine.
Nathan voyant là une chance, de me séduire en me consolant, se précipita dans la cellule, s'assit sur le lit et me passa un bras autour des épaules. Le pan écarté de ma veste lui laissait apercevoir un sein, je sentis mon téton s'étirer sous le regard inquisiteur du jeune homme.
« Ne pleurez pas, Mademoiselle Trixie, je ne vous accuse de rien! Mais mettez vous à ma place, je risque gros si vous m'avez menti...surtout que vous m'avez dit que le vol était assez important... »
Avec des trémolos dans la voix, je lui dit que je comprenais, mais que c'était injuste me mettre en prison. Je posais ma tête sur son épaule en reniflant. Il me caressa les cheveux, il me fit une bise sur la joue, d'un mouvement de tête je me débrouillais pour que mes lèvres se retrouvent sur les siennes. Ma langue les força, il me rendit mon baiser. Puis sa bouche descendit le long de mon cou, tandis que sa main droite passait par l'échancrure de la veste pour me caresser le sein. Ma poitrine se tendit vers lui, il déboutonna entièrement la veste et écartant les pans, offrit mes seins pointant hors du bustier aux regards de ses collègues. Ils s'étaient approchés des barreaux et les avaient empoigné à deux mains, regardant la scène avec des yeux ronds. Nathan, sans s'occuper des voyeurs enleva ma veste, embrassa mes seins, les malaxa, tira, pinça mes mamelons. Je lui quittais sa chemise, léchant sa poitrine glabre, suçant à mon tour ses tétons qui eux aussi durcirent. Je débouclais la ceinture de son pantalon, le quitta en même temps que son slip. Son sexe tendu se retrouva à hauteur de ma bouche, j'ouvris les lèvres et le masturbant d'une main je l'avalais doucement, en regardant les deux autres policiers. Le noir avait sorti sa verge, qui pour une fois n'était si grosse que ça. Le vieux monsieur lui regardait, plutôt l'air gêné.
Nathan se coucha sur le lit. Je me tournais, pour continuer à enfourner son phallus dans ma cavité buccale, les jambes bien tendues, la jupe remontée autour de ma taille j'offrais une vue splendide de mes fesses à ses coéquipiers, la lanière du string ne cachant rien de la base de ma fente et de mon orifice anal.
Puis il me fit basculer à sa place sur le sommier et me quitta ma jupe. Se mettant sur le côté du matelas, il fit descendre doucement sur mes cuisses le mince triangle de tissu qui semblait être passé sous un robinet tant il était mouillé. Il m'écarta largement les jambes, pour offrir je pense la vue de ma chatte palpitante, trempée et largement ouverte à ses amis.
Je leur jetais un regard, le policier noir se masturbait plus vigoureusement. Nathan s'allongea entre mes jambes, les mains passées sous les lanières du corset tendues sur mes cuisses comme des cordes de guitare. Avec ses pouces il ouvrit largement mes lèvres vaginales et sa langue partit à l'exploration de ma vulve. Mon clitoris subit une multitude de succions, de mordillements qui chaque fois me tiraient des gémissements de plaisir. Le noir se masturbait avec de plus en plus de d'énergie. Tout en titillant mon petit bouton rose avec de petits attouchements du bout de sa langue, Nathan introduisit son index et son majeur dans mon vagin ruisselant. Je me caressais les seins avec vigueur, en regardant le noir avec des yeux langoureux, en passant ma langue sur mes lèvres. Le jeune homme voyant mon regard et mon petit jeu, se mit à me faire un doigter extrêmement rapide et appuyé. Cela me fit hoqueter de plaisir.
«C'est moi qui te baises, pas lui... »
Légèrement en colère, il se coucha sur le lit, les jambes pendantes, les pieds posés sur le sol. Il me fit accroupir sur le matelas au dessus de lui jambes bien écartées face à son collègue, et me demanda de descendre lentement sur sa queue raide et droite, une fois bien empalée il me passa les mains sous les fesses me soulevant et me laissant retomber sur ses cuisses. Je râlais de bonheur. Le téléphone sonna, le vieux policier décrocha, au bout d'un moment il s'adressa au noir qui tétanisé se masturbait fortement .
« Viens Bakkri, on nous demande en intervention, vite...
- Oui, oui deux minutes, va à la voiture je te rejoins... »
Disant cela, il pénétra dans la cellule, et s'approcha de nous. Il était prêt à éjaculer. Il mit sa bite sur mes seins; et libéra sa semence en de grandes contractions.
« Tiens poupée, prends ça, et ça....et encore ça...putain que tu es belle....Si j'avais su...je serai allé voir pourquoi cette alarme c'était déclenchée...je regrette...de ne pas avoir saisis ma chance !! »
Son sperme, coulait sur mes deux seins, j'en frottait le bout de mes tétons et suçait mes doigts.
« Alors !! Tu arrives Bakkri... »
Le noir à regret sorti en reculant, ne nous perdant pas des yeux tant qu'il n'eut pas franchi la porte.
Nous étions seuls...Nathan tenait une bonne cadence, puis les bras endoloris, il me fit basculer sur le coté. Me fit poser la jambe droite sur son épaule, ce qui facilitait l'insertion de sa verge. Je lui demandais de me sodomiser.
« Mais je n'ai jamais fait ça à une fille !!
Fais le tu vas voir, je suis sûre que tu vas adorer, moi ce n'est pas la première fois...je souris en pensant aux sexes énormes qui m'avaient prise ainsi... »
Avec une infini douceur, son sexe s'enfonça entre mes parois anales, voyant que je ne disais rien, mais qu'au contraire je l'encourageais à aller de l'avant il s'enhardit et commença à me labourer à grand coups de reins...
Effectivement cela eut l'air de lui plaire, la cadence de ses pénétrations ne faiblissait pas. Je fermais les yeux toute à mon plaisir. L'air de la pièce vibrait de l'écho de nos gémissements, gloussements, râles et diverses exclamations. J'appréciais cela durait longtemps.
J'ouvris les yeux...Alfred était là devant nous, me regardant tendrement à travers les barreaux. Nous ne l'avions pas entendu arriver. Comment était-il entré ? Bakkri tellement perturbé avait du oublier de fermer la porte à clef en partant.
« Alfred...,!!
- Oui, la porte était ouverte et je suis entré !
- Qui est-ce....??
- Mon patron...
- Mince alors... Je... je... crois que je vais jouir...!! »
Nathan paniqué par cette intrusion, sortit sa verge d'une main. Alfred put admirer son éjaculation, un jet de sperme s'éleva pour finir sa course sur le bas de mon bustier. Puis les saccades suivantes se déversèrent autour de mon vagin, poissant mon mont de venus épilé du liquide chaud.
Fixant Alfred, j'attrapais le sexe de Nathan, le frottait dans le suc visqueux, j'envoyais des lèvres un baiser à mon vieux patron, et enfilait le phallus encore raide dans ma chatte, j'avançais le bassin pour bien le faire pénétrer, j'étais moi aussi au bord de la jouissance, au bout de quatre ou cinq poussées, j'explosais à mon tour, embrassant le jeune homme à pleine bouche...
Un long moment après, Alfred confirma bien que je travaillais chez lui, qu'il se portait garant de moi. Et bras dessus nous quittâmes le poste de police.
Alfred me demanda si les voyous ne m'avaient pas fait du mal. Il ne me tînt pas rigueur d'avoir cédé, pour lui l'argent n'était pas aussi important que moi.
A suivre ...
* Voir : « Le Majordome »
** Voir : « Le puceau »
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