Trois minutes – A la maison
Récit érotique écrit par phidnsx [→ Accès à sa fiche auteur]
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Trois minutes – A la maison
On est affalés sur le canapé, encore un peu sonnés par le vin, par la soirée, par cette fatigue douce qui donne envie de ne rien faire. Elle est à côté de moi, jambes croisées, son pied nu qui frôle distraitement ma jambe sans vraiment y penser. Ou peut-être que si. Avec elle, on sait jamais.
On parle de tout et de rien. Et puis, sans prévenir, elle me regarde. Mais vraiment. Ce genre de regard où tu sens qu’elle est déjà en train de planifier un truc.
- Tu crois que je peux te faire bander sans te toucher ?
- Pardon ?
Elle sourit. Calme. Fière d’elle. Elle penche un peu la tête et précise :
- Trois minutes. Sans contact. Rien. Pas un doigt. Et à la fin, t’auras qu’une envie : me sauter dessus.
Je la fixe. Elle ne blague pas. Elle ne provoque pas pour rire. Elle lance un défi.
Je me cale un peu mieux contre le dossier. Je retiens un sourire.
- T’as trois minutes.
Elle a fait un pas. Puis un autre. Et dans chacun de ses mouvements, dans chaque mètre qu’elle réduisait entre nous, il y avait… quelque chose. Un poids. Une promesse.
Elle est pieds nus. Débardeur blanc. Petit short qui épouse trop bien ses hanches. Mais ce n’est pas ce qu’elle porte qui me rend fou. C’est ce qu’elle dégage. Cette manière de se mouvoir comme si elle était déjà en moi. Cette confiance insolente, déconcertante, excitante.
Elle ne parle pas. Elle s’approche. Elle reste à cinquante centimètres. Pas plus. Je sens son parfum. Elle fait mine de s’étirer, bras levés au-dessus de sa tête. Ses seins se tendent sous le tissu. Son ventre se découvre un peu. Elle bâille, faussement innocente.
- Tu sais ce qui m’excite chez toi, Marc ? C’est pas tes mains. C’est pas ta bouche. C’est ce moment, juste avant, où je sais que tu luttes pour ne pas craquer. Ce moment où tu me regardes avec ce regard-là. Celui que t’as maintenant.
Je la regarde comme un fauve en cage.
Trois minutes… Et je ne peux pas la toucher.
Elle tourne autour de moi maintenant. Je ne bouge pas. Je la suis juste du regard. Elle arrive dans mon dos. Je sens sa présence. Elle se penche à mon oreille. Son souffle, à peine un souffle, effleure ma peau.
- T’as déjà fantasmé sur moi pendant un dîner ?
- …
- Quand je porte cette robe noire, celle qui s’arrête juste au-dessus de la cuisse. Tu l’as déjà imaginée glisser lentement pendant que je monte sur toi, sans culotte, sans prévenir ?
Je serre les dents. Ma mâchoire se tend. Je sens mon sexe se réveiller, lourd, impatient.
- Ou quand je te parle à l’oreille dans une soirée. Tu te demandes si, sous ma robe, je suis mouillée ? Tu te demandes si je pourrais t’emmener dans les toilettes. T’embrasser contre le mur. M’asseoir sur toi. Lentement. Et ne pas faire de bruit. Ou presque
Elle se redresse, passe devant moi. Ses hanches ondulent à peine. Juste ce qu’il faut. Elle s’assoit sur le bord du lit, à trois pas. Les jambes écartées. Son short a glissé. Le tissu remonte un peu. Pas de culotte. Putain.
- T’imagines ce que ça te ferait si je commençais à me caresser là, maintenant, juste du bout des doigts ? Tu me regarderais faire ? Ou tu viendrais m’arrêter ?
Je suis déjà dur. Raide. Mon sexe pousse contre mon jean comme s’il voulait sortir. Elle le voit. Elle le savoure. Elle laisse tomber une bretelle. Puis l’autre. Ses seins apparaissent. Pas offerts. Juste là. Comme si c’était normal. Elle se penche un peu en avant. Ses coudes sur ses genoux. Ses seins bougent. Elle me fixe. Féroce.
- Tu veux me sauter, là, tout de suite, pas vrai ?
- …
Je suis muet. Mon souffle est court. J’ai chaud. Ma fierté s’est tirée dès sa première phrase. Elle se lève. Elle s’avance à nouveau. Dix centimètres. Je pourrais plonger le visage entre ses seins. Je pourrais l’attraper par les hanches, la soulever, la prendre contre le mur.
Mais je ne bouge pas.
Elle baisse les yeux vers mon entrejambe. Puis remonte vers mon regard. Et là, elle murmure, presque en chuchotant :
- Trois minutes.
Elle tourne les talons. Elle quitte la pièce. Je mate son cul. Et son cul… putain. Rien que ça, ça mériterait une médaille.
Et moi, je reste là. Bandé. Frustré. Englué dans un mélange de désir et de tension. Prêt à exploser.
Trois putains de minutes. Et elle m’a désossé.
On parle de tout et de rien. Et puis, sans prévenir, elle me regarde. Mais vraiment. Ce genre de regard où tu sens qu’elle est déjà en train de planifier un truc.
- Tu crois que je peux te faire bander sans te toucher ?
- Pardon ?
Elle sourit. Calme. Fière d’elle. Elle penche un peu la tête et précise :
- Trois minutes. Sans contact. Rien. Pas un doigt. Et à la fin, t’auras qu’une envie : me sauter dessus.
Je la fixe. Elle ne blague pas. Elle ne provoque pas pour rire. Elle lance un défi.
Je me cale un peu mieux contre le dossier. Je retiens un sourire.
- T’as trois minutes.
Elle a fait un pas. Puis un autre. Et dans chacun de ses mouvements, dans chaque mètre qu’elle réduisait entre nous, il y avait… quelque chose. Un poids. Une promesse.
Elle est pieds nus. Débardeur blanc. Petit short qui épouse trop bien ses hanches. Mais ce n’est pas ce qu’elle porte qui me rend fou. C’est ce qu’elle dégage. Cette manière de se mouvoir comme si elle était déjà en moi. Cette confiance insolente, déconcertante, excitante.
Elle ne parle pas. Elle s’approche. Elle reste à cinquante centimètres. Pas plus. Je sens son parfum. Elle fait mine de s’étirer, bras levés au-dessus de sa tête. Ses seins se tendent sous le tissu. Son ventre se découvre un peu. Elle bâille, faussement innocente.
- Tu sais ce qui m’excite chez toi, Marc ? C’est pas tes mains. C’est pas ta bouche. C’est ce moment, juste avant, où je sais que tu luttes pour ne pas craquer. Ce moment où tu me regardes avec ce regard-là. Celui que t’as maintenant.
Je la regarde comme un fauve en cage.
Trois minutes… Et je ne peux pas la toucher.
Elle tourne autour de moi maintenant. Je ne bouge pas. Je la suis juste du regard. Elle arrive dans mon dos. Je sens sa présence. Elle se penche à mon oreille. Son souffle, à peine un souffle, effleure ma peau.
- T’as déjà fantasmé sur moi pendant un dîner ?
- …
- Quand je porte cette robe noire, celle qui s’arrête juste au-dessus de la cuisse. Tu l’as déjà imaginée glisser lentement pendant que je monte sur toi, sans culotte, sans prévenir ?
Je serre les dents. Ma mâchoire se tend. Je sens mon sexe se réveiller, lourd, impatient.
- Ou quand je te parle à l’oreille dans une soirée. Tu te demandes si, sous ma robe, je suis mouillée ? Tu te demandes si je pourrais t’emmener dans les toilettes. T’embrasser contre le mur. M’asseoir sur toi. Lentement. Et ne pas faire de bruit. Ou presque
Elle se redresse, passe devant moi. Ses hanches ondulent à peine. Juste ce qu’il faut. Elle s’assoit sur le bord du lit, à trois pas. Les jambes écartées. Son short a glissé. Le tissu remonte un peu. Pas de culotte. Putain.
- T’imagines ce que ça te ferait si je commençais à me caresser là, maintenant, juste du bout des doigts ? Tu me regarderais faire ? Ou tu viendrais m’arrêter ?
Je suis déjà dur. Raide. Mon sexe pousse contre mon jean comme s’il voulait sortir. Elle le voit. Elle le savoure. Elle laisse tomber une bretelle. Puis l’autre. Ses seins apparaissent. Pas offerts. Juste là. Comme si c’était normal. Elle se penche un peu en avant. Ses coudes sur ses genoux. Ses seins bougent. Elle me fixe. Féroce.
- Tu veux me sauter, là, tout de suite, pas vrai ?
- …
Je suis muet. Mon souffle est court. J’ai chaud. Ma fierté s’est tirée dès sa première phrase. Elle se lève. Elle s’avance à nouveau. Dix centimètres. Je pourrais plonger le visage entre ses seins. Je pourrais l’attraper par les hanches, la soulever, la prendre contre le mur.
Mais je ne bouge pas.
Elle baisse les yeux vers mon entrejambe. Puis remonte vers mon regard. Et là, elle murmure, presque en chuchotant :
- Trois minutes.
Elle tourne les talons. Elle quitte la pièce. Je mate son cul. Et son cul… putain. Rien que ça, ça mériterait une médaille.
Et moi, je reste là. Bandé. Frustré. Englué dans un mélange de désir et de tension. Prêt à exploser.
Trois putains de minutes. Et elle m’a désossé.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau texte erotique et sensuel au possible. Daniel
Chouette concept. Un peut trop court peut etre. Mais sa a l'air d'etre le but.
Bonjour,
J’aime beaucoup ce que vous écrivez aussi!
Je n’ai pas reçu votre email….
Voici la mienne : g h i d f a i x AT g m a i l . c o m
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Je n’ai pas reçu votre email….
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