Trois minutes chrono
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 201 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trois minutes chrono
Trois minutes chronoDialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Je sais qu’on se connaît depuis une heure à peine. Seulement on s’entend super bien, je m’aperçois qu’avec toi on peut discuter de cul sans complexe. Et…— Et tu aurais quelque chose à me proposer. Vas-y, pas la peine de t’encombrer d’une longue intro, tu peux me dire direct sans m’en faire tout un poème.
— Ça tombe bien, c’est une proposition d’urgence. Si tu as remarqué, la rame vient de repartir et il y a absolument personne d’autre que nous dans le wagon. Est-ce que tu aurais envie… ?
— Tu connais bien cette ligne ? Il y en a pour trois minutes à peine. Tu es capable de me baiser en un temps si court ? Quelque part ça me décevrait.
— Je pensais plutôt à une pipe.
— J’aurais dû m’en douter.
— Tu ne veux pas ?
— Je veux bien. Vite, installe-toi.
— Super top. J’ADORE les filles comme toi. … Ohhhh… Vas-y, mets bien tout au fond….
— Mmm… Mais pourquoi les garçons veulent toujours qu’on enfourne tout ? Vous feriez bien de comprendre que le gros des sensations, c’est sur le gland. Regarde, ou plutôt ressens.
— … Hhhmmm…— Tu vois ? Je suce juste le gland rien de plus, et encore pas sur toute la surface. Plus c’est vers le sommet, plus tu aimes. Ça va être encore mieux si je suçote le sommet. Vérification…— HHHHouiiii t’as raison.
— Là où c’est le plus sensible, c’est là où il y a le plus de terminaisons nerveuses. Pareil pour les couilles. De tes parties, c’est le gland et les couilles qui te font le plus mal en cas de choc. Du coup, c’est aussi les parties qui t’apportent le plus de plaisir lors de ces petites cajoleries. Attends je te montre…— Ooooh ouaaais… J’aurais pas cru que les tes… ticules ce serait aussi… hhh…— Et là où je mets mon doigt c’est le must. Attends que je me faufile… voilà, c’est là. Ce point entre les parties et l’anus, c’est une zone érogène que les hommes ignorent. Et dont les filles ne s’occupent presque jamais. T’es pas assez déshabillé pour ça, mais si je te le léchais tu verrais un peu l’effet.
— D’accord d’accord mais… heu, est-ce qu’il pourrait y avoir un peu moins de paroles et un peu plus d’action ? Heu… Pourquoi tu remballes ?
— Le temps est écoulé. Je t’ai dit, je connais bien cette ligne, dans dix secondes on arrive à la station. Je suis une coquine je sais, c’est pas pour ça que je souhaite donner dans l’exhibitionnisme. Il pourrait y avoir des enfants. Remonte-nous tout ça, vite.
— Tu n’avais pas vraiment envie de le faire. Tu as dit oui juste pour me faire plaisir.
— Tu rigoles ? J’adore sucer. Pas grave si j’ai pas eu le temps de te le faire jusqu’au bout, au moins j’aurais un peu fait ton éducation.
— Si tu adores, tu aurais pu écourter ton discours. C’était une occasion unique !
— Unique pour toi, pas pour moi. Toi, tu n’as pas systématiquement une fille sous le coude pour te pomper. Moi, des bites à sucer j’en ai autant que je veux, quel que soit l’heure et le quartier. Je peux me faire un délire avec un mec, deux, trois. À n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, en pleins d’endroits, avec un blond, un brun, un roux, un grand, un petit… Un gland d’égaré, cent de retrouvés. Et si tu es jaloux, tu n’as qu’à devenir gay !
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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— Je sais qu’on se connaît depuis une heure à peine. Seulement on s’entend super bien, je m’aperçois qu’avec toi on peut discuter de cul sans complexe. Et…— Et tu aurais quelque chose à me proposer. Vas-y, pas la peine de t’encombrer d’une longue intro, tu peux me dire direct sans m’en faire tout un poème.
— Ça tombe bien, c’est une proposition d’urgence. Si tu as remarqué, la rame vient de repartir et il y a absolument personne d’autre que nous dans le wagon. Est-ce que tu aurais envie… ?
— Tu connais bien cette ligne ? Il y en a pour trois minutes à peine. Tu es capable de me baiser en un temps si court ? Quelque part ça me décevrait.
— Je pensais plutôt à une pipe.
— J’aurais dû m’en douter.
— Tu ne veux pas ?
— Je veux bien. Vite, installe-toi.
— Super top. J’ADORE les filles comme toi. … Ohhhh… Vas-y, mets bien tout au fond….
— Mmm… Mais pourquoi les garçons veulent toujours qu’on enfourne tout ? Vous feriez bien de comprendre que le gros des sensations, c’est sur le gland. Regarde, ou plutôt ressens.
— … Hhhmmm…— Tu vois ? Je suce juste le gland rien de plus, et encore pas sur toute la surface. Plus c’est vers le sommet, plus tu aimes. Ça va être encore mieux si je suçote le sommet. Vérification…— HHHHouiiii t’as raison.
— Là où c’est le plus sensible, c’est là où il y a le plus de terminaisons nerveuses. Pareil pour les couilles. De tes parties, c’est le gland et les couilles qui te font le plus mal en cas de choc. Du coup, c’est aussi les parties qui t’apportent le plus de plaisir lors de ces petites cajoleries. Attends je te montre…— Ooooh ouaaais… J’aurais pas cru que les tes… ticules ce serait aussi… hhh…— Et là où je mets mon doigt c’est le must. Attends que je me faufile… voilà, c’est là. Ce point entre les parties et l’anus, c’est une zone érogène que les hommes ignorent. Et dont les filles ne s’occupent presque jamais. T’es pas assez déshabillé pour ça, mais si je te le léchais tu verrais un peu l’effet.
— D’accord d’accord mais… heu, est-ce qu’il pourrait y avoir un peu moins de paroles et un peu plus d’action ? Heu… Pourquoi tu remballes ?
— Le temps est écoulé. Je t’ai dit, je connais bien cette ligne, dans dix secondes on arrive à la station. Je suis une coquine je sais, c’est pas pour ça que je souhaite donner dans l’exhibitionnisme. Il pourrait y avoir des enfants. Remonte-nous tout ça, vite.
— Tu n’avais pas vraiment envie de le faire. Tu as dit oui juste pour me faire plaisir.
— Tu rigoles ? J’adore sucer. Pas grave si j’ai pas eu le temps de te le faire jusqu’au bout, au moins j’aurais un peu fait ton éducation.
— Si tu adores, tu aurais pu écourter ton discours. C’était une occasion unique !
— Unique pour toi, pas pour moi. Toi, tu n’as pas systématiquement une fille sous le coude pour te pomper. Moi, des bites à sucer j’en ai autant que je veux, quel que soit l’heure et le quartier. Je peux me faire un délire avec un mec, deux, trois. À n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, en pleins d’endroits, avec un blond, un brun, un roux, un grand, un petit… Un gland d’égaré, cent de retrouvés. Et si tu es jaloux, tu n’as qu’à devenir gay !
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