Trois petites histoires de sexe.
Récit érotique écrit par Merluzzo666 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Trois petites histoires de sexe.
1. Pour toi je me fais belle.
A un peu de lingerie, tu succombera ma belle Dinanta. Mes formes vulgaires, je les mettraient en valeur grâce aux artifices de la féminité, grâce à des bas en dentelle noire, un string faisant ressortir mes fesses, peu de vêtements, tout pour que tu succombes au premier regard que tu fera glisser sur moi. Tes beaux yeux me déshabilleront, et je suis certaine de pouvoir distinguer l'envie en eux, tu n'auras alors qu'à ordonner à tes mains de déshabiller ta Francesca, elle ne résistera pas et se laissera dévoiler, jusqu'à l'impudeur.
Puis viendra sans nul doute la timidité, celle d'une femme n'osant aimer une autre femme, pourtant offerte sans tabous, cette timidité disparaîtra avec notre première étreinte, mes mains glisseront sur tes hanches, remonteront effleurer tes seins divins, mes lèvres déposeront mille baisers sur ton cou, sur tes joues, ton front, tes propres lèvres. N'espères pas résister ma belle Dinanta, il est ici question d'un baiser de ta Francesca.
----------2. La Blonde, la Brune, Lui.
La blonde entre dans le salon d'un pas de mannequin, la nuisette bleue glisse à ses pieds, elle exhibe sa nudité sans pudeur, ses cuisses luisent de sa cyprine, elle lance un regard de défi à la brune, qui ne peut que rester bouche bée devant le spectacle. La blonde enjambe l'accoudoir du fauteuil dans lequel est assit la brune, elle monte sur elle à califourchon et passe ses bras autour du cou de sa chérie. Frottant son ventre contre la poitrine de la brune, elle ne cesse d'échapper à ses baisers, pour la plonger dans un état de frustration qui lui fera faire des choses honteuses. Mais les mains de la brune pétrissent brutalement les fesses de la blonde qui gémie bruyamment, elle se cambre, prend le visage de la brune entre ses mains et lui lèche le visage, la blonde mouille comme une folle, elle sent les doigts de la brune fouiller son anus, dilaté par un excès de godemiché, elle la sent pincer les lèvres gonflées de sa vulve, la brune sait y faire pour faire jouir sa blonde.
La brune s'applique à mordiller les tétons de la blonde, ils sont durs, et elle tire dessus sans peur de blesser sa chérie, toujours avide de ses coups de dents. La brune à déjà trois doigts dans le sexe mouillé d'amour de la blonde, et son pouce appuie sur son anus qu'elle a découvert savoureux, la blonde lui murmure des obscénités, la brune la doigte plus fort, lui arrachant des râles, elle aime lécher la peau de la blonde, et cette dernière se laisse glisser aux pieds de la brune, qui fait passer ses jambes par-dessus les accoudoirs, offrant sans pudeur un sexe brunie par mille orgasmes, un sexe gonflé d'envie. Elle voit les yeux fous de la blonde, qui se jette sur la friandise odorante. La brune se tord sur le fauteuil, sentant la langue gourmande laper son jus salé. Pour la faire jouir, la brune sait que personne n'est plus douée que sa blonde.
La Blonde repousse la Brune sur le lit, et la belle voluptueuse n'a pas le temps de protester qu'elle à le souffle coupé par la chute, docile elle ouvre ses cuisses et frémie de désir en admirant la parfaite nudité de la Blonde. Elle pousse un cri de fausse panique en voyant la Blonde prendre son élan pour se jeter sur elle, et le corps souple s'étend doucement sur le sien. Seins contre seins, chatte contre chatte, les deux femmes restent un instant ainsi, immobiles, à sentir le corps brûlant de l'autre. Puis la Brune passe ses mains dans les cheveux de la Blonde, attire son visage contre le sien pour l'embrasser, sans aucun romantisme, juste avec une faim terrible de sa salive, de la douceur de ses lèvres, elles s'embrassent goulûment, la blonde frotte son ventre et ses cuisses contre le corps sensuel de la Brune, elles s'embrassent sans pouvoir stopper cette envie commune de se priver de souffle, et puis soudain… La Brune pousse un long râle, une plainte tellement excitante que la Blonde jouie aussi. Lui est là, entre leurs cuisses ouvertes, avec la vision de leurs sexes gonflés et brunies par des heures et des jours de doigtage sauvage. Lui est là entre leurs cuisses, et ses doigts fouillent les deux sexes en même temps, produisant un clapotis bruyant alors qu'il accomplit ses va et vient. La Brune jouie encore, et la Blonde l'embrasse, Lui prépare ces deux coquillages magnifiques, il les doigtes de plus en plus vite, maîtrisant les orgasmes de ses deux femmes, et au moment où l'une va jouir, il stoppe pour se consacrer à l'autre. Il ne lui faut que quelques instants pour provoquer leur frustration et des grognements tourmentés, mais il continue, car il sent leurs odeurs intimes se mêler, il voit les croupes onduler, les sexes ruisseler, Lui sait ce qui est bon pour ses femmes.
Etendue sur la Brune, la Blonde pleure de bonheur, et ses larmes sont léchées par la Brune, qui pleure aussi d'être ainsi aimée. Elles savent que la jouissance durera longtemps, et qu'elle ne seront rassasiées qu'un instant, ensuite il leur faudra recommencer, encore et encore. Lui entends leurs mots d'amour, il sourit et vient s'allonger à côté d'elles, la Blonde et la Brune sourient et viennent se mettre de chaque côté de lui, leurs mains se joignant sur son sexe tendu…
----------3. Chatte.
Miaule pour moi encore une fois, cries ton bonheur de jouir intensément et sans limite. J'ai fantasmé sur toi il y a peu, en découvrant quelques photos que je n'avais vu de toi, Alix. Mes fantasmes étaient brûlants, très sûrement comme tu dois l'être dans l'amour et plus encore dans la frénésie du sexe sans tabou. Tu ne peux nier être une source de fantasmes nombreux et variés, le mien que tu as fais naître un après-midi pluvieux consistait en toi dans la rue, te déhanchant exagéremment avec un taille ultra basse, un string ficelle vert dépassant, un top moulant deux poires réclamant d'être croquées. Quel spectacle cette Alix fantasmé m'a offert! Et je me suis imaginé te suivre, une légère robe blanche sur mon corps affamé du tiens. Te suivre dans une galerie marchande, t'observer discrètement en sachant que tu avais conscience de ma présence. Je me suis imaginé te voir entrer dans une boutique de lingerie, examiner des strings, des bas, un corset, et crois bien que durant cette fiévreuse après-midi de fantasme félin, mes doigts étaient comme fous, m'arrachant des râles gourmands et envieux de tes charmes. Au moment d'entrer dans la cabine d'essayage, tes yeux verts se sont posés sur moi, l'invitation tant attendue que je me suis empressée d'accepter… La suite? Demande et tu l'aura.
Le coup d'oeil est une invitation, le déhanchement provoquant s'accentue et je suis attirée par la ficelle verte de ton string dépassant de ton taille basse. J'entre dans la boutique, me faufile entre les clientes pour approcher de la cabine, il n'y a qu'une tenture qui nous sépare, je peux distinguer un pied nu, une main délicieusement fine, un léger parfum. Et puis il y a ton visage, beau tel celui d'un ange, les yeux verts qui me fixent, ta voix m'hypnotise, tu m'invite à te rejoindre. J'obéis, j'obéis toujours aux belles femmes. Tu n'es vêtue que de ton string, et ton corps est un appel pour mon être, je perd la tête, mes mains te poussent contre la cloison, mes lèvres se posent sur les tiennes, ma langue trouve la tienne, mon corps semble si disgrâcieux en comparaison de tes courbes idéales, mais il te fait savoir qu'il a envie de toi, ma main glisse vers la moiteur de ton string, ton parfum intime, je le respire et vacille, tellement il est appêtissant, riche en promesse. Je te retourne, tu te cambres, écartant les cuisses tandis que je tombe à genoux sur la moquette, tes fesses sont fermes, rondes et parfaites, j'écarte la ficelle pour les lécher, pour que ma langue laisse un sillon de salive ruisseler le long de ta raie, jusqu'à ton anus serré, dans lequel je glisse un doigt. Mon autre main vient flatter ta vulve trempée, il y a un amusant clapotis quand mes doigts te fouillent, mais vite couvert par tes gémissements. Je te lèche ainsi à l'orgasme, avant de me retirer pour t'attendre à l'extérieur, et te voir une nouvelle fois habillée, provoquante et prête pour une nuit de sexe et de tendresse.
A un peu de lingerie, tu succombera ma belle Dinanta. Mes formes vulgaires, je les mettraient en valeur grâce aux artifices de la féminité, grâce à des bas en dentelle noire, un string faisant ressortir mes fesses, peu de vêtements, tout pour que tu succombes au premier regard que tu fera glisser sur moi. Tes beaux yeux me déshabilleront, et je suis certaine de pouvoir distinguer l'envie en eux, tu n'auras alors qu'à ordonner à tes mains de déshabiller ta Francesca, elle ne résistera pas et se laissera dévoiler, jusqu'à l'impudeur.
Puis viendra sans nul doute la timidité, celle d'une femme n'osant aimer une autre femme, pourtant offerte sans tabous, cette timidité disparaîtra avec notre première étreinte, mes mains glisseront sur tes hanches, remonteront effleurer tes seins divins, mes lèvres déposeront mille baisers sur ton cou, sur tes joues, ton front, tes propres lèvres. N'espères pas résister ma belle Dinanta, il est ici question d'un baiser de ta Francesca.
----------2. La Blonde, la Brune, Lui.
La blonde entre dans le salon d'un pas de mannequin, la nuisette bleue glisse à ses pieds, elle exhibe sa nudité sans pudeur, ses cuisses luisent de sa cyprine, elle lance un regard de défi à la brune, qui ne peut que rester bouche bée devant le spectacle. La blonde enjambe l'accoudoir du fauteuil dans lequel est assit la brune, elle monte sur elle à califourchon et passe ses bras autour du cou de sa chérie. Frottant son ventre contre la poitrine de la brune, elle ne cesse d'échapper à ses baisers, pour la plonger dans un état de frustration qui lui fera faire des choses honteuses. Mais les mains de la brune pétrissent brutalement les fesses de la blonde qui gémie bruyamment, elle se cambre, prend le visage de la brune entre ses mains et lui lèche le visage, la blonde mouille comme une folle, elle sent les doigts de la brune fouiller son anus, dilaté par un excès de godemiché, elle la sent pincer les lèvres gonflées de sa vulve, la brune sait y faire pour faire jouir sa blonde.
La brune s'applique à mordiller les tétons de la blonde, ils sont durs, et elle tire dessus sans peur de blesser sa chérie, toujours avide de ses coups de dents. La brune à déjà trois doigts dans le sexe mouillé d'amour de la blonde, et son pouce appuie sur son anus qu'elle a découvert savoureux, la blonde lui murmure des obscénités, la brune la doigte plus fort, lui arrachant des râles, elle aime lécher la peau de la blonde, et cette dernière se laisse glisser aux pieds de la brune, qui fait passer ses jambes par-dessus les accoudoirs, offrant sans pudeur un sexe brunie par mille orgasmes, un sexe gonflé d'envie. Elle voit les yeux fous de la blonde, qui se jette sur la friandise odorante. La brune se tord sur le fauteuil, sentant la langue gourmande laper son jus salé. Pour la faire jouir, la brune sait que personne n'est plus douée que sa blonde.
La Blonde repousse la Brune sur le lit, et la belle voluptueuse n'a pas le temps de protester qu'elle à le souffle coupé par la chute, docile elle ouvre ses cuisses et frémie de désir en admirant la parfaite nudité de la Blonde. Elle pousse un cri de fausse panique en voyant la Blonde prendre son élan pour se jeter sur elle, et le corps souple s'étend doucement sur le sien. Seins contre seins, chatte contre chatte, les deux femmes restent un instant ainsi, immobiles, à sentir le corps brûlant de l'autre. Puis la Brune passe ses mains dans les cheveux de la Blonde, attire son visage contre le sien pour l'embrasser, sans aucun romantisme, juste avec une faim terrible de sa salive, de la douceur de ses lèvres, elles s'embrassent goulûment, la blonde frotte son ventre et ses cuisses contre le corps sensuel de la Brune, elles s'embrassent sans pouvoir stopper cette envie commune de se priver de souffle, et puis soudain… La Brune pousse un long râle, une plainte tellement excitante que la Blonde jouie aussi. Lui est là, entre leurs cuisses ouvertes, avec la vision de leurs sexes gonflés et brunies par des heures et des jours de doigtage sauvage. Lui est là entre leurs cuisses, et ses doigts fouillent les deux sexes en même temps, produisant un clapotis bruyant alors qu'il accomplit ses va et vient. La Brune jouie encore, et la Blonde l'embrasse, Lui prépare ces deux coquillages magnifiques, il les doigtes de plus en plus vite, maîtrisant les orgasmes de ses deux femmes, et au moment où l'une va jouir, il stoppe pour se consacrer à l'autre. Il ne lui faut que quelques instants pour provoquer leur frustration et des grognements tourmentés, mais il continue, car il sent leurs odeurs intimes se mêler, il voit les croupes onduler, les sexes ruisseler, Lui sait ce qui est bon pour ses femmes.
Etendue sur la Brune, la Blonde pleure de bonheur, et ses larmes sont léchées par la Brune, qui pleure aussi d'être ainsi aimée. Elles savent que la jouissance durera longtemps, et qu'elle ne seront rassasiées qu'un instant, ensuite il leur faudra recommencer, encore et encore. Lui entends leurs mots d'amour, il sourit et vient s'allonger à côté d'elles, la Blonde et la Brune sourient et viennent se mettre de chaque côté de lui, leurs mains se joignant sur son sexe tendu…
----------3. Chatte.
Miaule pour moi encore une fois, cries ton bonheur de jouir intensément et sans limite. J'ai fantasmé sur toi il y a peu, en découvrant quelques photos que je n'avais vu de toi, Alix. Mes fantasmes étaient brûlants, très sûrement comme tu dois l'être dans l'amour et plus encore dans la frénésie du sexe sans tabou. Tu ne peux nier être une source de fantasmes nombreux et variés, le mien que tu as fais naître un après-midi pluvieux consistait en toi dans la rue, te déhanchant exagéremment avec un taille ultra basse, un string ficelle vert dépassant, un top moulant deux poires réclamant d'être croquées. Quel spectacle cette Alix fantasmé m'a offert! Et je me suis imaginé te suivre, une légère robe blanche sur mon corps affamé du tiens. Te suivre dans une galerie marchande, t'observer discrètement en sachant que tu avais conscience de ma présence. Je me suis imaginé te voir entrer dans une boutique de lingerie, examiner des strings, des bas, un corset, et crois bien que durant cette fiévreuse après-midi de fantasme félin, mes doigts étaient comme fous, m'arrachant des râles gourmands et envieux de tes charmes. Au moment d'entrer dans la cabine d'essayage, tes yeux verts se sont posés sur moi, l'invitation tant attendue que je me suis empressée d'accepter… La suite? Demande et tu l'aura.
Le coup d'oeil est une invitation, le déhanchement provoquant s'accentue et je suis attirée par la ficelle verte de ton string dépassant de ton taille basse. J'entre dans la boutique, me faufile entre les clientes pour approcher de la cabine, il n'y a qu'une tenture qui nous sépare, je peux distinguer un pied nu, une main délicieusement fine, un léger parfum. Et puis il y a ton visage, beau tel celui d'un ange, les yeux verts qui me fixent, ta voix m'hypnotise, tu m'invite à te rejoindre. J'obéis, j'obéis toujours aux belles femmes. Tu n'es vêtue que de ton string, et ton corps est un appel pour mon être, je perd la tête, mes mains te poussent contre la cloison, mes lèvres se posent sur les tiennes, ma langue trouve la tienne, mon corps semble si disgrâcieux en comparaison de tes courbes idéales, mais il te fait savoir qu'il a envie de toi, ma main glisse vers la moiteur de ton string, ton parfum intime, je le respire et vacille, tellement il est appêtissant, riche en promesse. Je te retourne, tu te cambres, écartant les cuisses tandis que je tombe à genoux sur la moquette, tes fesses sont fermes, rondes et parfaites, j'écarte la ficelle pour les lécher, pour que ma langue laisse un sillon de salive ruisseler le long de ta raie, jusqu'à ton anus serré, dans lequel je glisse un doigt. Mon autre main vient flatter ta vulve trempée, il y a un amusant clapotis quand mes doigts te fouillent, mais vite couvert par tes gémissements. Je te lèche ainsi à l'orgasme, avant de me retirer pour t'attendre à l'extérieur, et te voir une nouvelle fois habillée, provoquante et prête pour une nuit de sexe et de tendresse.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour, je viens de lire tes histoires, qui m'ont délicieusement excitée. C'est humide, mon sexe exhalant un doux parfum que je t'écris.
Me revoici. Mon impression du premier récit s'est confirmée.Ce 3ème a
provoqué chez le mâle que je suis, d'agréables sensations, ce qui est
d'après ''mes'' critères, la preuve qu'un érotisme savamment distillé
peut être délicieusement vécu. D
provoqué chez le mâle que je suis, d'agréables sensations, ce qui est
d'après ''mes'' critères, la preuve qu'un érotisme savamment distillé
peut être délicieusement vécu. D