TROIS pour être BI
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TROIS pour être BI
TROIS pour être BI
- Oh: Mon chéri, il faut que je te dise, mon patron exige que ses employées sachent utiliser à ma perfection tous les outils informatiques. Il a décidé de nous envoyer à un stage de perfectionnement d'une semaine par binôme. Dans trois jours, dimanche soir, je prends le train pour Paris avec Virginie. Le service formation nous a réservé une chambre pour deux par souci d'économie. Le prochain binôme sera composé de deux hommes.
-Dans trois jours tu me laisses seul pour une semaine. Enfin c'est pour motif professionnel. Je suis heureux d'apprendre que les binômes ne sont pas mixes. Tu te vois logée dans la même chambre avec un collègue, obligée de partager un lit double ?
- Cela t'embêterait hein. Il faut croire que tout est bien organisé pour éviter les problèmes. Tu pourrais demander à ta mère de venir préparer tes repas pendant mon absence.
- Je suis capable de cuisiner. Des oeufs, des pâtes, du riz, des steaks hachés ou des boîtes de ravioli, de cassoulet. Je me débrouillerai, sois sans inquiétude, je tiendrai le coup pendant cinq jours de célibat.
- Ah ! C'est que. .. Et sept jours ? Tu tiendrais deux jours de plus ? Virginie a une tante âgée à Paris. Elle a pris contact avec elle. La tante nous accueillerait deux nuits, si... Virginie me ferait visiter des monuments qu'elle connaît. Nous profiterions du déplacement et joindrions l'agréable à l'utile pour une fois ? Tu y vois un gros inconvénient, mon gros nounours ?
- Tu devines ce qui me manquera le plus. Est-ce que je pourrai me passer de sexe aussi longtemps. Pas de petite femme à baiser, pas de fesses à caresser, rien aussi longtemps. Et toi, sans moi, comment supporteras-tu la privation de câlins ? Pas de matou pour ta chatte ?
- Pour ça je n'appellerai pas ta mère au secours. Et puis, zut, tu peux bien te passer de faire l'amour pendant quelques jours. Pense à la joie des retrouvailles. Nous rattraperons le temps perdu. Le manque mettra en valeur la fête du retour. Vois les choses du bon côté. Ne sois pas égoïste. Enfin, à titre exceptionnel tu auras droit à "un cinq contre un." Hihihi!
Laure a préparé l'annonce du stage dans les détails. Elle a réplique à tout. Elle n'est pas habituellement bégueule ou excessivement prude, mais elle vient de m'en boucher un coin avec sa dernière phrase et ce fou rire à propos de l'allusion au plaisir solitaire. Cela fait longtemps que nous projetions de consacrer quelques jours à la visite de la capitale. Ensemble. Bon, l'occasion donnera de l'avance à ma femme. Tant mieux pour elle.
J'ai reçu confirmation de l'heure d'arrivée du train de retour. Ce sera dimanche soir à 23 heures à la gare. Chaque soir j'ai reçu un appel WhatsApp. J'ai vu le beau visage de Laure, plus maquillée, enjouée. J'ai vu les deux lits simples séparés, j'ai vu Virginie en pyjama. et même les deux femmes en petite culotte et soutien-gorge. J'ai tiqué en remarquant que Laure avait une culotte rose et un soutien-gorge bleu layette, alors que Virginie arborait à l'inverse une culotte bleu layette et un soutien-gorge rose. Le binôme fonctionnait bien si elles se livraient à ces enfantillages.
Le troisième soir, pour je ne sais quelle raison, Laure a été déséquilibrée. Son appareil a filmé pendant quelques trop courtes secondes non le visage de mon aimée interlocutrice, mais, en arrière plan, la croupe de sa collègue grimpant sur son lit. Une croupe somptueuse avec l'abricot pressé dans son étroit logement entre deux cuisses délicieuses, sous le point noir d'un cul au fond d'un entonnoir. Oui, j'ai aperçu ce sexe nu, une vue qui a chauffé mon sang de mari privé de sa femme. Y avait-il malice de la part de ma femme ? Etait-ce un coup monté par deux complices? Ce pouvait être un accident. Je suis entré en érection, j'ai évité de peu la masturbation.
L'image de ces deux orifices a hanté ma soirée, mes rêves, mon réveil. Les rondeurs callipyges qui les encadraient ne s'effacèrent pas avant le rendez-vous suivant. Sur mon écran sont apparus deux visages de jeunes femmes heureuses, deux visages tout proches, rieurs, dominants deux poitrines elles aussi à moitié dénudées. Les coquines s'amusaient à m'exciter. Devant mon air perplexe elles ont pouffé de rire. Pour terminer l'entretien deux voix m'ont envoyé des gros bisous, deux voix mêlées à l'unisson.
Je n'ai pas reçu d'appel le vendredi soir. Un sms m'a appris qu'elles déménageaient. Le samedi soir se sont succédés des images de la tour Eiffel, de l'arc de triomphe, de notre-dame, du sacré coeur, du moulin rouge, du panthéon, de la gare de Lyon et de statues diverses et des deux stagiaires soufflant des bisous dans ma direction." A demain, mon amour, ta Laure qui t'aime.
Le train est arrivé. Les voyageurs sont rares. Virginie et Laure avancent , Laure m'étreint amoureusement. Virginie l'imite mais très timidement, comme ma femme elle passe ses bras autour de mon cou, elle n'embrasse pas ma bouche comme Laure mais appuie un baiser sur mes joues. Laure nous observe, Laure semble contente de cette familiarité qui me surprend. Laure m'interpelle :
-Mon amour, le compagnon de Virginie a dû s'absenter. Elle n'a pas la clé de son appartement. Nous devrions l'héberger ce soir. Dis, tu veux bien?
Ni l'une ni l'autre n'attend ma réponse. Valisette en main, elles quittent le quai.
- Où est la voiture. Nous te suivons.
C'est décidé, Virginie se laisse inviter par Laure et par moi qui n'ai pas eu le temps de refuser ou d'accepter. Le repas préparé pour deux est partagé entre nous trois. Ces dames prennent une douche, à deux dans la salle de bain. Je les entends rire.
- Non, mon gros nounours, ne te donne pas la peine de faire le lit dans la chambre d'amis. Le nôtre est assez large pour trois personnes. Virginie et moi ne prenons pas beaucoup de place. Tu dormiras de ton côté, je me coucherai au milieu et Virginie se serrera contre moi. Va prendre ta douche et te brosser les dents pendant que nous enfilons nos chemises de nuit.
A mon retour dans la chambre à coucher, le plafonnier est éteint, ma lampe de chevet éclaire pâlement les deux corps couchés sur le flanc droit, emboîtées comme deux cuillères, cachés sous la fine couette d'été. Laure parle
- Je crois que ça ira comme ça. As-tu assez de place ?
- Plus que d'habitude. Tu peux reculer et venir contre moi. Tu m'as manqué.
- C'est vrai. Mais ce soir nous sommes fatiguées.
Laure s'approche de mon oreille droite et me confie dans un murmure:
- Sois raisonnable, nous ne sommes pas seuls.
Elle m'avait promis une fête pour les retrouvailles ! Pourvu que le compagnon de Virginie revienne vite et la récupère. La fête est reportée. Mon célibat se poursuit à côté de deux belles femmes, c'est un comble.
"Bonne nuit, les petites."
En choeur elles répondent ;
- Bonne nuit, Nounours.
Nounours, c'est mon surnom habituel pour ma femme. Virginie le trouve plaisant et l'utilise. Il est tard, je m'endors.
Laure bouge dans le noir. Laure et Virginie échangent des mots. A moitié endormi, j'entends:
- Il dort? -Oui, il dort. -Tu m'aimes? - Bien sûr, je t'aime.- Un bisou ? - Oui, tourne-toi.
Laure se déplace, Virginie se tourne vers elle. J'entends le froissement des draps. Silence, elles s'embrassent dans le noir.
- J'ai envie, caresse mes seins.- Tu es folle, il va se réveiller. - Non, il fait des nuits complètes - Sûr? Tes seins sont si doux. - Ne remue pas trop. Non n'embrasse pas mon téton, Virginie, arrête!
Je reconnais la voix énervée de Laure. L'autre reprend après un court répit :
- J'aime tes poils. Ma main ne fait pas de bruit. Oh! poil de chatte. Ton clito.
- Tu es folle, laisse-moi dormir. Arrête ou je vais crier? Arrête, c'est trop fort.
- Tu n'aimes plus? Pourtant depuis quatre ou cinq nuits, tu en demandais et tu m'en rendais. Allez viens. Embrasse-moi, ça t'empêchera de gémir.
- Je t'en supplie; c'est trop risqué.
- Puisqu'il dort si bien. Bon j'arrête, à condition que tu me bouffes l'abricot. Descends entre mes jambes, lèche et suce.
Dans mon dos le contact avec celui de ma femme est rompu. Avec précautions Laure glisse vers le bas du lit. Maintenant je suis vraiment éveillé. Je ne bouge pas, j'essaie de respirer régulièrement. Si j'imaginais... Laure. On me l'aurait dit, je ne l'aurais pas cru. Mais là... il faut que je sache jusqu'où ça ira. Laure gouine ? Est-ce possible ? Laure est en train de lécher la fente de Virginie.
Laure lui suce le bouton. Dans notre lit, juste à côté de moi. Il a dû s'en passer de belles à Paris.Ah! Oui, ces photos et vidéos, j'aurais pu comprendre. Maintenant c'est évident. Virginie a corrompu Laure, l'a convertie au saphisme.
.
Au coucher Laure n'était pas disponible. Elle a objecté la fatigue du voyage et des promenades dans Paris. Pas devant Virginie, ça ne se fait pas, bien entendu. Le compagnon de Virginie n'est pas absent. Virginie, dans notre lit, sert de prétexte. Virginie met Laure à l'abri de mes envies. Suis-je bête. Ces deux salopes se paient ma tête.
- Chérie, un soixante-neuf, viens, je veux ta cramouille. Tourne doucement, donne-moi ton sexe. J'aime tes senteurs, j'adore ton jus
Le désir monte, fait oublier la prudence, le discours enfle, le mouvement est plus important. Je continue à faire semblant. Semblant de ne pas entendre, semblant d'être insensible au déplacement. Si Laure touchait ma verge elle sentirait mon érection, elle saurait que j'écoute et que ça me fait bander comme un nounours de chair et de sang. Mais Laure a place son bijou sur les lèvres goulue d'une Virginie en chaleur. Elles sont tête bêche, au-dessus de la couette et prennent leur complément alimentaire, se gavent de cyprine, perdent le contrôle. Laquelle à lâché la première plainte d'amour ?
J'allume le plafonnier, elles se figent dans la position, se croient-elles invisibles parce qu'elles sont immobiles. J'envoie une grosse claque sur les fesses de ma femme. Elle fait :
- Aïe!
Elle roule sur le côté vers moi, veut cacher sa comparse. Virginie veut savoir pourquoi il y a de la lumière, se tourne vers Laure, expose sa magnifique poitrine, la cache avec un bras dès qu'elle me voit. J'interroge :
- Qu'est-ce qui se passe ? Que vous arrive-t-il. Qui a crié ? Qui a mal ? Mais que faites-vous nues? Laure pourquoi couvrais-tu ton amie ? Je vous croyais fatiguées, exténuées.
Virginie plaisante :
- Trop fatiguées pour dormir. Alors on joue.
- Je suis réveillé. Si je jouais avec vous ?
- Oh: Mon chéri, il faut que je te dise, mon patron exige que ses employées sachent utiliser à ma perfection tous les outils informatiques. Il a décidé de nous envoyer à un stage de perfectionnement d'une semaine par binôme. Dans trois jours, dimanche soir, je prends le train pour Paris avec Virginie. Le service formation nous a réservé une chambre pour deux par souci d'économie. Le prochain binôme sera composé de deux hommes.
-Dans trois jours tu me laisses seul pour une semaine. Enfin c'est pour motif professionnel. Je suis heureux d'apprendre que les binômes ne sont pas mixes. Tu te vois logée dans la même chambre avec un collègue, obligée de partager un lit double ?
- Cela t'embêterait hein. Il faut croire que tout est bien organisé pour éviter les problèmes. Tu pourrais demander à ta mère de venir préparer tes repas pendant mon absence.
- Je suis capable de cuisiner. Des oeufs, des pâtes, du riz, des steaks hachés ou des boîtes de ravioli, de cassoulet. Je me débrouillerai, sois sans inquiétude, je tiendrai le coup pendant cinq jours de célibat.
- Ah ! C'est que. .. Et sept jours ? Tu tiendrais deux jours de plus ? Virginie a une tante âgée à Paris. Elle a pris contact avec elle. La tante nous accueillerait deux nuits, si... Virginie me ferait visiter des monuments qu'elle connaît. Nous profiterions du déplacement et joindrions l'agréable à l'utile pour une fois ? Tu y vois un gros inconvénient, mon gros nounours ?
- Tu devines ce qui me manquera le plus. Est-ce que je pourrai me passer de sexe aussi longtemps. Pas de petite femme à baiser, pas de fesses à caresser, rien aussi longtemps. Et toi, sans moi, comment supporteras-tu la privation de câlins ? Pas de matou pour ta chatte ?
- Pour ça je n'appellerai pas ta mère au secours. Et puis, zut, tu peux bien te passer de faire l'amour pendant quelques jours. Pense à la joie des retrouvailles. Nous rattraperons le temps perdu. Le manque mettra en valeur la fête du retour. Vois les choses du bon côté. Ne sois pas égoïste. Enfin, à titre exceptionnel tu auras droit à "un cinq contre un." Hihihi!
Laure a préparé l'annonce du stage dans les détails. Elle a réplique à tout. Elle n'est pas habituellement bégueule ou excessivement prude, mais elle vient de m'en boucher un coin avec sa dernière phrase et ce fou rire à propos de l'allusion au plaisir solitaire. Cela fait longtemps que nous projetions de consacrer quelques jours à la visite de la capitale. Ensemble. Bon, l'occasion donnera de l'avance à ma femme. Tant mieux pour elle.
J'ai reçu confirmation de l'heure d'arrivée du train de retour. Ce sera dimanche soir à 23 heures à la gare. Chaque soir j'ai reçu un appel WhatsApp. J'ai vu le beau visage de Laure, plus maquillée, enjouée. J'ai vu les deux lits simples séparés, j'ai vu Virginie en pyjama. et même les deux femmes en petite culotte et soutien-gorge. J'ai tiqué en remarquant que Laure avait une culotte rose et un soutien-gorge bleu layette, alors que Virginie arborait à l'inverse une culotte bleu layette et un soutien-gorge rose. Le binôme fonctionnait bien si elles se livraient à ces enfantillages.
Le troisième soir, pour je ne sais quelle raison, Laure a été déséquilibrée. Son appareil a filmé pendant quelques trop courtes secondes non le visage de mon aimée interlocutrice, mais, en arrière plan, la croupe de sa collègue grimpant sur son lit. Une croupe somptueuse avec l'abricot pressé dans son étroit logement entre deux cuisses délicieuses, sous le point noir d'un cul au fond d'un entonnoir. Oui, j'ai aperçu ce sexe nu, une vue qui a chauffé mon sang de mari privé de sa femme. Y avait-il malice de la part de ma femme ? Etait-ce un coup monté par deux complices? Ce pouvait être un accident. Je suis entré en érection, j'ai évité de peu la masturbation.
L'image de ces deux orifices a hanté ma soirée, mes rêves, mon réveil. Les rondeurs callipyges qui les encadraient ne s'effacèrent pas avant le rendez-vous suivant. Sur mon écran sont apparus deux visages de jeunes femmes heureuses, deux visages tout proches, rieurs, dominants deux poitrines elles aussi à moitié dénudées. Les coquines s'amusaient à m'exciter. Devant mon air perplexe elles ont pouffé de rire. Pour terminer l'entretien deux voix m'ont envoyé des gros bisous, deux voix mêlées à l'unisson.
Je n'ai pas reçu d'appel le vendredi soir. Un sms m'a appris qu'elles déménageaient. Le samedi soir se sont succédés des images de la tour Eiffel, de l'arc de triomphe, de notre-dame, du sacré coeur, du moulin rouge, du panthéon, de la gare de Lyon et de statues diverses et des deux stagiaires soufflant des bisous dans ma direction." A demain, mon amour, ta Laure qui t'aime.
Le train est arrivé. Les voyageurs sont rares. Virginie et Laure avancent , Laure m'étreint amoureusement. Virginie l'imite mais très timidement, comme ma femme elle passe ses bras autour de mon cou, elle n'embrasse pas ma bouche comme Laure mais appuie un baiser sur mes joues. Laure nous observe, Laure semble contente de cette familiarité qui me surprend. Laure m'interpelle :
-Mon amour, le compagnon de Virginie a dû s'absenter. Elle n'a pas la clé de son appartement. Nous devrions l'héberger ce soir. Dis, tu veux bien?
Ni l'une ni l'autre n'attend ma réponse. Valisette en main, elles quittent le quai.
- Où est la voiture. Nous te suivons.
C'est décidé, Virginie se laisse inviter par Laure et par moi qui n'ai pas eu le temps de refuser ou d'accepter. Le repas préparé pour deux est partagé entre nous trois. Ces dames prennent une douche, à deux dans la salle de bain. Je les entends rire.
- Non, mon gros nounours, ne te donne pas la peine de faire le lit dans la chambre d'amis. Le nôtre est assez large pour trois personnes. Virginie et moi ne prenons pas beaucoup de place. Tu dormiras de ton côté, je me coucherai au milieu et Virginie se serrera contre moi. Va prendre ta douche et te brosser les dents pendant que nous enfilons nos chemises de nuit.
A mon retour dans la chambre à coucher, le plafonnier est éteint, ma lampe de chevet éclaire pâlement les deux corps couchés sur le flanc droit, emboîtées comme deux cuillères, cachés sous la fine couette d'été. Laure parle
- Je crois que ça ira comme ça. As-tu assez de place ?
- Plus que d'habitude. Tu peux reculer et venir contre moi. Tu m'as manqué.
- C'est vrai. Mais ce soir nous sommes fatiguées.
Laure s'approche de mon oreille droite et me confie dans un murmure:
- Sois raisonnable, nous ne sommes pas seuls.
Elle m'avait promis une fête pour les retrouvailles ! Pourvu que le compagnon de Virginie revienne vite et la récupère. La fête est reportée. Mon célibat se poursuit à côté de deux belles femmes, c'est un comble.
"Bonne nuit, les petites."
En choeur elles répondent ;
- Bonne nuit, Nounours.
Nounours, c'est mon surnom habituel pour ma femme. Virginie le trouve plaisant et l'utilise. Il est tard, je m'endors.
Laure bouge dans le noir. Laure et Virginie échangent des mots. A moitié endormi, j'entends:
- Il dort? -Oui, il dort. -Tu m'aimes? - Bien sûr, je t'aime.- Un bisou ? - Oui, tourne-toi.
Laure se déplace, Virginie se tourne vers elle. J'entends le froissement des draps. Silence, elles s'embrassent dans le noir.
- J'ai envie, caresse mes seins.- Tu es folle, il va se réveiller. - Non, il fait des nuits complètes - Sûr? Tes seins sont si doux. - Ne remue pas trop. Non n'embrasse pas mon téton, Virginie, arrête!
Je reconnais la voix énervée de Laure. L'autre reprend après un court répit :
- J'aime tes poils. Ma main ne fait pas de bruit. Oh! poil de chatte. Ton clito.
- Tu es folle, laisse-moi dormir. Arrête ou je vais crier? Arrête, c'est trop fort.
- Tu n'aimes plus? Pourtant depuis quatre ou cinq nuits, tu en demandais et tu m'en rendais. Allez viens. Embrasse-moi, ça t'empêchera de gémir.
- Je t'en supplie; c'est trop risqué.
- Puisqu'il dort si bien. Bon j'arrête, à condition que tu me bouffes l'abricot. Descends entre mes jambes, lèche et suce.
Dans mon dos le contact avec celui de ma femme est rompu. Avec précautions Laure glisse vers le bas du lit. Maintenant je suis vraiment éveillé. Je ne bouge pas, j'essaie de respirer régulièrement. Si j'imaginais... Laure. On me l'aurait dit, je ne l'aurais pas cru. Mais là... il faut que je sache jusqu'où ça ira. Laure gouine ? Est-ce possible ? Laure est en train de lécher la fente de Virginie.
Laure lui suce le bouton. Dans notre lit, juste à côté de moi. Il a dû s'en passer de belles à Paris.Ah! Oui, ces photos et vidéos, j'aurais pu comprendre. Maintenant c'est évident. Virginie a corrompu Laure, l'a convertie au saphisme.
.
Au coucher Laure n'était pas disponible. Elle a objecté la fatigue du voyage et des promenades dans Paris. Pas devant Virginie, ça ne se fait pas, bien entendu. Le compagnon de Virginie n'est pas absent. Virginie, dans notre lit, sert de prétexte. Virginie met Laure à l'abri de mes envies. Suis-je bête. Ces deux salopes se paient ma tête.
- Chérie, un soixante-neuf, viens, je veux ta cramouille. Tourne doucement, donne-moi ton sexe. J'aime tes senteurs, j'adore ton jus
Le désir monte, fait oublier la prudence, le discours enfle, le mouvement est plus important. Je continue à faire semblant. Semblant de ne pas entendre, semblant d'être insensible au déplacement. Si Laure touchait ma verge elle sentirait mon érection, elle saurait que j'écoute et que ça me fait bander comme un nounours de chair et de sang. Mais Laure a place son bijou sur les lèvres goulue d'une Virginie en chaleur. Elles sont tête bêche, au-dessus de la couette et prennent leur complément alimentaire, se gavent de cyprine, perdent le contrôle. Laquelle à lâché la première plainte d'amour ?
J'allume le plafonnier, elles se figent dans la position, se croient-elles invisibles parce qu'elles sont immobiles. J'envoie une grosse claque sur les fesses de ma femme. Elle fait :
- Aïe!
Elle roule sur le côté vers moi, veut cacher sa comparse. Virginie veut savoir pourquoi il y a de la lumière, se tourne vers Laure, expose sa magnifique poitrine, la cache avec un bras dès qu'elle me voit. J'interroge :
- Qu'est-ce qui se passe ? Que vous arrive-t-il. Qui a crié ? Qui a mal ? Mais que faites-vous nues? Laure pourquoi couvrais-tu ton amie ? Je vous croyais fatiguées, exténuées.
Virginie plaisante :
- Trop fatiguées pour dormir. Alors on joue.
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