Troisieme aventure de la rencontre avec mon mari
Récit érotique écrit par Clemy67 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Troisieme aventure de la rencontre avec mon mari
Je me lance dans un troisième volet de mes péripéties sexuelles avec mon routier de
mari. Nous partageons toujours autant de plaisir à varier nos aventures, et j’aime me
présenter a lui dans des tenues qui implore le désir.
Nous avons réussi à nous rapprocher, j’ai trouvé un poste de fonctionnaire dont je
suis titulaire et ainsi bénéficié d’un rapprochement de mon mari. Oui je me suis
mariée avec Marc mais je ne pense pas que cela aurais été une surprise pour ceux qui
ont lu mes deux premier récit.
Je lui fais part de mon envie de partager son quotidien de routier. Car je savais que
mon cher et tendre aimait a se distraire dans ces voyages. Il a accepté immédiatement
et m’a proposer une mission d’une semaine qui allait nous emmener dans le nord de
l’Allemagne. Nous sommes en plein printemps et les jours se réchauffent. Vous me direz
quelle aubaine…. En effet je décide donc de garnir ma valise de tenue légère et sexy
cela va de soit car Marc avait très envie de rendre envieux les gras balourds qui
trainent sur les parkings.
Nous quittons la maison, comme il le fait souvent, le dimanche soir vers 22h. Je suis
en robe moulante, bas, un gilet pour couvrir mes bras dénudés mais laisser visible mon
décolleté sur mon 85C et j’ai chaussé des sabots à talons. Me voila paré pour un
voyage agréable dans le gros camion de mon chéri.
Dans sa cabine comme au premier jour je constate la présence de revue érotique dont
les récits ont bercés quelques tendres années et dont les histoires émoustillent et
pimentent les ébats sexuelles de certains et certaines de nos paires. Je décide donc
d’instruire mon imagination à la lecture de quelques récits. Bien m’en a fait, je me
sens pleine de vie et de d’idées coquines. Je fais de temps à autre la lecture à mon
chéri qui ne reste pas indifférent à mes propos coquins. Alors que je le vois porter
sa main à son pantalon, je laisse les mots pour passer à l’acte. Bien que pas très
pratique, je libère son joujou de son pantalon et le caresse comme a son habitude il
est bien raide. Je pose mes lèvres sur le gland et joue de ma langue avec celui-ci. Je
prends soin de pas le libérer de cette excitation et le laisse sur sa fin.
Il me tarde d’arrivée à notre première pause. De longues minutes à me tanner le
derrière dans le fauteuil passager il serait agréable de me le faire peloter. Nous
arrêtons le camion sur un parking déjà bien remplit, mais Marc a pris soin de choisir
un parking « intelligent » comme il aime a le dire, c'est-à-dire un parking accompagné
d’une station service ou les commodités sont plus hygiénique. Problème de se genre
d’endroit bien qu’il soit une heure avancer de la nuit il y à du monde. Et j’ai
toujours le feu au ventre et les fesses endolories. Je me colle à lui pour l’embrasser
et je suis tellement collée que je sens son sexe dur sur ma cuisse. Nos bouches se
mélangent, nos langues s’entremêlent. Mes tétons durcissent et nos mains se promènent
sur nos corps. Marc masse mes seins sans retenu et moi ces fesses. Il descend sur mes
fesses et remontant ma robe légère et accède directement à la chair de mon derrière
meurtrit par tant de minutes passées dans le camion. Agréable sensation qui se traduit
très vite par des frissons. Marc délaisse mon corps comme par vengeance pour aller
dans la station, je le suis. La station est assez déserte. Marc m’attire vers les
toilettes handicapés. Sans ménagement me retourne, baisse ma culotte et s’empresse de
passer ces doigts sur ma fente toute humide et chaude. Courbée en avant j’ai les
fesses offertes. Il parcourt ma fente, effleure mon œillet. Je me mords les lèvres
pour ne pas exprimer trop fort mon désir. Je suis très humide et Marc d’un geste
autoritaire me donne ces doigts à sucer. N’y tenant plus je me retourne m’accroupi
dézippe son pantalon et sort son sexe dur. Goulument je l’introduis dans ma bouche et
m’applique en un va et vient rapide. Je me masse le clito et provoque ne moi de
frissons dont l’intensité croit au file des secondes. Marc prend ma tête avec fermeté
et enfonce sa queue pour vider sa semence chaude. Je ne peu que déglutir. Et dans cet
acte bestial je suis tressailli du plaisir de me sentir ainsi souillée. Nous sortons,
Marc soulagé mais moi un peu sur ma faim, deux, trois routiers devant les machines à
café me mate avec insistance. Je mime un certain désintéressement. Je laisse échappé
mon paquet de mouchoir et dans un geste dénué d’élégance mais très provocateur je me
baisse le ramasser. Je quitte la station et me dirige vers le camion ou Marc est déjà
installé. Je remonte dans la cabine et aperçois les deux routiers. En montant dans la
cabine je fais en sorte que si leur regard d’égarait vers ma direction qu’il puisse
admirer mon derrière.
Marc se glisse dans la couchette pour une sieste, moi je reste sur mon siège. Mais
sans que le tourment et la chaleur de mon intimité n’ai disparu. Je lis un peu les
belles revues érotiques. Rien de telle pour partager ce récit qu’une caresse intense.
Je ne tarde pas a jouir très fort se qui réveille mon chéri, qui n’hésite pas a me
caresser les seins et prendre ma bouche avec la sienne pour échanger un gros baiser
des plus chauds. Je le rejoins et poursuivons ce moment de repos.
Dois-je écrire la suite ?.....
mari. Nous partageons toujours autant de plaisir à varier nos aventures, et j’aime me
présenter a lui dans des tenues qui implore le désir.
Nous avons réussi à nous rapprocher, j’ai trouvé un poste de fonctionnaire dont je
suis titulaire et ainsi bénéficié d’un rapprochement de mon mari. Oui je me suis
mariée avec Marc mais je ne pense pas que cela aurais été une surprise pour ceux qui
ont lu mes deux premier récit.
Je lui fais part de mon envie de partager son quotidien de routier. Car je savais que
mon cher et tendre aimait a se distraire dans ces voyages. Il a accepté immédiatement
et m’a proposer une mission d’une semaine qui allait nous emmener dans le nord de
l’Allemagne. Nous sommes en plein printemps et les jours se réchauffent. Vous me direz
quelle aubaine…. En effet je décide donc de garnir ma valise de tenue légère et sexy
cela va de soit car Marc avait très envie de rendre envieux les gras balourds qui
trainent sur les parkings.
Nous quittons la maison, comme il le fait souvent, le dimanche soir vers 22h. Je suis
en robe moulante, bas, un gilet pour couvrir mes bras dénudés mais laisser visible mon
décolleté sur mon 85C et j’ai chaussé des sabots à talons. Me voila paré pour un
voyage agréable dans le gros camion de mon chéri.
Dans sa cabine comme au premier jour je constate la présence de revue érotique dont
les récits ont bercés quelques tendres années et dont les histoires émoustillent et
pimentent les ébats sexuelles de certains et certaines de nos paires. Je décide donc
d’instruire mon imagination à la lecture de quelques récits. Bien m’en a fait, je me
sens pleine de vie et de d’idées coquines. Je fais de temps à autre la lecture à mon
chéri qui ne reste pas indifférent à mes propos coquins. Alors que je le vois porter
sa main à son pantalon, je laisse les mots pour passer à l’acte. Bien que pas très
pratique, je libère son joujou de son pantalon et le caresse comme a son habitude il
est bien raide. Je pose mes lèvres sur le gland et joue de ma langue avec celui-ci. Je
prends soin de pas le libérer de cette excitation et le laisse sur sa fin.
Il me tarde d’arrivée à notre première pause. De longues minutes à me tanner le
derrière dans le fauteuil passager il serait agréable de me le faire peloter. Nous
arrêtons le camion sur un parking déjà bien remplit, mais Marc a pris soin de choisir
un parking « intelligent » comme il aime a le dire, c'est-à-dire un parking accompagné
d’une station service ou les commodités sont plus hygiénique. Problème de se genre
d’endroit bien qu’il soit une heure avancer de la nuit il y à du monde. Et j’ai
toujours le feu au ventre et les fesses endolories. Je me colle à lui pour l’embrasser
et je suis tellement collée que je sens son sexe dur sur ma cuisse. Nos bouches se
mélangent, nos langues s’entremêlent. Mes tétons durcissent et nos mains se promènent
sur nos corps. Marc masse mes seins sans retenu et moi ces fesses. Il descend sur mes
fesses et remontant ma robe légère et accède directement à la chair de mon derrière
meurtrit par tant de minutes passées dans le camion. Agréable sensation qui se traduit
très vite par des frissons. Marc délaisse mon corps comme par vengeance pour aller
dans la station, je le suis. La station est assez déserte. Marc m’attire vers les
toilettes handicapés. Sans ménagement me retourne, baisse ma culotte et s’empresse de
passer ces doigts sur ma fente toute humide et chaude. Courbée en avant j’ai les
fesses offertes. Il parcourt ma fente, effleure mon œillet. Je me mords les lèvres
pour ne pas exprimer trop fort mon désir. Je suis très humide et Marc d’un geste
autoritaire me donne ces doigts à sucer. N’y tenant plus je me retourne m’accroupi
dézippe son pantalon et sort son sexe dur. Goulument je l’introduis dans ma bouche et
m’applique en un va et vient rapide. Je me masse le clito et provoque ne moi de
frissons dont l’intensité croit au file des secondes. Marc prend ma tête avec fermeté
et enfonce sa queue pour vider sa semence chaude. Je ne peu que déglutir. Et dans cet
acte bestial je suis tressailli du plaisir de me sentir ainsi souillée. Nous sortons,
Marc soulagé mais moi un peu sur ma faim, deux, trois routiers devant les machines à
café me mate avec insistance. Je mime un certain désintéressement. Je laisse échappé
mon paquet de mouchoir et dans un geste dénué d’élégance mais très provocateur je me
baisse le ramasser. Je quitte la station et me dirige vers le camion ou Marc est déjà
installé. Je remonte dans la cabine et aperçois les deux routiers. En montant dans la
cabine je fais en sorte que si leur regard d’égarait vers ma direction qu’il puisse
admirer mon derrière.
Marc se glisse dans la couchette pour une sieste, moi je reste sur mon siège. Mais
sans que le tourment et la chaleur de mon intimité n’ai disparu. Je lis un peu les
belles revues érotiques. Rien de telle pour partager ce récit qu’une caresse intense.
Je ne tarde pas a jouir très fort se qui réveille mon chéri, qui n’hésite pas a me
caresser les seins et prendre ma bouche avec la sienne pour échanger un gros baiser
des plus chauds. Je le rejoins et poursuivons ce moment de repos.
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