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Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Voici une nouvelle histoire. J’avais 22 ans j’étais déjà homo et célibataire à ce moment là. A cette époque, je faisais mon service militaire dans la gendarmerie. J’aurais bien aimé qu’il se passe quelque chose dans les chambrées ou dans les unités, mais rien, mis à part les discussions de culs et les blagues salaces et mots vulgaires que les mecs disent quand ils sont regroupésDonc, à l’époque après deux mois de classe, je suis envoyé dans une gendarmerie à Valbonne Sofia Antipolis dans la région PACA, alors que je suis de la région Midi-Pyrénées. Lors de mes permissions, je revenais dans ma région et j’en profiter au maximum. Pour revenir dans mon unité, je prenais le train, un trajet de 7 heures. Les correspondances et du retard, ce soir là, j’arrive tard et le train ne passe pas à Valbonne, mais me laisse à Antibes. Plus de bus pour me conduire dans mon unité et à pied, c’est bien trop loin, de plus il faisait déjà nuit. J’étais coincé !
Mais, après plus d’une heure à faire de l’auto-stop sans succès, il me vient une idée. Je connais l’endroit où les gays draguent, car un jour où je partais en perm, sur la route pour aller à Antibes, je faisais de l’auto-stop. Un mec s’arrête, et dés ces premières paroles j’ai compris qu’il était gay. Ces sous-entendus étaient très clairs. Il voulait plus, mais, j’ai poliment refusé en prétextant être en retard pour prendre le train. Il m’a renseigné sur l’endroit en question pendant la discussion dans la voiture.
Donc, direction les remparts de la vielle ville d’Antibes.
Ce soir d’été, il faisait bon et en arrivant, je vois qu’il y a un peu de monde. L’air de rien, avec mon sac sur le dos, je matte. Je recherche celui qui pourrait me plaire. Au bout d’une demi heure sans rien, je m’assoie sur un banc dans un petit parc où… cachés derrière les buissons, des mecs on l’air de prendre du plaisir. A un moment, un mec plus âgé que moi (30 ans), vient s’asseoir à mes côtés. Il est vêtu d’un long débardeur, d’un cycliste (je ne vois pas le haut caché par le débardeur). Il porte aussi des grosses chaussures et chaussettes épaisses qui dépassent et une casquettes camouflage sur la tête. Je le trouve pas mal et lui semble intéressé par moi. Puis il me dit :- salut, que fait tu ici ?
Je lui réponds en lui expliquant que je suis gendarme auxiliaire et que je cherche quelque un pour me ramener à mon unité, et je rajoute, que je veux bien joindre l’utile à l’agréable. Il sourit, puis on discute un peu de tout et de rien, mais quand même axée sur le monde homo.
D’un coup, il me demande si je suis actif ou passif. Je lui répond les deux et que c’est suivant les partenaires. Lui me dit :- moi je suis actif, et est-ce que tu as l’habitude des grosses queues ?
Surpris je réponds pourquoi ?
Sa main caresse sa cuisse et remonte au niveau de son sexe il remonte son débardeur. Une grosse bosse se dessine sur le cycliste. Et, en guise de réponse, là, sans pudeur, il me sort sa queue. Je ne peux retenir un « mon dieu, c’est énorme ! ». En effet, sa queue est gigantesque. En érection, bien droite, elle lui arrive au haut du ventre, sous le sternum. Elle n’est pas épaisse mais très longue. Mes yeux n’arrivent pas à se détacher de ce membre qui doit bien faire 25 cm sans mentir. Il peut se sucer sans problème.
Lui - alors elle te plait ma queue ?
Moi - je n’en ai jamais vu de si grosse c’est incroyable !
Lui - tu veux la toucher ?
Moi - non !
Très timide à cette époque, je refuse et de plus, je ne sais pourquoi, mais cette bite me fait un peu peur. Lui commence à se masturber à deux mains.
Nous allons discuter un peu sur la grosseur de son membre, mais il n’en ai même pas fier. Il va m’expliquer qu’il a beaucoup de mal a trouver un mec qui peux accepter tel calibre et que souvent, les mecs, par peur refuse de se faire prendre (je comprends). Il me dit qu’il essai même de trouver des mecs adeptes du fist, pour pouvoir pénétrer les mecs sans trop de mal.
Il est très tard et je m’impatiente et je me lève ne lui disant :- excuse moi mais i faut que je trouve quelqu’un pour m’amener à Valbonne.
- je suis là moi, si tu veux je t’y conduit !
Par crainte je lui réponds :- ok mais il ne se passera rien.
- pas de panique, c’est « en tout bien tout honneur ».
J’accepte, on va à sa voiture et me conduit à mon unité, il sait où elle trouveSur le chemin on discute.
Puis poussé par une envie confuse et la curiosité je lui dit :- sur la gauche dans quelques mètres il y a un petit parking.
Il éclate de rire.
- toi tu as envie d’en voir plus !
- je suis démasqué.
Il se gare sur le parking désert, bien caché derrière un bosquet. Très vite, il se jette sur moi et m’embrasse à pleine bouche. On se caresse mutuellement le corps, on est tout les deux très chaud. On est dans la voiture, torses nus, pantalon, cycliste et sous vêtements aux chevilles. Il se penche et me gobe la queue goulûment. Je me laisse faire pendant plusieurs minutes, empoter par le plaisir qu’il me procure. Sa bouche avide ventouse mon gland, sa langue enveloppe ma queue et titille le frein. Je bande hyper dur et malgré cette très belle érection et la taille acceptable de ma bite, quand je distingue son braquemart mon sexe parait tout petit.
Le moment qui m’effraie arrive. Je ne vais pas me faire prendre, mais je vais devoir lui rendre la politesse et je le veux bien. Il se cambre en avant, sa queue longue et très dure est devant mes yeux. Avec douceur et quelques peu tremblant, je prends cette trique de mes deux mains. Un frison me parcours le corps. Je fais glisser délicatement mes doigts sur ce manche démesuré, c’est irréel. Puis ma bouche s’approche, je distingue une petite goutte qui perle au bout de son méat. D’une main, je l’ôte et mes lèvres s’ouvrent le plus largement possible. Son gland est rouge vif, j’ai l’impression qu’il va exploser, c’est un vrai champignon atomique. J’absorbe ce membre turgescent et brûlant dans ma bouche. Heureusement elle n’est pas trop large, mais la longueur imposante m’oblige à ne téter que quelques centimètres. La gâterie m’élargit,les lèvres, j’ai la bouche envahie. Après plusieurs minutes de pompage, mes joues commencent à me faire souffrir. Le mec commence à pousser des gémissements de plus en plus rauques et forts. Il réussi à attraper ma bite et la branle énergiquement. La jouissance monte rapidement et je dois abandonner mes succions avec regrets. Mes mains prennent le relais et enserre ce monstre fermement puis l’astique vivement. Je ne peux plus me retenir et dans un cri accompagné de soubresauts, j’éjacule tout mon jus sur mon ventre. Au même moment sa gorge émet un bruit rauque accompagné d’un ouiiiii de satisfaction. Sa queue frémit dans mes mains et comme un geyser, son sperme jaillit en plusieurs jets abondants qui se répandent sur son torse. On finit de vider nos sexes des dernières gouttes de sperme et, prévoyant, il me donne des mouchoirs en papier pour m’essuyer. Lui il lui faut presque un paquet entier. Après s’être tout les deux rhabillés il me mènera finalement jusqu’à la gendarmerie. Je ne l’ai jamais revu. De toute façon je n’aurais jamais pu être passif avec lui. Il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le bas ventre.
Seithan
Mais, après plus d’une heure à faire de l’auto-stop sans succès, il me vient une idée. Je connais l’endroit où les gays draguent, car un jour où je partais en perm, sur la route pour aller à Antibes, je faisais de l’auto-stop. Un mec s’arrête, et dés ces premières paroles j’ai compris qu’il était gay. Ces sous-entendus étaient très clairs. Il voulait plus, mais, j’ai poliment refusé en prétextant être en retard pour prendre le train. Il m’a renseigné sur l’endroit en question pendant la discussion dans la voiture.
Donc, direction les remparts de la vielle ville d’Antibes.
Ce soir d’été, il faisait bon et en arrivant, je vois qu’il y a un peu de monde. L’air de rien, avec mon sac sur le dos, je matte. Je recherche celui qui pourrait me plaire. Au bout d’une demi heure sans rien, je m’assoie sur un banc dans un petit parc où… cachés derrière les buissons, des mecs on l’air de prendre du plaisir. A un moment, un mec plus âgé que moi (30 ans), vient s’asseoir à mes côtés. Il est vêtu d’un long débardeur, d’un cycliste (je ne vois pas le haut caché par le débardeur). Il porte aussi des grosses chaussures et chaussettes épaisses qui dépassent et une casquettes camouflage sur la tête. Je le trouve pas mal et lui semble intéressé par moi. Puis il me dit :- salut, que fait tu ici ?
Je lui réponds en lui expliquant que je suis gendarme auxiliaire et que je cherche quelque un pour me ramener à mon unité, et je rajoute, que je veux bien joindre l’utile à l’agréable. Il sourit, puis on discute un peu de tout et de rien, mais quand même axée sur le monde homo.
D’un coup, il me demande si je suis actif ou passif. Je lui répond les deux et que c’est suivant les partenaires. Lui me dit :- moi je suis actif, et est-ce que tu as l’habitude des grosses queues ?
Surpris je réponds pourquoi ?
Sa main caresse sa cuisse et remonte au niveau de son sexe il remonte son débardeur. Une grosse bosse se dessine sur le cycliste. Et, en guise de réponse, là, sans pudeur, il me sort sa queue. Je ne peux retenir un « mon dieu, c’est énorme ! ». En effet, sa queue est gigantesque. En érection, bien droite, elle lui arrive au haut du ventre, sous le sternum. Elle n’est pas épaisse mais très longue. Mes yeux n’arrivent pas à se détacher de ce membre qui doit bien faire 25 cm sans mentir. Il peut se sucer sans problème.
Lui - alors elle te plait ma queue ?
Moi - je n’en ai jamais vu de si grosse c’est incroyable !
Lui - tu veux la toucher ?
Moi - non !
Très timide à cette époque, je refuse et de plus, je ne sais pourquoi, mais cette bite me fait un peu peur. Lui commence à se masturber à deux mains.
Nous allons discuter un peu sur la grosseur de son membre, mais il n’en ai même pas fier. Il va m’expliquer qu’il a beaucoup de mal a trouver un mec qui peux accepter tel calibre et que souvent, les mecs, par peur refuse de se faire prendre (je comprends). Il me dit qu’il essai même de trouver des mecs adeptes du fist, pour pouvoir pénétrer les mecs sans trop de mal.
Il est très tard et je m’impatiente et je me lève ne lui disant :- excuse moi mais i faut que je trouve quelqu’un pour m’amener à Valbonne.
- je suis là moi, si tu veux je t’y conduit !
Par crainte je lui réponds :- ok mais il ne se passera rien.
- pas de panique, c’est « en tout bien tout honneur ».
J’accepte, on va à sa voiture et me conduit à mon unité, il sait où elle trouveSur le chemin on discute.
Puis poussé par une envie confuse et la curiosité je lui dit :- sur la gauche dans quelques mètres il y a un petit parking.
Il éclate de rire.
- toi tu as envie d’en voir plus !
- je suis démasqué.
Il se gare sur le parking désert, bien caché derrière un bosquet. Très vite, il se jette sur moi et m’embrasse à pleine bouche. On se caresse mutuellement le corps, on est tout les deux très chaud. On est dans la voiture, torses nus, pantalon, cycliste et sous vêtements aux chevilles. Il se penche et me gobe la queue goulûment. Je me laisse faire pendant plusieurs minutes, empoter par le plaisir qu’il me procure. Sa bouche avide ventouse mon gland, sa langue enveloppe ma queue et titille le frein. Je bande hyper dur et malgré cette très belle érection et la taille acceptable de ma bite, quand je distingue son braquemart mon sexe parait tout petit.
Le moment qui m’effraie arrive. Je ne vais pas me faire prendre, mais je vais devoir lui rendre la politesse et je le veux bien. Il se cambre en avant, sa queue longue et très dure est devant mes yeux. Avec douceur et quelques peu tremblant, je prends cette trique de mes deux mains. Un frison me parcours le corps. Je fais glisser délicatement mes doigts sur ce manche démesuré, c’est irréel. Puis ma bouche s’approche, je distingue une petite goutte qui perle au bout de son méat. D’une main, je l’ôte et mes lèvres s’ouvrent le plus largement possible. Son gland est rouge vif, j’ai l’impression qu’il va exploser, c’est un vrai champignon atomique. J’absorbe ce membre turgescent et brûlant dans ma bouche. Heureusement elle n’est pas trop large, mais la longueur imposante m’oblige à ne téter que quelques centimètres. La gâterie m’élargit,les lèvres, j’ai la bouche envahie. Après plusieurs minutes de pompage, mes joues commencent à me faire souffrir. Le mec commence à pousser des gémissements de plus en plus rauques et forts. Il réussi à attraper ma bite et la branle énergiquement. La jouissance monte rapidement et je dois abandonner mes succions avec regrets. Mes mains prennent le relais et enserre ce monstre fermement puis l’astique vivement. Je ne peux plus me retenir et dans un cri accompagné de soubresauts, j’éjacule tout mon jus sur mon ventre. Au même moment sa gorge émet un bruit rauque accompagné d’un ouiiiii de satisfaction. Sa queue frémit dans mes mains et comme un geyser, son sperme jaillit en plusieurs jets abondants qui se répandent sur son torse. On finit de vider nos sexes des dernières gouttes de sperme et, prévoyant, il me donne des mouchoirs en papier pour m’essuyer. Lui il lui faut presque un paquet entier. Après s’être tout les deux rhabillés il me mènera finalement jusqu’à la gendarmerie. Je ne l’ai jamais revu. De toute façon je n’aurais jamais pu être passif avec lui. Il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le bas ventre.
Seithan
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'ete magnifique et moi je voudrer faire pareil avec toi
impressionant j'aimerai bien te la mettre
Moi je te sucerais bien dans un coin discret! et ton étalon je me le prendrais dien volontier quitte à me faire déchirer le cu!
Belle histoire, et belle citation "Il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le bas ventre." Là je suis mdrrr, il faut absolument que je la replace celle-ci.
Belle histoire ! j'aurais fais comme toi moi aussi , j'y aurais gouté .... je suis presque venu en même temps que vous !!
C'est vbrai qu'il existe des bites à ce format, j'en ai vue une et j'ai pas voulu y toucher,par peur.....
Très bien écrit et aussi très réaliste. J'aime beaucoup ta manière de raconter.