Tu as pris des risques (suite de tu prends des risques)

- Par l'auteur HDS Totos -
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Tu as pris des risques (suite de tu prends des risques) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(7.0 / 10)

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Tu as pris des risques (suite de tu prends des risques)
Au final, il vint tous les jours… Plusieurs fois par jour, par nuit on remettait ça !
Lorsqu’il allait boire un verre avec ses amis, il venait ensuite au milieu de la nuit chez moi, au début j’étais étonnée après je l’attendais...
Après presque trois mois de sexe intense, un jour alors que je lui fis un message pour que l’on se voit au soir, il me dit qu’il n’était plus motivé, l’envie n’était pas là, peut-être le lendemain…
Je lui dis de quand même passé, pas spécialement pour s’envoyer en l’air mais pour parler, voir si on pourrait faire à la limite quelque chose de nouveau, il me dit qu’il passerait le soir vite fais.
Il est un peu plus de 13 heures, je vais aller chercher quelques trucs qui lui donneront l’envie de me prendre !
18h passés, je rentre chez moi, je prends un bain ou je reste longtemps dedans… Je reçois un message : « Je suis en route, dans environs 5 minutes je suis chez toi »
Je fais de grand yeux, je n’aurais jamais le temps de m’apprêter, j’ai les cheveux mouillé et tout ! Je sors du bain, pars dans tous les sens et puis regarde les sacs que j’ai achetés…
Moins de 5 minutes sont passés, il passe la porte, oui, il a un double des clés.

- On ne devait pas parler ?

Il faut savoir qu’en passant la porte il me voix à genou toujours mouillée, les cheveux aussi, attachés, les mains derrière la tête avec un collier pour chien et à côté de moi une gamelle remplie d’eau.

- Je suis toute à toi…
- Je t’ai dit quoi ?
- Je sais, mais t’avais parlé de ça …
- Je n’ai pas envie, vraiment …

Il m’aida à me relever et je partis nous servir à boire, il s’allumait une cigarette.

- T’es vraiment incorrigible !
- Enh ça va ! Dis-je vexée.
- Vraiment, on ne peut pas continuer ce genre de relation, c’est bien un moment mais bon…
- Tu as rencontré quelqu’un ?
- Non, pourquoi ?
- Tu as l’occasion de baisé tranquillement et toi tu veux plus !
- Je ne sais pas, l’envie n’est plus là, tiens t’as été promenée ?
- Oui.
- T’as acheté quoi ? Dit-il en prenant l’un des sacs.

En l’ouvrant sa tête changea, il prit un autre et sa tête continuait à changer.

- Hey ben, t’as usé combien pour tout ça ?
- Trop pour rien avoir !

Il sorti mon lapin, c’était un vibromasseur d’assez grosse taille avec un lapin qui venait caresser le clito.

- Tu vois que tu n’as plus besoin de moi ! Dit-il se prenant un fou rire !
- Gna gna gna…
- C’est quoi ça ? Plug ? Ça sert à quoi ?
- …
- Ne deviens pas toute rouge ! Dis-moi !
- C’est pour garder mon cul écarté…
- Je ne connaissais pas. Dit-il en le retournant dans tous les sens.
- Tu connais maintenant…
- Enh ça va, arrête de râler hein !
- Je voulais juste te faire plaisir, et tu me laisse comme ça comme une conne !

Il avait l’air d’avoir compris ce que je voulais dire, je le sentis embarrassé, compatissant.

- Viens. Me dit-il en me tendant la main.

Il était assis sur la chaise, je vins vers lui et m’assis sur ses genoux, je mis ma tête dans son coup, il prit l’un des sachets et le tirais vers lui, il en sortit les menottes, me fis passés mes mains dans mon dos et les fixa.

- Cochon… Dis-je.
- Il faut bien que je te fasse plaisir.

Très vite je sentis ses doigts sur mon petit trou, tentant de le « forcer », passant de mon entre jambes à là pour le lubrifier, petit à petit il y arrivait, beaucoup plus vite que la toute première fois d’ailleurs… Il prit le plug, l’idée semblait l’amusé, après avoir encore lubrifié mon anus il le mit me faisant avoir un petit sursaut et cri.
Il m’emmena dans ma chambre, prit mon lapin avec et me couchait sur le lit, prenant soins de l’enfoncer en moi, il me regardait avec un petit sourire et l’activa, me faisant à nouveau sursauter, les petits oreilles du lapin caressant mon clitoris me fit vite me laisser aller, lui se leva s’asseyant à la chaise de bureau, s’allumant une nouvelle cigarette et me regardant…
Alors que je lui demandais et après plusieurs refus de ma part, il partit dans la salle de bain, revenant avec mon string que j’avais laissé au sol, comme tous mes vêtements prise par l’empressement, il me le mit en bouche et parti se rassoir, se rallumant une cigarette, je n’en pouvais plus… Je ne tardais pas à un peu « bavé » et surtout me laisser aller…
Après quelques cigarettes, il finit par venir sur le lit mettant dos à lui, je sentis qu’il détachait son pantalon, m’enlevait mon plug et vint pousser son sexe contre mon cul… Le lapin continuait à faire son effet, son sexe en moi, ses mains agripper à mes seins les caressant, les agrippant, je me laissais aller à me faire sodomiser.
Il vint en moi, se retirait et m’enlevait mon string, rentrant son sexe dans ma bouche, il me fit descendre par terre, me laissant là, toujours avec mon petit lapin, son sperme sortant de mon cul, il reprit son souffle, parti dans la cuisine et vint vers moi détachant mes menottes, me retirant le lapin qu’il éteint. Je restais un peu au sol… Me retournais et vis le sperme à côté de moi, le léchais, il me sourit et parti dans la cuisine, se servait à boire, je le suivais à 4 pattes, j’avais mal au cul… Je voulais à nouveau l’excité, il me regardait arriver.

- Tu n’arrives plus à te relever ? Dit-il amuser.
- Je me comporte comme mon collier !

Je lui tournais le dos et me dirigeais vers la gamelle ou je buvais ainsi…
On sonnait chez moi, prise de panique je courrais dans la salle de bain, lui décrochais au parlophone.

- Oui ?
- C’est Alison, Sandrine est là ?
- Oui, elle finit de s’apprêter.
- D’accord je l’attends.
- D’accord je lui dis, tu es sur que tu ne veux pas monter ?
- Non, il faut que j’aie me garder ailleurs.
- Ah d’accord, je le lui dis.

Il ouvrit les fenêtres de chez moi, j’enfilais vite tout ce que j’avais sous la main et mit un minimum de maquillage.

- Euh, tu t’es pas essuyée la chatte ni le cul !
- Je n’ai pas le temps, tu te souviens pas qu’on avait prévues d’aller au cinéma ? La séance ne nous attendra pas !
- Comme tu voudras !
- Tu peux rester, je reviens après.
- Ça va, je vais ranger tes nouveaux jouets et laisser aérer puis je dormirais un peu.

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