Tu devrais peut-être coucher avec lui

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Tu devrais peut-être coucher avec lui Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Tu devrais peut-être coucher avec lui
Je savais grâce à son langage corporel qu'elle était contrariée dès qu'elle est sortie de sa voiture. Elle s'essuya les yeux. Il était évident qu'elle avait pleuré en rentrant du travail. C’est arrivé plusieurs fois ces dernières semaines. Au début, tout allait bien. Elle était la meilleure employée du monde. Et puis, progressivement, les reproches ont commencé à pleuvoir.

Elle travaillait depuis quelques mois dans une petite entreprise prospère, mais dirigée par un tyran. Chaque fois, c’était la même histoire, son patron devenait de plus en plus exigeant. Effectivement, elle s’est jetée dans mes bras en sanglotant pour me raconter l'histoire habituelle.

"Je ne peux rien faire de correct selon lui, il exige toujours plus, et me crie dessus dès que je fais une erreur. J'essaie si fort de faire de mon mieux, mais il est méchant et dégradant. Il aime m’humilier. Sais-tu comment il m'a appelée aujourd'hui ? Une grosse vache stupide !"
Tout ça parce qu’elle avait posté un courrier qui n’aurait pas dû l’être, alors que c’était lui qui l’avait placé dans la mauvaise bannette. Je la câlinais dans mes bras, attendant que sa tirade laisse place à un torrent de larmes. Effectivement, elle a enfoui son visage dans ma poitrine, et je pouvais sentir mon t-shirt s’humidifier pendant qu'elle sanglotait.

Bérengère est menue, mais avec de jolies formes. Je suis grand, j'ai 10 ans de plus qu’elle, et je ne suis plus très en forme. Nous sommes mariés depuis cinq ans, mais mon pantalon est devenu trop serré lorsqu’elle s'est blottie contre moi. 
Elle n'était pas assez proche pour s’apercevoir de mon émoi. Je savais qu'elle serait choquée par le fait que je sois excité alors qu'elle était si bouleversée, alors qu'elle espérait le réconfort et la tendresse. Aussi, je me suis assuré de ne pas trop montrer mon trouble.

Honnêtement, hormis l'excitation de tenir dans mes bras ma jolie femme sanglotante et sans défense, je commençais à en avoir un peu marre de la régularité de cet événement. Quand elle m'a raconté pour la première fois le traitement que lui faisait subir son patron, je lui ai proposé mes services pour aller châtier comme il se doit l’ignoble individu. 
J’avais la solution à son problème, parce que je suis plutôt efficace avec mes poings. Mais elle m'a supplié de ne pas faire de bêtise, et de la laisser résoudre ses difficultés. Bien sûr, j'avais offert mes conseils sur ce qu'il convenait de faire. Mais elle n’avait que faire de mes conseils, juste besoin de quelqu'un à qui se confier, déverser sur une épaule amie son trop-plein de rage et de frustrations.

Elle ne m'a jamais écouté. C’est son caractère. Bérengère est têtue, incroyablement butée, et elle déteste lorsque quelque chose lui résiste. Elle travaillerait sans relâche pour résoudre le problème, comme un chien qui ronge un os,
Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Tandis qu'elle pleurait tout contre moi, je baissais la tête pour chuchoter : "Tu devrais peut-être coucher avec lui ?"
Bérengère a eut un drôle de hoquet, et ses larmes se sont taries immédiatement. Elle n’a pas relevé ma suggestion, n’a fait aucun commentaire, faisant comme si elle n’avait rien entendu. Je n’étais pas fier de moi, et j'espérais qu'elle ne m'avait pas compris.

J'aime énormément ma femme, mais je suis toujours émoustillé par la pensée que d’autres hommes puissent la désirer. Étrangement, de savoir qu'elle était convoitée par d'autres confirmerait mon choix. Que j'avais bien fait de l'épouser, qu'elle était une bombasse. Je ne sais pas quel rouage machiavélique, dans mon esprit pervers, a transformé « désirée par d’autres » en « coucher avec un autre »
Depuis le mariage, c’était devenu progressivement un fantasme récurent. Je l'avais gardé secret, par peur de sa réaction, de son incompréhension, de mettre en danger notre union.

Elle sécha ses larmes, se ressaisit et nous entrâmes pour boire un verre. Elle m'a posé des questions sur ma journée, m'a fait un câlin rapide pour me remercier de l'avoir écoutée, puis elle est allée se changer pour enfiler une tenue confortable pour la soirée. Elle semblait absorbée, comme si elle réfléchissait à quelque chose, mais sinon elle semblait naturelle.

Le matin, je pars au travail le premier, et j'ai embrassé sa forme endormie avant de quitter tranquillement la maison. Ce soir-là, j'ai entendu sa voiture s’arrêter devant la maison et, comme d'habitude, m'armant de courage pour calmer ses sanglots, je suis sorti dans l'allée pour l'accueillir. 
Mais il n'y a pas eu de larmes cette fois. Elle est descendue de la voiture vêtue, non pas de son gros pull et de son jeans habituels, mais d'une petite robe noire très sexy. J'ai haussé les sourcils et elle a fait un joli tour sur elle-même en s’approchant de moi.

"Je suis allée faire du shopping pendant le déjeuner pour me remonter le moral. Tu aimes ?" me demanda-t-elle en battant des cils de manière séduisante.

J'ai aimé et je l'ai embrassée, mes mains atteignirent l’arrière de ses cuisses, se faufilant sous l'ourlet de sa robe pour caresser le haut de ses jambes. J’ai senti une culotte en dentelle sous mes doigts, un autre changement. Bérengère portait normalement des confortables culottes en coton. 
Elle s'écarta de moi prestement, gênée d'être tripotée dans la rue, et entra dans la maison. Je l'ai suivie jusque dans notre chambre et je l'ai admirée, avec une érection douloureuse, tandis qu'elle enlevait sa robe et la pliait soigneusement. Après s'être rhabillée plus confortablement, elle est sortie pour aller chercher des sacs dans la voiture
Elle a vidé leur contenu dans son tiroir à sous-vêtements. Elle avait acheté trois autres robes sexy, des sous-vêtements en dentelle, et des bas à coutures. J'ai sifflé comme le loup de Tex Avery pendant qu'elle rangeait ses emplettes, en lui demandant de les essayer devant moi. Elle ricana et sourit, visiblement ravie de la réaction provoquée, mais elle a refusé de s’exposer. Trop tôt, le dîner et les tâches ménagères l’attendaient, et pour la bagatelle, ce sera une autre fois.

J’ai vite pris l’habitude de voir ma femme rentrer du travail dans des vêtements de plus en plus ajustés qui révélaient ses formes, dévoilant ses jambes fuselées, parfois même plus haut que le mi-cuisse admis. Je savais que son travail comportait du classement et j'espérais qu'elle reste décente en rangeant des dossiers dans les tiroirs du bas. Certaines robes couvraient à peine plus que ses fesses et n'offraient aucune pudeur si elle se penchait.

De plus, elle ne portait pas toujours de soutien-gorge, et son chemisier décolleté offrait un magnifique panorama, surtout si j’étais placé au bon endroit. J'aimais l’accueillir sur le pas de la porte pour l’embrasser en la serrant dans mes bras, mais désormais mes mains glissaient plus bas que son dos. Elle tolérait un contact rapide, mais se libérait très vite en se tortillant, gênée. 
Cela me laissait souvent dressé et frustré, et elle se dégageait également si j'essayais de l’entraîner sur le lit. Mon plaisir se limitait à la regarder se déshabiller, et à me masturber avant qu’elle n’arrive. Je ne suis pas fier de ça, mais j'ai utilisé sa lingerie sexy qui traînait dans le panier à linge pour me motiver. J'inhalais profondément ses senteurs féminines en posant sa culotte en dentelle sur mon visage, et je pompais rageusement sur ma bite.

Un après-midi, avant qu'elle ne rentre à la maison, j'ai repêché une culotte souillée et, sans l’examiner, je l’ai posée sur mon visage, en m’allongeant sur le lit. Presque immédiatement, j'ai senti sa mouillure couler du gousset sur ma bouche. Par réflexe, je l’ai goûté.

Un goût âcre et salé. Surpris, je me suis assis pour scruter la culotte. Une importante quantité de gluau blanchâtre ornait son fond de culotte. Mon imagination s'est emportée. 
Se pouvait-il être autre chose que du sperme? Sûrement pas ! C’était forcément du sperme. Qui l’a mis là ? Il ne m'a fallu que quelques secondes pour que l’évidence frappe mon esprit. Ma femme avait une relation extra-conjugale. Mais avec qui ? Sitôt posé la question, sitôt trouvé la réponse, n'est-ce pas ? 
Depuis quelques temps, elle ne rentrait plus du travail en pleurant. Elle ne se plaignait plus du comportement tyrannique de son patron. Elle s’habillait de plus en plus sexy. Pour plaire à qui ?

Elle avait pris à la lettre ma suggestion de coucher avec son patron pour avoir la paix. Nul besoin d’être un spécialiste en physique quantique pour comprendre le moyen qu’elle avait utilisé pour résoudre son problème. Cela fonctionnait manifestement, au-delà de ses espérances.

J'ai constaté mon excitation en m’apercevant de l’extrême tension de ma bite palpitante. Dans ces moments-là, rien n'est dégoûtant, et j'ai rapidement replacé la culotte souillée sur mon visage. J'ai recommencé à pomper sur ma bite avec mon poing. 
Je n’ai pas eu le temps de terminer ce que j'avais commencé. J'ai entendu sa voiture s'arrêter dans l'allée, alors j'ai remonté mon pantalon à la hâte, j’ai jeté sa culotte dans le panier, et je suis sorti l’accueillir avec désinvolture. J’étais inquiet qu’elle puisse remarquer un goût de sperme sur mes lèvres en m’embrassant.

Mais elle n'a fait aucun commentaire. Je l’ai suivie jusque dans la chambre, admirant sa silhouette, son petit cul rond qui dansait sur ses belles jambes. Sa robe la moulait parfaitement. Ses bas s’arrêtaient juste au-dessus de l’ourlet de sa robe. Je pouvais clairement voir la trace de sa culotte.

Bien évidemment, aucune trace de soutien-gorge. J'avais vu ses seins ballotter sous le lycra lorsqu'elle sortait de la voiture. Ce mouvement avait naturellement attiré mon attention, comme pour n'importe quel mâle. Comme d'habitude, je m'assis sur le lit pendant qu'elle se déshabillait. 
Saisissant la robe par le bas, elle l’a soulevée en un seul mouvement, libérant ses charmants seins, et exposant sa culotte soyeuse. Jetant la robe dans le panier à linge, elle fit glisser la culotte et l’enjamba. Elle m’exposait sa chatte boursouflée, et quelques gouttes de laitance s'accrochaient à ses poils pubiens.

"Tu l'as encore baisé aujourd'hui ?" demandais-je, gardant délibérément un ton badin.

"Qui ?" me rétorqua-t-elle, en me défiant du regard. Elle a enfilé un survêtement ample en deux pièces.

"Ton patron !" affirmais-je.

"Oh ! Francis ! Oui ! Depuis quand le sais-tu ?"
"J’en suis sûr depuis aujourd'hui !"
"Et...?"  Elle me dévisageait, méfiante, se demandant comment j’allais réagir. A vrai dire, je ne le savais pas moi-même. Je n'avais découvert sa malice que quelques minutes auparavant. C'était un vieux fantasme qui devenait réel, mais la réalité me conviendrait-elle ?

"Assieds-toi et raconte-moi tout ça" dis-je. Je voulais connaître, aussi pervers que cela puisse paraître, le déroulement des évènements. Et puis, je voulais gagner du temps, pour traiter cette information.

Bien sûr, Bérengère m'a raconté. Comment sa nouvelle garde-robe a suscité une réaction immédiate, et une attitude beaucoup plus tolérante de son patron. Brusquement, ses petites erreurs ont été pardonnées.

Au lieu de crier, Francis a pris le temps de se tenir tout contre elle, la main sur sa nuque, et de lui montrer ce qu'elle aurait dû faire. Cela ne dura que quelques jours avant que le charme ne retombe, comme un soufflé qui refroidit.

Bientôt, il redevint irascible. Cela devenait une course aux armements. Bérengère devait inventer de nouveaux attraits pour occuper la libido de Francis. Assez tôt, elle a ôté son soutif lors d'une virée aux toilettes, et ne l’a plus remis. Cela lui a acheté quelques jours de répit, de nouveau il était désireux de l'aider, penché sur elle pendant qu'elle travaillait à son bureau, profitant sans doute du panorama de ses seins ballottant dans son corsage.

Quand cela n’a plus suffit, elle a corsé son jeu en raccourcissant ses jupes, en portant des robes plus ajustées, en changeant de coiffure, en ouvrant un peu plus son décolleté. A chaque fois qu'elle dévoilait un peu plus de chair, il redevenait gentil et serviable, la couvrant de compliments et de caresses.

Son bureau a été déplacé dans le bureau de Francis, son patron, tout à côté du sien. Une promotion lui a été offerte, accompagnée d’une augmentation de salaire. L'argent supplémentaire a été rapidement dépensé pour acheter des vêtements plus sexy. Il lui a même offert une chaînette en or, la plaçant autour de son cou en effleurant nonchalamment ses épaules nues.

Je lui ai demandé si dévoiler un peu plus de peau était tout ce qu'elle avait dû faire, elle a haussé les épaules et m’a dit : "Non, bien sûr !" Elle devait entretenir la flamme en flirtant avec lui. Se tenir tout près de lui. Presque trop près.

Rapprocher ses bras pour rehausser sa poitrine pendant qu'il lui parlait pour lui permettre de jeter un coup d'œil. Se pencher en avant aussi souvent que possible. Lorsqu’il était face à elle, s’activer en agitant ses nichons dans son corsage entrebâillé. Lorsqu’elle lui tournait le dos, se pencher aussi bas que possible en gardant les jambes droites. Et prendre son temps, pour qu'il ait amplement la facilité de bien voir ses atours.

Et puis, Bérengère s’est trouvée coincée. Pas de possibilité de se découvrir plus. D’en montrer plus. Et Francis redevenait tyrannique. Un matin, penchée sur le bureau du patron, elle a senti Francis, debout derrière elle, s’appuyer contre elle.

Elle a senti son désir tendu, coincé dans son pantalon, gratter sa fesse. Elle a compris qu’il n’irait pas plus loin pour lui faire comprendre qu’il la désirait. Alors, elle a envoyé la main derrière elle, et elle a caressé sa douloureuse protubérance.

Dans le même mouvement, elle s’est tournée vers lui, le regard salace, et lui a tendu ses lèvres. Il s’en est emparé et l’a basculée sur le bureau. Il la désirait fort. Très fort. Très, très fort. Leur accouplement a duré de longues minutes. Plusieurs fois, il est venu en elle, sans se retirer et sans mollir entre deux passes d’armes.

À ce moment-là de son récit, je ne pouvais plus en entendre davantage. J’avais compris qu’elle appréciait les assauts virils de son patron, elle a dû subir le mien. Malgré ses protestations, peut-être même à cause de ses protestations, je ne lui avais jamais fait l’amour aussi fougueusement.

Ensuite, allongés langoureusement l’un contre l’autre, elle a continué son récit : "Tu sais, il est très fort. Et très fougueux. Au début, il m’a fait mal ! Mais j’ai pu m’ajuster assez rapidement et après, c’était bien !"
"Est-ce la seule fois que tu as couché avec lui ?" Je voulais des détails. Où, quand, combien ?

"Le midi, il m’a emmenée dans une auberge au bord d’une rivière. Nous avons bien mangé, mais aussi pas mal bu. À la fin du repas, il a pris une liqueur et m’a confié qu’il n’était pas en état de conduire. Il m’a proposé un taxi pour retourner au travail, pendant qu’il demandait une chambre pour faire la sieste."
"Tu es retournée travailler en taxi et tu l’as laissé là ?"
Bérengère a rougi. "Ben non. Je lui ai avoué que j’aimerais bien faire une petite sieste avec lui !"
"Et ?"
"Il m’a baisée tout l’après-midi. Un vrai taureau fougueux. Infatigable. Il m’a rendue folle. J’ai crié son nom en lui disant qu’il était le meilleur amant du monde !"
"Tu le pensais ?"
"Ben oui ! Il était fort, puissant, actif, viril. Un véritable macho dominateur. J’ai adoré !"
"C’est la seule fois où tu lui a cédé ?"
"Ben non, le lendemain, pendant la pause déjeuner. Et encore le jour suivant. Et tous les jours, pendant la pause déjeuner. Même aujourd'hui. Me détestes-tu ?"
Bizarrement, je ne la détestais pas. Un mélange de sentiments troubles, d’où surnageait mon désir pour elle. Elle l’avait deviné, bien avant moi, c’est pourquoi elle avait été aussi crue, avec son récit très détaillé.

Son regard brillait. Elle redevenait gourmande. Sa main pressait doucement ma bite qui s’éveillait de nouveau.

"Mais non, mon chéri, tu ne me détestes pas, n’est-ce pas ?"
"Je ne sais pas," répondis-je sincèrement.

Mais elle ne m’écoutait pas, se soulevait pour me chevaucher, s’empalait en soupirant sur ma verge dressée, tandis que je pressais ses seins qui dansaient devant mon visage. Tandis qu’elle oscillait des hanches sur moi, elle me posa la question qui la tourmentait :
"Est-ce que tu penses que je suis une salope ?" 
"Oui. Mais je t’aimes encore plus maintenant. Et je veux que tu me racontes tous les détails, chaque soir, sur ce que vous faites le jour !"
Mon fantasme était devenu réalité. Pour mon plus grand bonheur. Et elle avait résolu son problème. Elle aimait tellement résoudre les problèmes.

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Pitoyable femme et homme qui n'a rien ds le pantalon



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