Tu fais comme elle
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Tu fais comme elle
Nous sommes sur le canapé, moi nu, lui habillé. Je me suis rasé pour l’occasion- mes fesses et mon pubis sont entièrement imberbes. Il me regarde, me matte. Sa main se pose sur mon sexe à demi dur. Il le branle un peu, me faisant durcir entièrement. Il est d’une taille moyenne.
« Tu ne t’en sers donc pas avec les hommes ? »
« Non. Je suis uniquement passif. »
« Je vois, c’est très bien. »
Il fait remonter ça main, le long de mon ventre, puis mon torse.
« Lève toi. »
Je le fais. Il me matte le fessier à présent et continu les caresses. Il m’attribue une petite claque qui me fait frissonner.
« Mets toi à genoux. »
J’exécute encore. Je me place entre lui et la télévision. Il continu son observation.
« Tu fais du sport, ça se voit. Mais tu n’es pas non plus trop musclé, c’est bien. »
Il prend la télécommande et allume un porno. Je me retourne pour voir. Une brune, très mignonne se languie devant un homme musclé et nu.
« C’est simple, » dit il, « tu fais tout ce qu’elle fait. Mais en attendant qu’elle se déshabille je veux que tu me branles. »
Tandis que le film se déroule derrière moi je défais donc son jean. Dessous une barre raide se dessine clairement à travers son caleçon, longue et épaisse - impressionnante. Je la caresse doucement, la sentant durcir encore sous mon toucher. Je parcours la ligne tortueuse d’une veine d’un doigt. Le regard de mon amant est partagé entre l’écran et mon corps nu.
« Attends une seconde. Va voir dans le meuble là bas, » il indique une commode derrière la télé, « premier tiroir. »
Je me lève et vais donc ouvrir le tiroir. Il me caresse les fesses en passant. Dans le meuble se trouve une panoplie de dessous féminins.
« Choisis un string, met le et reviens. »
Encore une fois, après avoir lancé un regard vers mon amant qui se caresse en solo, la queue sortie du pantalon à présent, je sélectionne un string en dentelle noire et l’enfile. Il me sers les boules et remonte le long de ma raie mais la sensation n’est pas désagréable et ce n’est pas la première fois que j’en aurais porté un. Je retourne sagement à ma position – à genoux devant l’homme.
Sur la télé, la femme branle à présent la verge de son amant. Je fais donc de même, la prenant entre ma main qui peine à l’entourer. De l’autre je malaxe ses boules imberbes. Il est totalement rasé, tout comme moi. L’effet produit est différent cependant : sur mon amant l’absence de poils ne fait qu’accentuer l’envergure de son membre. Sur moi c’est plutôt un côté féminin qui ressort. Je le masturbe donc, chaque mouvement de ma main ferme et expert. L’homme regarde le porno d’un œil affamé.
« Allez, c’est ça, fait bien la femme. »
Je lui souris pendant cette caresse qui en effet affirme sa virilité face à ma position soumise. Quand il me guide fermement la tête d’une main vers son gland enflé je ne résiste pas et j’ouvre la bouche pour la laisser passer. Le goût est fort mais bon. Il contrôle les mouvements, tout comme, je l’imagine, l’homme dans le porno. Mais il n’est pas non plus violent. Chaque mouvement est profond mais sans abuser. Sa queue fraie un passage délicieux entre mes lèvres et je sens la mienne raide mais inutile sous la dentelle.
« Tu fais limite mieux la salope qu’elle, » me dit-il, riant.
Il continue un petit moment encore cette assertion de dominance. Ma tête va de haut en bas, parfois d’elle même mais souvent guidée par la main robuste de l’homme.
Enfin, il la soulève pour laisser sortir son sexe lubrifié de ma salive. Je prends une bouchée d’air, tout de même soulagé.
« Allez, regarde ce qu’elle fait. »
Je me retourne, et vois la femme à quatre pattes devant l’homme qui s’apprête à la pénétrer. J’émule donc la scène, me retournant et me prosternant, mon cul bombé cambré vers l’homme qui a son tour s’avance et se place derrière moi. Il écarte la bande de mon string, et je sens sa verge se caller entre mes cuisses. Il y reste un instant.
« Prend le tube de lubri la à la base de la télé. »
Je le vois tout de suite et lui tends.
« Non non c’est toi qui m’en mets. »
J’exécute, passant ma main entre mes jambes, enduit d’une lampée. Je lui enduis le gland et une bonne partie du phallus avant d’en appliquer un peu sur mon trou. Puis il se positionne et je sens son gland enflé se caler contre mon anus. Je descends sur mes coudes, lui donnant une meilleure vue de ce qu’il fait. Je le sens pousser. Il peine un peu à passer mais d’un coup son membre est en moi, frayant de nouveau un chemin, cette fois entre ma paroi.
La femme gémi sur l’écran et moi aussi aux coups de hanches puissants de mon amant. Il me fait répéter à plusieurs reprises à quel point j’aime le sentir en moi. Je lui dis que oui, entre deux gémissements.
Après de longs instants il se retire rapidement, m'ordonnes de me retirer, puis se masturbe vigoureusement devant mon visage. Le foutre jaillit en une explosion de chaude et épaisse, s'étalant sur mon visage.
« Qu’est-ce qu’on dit ? » Il est à bout de souffle.
« Merci. »
« C’est bien. Prends un mouchoir avant de partir. Ton argent est sur le meuble, prêt de la porte. Ravi de t’avoir rencontré. »
« Tu ne t’en sers donc pas avec les hommes ? »
« Non. Je suis uniquement passif. »
« Je vois, c’est très bien. »
Il fait remonter ça main, le long de mon ventre, puis mon torse.
« Lève toi. »
Je le fais. Il me matte le fessier à présent et continu les caresses. Il m’attribue une petite claque qui me fait frissonner.
« Mets toi à genoux. »
J’exécute encore. Je me place entre lui et la télévision. Il continu son observation.
« Tu fais du sport, ça se voit. Mais tu n’es pas non plus trop musclé, c’est bien. »
Il prend la télécommande et allume un porno. Je me retourne pour voir. Une brune, très mignonne se languie devant un homme musclé et nu.
« C’est simple, » dit il, « tu fais tout ce qu’elle fait. Mais en attendant qu’elle se déshabille je veux que tu me branles. »
Tandis que le film se déroule derrière moi je défais donc son jean. Dessous une barre raide se dessine clairement à travers son caleçon, longue et épaisse - impressionnante. Je la caresse doucement, la sentant durcir encore sous mon toucher. Je parcours la ligne tortueuse d’une veine d’un doigt. Le regard de mon amant est partagé entre l’écran et mon corps nu.
« Attends une seconde. Va voir dans le meuble là bas, » il indique une commode derrière la télé, « premier tiroir. »
Je me lève et vais donc ouvrir le tiroir. Il me caresse les fesses en passant. Dans le meuble se trouve une panoplie de dessous féminins.
« Choisis un string, met le et reviens. »
Encore une fois, après avoir lancé un regard vers mon amant qui se caresse en solo, la queue sortie du pantalon à présent, je sélectionne un string en dentelle noire et l’enfile. Il me sers les boules et remonte le long de ma raie mais la sensation n’est pas désagréable et ce n’est pas la première fois que j’en aurais porté un. Je retourne sagement à ma position – à genoux devant l’homme.
Sur la télé, la femme branle à présent la verge de son amant. Je fais donc de même, la prenant entre ma main qui peine à l’entourer. De l’autre je malaxe ses boules imberbes. Il est totalement rasé, tout comme moi. L’effet produit est différent cependant : sur mon amant l’absence de poils ne fait qu’accentuer l’envergure de son membre. Sur moi c’est plutôt un côté féminin qui ressort. Je le masturbe donc, chaque mouvement de ma main ferme et expert. L’homme regarde le porno d’un œil affamé.
« Allez, c’est ça, fait bien la femme. »
Je lui souris pendant cette caresse qui en effet affirme sa virilité face à ma position soumise. Quand il me guide fermement la tête d’une main vers son gland enflé je ne résiste pas et j’ouvre la bouche pour la laisser passer. Le goût est fort mais bon. Il contrôle les mouvements, tout comme, je l’imagine, l’homme dans le porno. Mais il n’est pas non plus violent. Chaque mouvement est profond mais sans abuser. Sa queue fraie un passage délicieux entre mes lèvres et je sens la mienne raide mais inutile sous la dentelle.
« Tu fais limite mieux la salope qu’elle, » me dit-il, riant.
Il continue un petit moment encore cette assertion de dominance. Ma tête va de haut en bas, parfois d’elle même mais souvent guidée par la main robuste de l’homme.
Enfin, il la soulève pour laisser sortir son sexe lubrifié de ma salive. Je prends une bouchée d’air, tout de même soulagé.
« Allez, regarde ce qu’elle fait. »
Je me retourne, et vois la femme à quatre pattes devant l’homme qui s’apprête à la pénétrer. J’émule donc la scène, me retournant et me prosternant, mon cul bombé cambré vers l’homme qui a son tour s’avance et se place derrière moi. Il écarte la bande de mon string, et je sens sa verge se caller entre mes cuisses. Il y reste un instant.
« Prend le tube de lubri la à la base de la télé. »
Je le vois tout de suite et lui tends.
« Non non c’est toi qui m’en mets. »
J’exécute, passant ma main entre mes jambes, enduit d’une lampée. Je lui enduis le gland et une bonne partie du phallus avant d’en appliquer un peu sur mon trou. Puis il se positionne et je sens son gland enflé se caler contre mon anus. Je descends sur mes coudes, lui donnant une meilleure vue de ce qu’il fait. Je le sens pousser. Il peine un peu à passer mais d’un coup son membre est en moi, frayant de nouveau un chemin, cette fois entre ma paroi.
La femme gémi sur l’écran et moi aussi aux coups de hanches puissants de mon amant. Il me fait répéter à plusieurs reprises à quel point j’aime le sentir en moi. Je lui dis que oui, entre deux gémissements.
Après de longs instants il se retire rapidement, m'ordonnes de me retirer, puis se masturbe vigoureusement devant mon visage. Le foutre jaillit en une explosion de chaude et épaisse, s'étalant sur mon visage.
« Qu’est-ce qu’on dit ? » Il est à bout de souffle.
« Merci. »
« C’est bien. Prends un mouchoir avant de partir. Ton argent est sur le meuble, prêt de la porte. Ravi de t’avoir rencontré. »
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super bien j'ai aimé
hummmmm
très excitant...
très excitant...