Tu l'as cherché 13
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tu l'as cherché 13
Tu l’as cherché 13
A l’image du premier jour de la tournée, le deuxième me rapporte les éloges de mon beau-père. Le message de Doris est rassurant, selon mes prévisions Alain est fidèle. J’ai recours cette fois à mes doigts pour compenser le manque dû à l’absence de mon mari. Le soir du troisième jour surgit un problème. L’hôtel a mal saisi la date de la réservation, et ne dispose plus que d’une grande chambre. Le personnel propose de séparer les deux lits accolés de 90 cm chacun, par un paravent : la patronne a forcément remarqué la différence d’âge. Elle connaît Gérard , sait que nous ne vivons pas en couple. Contrarié mon beau-père s’inquiète de savoir si l’arrangement peut me convenir. Que faire. Nous sommes adultes, nous saurons nous tenir.
Nous voilà couchés de part et d’autre du paravent, un rayon de lune éclaire faiblement la chambre. Il n’est pas possible de jouer avec mes doigts dans ce contexte. Mon smartphone tremble, tout va bien à la maison.
- C’était Alain ? Demande le père. Ça va, il pense à toi tous les soirs. Ah ! Le brave mari. Tu dois lui manquer, hein ? Patience tu le retrouveras bientôt.
C’était Doris. Je ne juge pas utile de détromper Gérard. Il a envie de parler ce soir. Je ne suis pas seule à trouver le temps long.
- Dis-moi, Lucie, Alain m’a raconté votre visite au « flamand rose ». L’y as-tu vraiment accompagné ? Cela ne t’a pas trop scandalisée ? C’était quel jour ?
- Le samedi, il y a quinze jours. La visite a été brève. Je l’ai écourtée.
- Vraiment . Alain m’a dit que vous étiez passés par le « tunnel » après le passage par le bar. As-tu apprécié ?
Il est bien curieux mon beau-père, et bien renseigné. Il semble aussi connaître l’établissement. Cela ne me paraît pas invraisemblable. D’ailleurs il m’en parle facilement. Je tombe des nues. Mon père, ma mère, ma belle-mère et lui-même y étaient également le samedi 14. Il a même eu une agréable surprise. Une jeune inconnue, sans doute une novice, lui a procuré un plaisir spécial, inégalé. Les habituées foncent d’ordinaire vers les salles suivantes ou vers la piscine. Or le hasard s’est montré généreux. La fille a commencé par caresser le sexe de Gérard en hésitant, avant de l’embrasser puis de le prendre en bouche. Un homme l’encourageait et elle s’est mise à sucer, à faire aller et venir entre ses mâchoires un peu tremblantes « la grosse » qui dépassait de la paroi. Généralement les libertines s’amusent un peu et continuent leur route mais ne terminent pas la gâterie :
- Ce n’était pas une habituée; elle y a mis tout son cœur et toute son énergie. Je donnerais beaucoup pour la retrouver. Elle y mettait une telle ferveur que moi, vieil habitué, je me suis laissé partir et je lui ai rempli la bouche.
Ce n’est pas un récit pour enfant. Pourquoi mon beau-père me fait-il cette confidence osée ? Il est friand d’histoires grivoises, quand il est avec d’autres hommes, mais ici, avec moi, sa bru, il me surprend par l’audace des détails.
Alain a raconté, mais est-il entré dans les détails ? J’espère que non. Pourtant c’est-ce même samedi que j’ai profité de l’obscurité et que j’ai réalisé une délicieuse fellation couronnée de succès. Cette queue bien raide et noueuse plantée dans ma bouche, roulant sous et sur ma langue, ce serait celle de mon beau-père ? J’ai de bonnes raisons de le supposer. Mais lui, sait-il par son fils, ou espère-t-il que la nouvelle ce soir là c’était moi. Pourquoi la conversation a-t-elle pris cette tournure ?
Je me suis brossé les dents autant de fois depuis cet extra. Pourtant j’ai gardé en mémoire ce goût différent de celui des écoulements de mon Alain Se peut-il que j’aie commis cet acte. J’aurais pu y penser. Cette bite je l’avais vue là-bas au bord de l’autoroute en train de faire gémir ma mère. Évidemment entre voir quand on est encore vierge et tenir en bouche quand on est mariée, il y a une sacrée différence. Et puis je n’ai pas de certitude absolue. Non, mais je rêve. J’ai peut-être goûté au sperme de mon père, peut-être une autre gourde comme moi a-t-elle fait le bonheur de Gérard. Mais je m’égare, j’aurais longuement sucé papa si ce n‘était pas Gérard? Je ne savais pas qu’il fréquentait ce genre de lieux avec maman, Gérard et belle-maman. Mais alors, ces quatre là se mélangent ? La pinède au bord de l’autoroute …n’était qu’un épisode d’une longue liste d’autres fantaisies.
.Qu’est-ce qui est pire : avaler les sécrétions de son père ou celles de son beau-père ? Et Alain avait-il tenté de pénétrer ma mère ou la sienne ? Par chance il ne bandait pas assez pour défoncer l’une ou l’autre. Savait-il que nos parents étaient présents ce soir du 14 dans cet endroit particulier, avait-il calculé la probabilité d’une conjonction entre parents et enfants ? Est-il pourri à ce point ? Mais moi !!! Merde !!! Ils étaient cinq hommes. Je ne peux pas demander à Gérard quelle place il occupait, sinon il va croire qu’il a réellement eu la chance ou le malheur de souiller ma bouche. Il me reste une chance d’avoir choisi un étranger, par hasard. Comme il est possible, et si j’ai bien suivi Gérard, comme il est probable que j’aie donné du bonheur à mon patron sans le savoir.
Fille de libertins ! Je sais qui est officiellement ma mère. Va savoir qui est mon père de Gérard ou de Joseph ? Les idées affluent, se bousculent dans ma tête. C’est dégoûtant… Pourvu que je ne sois pas la demi sœur de mon mari. Dans ce monde tout est possible. On couche avec l’un, on baise avec l’autre, on tombe enceinte duquel. Cela n’a pas d’importance.
A partir d’un certain degré, il n’y a plus de limites à mes divagations. Et Gérard, de l’autre côté du paravent, que rumine-t-il ? Son souffle est fort, son souffle s’emballe. Non…! malgré ma présence, ou à cause de ma présence, parce qu’il se persuade que c’était lui et que c’était moi, il se serait pris en main pour un cinq à un !
Et si l’homme du samedi, si celui qui m’a rincé les dents avec son foutre salé, si c’était vraiment Gérard, par hasard ou par calcul du fils ou du père, complices ou pas… si,…. Alors ce qui s’est produit une fois, pourquoi cela serait-il plus mal hic et nunc, ici et en ce moment ? Gérard avec les mêmes données doit imaginer comme moi la scène mais en donnant un visage à la pipeuse. Qu’attend-il pour oser, pour me rejoindre dans mon lit ? Et moi, ne devrais-je pas oser et sauter dans ses draps ? Ah ! Si c’était sûr. Car je peux me tromper. Alain me manque, mon corps réclame des câlins, je deviens dingue, le prurit vaginal me bouleverse. Calme-toi Lucie, calme-toi me dit une voix.
Qu’est-ce qui retient Gérard ? Surtout s’il sait ! Il faut que j’ouvre la fenêtre de la chambre, l’air devient irrespirable. Gérard se racle la gorge :
- Lucie, tu dors ?
Ciel, ne pas bouger, ne pas répondre, tant pis pour la fenêtre. Le danger de dérapage nous guette. Un mot peut suffire à déclencher une tempête dans nos corps. Je ne le veux pas, mais je le désire secrètement. Je pourrais juste utiliser ma bouche, un peu, assez pour détendre Gérard, à condition qu’il prenne l’initiative. Mais s’il me croit endormie il n’osera pas franchir ce paravent stupide. Qu’a-t-il à me dire ? Un mot de lui suffirait à chasser les fantasmes.
- Non, Gérard, je pense à mon mari .
- Ah. C’est bien. Permets-tu que je te donne un conseil ? Tu es une excellente épouse. Mais tu devrais laisser un peu plus de liberté à Alain. Dernièrement il m’a laissé entendre que tu l’étouffes parfois. Tu devrais rechercher un juste milieu dans vos relations.
- Comment ? De quelles relations s’agit-il ? Alain formule des plaintes, il trouve que je l’aime trop ?
- Son propos n’est pas aussi net. Mais pour tout t’avouer, c’est en partie pour le soulager que j’ai jugé nécessaire de monter notre expédition.
- Bon ! Je commence à comprendre. Mon petit garçon est allé pleurnicher dans le giron de maman et de papa. Qu’a-t-il dit plus précisément ?… Qu’il n’en peut plus ? Que je le fatigue ? Que je l’épuise ?
- Allons, Lucie, garde ton calme. Il paraît que tu es très chaude. C’est, m’a-t-il raconté, pour cette raison qu’il a voulu te faire connaître une boîte échangiste. Il souhaite te divertir et te procurer des occasions de lier connaissance avec d’autres personnes, hommes ou femmes. Ces contacts allégeraient l’ambiance dans votre couple. Tu devrais y réfléchir.
- Savait-il que vous étiez au flamand rose lorsqu’il m’y a conduite ?
- Je ne pense pas. Nous ne lui avions jamais parlé de cet endroit. Pourquoi ?
A l’image du premier jour de la tournée, le deuxième me rapporte les éloges de mon beau-père. Le message de Doris est rassurant, selon mes prévisions Alain est fidèle. J’ai recours cette fois à mes doigts pour compenser le manque dû à l’absence de mon mari. Le soir du troisième jour surgit un problème. L’hôtel a mal saisi la date de la réservation, et ne dispose plus que d’une grande chambre. Le personnel propose de séparer les deux lits accolés de 90 cm chacun, par un paravent : la patronne a forcément remarqué la différence d’âge. Elle connaît Gérard , sait que nous ne vivons pas en couple. Contrarié mon beau-père s’inquiète de savoir si l’arrangement peut me convenir. Que faire. Nous sommes adultes, nous saurons nous tenir.
Nous voilà couchés de part et d’autre du paravent, un rayon de lune éclaire faiblement la chambre. Il n’est pas possible de jouer avec mes doigts dans ce contexte. Mon smartphone tremble, tout va bien à la maison.
- C’était Alain ? Demande le père. Ça va, il pense à toi tous les soirs. Ah ! Le brave mari. Tu dois lui manquer, hein ? Patience tu le retrouveras bientôt.
C’était Doris. Je ne juge pas utile de détromper Gérard. Il a envie de parler ce soir. Je ne suis pas seule à trouver le temps long.
- Dis-moi, Lucie, Alain m’a raconté votre visite au « flamand rose ». L’y as-tu vraiment accompagné ? Cela ne t’a pas trop scandalisée ? C’était quel jour ?
- Le samedi, il y a quinze jours. La visite a été brève. Je l’ai écourtée.
- Vraiment . Alain m’a dit que vous étiez passés par le « tunnel » après le passage par le bar. As-tu apprécié ?
Il est bien curieux mon beau-père, et bien renseigné. Il semble aussi connaître l’établissement. Cela ne me paraît pas invraisemblable. D’ailleurs il m’en parle facilement. Je tombe des nues. Mon père, ma mère, ma belle-mère et lui-même y étaient également le samedi 14. Il a même eu une agréable surprise. Une jeune inconnue, sans doute une novice, lui a procuré un plaisir spécial, inégalé. Les habituées foncent d’ordinaire vers les salles suivantes ou vers la piscine. Or le hasard s’est montré généreux. La fille a commencé par caresser le sexe de Gérard en hésitant, avant de l’embrasser puis de le prendre en bouche. Un homme l’encourageait et elle s’est mise à sucer, à faire aller et venir entre ses mâchoires un peu tremblantes « la grosse » qui dépassait de la paroi. Généralement les libertines s’amusent un peu et continuent leur route mais ne terminent pas la gâterie :
- Ce n’était pas une habituée; elle y a mis tout son cœur et toute son énergie. Je donnerais beaucoup pour la retrouver. Elle y mettait une telle ferveur que moi, vieil habitué, je me suis laissé partir et je lui ai rempli la bouche.
Ce n’est pas un récit pour enfant. Pourquoi mon beau-père me fait-il cette confidence osée ? Il est friand d’histoires grivoises, quand il est avec d’autres hommes, mais ici, avec moi, sa bru, il me surprend par l’audace des détails.
Alain a raconté, mais est-il entré dans les détails ? J’espère que non. Pourtant c’est-ce même samedi que j’ai profité de l’obscurité et que j’ai réalisé une délicieuse fellation couronnée de succès. Cette queue bien raide et noueuse plantée dans ma bouche, roulant sous et sur ma langue, ce serait celle de mon beau-père ? J’ai de bonnes raisons de le supposer. Mais lui, sait-il par son fils, ou espère-t-il que la nouvelle ce soir là c’était moi. Pourquoi la conversation a-t-elle pris cette tournure ?
Je me suis brossé les dents autant de fois depuis cet extra. Pourtant j’ai gardé en mémoire ce goût différent de celui des écoulements de mon Alain Se peut-il que j’aie commis cet acte. J’aurais pu y penser. Cette bite je l’avais vue là-bas au bord de l’autoroute en train de faire gémir ma mère. Évidemment entre voir quand on est encore vierge et tenir en bouche quand on est mariée, il y a une sacrée différence. Et puis je n’ai pas de certitude absolue. Non, mais je rêve. J’ai peut-être goûté au sperme de mon père, peut-être une autre gourde comme moi a-t-elle fait le bonheur de Gérard. Mais je m’égare, j’aurais longuement sucé papa si ce n‘était pas Gérard? Je ne savais pas qu’il fréquentait ce genre de lieux avec maman, Gérard et belle-maman. Mais alors, ces quatre là se mélangent ? La pinède au bord de l’autoroute …n’était qu’un épisode d’une longue liste d’autres fantaisies.
.Qu’est-ce qui est pire : avaler les sécrétions de son père ou celles de son beau-père ? Et Alain avait-il tenté de pénétrer ma mère ou la sienne ? Par chance il ne bandait pas assez pour défoncer l’une ou l’autre. Savait-il que nos parents étaient présents ce soir du 14 dans cet endroit particulier, avait-il calculé la probabilité d’une conjonction entre parents et enfants ? Est-il pourri à ce point ? Mais moi !!! Merde !!! Ils étaient cinq hommes. Je ne peux pas demander à Gérard quelle place il occupait, sinon il va croire qu’il a réellement eu la chance ou le malheur de souiller ma bouche. Il me reste une chance d’avoir choisi un étranger, par hasard. Comme il est possible, et si j’ai bien suivi Gérard, comme il est probable que j’aie donné du bonheur à mon patron sans le savoir.
Fille de libertins ! Je sais qui est officiellement ma mère. Va savoir qui est mon père de Gérard ou de Joseph ? Les idées affluent, se bousculent dans ma tête. C’est dégoûtant… Pourvu que je ne sois pas la demi sœur de mon mari. Dans ce monde tout est possible. On couche avec l’un, on baise avec l’autre, on tombe enceinte duquel. Cela n’a pas d’importance.
A partir d’un certain degré, il n’y a plus de limites à mes divagations. Et Gérard, de l’autre côté du paravent, que rumine-t-il ? Son souffle est fort, son souffle s’emballe. Non…! malgré ma présence, ou à cause de ma présence, parce qu’il se persuade que c’était lui et que c’était moi, il se serait pris en main pour un cinq à un !
Et si l’homme du samedi, si celui qui m’a rincé les dents avec son foutre salé, si c’était vraiment Gérard, par hasard ou par calcul du fils ou du père, complices ou pas… si,…. Alors ce qui s’est produit une fois, pourquoi cela serait-il plus mal hic et nunc, ici et en ce moment ? Gérard avec les mêmes données doit imaginer comme moi la scène mais en donnant un visage à la pipeuse. Qu’attend-il pour oser, pour me rejoindre dans mon lit ? Et moi, ne devrais-je pas oser et sauter dans ses draps ? Ah ! Si c’était sûr. Car je peux me tromper. Alain me manque, mon corps réclame des câlins, je deviens dingue, le prurit vaginal me bouleverse. Calme-toi Lucie, calme-toi me dit une voix.
Qu’est-ce qui retient Gérard ? Surtout s’il sait ! Il faut que j’ouvre la fenêtre de la chambre, l’air devient irrespirable. Gérard se racle la gorge :
- Lucie, tu dors ?
Ciel, ne pas bouger, ne pas répondre, tant pis pour la fenêtre. Le danger de dérapage nous guette. Un mot peut suffire à déclencher une tempête dans nos corps. Je ne le veux pas, mais je le désire secrètement. Je pourrais juste utiliser ma bouche, un peu, assez pour détendre Gérard, à condition qu’il prenne l’initiative. Mais s’il me croit endormie il n’osera pas franchir ce paravent stupide. Qu’a-t-il à me dire ? Un mot de lui suffirait à chasser les fantasmes.
- Non, Gérard, je pense à mon mari .
- Ah. C’est bien. Permets-tu que je te donne un conseil ? Tu es une excellente épouse. Mais tu devrais laisser un peu plus de liberté à Alain. Dernièrement il m’a laissé entendre que tu l’étouffes parfois. Tu devrais rechercher un juste milieu dans vos relations.
- Comment ? De quelles relations s’agit-il ? Alain formule des plaintes, il trouve que je l’aime trop ?
- Son propos n’est pas aussi net. Mais pour tout t’avouer, c’est en partie pour le soulager que j’ai jugé nécessaire de monter notre expédition.
- Bon ! Je commence à comprendre. Mon petit garçon est allé pleurnicher dans le giron de maman et de papa. Qu’a-t-il dit plus précisément ?… Qu’il n’en peut plus ? Que je le fatigue ? Que je l’épuise ?
- Allons, Lucie, garde ton calme. Il paraît que tu es très chaude. C’est, m’a-t-il raconté, pour cette raison qu’il a voulu te faire connaître une boîte échangiste. Il souhaite te divertir et te procurer des occasions de lier connaissance avec d’autres personnes, hommes ou femmes. Ces contacts allégeraient l’ambiance dans votre couple. Tu devrais y réfléchir.
- Savait-il que vous étiez au flamand rose lorsqu’il m’y a conduite ?
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