Tu l'as cherché 6
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Tu l'as cherché 6
Tu l’as cherché 6
En raison d’un impérieux besoin je quitte discrètement mon bureau et je me rends aux toilettes pour dames. Je vais quitter la cabine quand entrent plusieurs personnes en pleine discussion.
- Bien, mais comment est -elle, demande une voix. Simple, bêcheuse, aimable ?
- Ce n’est pas ce qui m’importe répond la voix de Doris, ma secrétaire. Elle m’a piqué la place d’assistante de direction que le directeur financier m’avait pratiquement promise et elle se trimballe avec la bague de fiançailles qui m’était destinée. Je suis écoeurée.
- Tu ne te serais pas un peu emballée ? Tu as un écrit, un engagement?
- Oui, tu as dû prendre tes désirs pour la réalité. Explique nous ça. Tu sais; ici tu ne seras pas la première à déchanter.
- Ah ! Vous me prenez pour simplette? Bon, voilà. Il y a deux mois, le jeune directeur, fils du PDG, prend possession de son bureau en remplacement de Lucien parti à la retraite. Ils ont collaboré pendant un mois, Lucien m’a recommandée en raison de mon ancienneté.
- Et de ta connaissance du travail, je suppose.
- Alain me consulte, me félicite, me demande si le poste me conviendrait, si je pense pouvoir devenir officiellement dans l’organigramme « assistante de direction », si je me sens les épaules assez solides. Depuis le temps que j’occupe les fonctions sans le titre, je me dis prête. Lucien part, le temps passe.
- Oh ! C’est mauvais signe.
- Un jour il m’appelle. Sur son bureau un écrin est ouvert. Alain me demande comment je trouve la bague. Je m’extasie. Il me demande si j’aimerais porter une bague pareille. Mon cœur bat la chamade et sous le coup de l’émotion je lui saute au cou et je l’embrasse. Il se laisse faire, me caresse la poitrine. Enfin nous nous séparons et il prend un air étonné pour me poser une question dont il doit pourtant connaître la réponse :
- Doris, n’es-tu pas mariée?
- Non, Alain, je suis célibataire. Tous les documents le prouvent.
- Pas même un compagnon, un petit copain ou un flirt ?
- Non, je suis absolument libre. Pourquoi ?
- Comme ça. Ce baiser est donc bienvenue. J’aime les attentions des jeunes femmes qui m’entourent ici. Tu es la plus proche. Je t’autorise à remettre ça quand tu voudras, personne n’en souffrira.
- L’invitation était claire. C’était presque une déclaration d’amour, sans compter le brillant de la bague et la perspective d’une promotion professionnelle, alors
- C’est ça ! Tu as mordu à l’hameçon !
- Oui. Je lui ai tendu les bras. Il m’a tenue à distance, le temps de tourner l’affiche « Ne pas déranger » et de tourner la clé de la porte.
- Ouhaha! T’as pas eu peur ? T’aurais pas une cigarette pour moi ?
- Tiens. Mais je croyais que tu ne fumais plus ?
- Moi aussi
- Ouais, mais votre fumée me tente.
Elles sont donc trois: Doris et deux autres à venir fumer en cachette; il faut en avoir envie.
-Donc Alain a fermé la porte, et après ? Allez, raconte
- Comme une andouille je l’ai embrassé. Porte fermée, on pouvait y aller. C’est un sacré chaud lapin. Le travail de sa bouche m’a ramollie, il a pu étendre sur mon corps les caresses de ses doigts. Mes seins, ma taille, mon ventre attaqués avec frénésie, je n’ai pas su m’opposer à sa main glissée dans mon corsage, et plus tard quand cette main a relevé ma jupe pour remonter entre mes cuisses, j’ai cru que tout était acquis.
- A ta place j’aurais fait comme toi. Mais alors pourquoi cette Lucie ? Tu as repoussé cette main ? Il s’est vexé et…
- Ah !Que non. C’était si bon. On s’embrassait en apnée; il cherchait à dégager mon string pour trouver le passage et atteindre le cœur de la cible et moi j’écartais les cuisses pour l’encourager.
- Quelle chance. Mais je ne comprends toujours pas : à quel moment ça a cassé
- Ça n’a pas cassé. Au contraire, il a appuyé sur mon épaule, je me suis accroupie devant lui. Son visage était rouge, il transpirait. J’ai vu sous mon nez la bosse qui déformait son pantalon. Il m’a regardée. Le mouvement de ses yeux m’indiqua quelle initiative je devais prendre à cet instant.
- Tu as tout de suite compris ? C’est pas un peu rapide ?
- Je ne me suis pas posé la question. Ce n’était pas mon premier garçon, bien sûr. Mais ils réagissent à peu près tous de la même façon quand ils ont envie de baiser. Tu leur dois systématiquement, le moment venu, une branlette, une pipe pour les rassurer sur le bon état de leur sexe avant l’estocade finale. Donc j’ai baissé le zip, fouillé dans son caleçon, sorti l’engin et débuté par la masturbation attendue.
- Dis-moi, il en a une grosse ? Puisque tu as de l’expérience, sa bite, elle est grande, épaisse ou énorme ou rikiki ?
- Elle est soyeuse, de taille plutôt normale. C’est une queue de garçon en bonne santé avec un prépuce mobile et un beau gland. Je l’ai surtout trouvée appétissante, là sous mon nez et après quelques mouvement de poignet pour la raidir je n’ai pas pu résister à l’envie d’embrasser la pointe du nœud. En quelques baisers prudents j’ai senti l’odeur un peu forte du mâle, comme un appel irrésistible à l’emboucher. Comme j’hésitais à le brusquer, il a abattu ses deux mains dans ma permanente toute fraîche et il a poussé ma tête en disant :
- Oh! Oui, vas-y, suce-moi, bouffe-moi. Prends-moi tout au fond et aspire. Que tu es bonne. Quelle chance j’ai de t’avoir.
- Ben , ma vieille, tu en fais des choses. Il t’a craché dans la bouche à la fin ? C’était comment ?
- Tout à coup on a frappé à la porte. Il s’est brusquement retiré, rajusté, a crié :
« Un instant, je suis occupé au téléphone. Vous ne savez pas lire? »
- Du pied il m’a repoussée sous son meuble de bureau, s’est essuyé le visage avec une serviette sortie de nulle part qu’il m’a ensuite lancée dans ma niche. Enfin il est allé à la porte, l’a ouverte au directeur commercial. Il a repris place dans son confortable fauteuil, l’a rapproché de moi, sans doute pour me cacher. Leur conversation technique a été courte. J’étais honorée de pouvoir assister à un échange à ce niveau. Cette preuve de confiance augurait bien de la suite de ma carrière professionnelle et sentimentale.
-Et vous avez remis ça ? Quelle belle histoire.
- C’est-à-dire que l’autre parti, Alain rhabillé a repris son air de patron, s’est excusé de devoir interrompre notre « entretien » et s’est mis à me dicter du courrier.
- C’est pas vrai ! Il est insensible ou impuissant . Une pareille maîtrise me glacerait. Alors, fin de l’histoire ?
- En fin d’après-midi, à l’heure où les gens quittent le travail, il m’appelle pour une tâche urgente, dit-il.
- Je vois, tu y vas, il boucle la porte, vous vous embrassez et vas-y que je te baise.
- En gros c’est ça. Il me raconte que la place d’assistante exige la plus grande discrétion, que la conversation que j’ai entendue doit rester secrète. Sur le bureau l’écrin ouvert attire mon regard, la bague assurément me plairait. Il sourit, prend ma main et m’interroge :
- Cette bague est-elle à la taille de ton doigt. Tu peux l’essayer.
- Et moi, grande andouille, j’enfile la bague, je l’admire, je me laisse embrasser, trousser, j’atterris sur le canapé où s’était assis le directeur commercial. Alain s’abat sur moi, je m’ouvre, il me pénètre, je fonds, je me livre entièrement, il me défonce, je jouis sous l’impact de son éjaculation vaginale. On s’embrasse, on se quitte, on se revoit le lendemain, le surlendemain et le jour suivant dans le même décor, avec en toile de fond pour moi cette bague, la proximité de celui que j’assisterai, je suis amoureuse, je m’offre, il me prend, on fait l’amour, je suis heureuse : les autres ont observé, me félicitent. Étrangement, c’est le directeur commercial qui met fin chaque fois à nos galipettes. Et puis le cinquième jour, plus rien : un bonjour presque indifférent, un air à peine gêné, la bague a disparu, on me demande de sortir quand le commercial arrive.
- Quoi, comme ça, sans explication ?
- J’ai servi, on me jette comme un kleenex Je dois m’estimer heureuse de conserver mon emploi. A la suivante Et la suivante s’appelle Lucie, elle porte la bague et est la fiancée officielle d’Alain. Il ne l’emportera pas au paradis, le salaud, fils de salaud
- On dit que Lucie est la fille du directeur commercial, est-ce vrai ?
Moi, Lucie, je n’ai pas bougé. Ces trois bavardes sont en verve , je vais mettre le holà à cette conversation peu professionnelle. Mais on parle de moi, je tends l’oreille Elles me connaissent peu. La dernière phrase de Doris m’empêche de tirer l’eau et de sortir.
- Bien sûr, c’est sa fille. Alain a eu le culot de me demander de la mettre au courant du travail : elle sera son assistante de direction, ma chef ! Elle va en baver, je vais l’aider à multiplier les conneries. Non, mais, il m’a prise pour une conne, il va le regretter.
- Bof, c’est bien vrai, les chiens ne font pas des chats. Le père était un sacré coureur, le fils lui ressemble. Lucie l’apprendra à ses dépens. En attendant il a été affreux avec toi.
La plus silencieuse des trois se réveille.
- Moi, j’ai un copain. Il s’appelle Bob et il m’a raconté une sacrée histoire à propos de cette Lucie, de sa mère et de son père. Je fais vite, parce que je ne veux pas me faire engueuler si je suis absente trop longtemps
- Tu diras que tu es constipée.
Elles rient. Je bous, que vais-je apprendre sur ma famille?
En raison d’un impérieux besoin je quitte discrètement mon bureau et je me rends aux toilettes pour dames. Je vais quitter la cabine quand entrent plusieurs personnes en pleine discussion.
- Bien, mais comment est -elle, demande une voix. Simple, bêcheuse, aimable ?
- Ce n’est pas ce qui m’importe répond la voix de Doris, ma secrétaire. Elle m’a piqué la place d’assistante de direction que le directeur financier m’avait pratiquement promise et elle se trimballe avec la bague de fiançailles qui m’était destinée. Je suis écoeurée.
- Tu ne te serais pas un peu emballée ? Tu as un écrit, un engagement?
- Oui, tu as dû prendre tes désirs pour la réalité. Explique nous ça. Tu sais; ici tu ne seras pas la première à déchanter.
- Ah ! Vous me prenez pour simplette? Bon, voilà. Il y a deux mois, le jeune directeur, fils du PDG, prend possession de son bureau en remplacement de Lucien parti à la retraite. Ils ont collaboré pendant un mois, Lucien m’a recommandée en raison de mon ancienneté.
- Et de ta connaissance du travail, je suppose.
- Alain me consulte, me félicite, me demande si le poste me conviendrait, si je pense pouvoir devenir officiellement dans l’organigramme « assistante de direction », si je me sens les épaules assez solides. Depuis le temps que j’occupe les fonctions sans le titre, je me dis prête. Lucien part, le temps passe.
- Oh ! C’est mauvais signe.
- Un jour il m’appelle. Sur son bureau un écrin est ouvert. Alain me demande comment je trouve la bague. Je m’extasie. Il me demande si j’aimerais porter une bague pareille. Mon cœur bat la chamade et sous le coup de l’émotion je lui saute au cou et je l’embrasse. Il se laisse faire, me caresse la poitrine. Enfin nous nous séparons et il prend un air étonné pour me poser une question dont il doit pourtant connaître la réponse :
- Doris, n’es-tu pas mariée?
- Non, Alain, je suis célibataire. Tous les documents le prouvent.
- Pas même un compagnon, un petit copain ou un flirt ?
- Non, je suis absolument libre. Pourquoi ?
- Comme ça. Ce baiser est donc bienvenue. J’aime les attentions des jeunes femmes qui m’entourent ici. Tu es la plus proche. Je t’autorise à remettre ça quand tu voudras, personne n’en souffrira.
- L’invitation était claire. C’était presque une déclaration d’amour, sans compter le brillant de la bague et la perspective d’une promotion professionnelle, alors
- C’est ça ! Tu as mordu à l’hameçon !
- Oui. Je lui ai tendu les bras. Il m’a tenue à distance, le temps de tourner l’affiche « Ne pas déranger » et de tourner la clé de la porte.
- Ouhaha! T’as pas eu peur ? T’aurais pas une cigarette pour moi ?
- Tiens. Mais je croyais que tu ne fumais plus ?
- Moi aussi
- Ouais, mais votre fumée me tente.
Elles sont donc trois: Doris et deux autres à venir fumer en cachette; il faut en avoir envie.
-Donc Alain a fermé la porte, et après ? Allez, raconte
- Comme une andouille je l’ai embrassé. Porte fermée, on pouvait y aller. C’est un sacré chaud lapin. Le travail de sa bouche m’a ramollie, il a pu étendre sur mon corps les caresses de ses doigts. Mes seins, ma taille, mon ventre attaqués avec frénésie, je n’ai pas su m’opposer à sa main glissée dans mon corsage, et plus tard quand cette main a relevé ma jupe pour remonter entre mes cuisses, j’ai cru que tout était acquis.
- A ta place j’aurais fait comme toi. Mais alors pourquoi cette Lucie ? Tu as repoussé cette main ? Il s’est vexé et…
- Ah !Que non. C’était si bon. On s’embrassait en apnée; il cherchait à dégager mon string pour trouver le passage et atteindre le cœur de la cible et moi j’écartais les cuisses pour l’encourager.
- Quelle chance. Mais je ne comprends toujours pas : à quel moment ça a cassé
- Ça n’a pas cassé. Au contraire, il a appuyé sur mon épaule, je me suis accroupie devant lui. Son visage était rouge, il transpirait. J’ai vu sous mon nez la bosse qui déformait son pantalon. Il m’a regardée. Le mouvement de ses yeux m’indiqua quelle initiative je devais prendre à cet instant.
- Tu as tout de suite compris ? C’est pas un peu rapide ?
- Je ne me suis pas posé la question. Ce n’était pas mon premier garçon, bien sûr. Mais ils réagissent à peu près tous de la même façon quand ils ont envie de baiser. Tu leur dois systématiquement, le moment venu, une branlette, une pipe pour les rassurer sur le bon état de leur sexe avant l’estocade finale. Donc j’ai baissé le zip, fouillé dans son caleçon, sorti l’engin et débuté par la masturbation attendue.
- Dis-moi, il en a une grosse ? Puisque tu as de l’expérience, sa bite, elle est grande, épaisse ou énorme ou rikiki ?
- Elle est soyeuse, de taille plutôt normale. C’est une queue de garçon en bonne santé avec un prépuce mobile et un beau gland. Je l’ai surtout trouvée appétissante, là sous mon nez et après quelques mouvement de poignet pour la raidir je n’ai pas pu résister à l’envie d’embrasser la pointe du nœud. En quelques baisers prudents j’ai senti l’odeur un peu forte du mâle, comme un appel irrésistible à l’emboucher. Comme j’hésitais à le brusquer, il a abattu ses deux mains dans ma permanente toute fraîche et il a poussé ma tête en disant :
- Oh! Oui, vas-y, suce-moi, bouffe-moi. Prends-moi tout au fond et aspire. Que tu es bonne. Quelle chance j’ai de t’avoir.
- Ben , ma vieille, tu en fais des choses. Il t’a craché dans la bouche à la fin ? C’était comment ?
- Tout à coup on a frappé à la porte. Il s’est brusquement retiré, rajusté, a crié :
« Un instant, je suis occupé au téléphone. Vous ne savez pas lire? »
- Du pied il m’a repoussée sous son meuble de bureau, s’est essuyé le visage avec une serviette sortie de nulle part qu’il m’a ensuite lancée dans ma niche. Enfin il est allé à la porte, l’a ouverte au directeur commercial. Il a repris place dans son confortable fauteuil, l’a rapproché de moi, sans doute pour me cacher. Leur conversation technique a été courte. J’étais honorée de pouvoir assister à un échange à ce niveau. Cette preuve de confiance augurait bien de la suite de ma carrière professionnelle et sentimentale.
-Et vous avez remis ça ? Quelle belle histoire.
- C’est-à-dire que l’autre parti, Alain rhabillé a repris son air de patron, s’est excusé de devoir interrompre notre « entretien » et s’est mis à me dicter du courrier.
- C’est pas vrai ! Il est insensible ou impuissant . Une pareille maîtrise me glacerait. Alors, fin de l’histoire ?
- En fin d’après-midi, à l’heure où les gens quittent le travail, il m’appelle pour une tâche urgente, dit-il.
- Je vois, tu y vas, il boucle la porte, vous vous embrassez et vas-y que je te baise.
- En gros c’est ça. Il me raconte que la place d’assistante exige la plus grande discrétion, que la conversation que j’ai entendue doit rester secrète. Sur le bureau l’écrin ouvert attire mon regard, la bague assurément me plairait. Il sourit, prend ma main et m’interroge :
- Cette bague est-elle à la taille de ton doigt. Tu peux l’essayer.
- Et moi, grande andouille, j’enfile la bague, je l’admire, je me laisse embrasser, trousser, j’atterris sur le canapé où s’était assis le directeur commercial. Alain s’abat sur moi, je m’ouvre, il me pénètre, je fonds, je me livre entièrement, il me défonce, je jouis sous l’impact de son éjaculation vaginale. On s’embrasse, on se quitte, on se revoit le lendemain, le surlendemain et le jour suivant dans le même décor, avec en toile de fond pour moi cette bague, la proximité de celui que j’assisterai, je suis amoureuse, je m’offre, il me prend, on fait l’amour, je suis heureuse : les autres ont observé, me félicitent. Étrangement, c’est le directeur commercial qui met fin chaque fois à nos galipettes. Et puis le cinquième jour, plus rien : un bonjour presque indifférent, un air à peine gêné, la bague a disparu, on me demande de sortir quand le commercial arrive.
- Quoi, comme ça, sans explication ?
- J’ai servi, on me jette comme un kleenex Je dois m’estimer heureuse de conserver mon emploi. A la suivante Et la suivante s’appelle Lucie, elle porte la bague et est la fiancée officielle d’Alain. Il ne l’emportera pas au paradis, le salaud, fils de salaud
- On dit que Lucie est la fille du directeur commercial, est-ce vrai ?
Moi, Lucie, je n’ai pas bougé. Ces trois bavardes sont en verve , je vais mettre le holà à cette conversation peu professionnelle. Mais on parle de moi, je tends l’oreille Elles me connaissent peu. La dernière phrase de Doris m’empêche de tirer l’eau et de sortir.
- Bien sûr, c’est sa fille. Alain a eu le culot de me demander de la mettre au courant du travail : elle sera son assistante de direction, ma chef ! Elle va en baver, je vais l’aider à multiplier les conneries. Non, mais, il m’a prise pour une conne, il va le regretter.
- Bof, c’est bien vrai, les chiens ne font pas des chats. Le père était un sacré coureur, le fils lui ressemble. Lucie l’apprendra à ses dépens. En attendant il a été affreux avec toi.
La plus silencieuse des trois se réveille.
- Moi, j’ai un copain. Il s’appelle Bob et il m’a raconté une sacrée histoire à propos de cette Lucie, de sa mère et de son père. Je fais vite, parce que je ne veux pas me faire engueuler si je suis absente trop longtemps
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