tu seras ma femelle

- Par l'auteur HDS Polichinel -
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : tu seras ma femelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
tu seras ma femelle
j'ai pensé à toi
j'ai eu envie de toi,
voici mon fantasme

sans violence, ni brutalité, je te soumettrai à mes désirs. Je ferai de toi ma femelle accueillante, ma chatte soumise, mon esclave docile, ma chose domptée. J’aurai pour toi une fermeté douce et chaleureuse, te guidant dans les méandres de mes fantasmes. Je te traiterai toujours avec respect, mais tu ne seras jamais plus maître de ton corps, ou même de ton esprit.
Résignée à accepter ton sort, tu deviendras ma reine, seule femelle que je désire vraiment.
Alors que tu es debout au milieu de la pièce, je t’observe en silence. Te laissant dans le doute, je ne dis mots. Le silence entre nous devient pesant. Perdu dans mes idées, je me prends un verre, que je bois à petites gorgées. Obéissante, tu attends sagement que je t’adresse la parole.
Je laisse les secondes passer, les secondes deviennent des minutes. Toujours silencieusement, je viens me placer derrière toi Pour pouvoir sentir ta nuque. J’écoute ta respiration. J’apprécie ton calme apparent, mais je me doute que tu bouilles par en dedans. J’emplie pleinement mes poumons, pour découvrir ton parfum, léger et sucré, j’aime. Je me colle à toi, mon torse contre ton dos. Passant de chaque côté de ton corps, je prends tes seins dans mes mains. Je les masse avec fermeté au travers de ton vêtement. Ils sont lourds et gros au creux de mes mains. J’épie les moindres changements de ta respiration, dans l’espoir de saisir l’effet que te procurent ces caresses à la fois tendres et sévères. Je pose mes lèvres sur ta nuque et t’embrasse dans le cou. Pour la première fois le rythme régulier de ta respiration se brise. La chaleur de ma bouche transperce ta peau. Je lèche ton cou jusqu’à la pointe de la clavicule, puis je repars sur l’autre épaule. Je souffle délicatement sur ta peau humide. Te mordant la lèvre pour ne pas réagir, tu contrôles le frisson qui te parcourt.
Stimulés par mes caresses, Tes seins sont érigés, tes mamelons se sont gorgés.
Pour la première fois depuis le début de notre rencontre je t’adresse la parole. Je demande, ou plutôt j’exige, que tu te mettes nue. Je remarque et j’apprécie les efforts que tu fais en te déshabillant pour être sensuelle et me plaire. Plus tard, tu en sera récompensée, mais pour l’instant peu importe. Je veux simplement pouvoir te contempler. Mes yeux affamés te dévorent. Tu es si belle, je suis ravi. Je tourne autours de toi et t’analyse sous tous les angles. Tes courbes sont parfaites, ta silhouette me fait rêver depuis longtemps.
De nouveau je me colle à toi, de face cette fois. Avec une douceur infinie, je caresse ta joue, suivant la pommette, glissant sous la mâchoire jusqu’au menton. Par une légère pression sous le menton je te remonte un peu la tête prête pour que tu puisses accueillir mes lèvres sur les tiennes. Le goût de tes lèvres m’invite à poursuivre, je glisse ma langue entre elles. Les mains posées à la chute de tes reins, je t’attire doucement vers moi. Notre baisé est plus fougueux alors que due à pression dans ton dos tes seins s’écrase contre mon torse. J’en sens la chaleur traverser ma chemise. Mes mains descendent le long de ta colonne jusqu’à ce je m’approprie tes fesse. Comme les serres d’un oiseau de proie, mes doigts se referment sur ton cul. Je n’utilise pas mes ongles, seule la pression des doigts suffie à t’indiquer le désir qui m’habite. J’éloigne mon corps du tien le temps de t’admirer encore quelques secondes. Au départ de mon corps contre le tien, tu ressens un vide, tu aimerais pousser ton bassin vers l’avant pour prolonger cette première étreinte, mais la peur de me choquer ou de me décevoir t’en empêche.

N’aie crainte, très vite je reviens vers toi, encore une fois je t’embrasse. Nos bouches se découvrent et s’apprivoisent. Ta langue tourne sur la mienne. Tes bras s’enroulent à mes épaules prolongeant l’instant. Puis je commence l’inspection de ton corps avec ma bouche. Attentif à tes moindres soupirs, à tes moindres soubresauts, j’apprends à connaître ce qui te plaît le plus. Je commence par le haut de la poitrine, un peu avant les seins. Sans que tu t’en aperçoives, je te pousse vers le fauteuil.
Je lèche et suce tes seins, avec une répétition de petits coups de langue. Buttant contre le siège, tu tombes à la renverse sur le fauteuil. J’en profite pour parcourir ton ventre, glisser au delà du nombril. Je découvre la fine toison avant d’atteindre ton sexe. Déjà, je respire les effluves qui émanent de ton intimité. Cette odeur de femelle en chaleur me plaît. Je prolonge l’attente, poussant le désir à un paroxysme, je passe et repasse ma langue à quelque millimètre de ton sexe avant de le goûter.
Prenant une pose, une fois de plus je te fais languir en m’éloignant de toi. Ton corps semble crier à l’injustice. Mes mains malaxent ta poitrine et tes hanches, écartant tes cuisses. Puis je viens poser ma bouche sur ton corps. J’applique de ma langue toute la bienveillance du monde sur ton corps. Cette fois j’insiste sur les parties qui te font le plus de plaisir.
Tu es étalée sur le divan, les jambes ouvertes. Ta chatte est mouillée, je le vois. Je veux savoir à présent le goût de ton sexe. Tu gémis quand ma bouche commence à te caresser. Rapidement ton clito enfle et gonfle sous la précision de mes coups de langue. Ravi, je le suce. Tu bouges les hanches pour aller chercher le maximum de plaisir de ma bouche qui te fait la plus belle des offrandes. Je joue présentement avec ton corps. Avec un parfait contrôle, je te portant aux limites l’extase, te laisse retomber avant que tu n’atteigne l’orgasme. Je reprends le manège à plusieurs reprises, aucune parcelle de ton sexe n’échappe à ma bouche vorace. Puis…
…Tu te cambres, tes cuisses se resserrent, ta respiration s’arrête…
Ma belle, jouis-tu en silence ?
J’aimerais que tu te laisses partir. Je voudrai entendre ton souffle s’accélérer, sentir ton sexe palpiter. J’adorais écouter tes cries de plaisir, j’en serais honoré.
Je laisse quelque instant de répit à ta chatte brûlante et je viens t’embrasser. Tu découvres à ton tour le goût sublime de ta cyprine. Ensuite, je te demande me déshabiller à mon tour. La demande est faite sur un ton sec et autoritaire, coupant avec la douceur avec laquelle je viens de te faire jouir. Tu comprends que tu n’es pas maître de cette relation, je donne quand je veux, tu donnes quand je veux. Obéissante, tu déboutonnes ma chemise, tu la fais glisser le long de mes bras. J’apprécie la douceur que tu mets dans ces mouvements pourtant si simples. En me débarrassant de mes vêtements, tu sais t’attarder aux bons détails. Au passage, tu embrasses mes bras et mon torse. Tu sais choisir ou embrasser, pour me donner plus de plaisir, tu devines mes désirs. Je t’en serai reconnaissant. Enfin, tu me défais de mes pantalons et découvre pour la première fois mon sexe. Tendu, il attend ta bouche depuis un bon moment déjà.
D’une pression sur l’épaule je t’agenouille devant moi, et t’indique de me sucer. Tu poses ta main sur mon membre fébrile et le branle doucement. Lorsque tu ouvres la bouche pour l’accueillir sous ton palais, j’exige que tu me regardes droit dans les yeux. Ton regard de biche me fait bander encore plus dur. Puis, je t’accorde un peu de liberté pour que tes caresses soient des plus appliquées. Tu commences par jouer de la langue sur mon gland. Toujours ton regard plongé dans le mien, avec affection tu commences à sucer. Tes mains passent sous mes fesses et tirent mon corps en avant. Mon membre entre au plus profond de ta gorge. Puis, tu joints une main à ta bouche sur ma queue. Tes mouvements circulaires sont divins. Tu me branles de ta main et de ta bouche de longues minutes. À l’occasion tu sors mon sexe de ta bouche et le lèche sur sa pleine longueur. De toi-même tu pousses ma queue si profondément dans ta gorge que l’air te manque. Pour reprendre ton souffle, tu fais passer mon gland contre ton visage, j’adore cette caresse la douceur de ta peau comme de la soie stimule sexe et me fais rêver. Puis tu me reprends en bouche accélérant le rythme. Tu me suces maintenant comme une déchaînée. Je sens que tu aimes me donner du plaisir, ça me rend dingue. Si c’est possible mon membre a encore grossit dans ta bouche.
Je t’arrête avant que l’orgasme ne m’emporte. Je te ramène au fauteuil et t’y fais prendre place. Sur les genoux, tes bras posés sur le dossier. Tu offres donc maintenant à mon regard et à mon sexe ta croupe. Le souffle court, j’approche de toi, tu sens mon sexe frôler tes fesses. Je glisse un doigt sur ta fente, pour voir si tu me désires, avec joie je découvre une chatte complètement trempée. Tu dois souhaiter ardemment mon sexe en toi. Après avoir jouer quelque peu avec ton clito, je te prends, le premier contact est fort et puissant. Mon sexe entre jusqu’au fond de ta gaine de chaire et ressort aussi vite. Ne voulant pas que je te quitte tu pousse ton cul en arrière. Je te refuse ce plaisir, je masses alors ta croupe, m’attarde sur tes fesses. Un doigt traverse le sillon de ton cul et chatouille ton anus. Qui sait peu être tantôt je prendrai d’assaut cette dernière forteresse.
Je replace mon membre à l’entrée de ton fourreau de plaisir. Lentement, très lentement, je glisse mon sexe dans le tien en te demandant de me guider. Par petits coups, chaque fois un peu plus loin. Puis enfin mon pieu vient touché au fond de ton ventre. Je reste là quelques instants, sans bouger, juste pour sentir la chaleur de ta chatte autour de mon membre. Mon sexe dur comme le fer, palpitant et brûlant fiché en toi, à ce moment il ne fait aucun doute je suis maître de ton plaisir et du mien.
Je commence la grande chevauché. Toujours lentement, mais avec force, en te tenant solidement par les hanches, je te pénètre, encore et en corps. J’amène mon sexe à la limite du tien, juste pour dire que je ne sors pas de toi. Sauvagement je m’enfonce d’un coup, à nouveau jusqu’au fond. Tu émets des petits cris de chatte en chaleur alors que je te prends. L’excitation me fait perdre la tête, et je crois que c’est mon corps, principalement, qui répond au tien. Suivant le rythme de tes hanches et de ton bassin, j’accélère la cadence de pilonnant de plus en plus vite.
Je prends tes seins dans mes mains. Pour cela, il nous faut ralentir de notre course folle. Je mordille ta nuque comme un animal possédant la femelle que tu es. Mes mains passent partout sur ton corps alternant entre la tendresse et la fermeté. Elles glissent sur tes hanches, sous ton ventre, entre tes fesses, au creux de tes épaules. L’une va vers ton sexe et se saisie de ton clito. Encore une fois je t’amène un orgasme, sans jamais cesser de te posséder.
Juste avant de venir, d’un coup, je me dégage de toi. Je te demande de te retourner face à moi, et je t’embrasse, longuement, profondément. Mes mains continuent à câliner ta chatte, le temps que je reprenne contrôle de mon corps. La fièvre redescend, mais pas mon désir de toi.

Je te fais relever, et je prends ta place sur le sofa. En réponse à ma demande, tu te places en cavalière sur mon sexe. J’entre en toi comme dans du beurre. Enfoncé jusqu’à la garde, mon sexe emplie ta chatte. J’exige de toi que tu me chevaucher mais sans que mon pieu ne quitte le très fond de tes entrailles. Tu commences un lent balancement. J’accompagne les ondulations de ton bassin par des coups de reins langoureux. Ton clito s’écrase contre mon os pubien, les spasmes de plaisir te transpercent. Je dévore tes seins alors que mes mains malaxent ton cul. Ton corps n’est que plaisir. Emplie de mon membre, tu te sens pleinement femme.
Portée par un intense plaisir, tu es presque en transe. Tu danses de plus en plus vite sur mon sexe. Tes gémissements se transforment en cris. Tu montes et tu descends sur ma queue à une telle vitesse, tes fesses claques sur mes cuisses. Portant un grand coup de bassin vers le haut, je te soulève et te force à retentir. Je t’interdis de me faire jouir. Je veux prolonger encore notre plaisir. Nos ébats suivent un lent décrescendo.
Le rythme ralentit jusqu'à l’arrêt total. Immobiles, nous nous embrassons. Je t’invite à t’allonger sur le sol. Le froid du plancher contrastant avec ton dos en sueur te surprend et saisi. Je te demande de fermer les yeux, je te demande ensuite de te caresser. Obéissante tu t’exécutes. Tes mains trouvent le chemin de ta fente. Tu trouves rapidement le chemin de l’extase. Te voir te masturber m'existe au plus haut point, je ne sais pas pourquoi c’est toujours quelque chose que je trouve terriblement érotique.
Tandis que tu te perds dans ton plaisir solitaire, je gouffre ma queue dans ta bouche onctueuse. Je prends ta nuque. Guidant ta tête d’avant en arrière, tu me suce au rythme que je choisi. Ta main prend le relais de ta bouche. Tu me branles avec frénésie. En même temps que tu fais glisser mon sexe partout sur ton visage. Tu sais très bien que c’est là, une de mes caresses préférer et je ne peux y résister. Tu sens mon plaisir monter en flèche. Au creux de ta main mon membre vibre de plaisir. Annonçant ma jouissance prochaine, je donne des coups de bassin désordonnés. Tu renverses la tête en arrière pour accueillir ma semence.
J’explose dans un long et puissant râle de plaisir. Je me déverse sur ta joue à l’orée de ta bouche, Une lave chaude et épaisse coule sur ta figure. Un deuxième jet au goût salé remplie ta bouche. Puis je termine mon orgasme dans ta bouche. Tu avales se que tu peux, le reste s’écoule à la commissure de tes lèvres.
La finale est superbe. Tu es nue, couchée au centre de la pièce. Ton visage souillé de ma semence, qui ruisselle maintenant le long de ton cou vers ta poitrine, affiche un sourire radieux de femelle comblée et satisfaite.

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