Typhanie ma nièce 3ème partie
Récit érotique écrit par Tom67000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Typhanie ma nièce 3ème partie
Après un accident de circulation sans gravité pour elle, ma nièce n'ayant pas de voiture momentanément m'as demander de l'emmener faire des courses.
Ce que j'acceptais volontiers , vue qu'elle saura certainement me récompenser.
Je m'empressais de la récupérer chez elle.
Elle m'attendais déjà en bas de son immeuble; Elle me fit signe avec un large sourire. Et monta dans la voiture.
On se fais la bise, et partons vers le supermarché.
Elle portait une jupe noire mi cuisses, un pull en V, et sa veste pardessus.
Durant le trajet elle me disait qu'elle était désolée pour la gène, et qu'elle était contente de faire les courses avec moi.
Arriver sur le parking, elle me fit une bise sur la joue, et on pris un caddie.
On fait les courses tranquillement, et naturellement connaissant sa situation actuelle, je lui proposa de payer ses courses.
Lorsque trois-quarts d’heure plus tard nous reprenons le chemin du retour
Elle me regarde souriante, ses mains baladeuses sur ma cuisses, elle me caressa mon entre jambes et ses doigts se sont immiscés dans ma braguette.
" Hummm voyons ça ! Elle grossie entre mes doigts ! "
Elle me masturbe sans vergogne et j’ai beaucoup de mal à garder le contrôle du véhicule.
Arrivé devant son domicile, je l’accompagne jusqu’au couloir de son immeuble car elle habite au deuxième étage.
Le couloir est sombre et elle m’attire à elle.
" J'ai envie ! là maintenant ! "
Puis retroussant sa jupe, elle vient se frotter à moi.
Je ne peux m’empêcher de la peloter, m’apercevant qu’elle n’a pas de culotte la coquine !
Elle dégrafe ma braguette et sort mon sexe de mon jean.
Avec la masturbation du trajet, il est fin prêt et c’est sans préparation que je l’enfile dans sa chatte qui n’attend que cela.
Dans un grand gémissement de sa part !
" Oh oui vas y "
Adossée debout contre le mur du couloir, elle se laisse prendre sans aucune retenue.
Je la martelle fortement, elle se cramponne contre moi, me regarde dans les yeux.
Et je lâche mon sperme dans son ventre au bout de quelques longues minutes.
Puis on se dirige vers son appartement.
Avant de lui aider a monter ses courses chez elle.
Je pris congès d'elle après lui avoir aider a tout ranger.
Le samedi suivant en soirée, je vais donc chez elle vue qu'elle m'as inviter a diner.
Après un solide repas, nous prenons possession de la chambre. Puisqu'on avait pas envie de dessert.
Son grand lit se situe face à une armoire équipée d'un miroir;
Il est presque vingt trois heures et en un tour de main nous sommes nus tous les deux et dans les bras l’un de l’autre;
On s'embrassent, on s'enlacent.
Elle est déchaînée et sait ce qu'elle désire avant d'enfournée mon sexe dans sa bouche avec la plus grande décontraction et il ne faut pas lui donner beaucoup d’indications pour qu’elle me suce avec une grande dextérité.
Je me laisse faire avec délices, appréciant les lèvres et la langue qui s’occupent si bien de ma tige rigide.
Je lui caresse la tête; les cheveux
Je l'ai prévenu que lorsqu’elle sentira mon sperme l'envahir elle n’était pas obligée de l’avaler et qu’elle peut la retirer de sa bouche à ce moment.
Mais la connaissant elle avalera tout comme toujours.
Je pousse un rugissement lorsque je décharge dans sa jolie bouche qui avale sans rechigner mon épaisse liqueur, ma jouissance à ce moment étant à son comble.
Ma diablesse est ravie de m’avoir fait jouir de la sorte, elle se love contre ma poitrine et se frotte contre mon corps en m’appelant de tous ses sens à lui faire l’amour.
Heureusement que je peux m’occuper d’elle, avec mes mains et ma bouche en attendant que mon sexe soit de nouveau en état de fonctionner, car elle m’a proprement vidé les couilles Typhanie.
J’enfouis ma tête entre ses cuisses et j’inspecte sa chatte humidifiée, je l'hume et la lèche de petits coups de langue.
Les odorantes effluves de la vulve de ma tendre compagne sont particulièrement épicées.
Comme je le lui ai demandé, elle ne s’est pas essuyée, après q'elle s’est rendu aux toilettes ; sa fente sent un peu son urine avec une odeur de fauve et de femelle en rut.
Mon nez hume l’odeur forte qui s’en dégage alors que ma langue goûte la liqueur qui sourd abondamment de sa grotte.
Je lape sa mouille savoureuse, introduisant ma langue au plus profond du vagin, écartant les lèvres de sa vulve.
Elle se laisse aller dans les draps. Mordillant ses lèvres.
Les muqueuses congestionnées de son vagin sont d’un beau rouge sombre alors que le tourillon roide du clitoris pointe effrontément hors de son capuchon.
Je le prends délicatement entre mes lèvres, faisant faire un bon de carpe à ma belle nièce.
Je la maintiens entourant de mes bras le haut de ses cuisses, tout en glissant un doigt dans la fente gluante de mouille pour bien l'enduire.
je l’introduis aussitôt après dans l’œillet plissé de son trou du cul, tout en suçant le clitoris, lui arrachant des gémissements ininterrompus et qui jouit par ma bouche et souffre à la fois de l’introduction de mon doigt qui force son fondement sans ménagement.
Pourtant elle ne proteste pas lorsque je pousse un second doigt que j’ai humecté préalablement de sa mouille dans le délicieux petit trou, que j’écartèle des deux doigts et où je glisse ma langue, crachant ma salive dans l’antre obscur que j’espère déflorer avant longtemps.
Elle se laisse étonnamment manipuler sans aucune gêne.
Je peux disposer de son corps et de ses endroits les plus intimes sans qu’aucune pudeur ne l’effleure.
Elle me laisse goûter son entrecuisse, ma bouche et mes doigts allant dans sa chatte béante.
J’écarte les bourrelets charnus de ses lèvres pour plonger dans les plis et replis des
muqueuses vaginales dégoulinantes de son jus gluant.
Je vais à sa rosette froncée, mes doigts écartelant son cul et doigter encore dans le trou étroit, déflorant ainsi le conduit rectal inviolé et arrachant des gémissements à mon amante complaisante qui se dévergonde aussi complaisamment.
C’est à ce moment d’ailleurs que son audace me surprend quel que peut, car alors que je suis au-dessus d’elle, elle se glisse sous moi et prenant mon sexe entre ses lèvres, elle m’offre d’elle-même un 69 sans que je la demande.
Elle prends ma bite jusqu’au fond de sa gorge, puis de ses doigts et, de ses lèvres, elle le masse, l’aspire, le lèche me faisant grogner de contentement à la superbe fellation qu’elle m’offre.
Bientôt, sentant que mon pénis est de nouveau bien raide et ainsi prêt à la reprendre , je me redresse et retournant ma partenaire sur le ventre, je la soulève pour qu’elle se mette à genoux sur le lit, puis écartant les globes charnus de ses fesses rondes, j’introduis mon sexe dans sa chatte baveuse de mouille jusqu’au fond.
Je la ramone pendant quelques minutes les muqueuses enflammées et humides faisant couiner Typhanie d’une satisfaction voluptueuse.
C’est alors que je lui glisse à l’oreille.
" Ma Chérie ! Tu veux bien que je te fourre mon sexe dans ton derrière ? Je sens
que tu es prête et j’en aie très envie tu sais"
Elle s’est immobilisée, alors que mon sexe la remplit entièrement.
Elle me répond d’une petite voix tremblotante.
" Tu vas me faire mal tonton ? Mais si tu en as vraiment envie, je veux bien que tu m'inities Fais doucement s'il te plait "
Je l’embrasse dans le cou, puis me retirant de son vagin, j’appuie mon sexe sur la rondelle encore fermée.
Trempant un doigt dans sa chatte béante, je transporte le plus de mouille que je peux et l’introduis dans son cul qui se contracte autour de mon doigt.
Je lui susurre à l’oreille
" Décontracte toi Chérie ! Quand je rentrerai mon sexe dans ton derrière, pousse contre, cela te fera moins mal.
Je te promets, je ferai le plus doucement possible et je m’arrêterai à chaque fois que tu me le demanderas."
Après avoir badigeonné l’intérieur de l’anus rebelle, j’engage mon sexe dans son petit orifice qui peine à s’écarter.
Ma partenaire souffle fort sous la pression du membre qui cherche à l’enculer.
Le gland perfore d’un coup son petit trou la faisant pousser un glapissement de douleur à ma nièce.
Mon gland me fait mal tellement il est resserré par le muscle non encore distendu.
Aussi, voulant faire cesser cette douleur, je m’enfonce brutalement dans la gaine trop étroite.
Cette fois je me sens plus engagé, mais ma partenaire hurle en me suppliant de me retirer.
Je sais que j’ai fait le plus difficile et il n’est pas question que je me retire de ce cul que je suis en train de déflorer.
Je masse les épaules et le cou de ma douce et lui murmure.
" Je t’aime ma nièce ! Tu es très courageuse. Bientôt tu vas voir tu n’auras plus mal. Je suis certain que tu vas même avoir du plaisir."
" Mais il faut que ton cul s’habitue à mon sexe. C’est difficile la première fois, mais au bout de plusieurs fois c’est toi qui me demanderas de t’enculer tellement tu vas y prendre de plaisir."
Elle sanglote, mais elle ne me demande plus de me retirer.
Aussi progressivement je m’enfonce très doucement dans l’adorable cul, déflorant avec jubilation cette nièce que je suis en train de dépraver et d’amener à la plus grande perversité.
Je regarde avec avidité les cuisses écartelées et le haut des fesses rebondies qui laisse entrevoir le cratère que je suis en train d’ouvrir sous mon membre qui s’enfonce dans l’œillet cette fois complètement distendu.
Mon sexe s’enfonce encore un peu plus dans les entrailles nouvellement défloré et je sens mon gland s’humidifier cette fois naturellement par les muqueuses anales qui réagissent au frottement continu de ma chair.
Ma nièce à la tête appuyée de côté sur ses avant- bras coller sur son oreiller, son buste à l’oblique et son derrière haut levé alors que je suis à genoux derrière elle.
Elle soupire en séchant ses larmes.
Apparemment la douleur intense de la défloration de sa pastille rectale s’est calmée.
J’en profite pour m’enfoncer et me retirer délicatement de la gaine endolorie, retirant un plaisir incommensurable à ce coït rectal doublé d’une satisfaction à savoir que je perfore pour la première le petit trou du cul de ma nièce.
Puis je m’active de plus en plus rapidement!
Elle hurle cette fois sous les coups de queue que j’assène dans son fondement.
Elle hurle, elle bave et sanglote d'un atroce plaisir hystérique, son corps se couvre de sueur et se contorsionne frénétiquement comme une anguille.
Elle jouit de douleur et de plaisir cette fois sans discontinuer.
je sens que je vais tarder a jouir. Je lui dit je vais pas tarder a venir !
" Donne ta bouche !"
" Non " répondit elle,
" lâche toi dans mon cul !"
Je me retiens le plus longtemps possible, mais soudain, dans un rugissement, je sens mon foutre qui jaillit au plus profond de son cul et je m’écroule sur son dos.
N’en pouvant plus de décharger dans ce cul si longtemps convoité.
Elle halète comme une damnée sous les convulsions qui l’ont saisie lorsqu’elle a prit son pied.
Le plaisir inouï qu’elle a retiré de sa première sodomisation où la douleur ressentie se mélangeait à l’excitation sexuelle qu’elle ressent l’ont épuisée.
Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse furieusement tout en me lançant.
" Oh ! Mon tonton ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !"
Nous avons passer la nuit ensemble a faire l'amour.
Ce que j'acceptais volontiers , vue qu'elle saura certainement me récompenser.
Je m'empressais de la récupérer chez elle.
Elle m'attendais déjà en bas de son immeuble; Elle me fit signe avec un large sourire. Et monta dans la voiture.
On se fais la bise, et partons vers le supermarché.
Elle portait une jupe noire mi cuisses, un pull en V, et sa veste pardessus.
Durant le trajet elle me disait qu'elle était désolée pour la gène, et qu'elle était contente de faire les courses avec moi.
Arriver sur le parking, elle me fit une bise sur la joue, et on pris un caddie.
On fait les courses tranquillement, et naturellement connaissant sa situation actuelle, je lui proposa de payer ses courses.
Lorsque trois-quarts d’heure plus tard nous reprenons le chemin du retour
Elle me regarde souriante, ses mains baladeuses sur ma cuisses, elle me caressa mon entre jambes et ses doigts se sont immiscés dans ma braguette.
" Hummm voyons ça ! Elle grossie entre mes doigts ! "
Elle me masturbe sans vergogne et j’ai beaucoup de mal à garder le contrôle du véhicule.
Arrivé devant son domicile, je l’accompagne jusqu’au couloir de son immeuble car elle habite au deuxième étage.
Le couloir est sombre et elle m’attire à elle.
" J'ai envie ! là maintenant ! "
Puis retroussant sa jupe, elle vient se frotter à moi.
Je ne peux m’empêcher de la peloter, m’apercevant qu’elle n’a pas de culotte la coquine !
Elle dégrafe ma braguette et sort mon sexe de mon jean.
Avec la masturbation du trajet, il est fin prêt et c’est sans préparation que je l’enfile dans sa chatte qui n’attend que cela.
Dans un grand gémissement de sa part !
" Oh oui vas y "
Adossée debout contre le mur du couloir, elle se laisse prendre sans aucune retenue.
Je la martelle fortement, elle se cramponne contre moi, me regarde dans les yeux.
Et je lâche mon sperme dans son ventre au bout de quelques longues minutes.
Puis on se dirige vers son appartement.
Avant de lui aider a monter ses courses chez elle.
Je pris congès d'elle après lui avoir aider a tout ranger.
Le samedi suivant en soirée, je vais donc chez elle vue qu'elle m'as inviter a diner.
Après un solide repas, nous prenons possession de la chambre. Puisqu'on avait pas envie de dessert.
Son grand lit se situe face à une armoire équipée d'un miroir;
Il est presque vingt trois heures et en un tour de main nous sommes nus tous les deux et dans les bras l’un de l’autre;
On s'embrassent, on s'enlacent.
Elle est déchaînée et sait ce qu'elle désire avant d'enfournée mon sexe dans sa bouche avec la plus grande décontraction et il ne faut pas lui donner beaucoup d’indications pour qu’elle me suce avec une grande dextérité.
Je me laisse faire avec délices, appréciant les lèvres et la langue qui s’occupent si bien de ma tige rigide.
Je lui caresse la tête; les cheveux
Je l'ai prévenu que lorsqu’elle sentira mon sperme l'envahir elle n’était pas obligée de l’avaler et qu’elle peut la retirer de sa bouche à ce moment.
Mais la connaissant elle avalera tout comme toujours.
Je pousse un rugissement lorsque je décharge dans sa jolie bouche qui avale sans rechigner mon épaisse liqueur, ma jouissance à ce moment étant à son comble.
Ma diablesse est ravie de m’avoir fait jouir de la sorte, elle se love contre ma poitrine et se frotte contre mon corps en m’appelant de tous ses sens à lui faire l’amour.
Heureusement que je peux m’occuper d’elle, avec mes mains et ma bouche en attendant que mon sexe soit de nouveau en état de fonctionner, car elle m’a proprement vidé les couilles Typhanie.
J’enfouis ma tête entre ses cuisses et j’inspecte sa chatte humidifiée, je l'hume et la lèche de petits coups de langue.
Les odorantes effluves de la vulve de ma tendre compagne sont particulièrement épicées.
Comme je le lui ai demandé, elle ne s’est pas essuyée, après q'elle s’est rendu aux toilettes ; sa fente sent un peu son urine avec une odeur de fauve et de femelle en rut.
Mon nez hume l’odeur forte qui s’en dégage alors que ma langue goûte la liqueur qui sourd abondamment de sa grotte.
Je lape sa mouille savoureuse, introduisant ma langue au plus profond du vagin, écartant les lèvres de sa vulve.
Elle se laisse aller dans les draps. Mordillant ses lèvres.
Les muqueuses congestionnées de son vagin sont d’un beau rouge sombre alors que le tourillon roide du clitoris pointe effrontément hors de son capuchon.
Je le prends délicatement entre mes lèvres, faisant faire un bon de carpe à ma belle nièce.
Je la maintiens entourant de mes bras le haut de ses cuisses, tout en glissant un doigt dans la fente gluante de mouille pour bien l'enduire.
je l’introduis aussitôt après dans l’œillet plissé de son trou du cul, tout en suçant le clitoris, lui arrachant des gémissements ininterrompus et qui jouit par ma bouche et souffre à la fois de l’introduction de mon doigt qui force son fondement sans ménagement.
Pourtant elle ne proteste pas lorsque je pousse un second doigt que j’ai humecté préalablement de sa mouille dans le délicieux petit trou, que j’écartèle des deux doigts et où je glisse ma langue, crachant ma salive dans l’antre obscur que j’espère déflorer avant longtemps.
Elle se laisse étonnamment manipuler sans aucune gêne.
Je peux disposer de son corps et de ses endroits les plus intimes sans qu’aucune pudeur ne l’effleure.
Elle me laisse goûter son entrecuisse, ma bouche et mes doigts allant dans sa chatte béante.
J’écarte les bourrelets charnus de ses lèvres pour plonger dans les plis et replis des
muqueuses vaginales dégoulinantes de son jus gluant.
Je vais à sa rosette froncée, mes doigts écartelant son cul et doigter encore dans le trou étroit, déflorant ainsi le conduit rectal inviolé et arrachant des gémissements à mon amante complaisante qui se dévergonde aussi complaisamment.
C’est à ce moment d’ailleurs que son audace me surprend quel que peut, car alors que je suis au-dessus d’elle, elle se glisse sous moi et prenant mon sexe entre ses lèvres, elle m’offre d’elle-même un 69 sans que je la demande.
Elle prends ma bite jusqu’au fond de sa gorge, puis de ses doigts et, de ses lèvres, elle le masse, l’aspire, le lèche me faisant grogner de contentement à la superbe fellation qu’elle m’offre.
Bientôt, sentant que mon pénis est de nouveau bien raide et ainsi prêt à la reprendre , je me redresse et retournant ma partenaire sur le ventre, je la soulève pour qu’elle se mette à genoux sur le lit, puis écartant les globes charnus de ses fesses rondes, j’introduis mon sexe dans sa chatte baveuse de mouille jusqu’au fond.
Je la ramone pendant quelques minutes les muqueuses enflammées et humides faisant couiner Typhanie d’une satisfaction voluptueuse.
C’est alors que je lui glisse à l’oreille.
" Ma Chérie ! Tu veux bien que je te fourre mon sexe dans ton derrière ? Je sens
que tu es prête et j’en aie très envie tu sais"
Elle s’est immobilisée, alors que mon sexe la remplit entièrement.
Elle me répond d’une petite voix tremblotante.
" Tu vas me faire mal tonton ? Mais si tu en as vraiment envie, je veux bien que tu m'inities Fais doucement s'il te plait "
Je l’embrasse dans le cou, puis me retirant de son vagin, j’appuie mon sexe sur la rondelle encore fermée.
Trempant un doigt dans sa chatte béante, je transporte le plus de mouille que je peux et l’introduis dans son cul qui se contracte autour de mon doigt.
Je lui susurre à l’oreille
" Décontracte toi Chérie ! Quand je rentrerai mon sexe dans ton derrière, pousse contre, cela te fera moins mal.
Je te promets, je ferai le plus doucement possible et je m’arrêterai à chaque fois que tu me le demanderas."
Après avoir badigeonné l’intérieur de l’anus rebelle, j’engage mon sexe dans son petit orifice qui peine à s’écarter.
Ma partenaire souffle fort sous la pression du membre qui cherche à l’enculer.
Le gland perfore d’un coup son petit trou la faisant pousser un glapissement de douleur à ma nièce.
Mon gland me fait mal tellement il est resserré par le muscle non encore distendu.
Aussi, voulant faire cesser cette douleur, je m’enfonce brutalement dans la gaine trop étroite.
Cette fois je me sens plus engagé, mais ma partenaire hurle en me suppliant de me retirer.
Je sais que j’ai fait le plus difficile et il n’est pas question que je me retire de ce cul que je suis en train de déflorer.
Je masse les épaules et le cou de ma douce et lui murmure.
" Je t’aime ma nièce ! Tu es très courageuse. Bientôt tu vas voir tu n’auras plus mal. Je suis certain que tu vas même avoir du plaisir."
" Mais il faut que ton cul s’habitue à mon sexe. C’est difficile la première fois, mais au bout de plusieurs fois c’est toi qui me demanderas de t’enculer tellement tu vas y prendre de plaisir."
Elle sanglote, mais elle ne me demande plus de me retirer.
Aussi progressivement je m’enfonce très doucement dans l’adorable cul, déflorant avec jubilation cette nièce que je suis en train de dépraver et d’amener à la plus grande perversité.
Je regarde avec avidité les cuisses écartelées et le haut des fesses rebondies qui laisse entrevoir le cratère que je suis en train d’ouvrir sous mon membre qui s’enfonce dans l’œillet cette fois complètement distendu.
Mon sexe s’enfonce encore un peu plus dans les entrailles nouvellement défloré et je sens mon gland s’humidifier cette fois naturellement par les muqueuses anales qui réagissent au frottement continu de ma chair.
Ma nièce à la tête appuyée de côté sur ses avant- bras coller sur son oreiller, son buste à l’oblique et son derrière haut levé alors que je suis à genoux derrière elle.
Elle soupire en séchant ses larmes.
Apparemment la douleur intense de la défloration de sa pastille rectale s’est calmée.
J’en profite pour m’enfoncer et me retirer délicatement de la gaine endolorie, retirant un plaisir incommensurable à ce coït rectal doublé d’une satisfaction à savoir que je perfore pour la première le petit trou du cul de ma nièce.
Puis je m’active de plus en plus rapidement!
Elle hurle cette fois sous les coups de queue que j’assène dans son fondement.
Elle hurle, elle bave et sanglote d'un atroce plaisir hystérique, son corps se couvre de sueur et se contorsionne frénétiquement comme une anguille.
Elle jouit de douleur et de plaisir cette fois sans discontinuer.
je sens que je vais tarder a jouir. Je lui dit je vais pas tarder a venir !
" Donne ta bouche !"
" Non " répondit elle,
" lâche toi dans mon cul !"
Je me retiens le plus longtemps possible, mais soudain, dans un rugissement, je sens mon foutre qui jaillit au plus profond de son cul et je m’écroule sur son dos.
N’en pouvant plus de décharger dans ce cul si longtemps convoité.
Elle halète comme une damnée sous les convulsions qui l’ont saisie lorsqu’elle a prit son pied.
Le plaisir inouï qu’elle a retiré de sa première sodomisation où la douleur ressentie se mélangeait à l’excitation sexuelle qu’elle ressent l’ont épuisée.
Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse furieusement tout en me lançant.
" Oh ! Mon tonton ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime ! Je t’aime !"
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Les avis des lecteurs
Une sacrée coquine !!
Lolo
Lolo