Ulysse 05
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 678 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 605 103 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 842 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ulysse 05
Ulysse 05
On a fini par passer sous la douche. Richard ne râlait pas vraiment, il marmonnait dans sa barbe. J'avais l'impression qu'il regrettait déjà son choix. Au moment ou on sortait de la douche on croisait Ulysse, là Richard ne disait plus rien et affichait un large sourire niais !
J'avais un mal fou à me retenir de rigoler.
Une fois habillé on reprenait nos activités habituelles. Les copines à Ulysse sont vraiment adorables, pendant qu'on était sous la douche elle avaient fait le ménage, et je vous jure qu'elles sont efficaces, même à deux.
Pendant les deux semaines qui ont suivies, il fallait régulièrement rappeler à Richard le défi de Mathilde. Elle avait dit '' Aucun contact érotique, même pas un câlin ''. C'était un truc de fou surtout qu'on voyait Ulysse à poil tous les jours, le matin sous la douche, puis en général comme lui il se sentait bien il traînait à poil au petit déjeuner. Il n'était pas souvent seul, on a revu Mathilde plusieurs fois.
Ulysse ne bandait pas pendant ces moments, il n'était pas en manque, sexuellement pas en manque, c'était pas comme nous ! La première semaine passée, Richard et moi avions la tête en feu et les couilles au bord de l'explosion. Le matin c'était le plus dur, on voyait Ulysse se balader à poil et vous savez que le matin on bande bien plus facilement, ça devenait frustrant.
Le pire moment c'était ce dimanche matin. La veille au soir Richard et moi étions sortis boire un verre et on se retrouvait au petit déjeuner. C'était pas comme en semaine, Ulysse prenait le temps de bien traîner à poil, en semaines on ne le voyait que quelques instants, là il se baladait dans tout l'appartement, il traînait. Dès que le café était prêt Mathilde apparaissait, ça devait être une de ses préférées celle là. Elle venait nous faire la bise à Richard et à moi.
– Alors les mâles, vous allez bien ?
Ulysse se glissait juste derrière elle, il la prenait dans ses bras, elle retournait le visage et ils s'embrassaient. Là c'est avec violence que j'ai senti ma queue protester, jusque là j'avais contrôlé mais à cet instant je ne contrôlais plus rien. C'était l'horreur. Ça ne pouvait pas être pire, en tout cas c'est ce que j'ai pensé quand j'ai vu la queue d'Ulysse se relever entre les cuisses de Mathilde. Ils s'amusaient les deux farceurs, ils jouaient avec nos nerfs.
On a fait comme un blocage. On ne disait plus rien, on servait le café à tout le monde, on mangeait, on buvait notre café et devant nous Mathilde se collait à Ulysse, l'embrassait, lui caressait la queue. Et il bandait ferme le bestiaux. Elle lui suçait la queue, avant de terminer en s’asseyant dessus.
Là on ne bloquait plus, on buggait. C'était l'horreur, ma queue était écrasée dans sa cage, je ne montrais rien, Richard non plus. Comme, contrairement à nos camarades en rut, nous étions habillés, enfin légèrement mais habillé tout de même avec un pyjama, rien ne se voyait. Mais je vous jure que c'était l'horreur. Ma bite poussait de toutes ses forces, des bourrelets de peau sortaient par les ouvertures d'aération, c'était pas confortable. Sous la pression de ma queue l'anneau devenait trop petit et resserrait la base de mon sexe, mes couilles formaient une grosse boule bien ferme, bien grosse … bien dure !
Non c'était pas confortable. Je savais que pour Richard c'était pareil. Il avait le regard fixe, il regardait Mathilde qui, empalée sur la queue de d'Ulysse se relevait et se laissait retomber. Ulysse lui caressait le corps, le ventre, sa poitrine tout en l'embrassant dans le cou, à la base de son cou et sur son épaule.
Mathilde et Ulysse étaient face à nous, quand Mathilde se soulevait on pouvait voir le pénis d'Ulysse sortir de sa vulve. Richard regardait ça d'une manière étrange. Il oscillait entre une certaine excitation face à la queue de notre colocataire et une certaine envie de se sauver en pleurant face au sexe de Mathilde.
Il est comme ça Richard !
Remarquez j'ai l'air de me moquer mais … Bon, c'est vrai je ferais mieux de me taire … J'étais à deux doigts de le faire en fait. Mais il y avait Ulysse et il était beau Ulysse, je sais je l'ai déjà dit mais c'est la vérité, c'est même tellement la vérité que c'est à cause de ça que je regardait tout ce qui se passait, c'est à cause de ça que je ne pouvais pas détacher mon regard.
Et puis Mathilde je commençais à avoir l'habitude de la voir la petite Mathilde, je ne faisais plus attention à elle. Sauf qu'à ce moment, après une semaine d’abstinence totale je me serais damné pour pouvoir prendre sa place.
Mathilde penchait la tête en arrière, sur l'épaule d'Ulysse, il se laissait faire, il la laissait faire, ils s'embrassaient. Les mains d'Ulysse se promenaient avec force et douceur sur le corps de Mathilde, j'imaginais que j'étais à sa place. J'imaginais que c'était sur mon corps que ces mains se promenaient. Il avait de belles mains qui devaient être douces.
Mathilde se relevait un peu trop et la queue d'Ulysse apparaissait en entier, quand elle se laissait retomber la queue d'Ulysse retombait devant elle, ne la pénétrait plus, elle la masturbait alors avec conviction. Là encore mon imagination vagabondait. C'était moi qui masturbait cette queue superbe, grosse, ferme, bien droite.
J'avais envie de plonger et de me la prendre dans la bouche, de la sucer jusqu'à la garde. J'avais envie de sentir son gland circoncis s'écraser contre ma glotte puis s'enfoncer plus profond encore, dans ma gorge. J'avais envie de manquer d'air, en fait, je manquais d'air.
Le problème c'est que dans la position ou nous étions, si j'avais plongé, je me serais retrouvé avec le nez dans le sexe de Mathilde et là, comment dire, c'était brusquement beaucoup moins excitant.
Je bandais toujours, mais c'était uniquement parce que j'étais en manque, mais vraiment en manque. Parce qu'on était le matin et le matin, vous savez … érection du matin ... En plus j'avais un mec superbe, sexy à poil devant moi … Bon d'accord il y avait sa copine du jour sur ses genoux mais bon, j'essayais de ne pas trop penser à ce dernier détail …
Elle était à poil la fille mais bon, j'essayais de ne pas faire attention. A côté de moi Richard n'était pas tout à fait dans son état normal, il continuait mécaniquement à boire son café par gorgées sans remarquer que sa tasse était vide. Il buggait ! Comme je vous disais, il buggait !
Les deux amants ne faisaient plus attention à nous, Mathilde continuait à frotter son cul contre le ventre d'Ulysse. Lui passait ses mains entre les cuisse de Mathilde, le haut de ses cuisses, le très haut de ses cuisses, il glissait plusieurs doigts dans son sexe et l'ouvrait avec douceur. En voyant ça, je buggais à mon tour. Mathilde se soulevait, plaçait la queue d'Ulysse contre son sexe et quand elle se laissait retomber avec douceur, la queue d'Ulysse avait repris sa place, bien au chaud, elle avait de nouveau disparu.
Mathilde gémissait de plus en plus fort, Ulysse la suivait.
Il a une sacrée santé le lascar, surtout qu'ils avaient baisé toute la nuit. On avait entendu quelques cris. On n'avait pas fait attention, c'était pas la première fois. Et là c'était devant nous qu'ils en rajoutait, ils jouaient les prolongations et de toutes évidences il leur fallait des spectateurs.
Ou alors ils voulaient juste nous allumer. Nous étions en manque, en cage depuis une semaine et en plus on jouait le jeux, pas un câlin, pas un gode, pas un plug, pas une stimulation depuis une semaines entière, pas une caresse … Rien !
Je continuais à boire mon café pendant un long moment avant de me rendre compte que ma tasse était vide également.
Mathilde gémissait fort, de plus en plus fort. Les bras d'Ulysse se refermaient contre sont corps, écrasaient ses seins. Il gémissait lui aussi, puis complètement synchronisés ils étaient pris d'une sorte de convulsion. Ils poussaient quelques cris de plaisir, se raidissaient, se détendaient, tremblaient puis un liquide blanc coulait sur les couilles d'Ulysse.
Je m’apercevais à cet instant que j'avais arrêté de respirer. Ça ne devait pas durer depuis bien longtemps je l'aurais forcément remarqué …
J'avalais encore une gorgée de café imaginaire et regardait Richard, il était dans le même état que moi.
Je décidais de me prendre une douche, mais une douche bien froide, dans mon état ça ne pouvait pas me faire de mal. Rapidement Richard venait me rejoindre.
– Je vais craquer, me disait-il, je vais craquer !
Finalement il a craqué, mais pas ce jour là. Non il a craqué une semaine plus tard.
Mathilde était passée nous voir, il lui a presque sauté dessus.
– Donne moi la clé, je craque, donne moi la clé !
– Et tu ne veux pas faire preuve de patience, tu sais qu'il y aura la queue d'Ulysse comme récompense.
– Oui mais quand ?
– Encore quelques mois … Pas plus !
– MAIS TU VEUX MA MORT !
Mathilde était un peu joueuse, elle aimait bien rigoler et faisait durer le plaisir.
– D'accord mais tu me fais plaisir !
– Tout ce que tu veux Mathilde, tu veux que je fasse quoi ?
– Tu as de l'imagination toi dis donc ! Un garçon en manque et une superbe fille nymphomane … Réfléchis, fais un effort !
Richard fronçait les sourcil, il avait l'air de vraiment réfléchir, c'est pas ça qui lui donnait l'air intelligent mais bon …
– Tu parles de Charly ? S'exclamait Richard.
Mathilde se retournait vers moi …
– Il est vraiment bouché quand il veut celui-là !
– Mais dis moi ce que tu veux . Gnnnnnnn ! Rajoutais Richard.
– Tu vas te mettre un gode ceinture, tu reviens et tu me fais jouir …
Richard regardait dans ma direction.
– Oh oui Richard, fais moi plaisir, je veux voir ça ! Répondais je.
– Meuh … Ouin … Me répondait Richard, ça ressemblait à une sorte de couinement bizarre.
À aucun moment je n'avais imaginé qu'il allait dire oui. Il prenait un air penaud, baissait la tête devant Mathilde et lui répondait juste … '' Oui Madame !''. Mathilde pouffait de rire.
Richard disparaissait quelques instant et quand il revenait, il était à poil avec le gode ceinture solidement fixé sur lui.
Et bien il l'a fait.
Je ne reconnaissais pas l'animal, il s'approchait de Mathilde, déposais sur sa joue un tendre, un très tendre baiser. Puis c'était sur son cou, elle penchais la tête sur le côté et Richard déposait un baiser sur son cou.
Il descendait ensuite vers son épaule, tendait ses bras vers elle, la prenait par les hanches et avec douceur la tirait vers lui. Il l'embrassait longuement avec tendresse, elle semblait apprécier. Il faut se dire que Richard embrasse très bien. Je l'ai un peu pratiqué, un peu, beaucoup même …
Il la tirait doucement vers lui, elle le prenait dans ses bras, un peu surprise peut être, mais elle n'allait certainement pas louper une telle occasion. Quelques instants plus tard ils étaient allongé l'un contre l'autre sur le canapé, il peut se replier en lit en un geste. Ce n'était plus que tendresse, douceur, câlin.
Je regardais ça sans y croire, dans ma cage, je ne vous dis pas, ma queue protestait comme jamais. Deux semaines, c'était l'enfer et voir ces deux corps nus se caresser l'un contre l'autre, même si un des deux était celui d'une fille, me mettait dans un état … J'avais la tête en feu, je frissonnais, j'avais la chair de poule. Même mon cul criait au secours et je ne parvenais pas à savoir si c'était la place de Mathilde ou celle de Richard que j'avais envie de prendre.
Ça me perturbait dans ma tête cette histoire. Je regardait la scène, totalement incrédule. Richard caressait la poitrine de Mathilde. Il ne faisait pas de grimace, il ne piquait pas de crise de larmes et s’enfuyait pas en pleurant sa mère. La situation n'avait rien de normal !
– Qu'est ce qui se passe ici ?
C'était Ulysse qui arrivait derrière moi. Il regardait la scène tout aussi incrédule que moi …
– Bein mince alors, on aura tout vu ! Rajoutait-il.
On regardait le spectacle sans trop comprendre.
– Mais qu'est ce qui lui prend ? Demandait Ulysse.
– À Richard ou à Mathilde ?
– À Richard bien sûr. Mathilde on sait que Mathilde est nymphomane donc la question ne se pose pas pour elle.
– Connard ! Lui répondait Mathilde sans même le regarder.
– Mais c'était pas un reproche mon trésor ! Au contraire, j'aime bien que tu sois nymphomane moi.
Richard et Mathilde continuaient leurs ébats. Doucement il la pénétrait. Le gode qu'il s'était fixé entrait doucement dans le sexe de Mathilde, je devinais que Richard y allait avec une extrême douceur, il avançait en terre inconnue là.
Ulysse faisait la moue et relevait les sourcils, comme pour se convaincre qu'il ne rêvait pas. Il bandait, ça se voyait, je regardais ça de côté pour ne pas me faire remarquer. J'en profitais pour regarder si ça se voyait aussi pour moi. On ne voyait rien mais ça ne voulait pas dire que je ne bandais pas. Je vous jure, je bandais comme un malade mais je portais toujours le dispositif.
Richard et Mathilde se lâchaient, il la renversait sur le dos et allongé sur elle la caressait l'embrassait, lui caressait les seins. Elle le retournait sur le dos et frottait son corps contre le sien s'empalait sur son gode.
J'étais surpris de voir le calme d'Ulysse. Il attendait son tour en fait, il n'était pas calme il était seulement patient. Il savait qu'aujourd'hui encore il ne manquerait pas de sexe. Pour lui il se passait plus de jours avec sexe que sans.
C'était pas mon cas, depuis deux semaines c'était pas mon cas.
Mathilde gémissait de plaisir, Richard ne se laissait pas distraire, il continuait à lui donner du plaisir. Elle gémissait de plus en plus fort elle finissait par se laisser tomber sur lui, lui glissait un ou deux mots à l'oreille … Richard ne bougeait plus. Elle prenait tout son temps pour reprendre son souffle, se relevait, attrapait ses vêtements, et déposait sur le torse de Richard la fameuse clé.
A voir le visage réjoui de Mathilde, elle devait considérer qu'il l'avait mérité. Elle se dirigeait vers la salle de bain immédiatement suivie par Ulysse.
Quelques jours plus tard, j'ai craqué à mon tour. Mathilde m'a donné ma clé sans me faire de misères. Je crois qu'en fait elle prenait un malin plaisir à taquiner Richard …
C'était il y a bien des années, je me souvenais de cette époque. Ulysse était là devant moi, il n'avait presque pas changé, ses deux amis étaient très sympathique et nous faisions connaissance.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On a fini par passer sous la douche. Richard ne râlait pas vraiment, il marmonnait dans sa barbe. J'avais l'impression qu'il regrettait déjà son choix. Au moment ou on sortait de la douche on croisait Ulysse, là Richard ne disait plus rien et affichait un large sourire niais !
J'avais un mal fou à me retenir de rigoler.
Une fois habillé on reprenait nos activités habituelles. Les copines à Ulysse sont vraiment adorables, pendant qu'on était sous la douche elle avaient fait le ménage, et je vous jure qu'elles sont efficaces, même à deux.
Pendant les deux semaines qui ont suivies, il fallait régulièrement rappeler à Richard le défi de Mathilde. Elle avait dit '' Aucun contact érotique, même pas un câlin ''. C'était un truc de fou surtout qu'on voyait Ulysse à poil tous les jours, le matin sous la douche, puis en général comme lui il se sentait bien il traînait à poil au petit déjeuner. Il n'était pas souvent seul, on a revu Mathilde plusieurs fois.
Ulysse ne bandait pas pendant ces moments, il n'était pas en manque, sexuellement pas en manque, c'était pas comme nous ! La première semaine passée, Richard et moi avions la tête en feu et les couilles au bord de l'explosion. Le matin c'était le plus dur, on voyait Ulysse se balader à poil et vous savez que le matin on bande bien plus facilement, ça devenait frustrant.
Le pire moment c'était ce dimanche matin. La veille au soir Richard et moi étions sortis boire un verre et on se retrouvait au petit déjeuner. C'était pas comme en semaine, Ulysse prenait le temps de bien traîner à poil, en semaines on ne le voyait que quelques instants, là il se baladait dans tout l'appartement, il traînait. Dès que le café était prêt Mathilde apparaissait, ça devait être une de ses préférées celle là. Elle venait nous faire la bise à Richard et à moi.
– Alors les mâles, vous allez bien ?
Ulysse se glissait juste derrière elle, il la prenait dans ses bras, elle retournait le visage et ils s'embrassaient. Là c'est avec violence que j'ai senti ma queue protester, jusque là j'avais contrôlé mais à cet instant je ne contrôlais plus rien. C'était l'horreur. Ça ne pouvait pas être pire, en tout cas c'est ce que j'ai pensé quand j'ai vu la queue d'Ulysse se relever entre les cuisses de Mathilde. Ils s'amusaient les deux farceurs, ils jouaient avec nos nerfs.
On a fait comme un blocage. On ne disait plus rien, on servait le café à tout le monde, on mangeait, on buvait notre café et devant nous Mathilde se collait à Ulysse, l'embrassait, lui caressait la queue. Et il bandait ferme le bestiaux. Elle lui suçait la queue, avant de terminer en s’asseyant dessus.
Là on ne bloquait plus, on buggait. C'était l'horreur, ma queue était écrasée dans sa cage, je ne montrais rien, Richard non plus. Comme, contrairement à nos camarades en rut, nous étions habillés, enfin légèrement mais habillé tout de même avec un pyjama, rien ne se voyait. Mais je vous jure que c'était l'horreur. Ma bite poussait de toutes ses forces, des bourrelets de peau sortaient par les ouvertures d'aération, c'était pas confortable. Sous la pression de ma queue l'anneau devenait trop petit et resserrait la base de mon sexe, mes couilles formaient une grosse boule bien ferme, bien grosse … bien dure !
Non c'était pas confortable. Je savais que pour Richard c'était pareil. Il avait le regard fixe, il regardait Mathilde qui, empalée sur la queue de d'Ulysse se relevait et se laissait retomber. Ulysse lui caressait le corps, le ventre, sa poitrine tout en l'embrassant dans le cou, à la base de son cou et sur son épaule.
Mathilde et Ulysse étaient face à nous, quand Mathilde se soulevait on pouvait voir le pénis d'Ulysse sortir de sa vulve. Richard regardait ça d'une manière étrange. Il oscillait entre une certaine excitation face à la queue de notre colocataire et une certaine envie de se sauver en pleurant face au sexe de Mathilde.
Il est comme ça Richard !
Remarquez j'ai l'air de me moquer mais … Bon, c'est vrai je ferais mieux de me taire … J'étais à deux doigts de le faire en fait. Mais il y avait Ulysse et il était beau Ulysse, je sais je l'ai déjà dit mais c'est la vérité, c'est même tellement la vérité que c'est à cause de ça que je regardait tout ce qui se passait, c'est à cause de ça que je ne pouvais pas détacher mon regard.
Et puis Mathilde je commençais à avoir l'habitude de la voir la petite Mathilde, je ne faisais plus attention à elle. Sauf qu'à ce moment, après une semaine d’abstinence totale je me serais damné pour pouvoir prendre sa place.
Mathilde penchait la tête en arrière, sur l'épaule d'Ulysse, il se laissait faire, il la laissait faire, ils s'embrassaient. Les mains d'Ulysse se promenaient avec force et douceur sur le corps de Mathilde, j'imaginais que j'étais à sa place. J'imaginais que c'était sur mon corps que ces mains se promenaient. Il avait de belles mains qui devaient être douces.
Mathilde se relevait un peu trop et la queue d'Ulysse apparaissait en entier, quand elle se laissait retomber la queue d'Ulysse retombait devant elle, ne la pénétrait plus, elle la masturbait alors avec conviction. Là encore mon imagination vagabondait. C'était moi qui masturbait cette queue superbe, grosse, ferme, bien droite.
J'avais envie de plonger et de me la prendre dans la bouche, de la sucer jusqu'à la garde. J'avais envie de sentir son gland circoncis s'écraser contre ma glotte puis s'enfoncer plus profond encore, dans ma gorge. J'avais envie de manquer d'air, en fait, je manquais d'air.
Le problème c'est que dans la position ou nous étions, si j'avais plongé, je me serais retrouvé avec le nez dans le sexe de Mathilde et là, comment dire, c'était brusquement beaucoup moins excitant.
Je bandais toujours, mais c'était uniquement parce que j'étais en manque, mais vraiment en manque. Parce qu'on était le matin et le matin, vous savez … érection du matin ... En plus j'avais un mec superbe, sexy à poil devant moi … Bon d'accord il y avait sa copine du jour sur ses genoux mais bon, j'essayais de ne pas trop penser à ce dernier détail …
Elle était à poil la fille mais bon, j'essayais de ne pas faire attention. A côté de moi Richard n'était pas tout à fait dans son état normal, il continuait mécaniquement à boire son café par gorgées sans remarquer que sa tasse était vide. Il buggait ! Comme je vous disais, il buggait !
Les deux amants ne faisaient plus attention à nous, Mathilde continuait à frotter son cul contre le ventre d'Ulysse. Lui passait ses mains entre les cuisse de Mathilde, le haut de ses cuisses, le très haut de ses cuisses, il glissait plusieurs doigts dans son sexe et l'ouvrait avec douceur. En voyant ça, je buggais à mon tour. Mathilde se soulevait, plaçait la queue d'Ulysse contre son sexe et quand elle se laissait retomber avec douceur, la queue d'Ulysse avait repris sa place, bien au chaud, elle avait de nouveau disparu.
Mathilde gémissait de plus en plus fort, Ulysse la suivait.
Il a une sacrée santé le lascar, surtout qu'ils avaient baisé toute la nuit. On avait entendu quelques cris. On n'avait pas fait attention, c'était pas la première fois. Et là c'était devant nous qu'ils en rajoutait, ils jouaient les prolongations et de toutes évidences il leur fallait des spectateurs.
Ou alors ils voulaient juste nous allumer. Nous étions en manque, en cage depuis une semaine et en plus on jouait le jeux, pas un câlin, pas un gode, pas un plug, pas une stimulation depuis une semaines entière, pas une caresse … Rien !
Je continuais à boire mon café pendant un long moment avant de me rendre compte que ma tasse était vide également.
Mathilde gémissait fort, de plus en plus fort. Les bras d'Ulysse se refermaient contre sont corps, écrasaient ses seins. Il gémissait lui aussi, puis complètement synchronisés ils étaient pris d'une sorte de convulsion. Ils poussaient quelques cris de plaisir, se raidissaient, se détendaient, tremblaient puis un liquide blanc coulait sur les couilles d'Ulysse.
Je m’apercevais à cet instant que j'avais arrêté de respirer. Ça ne devait pas durer depuis bien longtemps je l'aurais forcément remarqué …
J'avalais encore une gorgée de café imaginaire et regardait Richard, il était dans le même état que moi.
Je décidais de me prendre une douche, mais une douche bien froide, dans mon état ça ne pouvait pas me faire de mal. Rapidement Richard venait me rejoindre.
– Je vais craquer, me disait-il, je vais craquer !
Finalement il a craqué, mais pas ce jour là. Non il a craqué une semaine plus tard.
Mathilde était passée nous voir, il lui a presque sauté dessus.
– Donne moi la clé, je craque, donne moi la clé !
– Et tu ne veux pas faire preuve de patience, tu sais qu'il y aura la queue d'Ulysse comme récompense.
– Oui mais quand ?
– Encore quelques mois … Pas plus !
– MAIS TU VEUX MA MORT !
Mathilde était un peu joueuse, elle aimait bien rigoler et faisait durer le plaisir.
– D'accord mais tu me fais plaisir !
– Tout ce que tu veux Mathilde, tu veux que je fasse quoi ?
– Tu as de l'imagination toi dis donc ! Un garçon en manque et une superbe fille nymphomane … Réfléchis, fais un effort !
Richard fronçait les sourcil, il avait l'air de vraiment réfléchir, c'est pas ça qui lui donnait l'air intelligent mais bon …
– Tu parles de Charly ? S'exclamait Richard.
Mathilde se retournait vers moi …
– Il est vraiment bouché quand il veut celui-là !
– Mais dis moi ce que tu veux . Gnnnnnnn ! Rajoutais Richard.
– Tu vas te mettre un gode ceinture, tu reviens et tu me fais jouir …
Richard regardait dans ma direction.
– Oh oui Richard, fais moi plaisir, je veux voir ça ! Répondais je.
– Meuh … Ouin … Me répondait Richard, ça ressemblait à une sorte de couinement bizarre.
À aucun moment je n'avais imaginé qu'il allait dire oui. Il prenait un air penaud, baissait la tête devant Mathilde et lui répondait juste … '' Oui Madame !''. Mathilde pouffait de rire.
Richard disparaissait quelques instant et quand il revenait, il était à poil avec le gode ceinture solidement fixé sur lui.
Et bien il l'a fait.
Je ne reconnaissais pas l'animal, il s'approchait de Mathilde, déposais sur sa joue un tendre, un très tendre baiser. Puis c'était sur son cou, elle penchais la tête sur le côté et Richard déposait un baiser sur son cou.
Il descendait ensuite vers son épaule, tendait ses bras vers elle, la prenait par les hanches et avec douceur la tirait vers lui. Il l'embrassait longuement avec tendresse, elle semblait apprécier. Il faut se dire que Richard embrasse très bien. Je l'ai un peu pratiqué, un peu, beaucoup même …
Il la tirait doucement vers lui, elle le prenait dans ses bras, un peu surprise peut être, mais elle n'allait certainement pas louper une telle occasion. Quelques instants plus tard ils étaient allongé l'un contre l'autre sur le canapé, il peut se replier en lit en un geste. Ce n'était plus que tendresse, douceur, câlin.
Je regardais ça sans y croire, dans ma cage, je ne vous dis pas, ma queue protestait comme jamais. Deux semaines, c'était l'enfer et voir ces deux corps nus se caresser l'un contre l'autre, même si un des deux était celui d'une fille, me mettait dans un état … J'avais la tête en feu, je frissonnais, j'avais la chair de poule. Même mon cul criait au secours et je ne parvenais pas à savoir si c'était la place de Mathilde ou celle de Richard que j'avais envie de prendre.
Ça me perturbait dans ma tête cette histoire. Je regardait la scène, totalement incrédule. Richard caressait la poitrine de Mathilde. Il ne faisait pas de grimace, il ne piquait pas de crise de larmes et s’enfuyait pas en pleurant sa mère. La situation n'avait rien de normal !
– Qu'est ce qui se passe ici ?
C'était Ulysse qui arrivait derrière moi. Il regardait la scène tout aussi incrédule que moi …
– Bein mince alors, on aura tout vu ! Rajoutait-il.
On regardait le spectacle sans trop comprendre.
– Mais qu'est ce qui lui prend ? Demandait Ulysse.
– À Richard ou à Mathilde ?
– À Richard bien sûr. Mathilde on sait que Mathilde est nymphomane donc la question ne se pose pas pour elle.
– Connard ! Lui répondait Mathilde sans même le regarder.
– Mais c'était pas un reproche mon trésor ! Au contraire, j'aime bien que tu sois nymphomane moi.
Richard et Mathilde continuaient leurs ébats. Doucement il la pénétrait. Le gode qu'il s'était fixé entrait doucement dans le sexe de Mathilde, je devinais que Richard y allait avec une extrême douceur, il avançait en terre inconnue là.
Ulysse faisait la moue et relevait les sourcils, comme pour se convaincre qu'il ne rêvait pas. Il bandait, ça se voyait, je regardais ça de côté pour ne pas me faire remarquer. J'en profitais pour regarder si ça se voyait aussi pour moi. On ne voyait rien mais ça ne voulait pas dire que je ne bandais pas. Je vous jure, je bandais comme un malade mais je portais toujours le dispositif.
Richard et Mathilde se lâchaient, il la renversait sur le dos et allongé sur elle la caressait l'embrassait, lui caressait les seins. Elle le retournait sur le dos et frottait son corps contre le sien s'empalait sur son gode.
J'étais surpris de voir le calme d'Ulysse. Il attendait son tour en fait, il n'était pas calme il était seulement patient. Il savait qu'aujourd'hui encore il ne manquerait pas de sexe. Pour lui il se passait plus de jours avec sexe que sans.
C'était pas mon cas, depuis deux semaines c'était pas mon cas.
Mathilde gémissait de plaisir, Richard ne se laissait pas distraire, il continuait à lui donner du plaisir. Elle gémissait de plus en plus fort elle finissait par se laisser tomber sur lui, lui glissait un ou deux mots à l'oreille … Richard ne bougeait plus. Elle prenait tout son temps pour reprendre son souffle, se relevait, attrapait ses vêtements, et déposait sur le torse de Richard la fameuse clé.
A voir le visage réjoui de Mathilde, elle devait considérer qu'il l'avait mérité. Elle se dirigeait vers la salle de bain immédiatement suivie par Ulysse.
Quelques jours plus tard, j'ai craqué à mon tour. Mathilde m'a donné ma clé sans me faire de misères. Je crois qu'en fait elle prenait un malin plaisir à taquiner Richard …
C'était il y a bien des années, je me souvenais de cette époque. Ulysse était là devant moi, il n'avait presque pas changé, ses deux amis étaient très sympathique et nous faisions connaissance.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...