Un amant à la maison. (1)
Récit érotique écrit par Pute-bourgoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Pute-bourgoise ont reçu un total de 72 124 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 17 741 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un amant à la maison. (1)
Ce samedi, nous avons dîné avec un couple d'amis, très complices entre eux, au point que j'en étais jalouse. Ils s'y étaient mis à deux pour nous servir et à deux encore pour débarrasser la table... avec des pauses que je pouvais supposer chaudes dans leur cuisine. J'avais fait quelques avances à mon mari, sans succès, et je dois dire aussi sans réel espoir, vue sa froideur de toujours.
En les quittant, monsieur fait une bise un peu serrée à la femme, et comme pour me venger, je touche volontairement les lèvres du mari avec ma langue comme par accident entre deux bises. Pendant que j'embrassais la femme, je sentis une main sur ma fesse, une main d'homme, et j'ai prolongé par quelques bises. En voiture, je découvre une cuisse bien épilée que mon mari ne caresse pas, il accepte à peine que je touche la sienne, mais dès que je suis plus insistante, c'est son "laissé-moi conduire" habituel qui me ramène à la réalité.
Ne l'ayant pas provoqué avec ma cuisse, je passe au degré supérieur:
connaissant l'effet de mes seins sur lui, je déboutonne progressivement mon chemisier de façon à lui montrer en partie un téton érigé, mais nous étions devant le garage, et quand il klaxonne, je me réarrange vite et monte rapidement pendant qu'il parle au gardien. . .
Quand il me rejoint dans la chambre, je suis assise devant le miroir, passant de la crème sur ma poitrine. Quand je l'entends pénétrer dans la chambre, je relève un sein et me tourne vers lui.
- Si j'étais pas jaloux, je te laisserais toujours comme ça...
- Reste jaloux chéri, répondis-je en me levant, pour lui retirer sa veste. Mais il se déshabilla très vite et me mît sur le lit. Pendant qu'il suce mon téton, je retire ma culotte pour éviter qu'il me froisse la peau avec. Il me pénétra violemment, fit quelques va et viens et éjacula dans ma chatte. Et c'est le moment que je choisis toujours pour simuler ma jouissance en le remerciant.
- J'espère que ça te suffira pour la semaine, chérie... Je vais m'absenter jusqu'à samedi...
- Je vais compter les minutes...
Il prit mon sein dans sa bouche un moment avant de se retourner pour s'endormir en me laissant sur ma faim et mes envies...( jusqu'à son départ).
Le lendemain, je le réveille assez tôt pour un dernier coup avant son absence, ce qu'il a toujours apprécié.
Quand je l'embrasse à l'aéroport, vers onze heures, notre baiser est fougueux, et je fais tout pour attirer quelque attention... Quand il entre dans la salle d'embarquement je lui fais signe que je vais le revoir de la terrasse, et j'y monte....
(c'était mon côté "salope" qui voulait que je commence ma drague devant lui, et à son insu: c'est plus excitant…)
Un jeune homme me suivit discrètement, me rassurant que je l'avais bien dans ma toile… je change de démarche, en me déhanchant un peu plus. Il n'y avait que peu de monde, ce qui l'obligea à se tenir à l'écart en faisant des gestes d'adieu à un voyageur...
- Ils sont partis, me dit-il en soufflant...
- de qui parlez-vous? Vous étiez seul...
- de ton mari et de celui dont la présence m'empêchait de te dire un mot...
- alors?
- Tu es très belle, et j'ai failli te le dire devant ton mari...
- et maintenant vous me tutoyez déjà?
- c'est malgré moi, j'ai l'impression de connaître depuis toujours, me dit-il en me serrant le bras. Tu ne voudrais pas qu'on en parle plus sagement au café?
- pas plus de dix minutes, on m'attend à la maison....
Je ne voulais pas rater ce charmant jeune homme, mais j'avais promis à Raouf que nous allions baiser tout l'après-midi et la soirée des que mon mari serait en voyage. Mais je voulais aussi coucher avec ce charmant Simo comme il se dit. Au café, j'ai accepté son baratin, pas très classique, je l'avoue, avant lui promettre une rencontre en cours de semaine, et que je lui dirais lundi soir.
Il en arriva à prendre mes mains dans les siennes et y déposa une bise, je les retire, et pour le rassurer je précise:
- on ne m'a jamais fait ça, je pense déjà à lundi soir... J'espère que tu me répondras toi-même...
Il me suit sur la terrasse et me demande de lui faire la bise, et comme elle était déserté, je me laisse même embrasser sur les lèvres comme une enfant, sans desserrer les dents...
Mais je suis pressée de rentrer chez moi où mon ange gardien m'attend.
Au volant de la voiture, une seule idée m'obsédait: jouir avec Raouf, plusieurs fois, toute l'après-midi, la soirée et la nuit... Il doit être plus en manque que moi... Nous n'avons que très peu de contacts ces derniers temps, quand mon mari est là... La journée, la bonne est là, et je ne peux pas lui rendre visite, le soir mon mari est là, ou nous sommes dehors ensembles... Et comme il ne sait quand nous rentrons, il ne peut prendre le risque de perdre sa place... Et sa maîtresse... je parle de moi. Raouf était un copain du lycée que j'avais perdu de vue et dont la vie avait un peu mal tourné, mais dont le corps est resté à mon goût. Quand je l'ai rencontré, il était au chômage, et quand la place de gardien fut libre, je lui ai fait signe de proposer ses services à mon mari, sans lui dire qu'il me connaissait. Nous venions de baiser un bon moment dans une piaule de célibat pour la 5 ou 6eme fois le jour où je lui ai fait part de mon projet... Et ce n'est que lors du premier voyage de mon mari qu'il avait osé me demander de le laisser m'enculer. J'avais d'abord été catégorique pour refuser, puis j'ai toléré un doigt lors d'un cunni, puis il avait cru me convaincre à force de jouissances successives. La fois suivante, il m'avait obligée à le sucer jusqu'à éjaculation, mais j'ai refusé d'avaler sous prétexte que je n'aimais pas ce goût... Je sais que plus j'en accepte, plus il en demande... Mais tant que c'est à force de jouissances que je lui cède ce que d'autres ont eu pour moins, je suis gagnante au change...
Aujourd'hui, en rentrant, je le trouve devant la porte extérieure du garage qu'il ouvre des mon arrivée, et qu'il referme des que le suis entrée. Puis je me retrouve dans le noir quand il referme la porte intérieure.
C'est toujours lui qui se précipite pour ouvrir ma portière, rapidement je me jette dans ses bras, et c'est un baiser très fougueux qu'il met à profit pour porter ma jupe vers le haut pour laisser descendre la culotte que je portais ce jour-la. Ma robe alla sur la voiture, puis mon soutien gorge... Il se baissa pour faire passer ma culotte sur le sol. Il me reprend dans un baiser qu'il prolonge en écartant mes fesses avec vigueur tout en jouant avec sa langue dans ma bouche. Alors que je le serre contre moi, je ressens son majeur qui pénètre mon petit trou et son pouce presser mon clitoris. Il me posa le dos sur le capot encore chaud, écarta mes jambes, et suça mon jus encore peu abondant... Il me souleva un peu, remit son majeur dans mon petit trou, puis avale mon clitoris qu'il suce très fort. Il avait trouvé une concordance entre le mouvement de son doigt dans mon anus, et la force de sa succion... Si bien que j'en jouis assez vite. Je fonds en foutre et en larmes, beaucoup de foutre et peu de larmes...
( Tout ce qu'il me fait m'est déjà arrivé, mais sur le capot, c'est la première fois, il le répétera d'ailleurs)
Puis il me met à genoux sur le capot et me demande de le sucer. Je dus donc dégrafer son jean d'une main et me baisser comme une chienne pour prendre son sexe en bouche, alors que son majeur retourna dans mon gouffre qu'il semblait avoir fait sien. Par une sorte d'accord tacite, nous avons rythmé nos mouvements et tout se passa comme si mon corps était limé par un fil qui relierait son majeur à son sexe en passant dans tout mon corps, et je jouis bien abondamment avant qu'il ne me suive en éjaculant dans ma bouche puis sur le capot...
Quand je me replis sur le capot, il me caresse les hanches en me disant:
- Fatiguée, ma biche?
- Heureuse chéri, tu m'as tellement manqué...
- j'ai encore envie de toi, ma chérie...
- moi aussi, ouiiii
- je te veux debout
- oui mon amour, répondis-je en me mettant debout malgré ma fatigue.
Je commence par lui retirer sa chemise pour me lover contre son torse. Quand il m'étend par l'arrière de la cuisse et la relève, je suis si écartée que son sexe me pénètre comme du beurre. Au fond de moi, il s'arrête un moment et relève mon autre jambe que je tourne autour de sa taille en m'accrochant à son cou. Il me laboure un moment, ressort son sexe, s'arrête un moment et reprend ses secousses... Je jouissais déjà à grands jets alors qu'il avait continué avec ses arrêts prolongateurs... Mais après le cinquième, ses secousses sont plus rapides, et je le sens se crisper puis m'envahit d'un premier jet bien chaud, et me déposant à nouveau sur le capot de la voiture, laisse glisser sa verge sur mon pubis y crachant ses dernières giclées de sperme... il ramena mes mains dessus pour l'étaler vers mes seins et me remit à genoux devant lui et poussa son membre sur ma bouche.
- Mouille-le chérie, ce sera plus doux. Il m'avait prise par les cheveux en se répétant.
Je me voyais cheminer vers la branlette espagnole que je ne voulais pas encore lui accorder, mais je me prive difficilement de plaisir après en avoir reçu une bonne dose, et j'avoue qu'aujourd'hui je me suis même faite un peu soumise. Et quand il jouit dans ma bouche, j'allais presque tout avaler s'il ne m'avait pas suggéré de faire couler le tout de mon menton à mon pubis. J'y avais même, en parfaite cochonne, ajouté beaucoup de ma salive. Il en récupéra une partie sur mon nombril sur son majeur. En petite pute soumise, je me retourne vers le capot en relevant mon cul pour recevoir son majeur sur ma rondelle, et peu m'importait la suite...
Puis il me porta toute entière comme une boule, jusque dans ma salle de bain. Il me déposa devant ma baignoire pleine d'eau parfumée à la lavande, mais un peu froide.
- c'est dommage, j'avais coulé trop tôt le bain de ma princesse...
Pour se rattraper, il vida la moitié de son contenu pour le remplacer par de l'eau bouillante qu'il laisse couler lentement. Je mets la main pour voir la température de l'eau...
- ma princesse aussi semble refroidie, je vais m'appliquer à la réchauffer
Ainsi penchée, je suis persuadé qu'il va m'enculer, alors que ma préférence du moment serait plutôt une levrette. Je ne dis rien pour ne pas gêner son fantasme.
Il commença par caresser mes fesses, met son doigt dans mon anus alors que je me laisse faire. Quand il estime la baignoire suffisamment pleine, il me demande d'enlever mes talons et de me tenir à la baignoire. En sentant son membre sur ma colonne, je ne m'attends plus à autre chose qu'une enculade et m'en contente. Il prend de l'eau dans sa main et lave un de mes seins dont il fait l'éloge, puis c'est le second qui serait celui d'une belle jeune qui vient de mûrir, qui est juste à point, puis avec un peu plus d'eau il lave entre mes seins et ce serait le meilleur chemin qu'un pénis puisse emprunter dans sa vie, puis c'est mon pubis dont il admire les formes et la douceur, enfin c'est mon anus qui est rincé et embrassé à pleine bouche me faisant trembler comme électrifiée.
Quand je crus qu'il allait me l'enfoncer dans mon cul bien dilaté, je fus ravie de le recevoir tout au fond de ma chatte où il sembla ne savoir que faire et se fixa un moment. Puis me demandant de tenir bon, Raouf me ramona violemment sans répit jusqu'à ce qu'ensembles nous avons explosé.
Raouf me rinça un peu le sexe avant de me poser délicatement dans la baignoire.
Je me relâche dans l'eau tiède et parfumée alors que mon étalon se couvre la taille d'une serviette et disparaît.
Pendant un moment j'ai savouré le bonheur de mon corps et les effets bienfaisant des différents ramonages dans mes conduits à ce rythme bien soutenu, mais plutôt avec la douceur qu'il me faut.
Et petit à petit, alors que mon corps se calme, je commençai à revoir les idées de ma mère, un seul homme dans la vie d'une femme... et un seul conduit accessible… Sur ce plan, je n'avais jamais partagé ses idées, sauf en des instants de telle satisfaction... mais quand je regarde mon sexe bien épile, mes cuisses très soignées, mes seins bien ressortissant et le reste de mon corps, je me dis qu'avec un corps aussi attirant, pourquoi bouder ses plaisirs... J'ai toujours été partagée entre ces deux cultures... Mais des que je revois Raouf, ma culture libérée et libertine prédomine. Il avait ramené deux grands verres de bière et des cigarettes pour moi...
En les quittant, monsieur fait une bise un peu serrée à la femme, et comme pour me venger, je touche volontairement les lèvres du mari avec ma langue comme par accident entre deux bises. Pendant que j'embrassais la femme, je sentis une main sur ma fesse, une main d'homme, et j'ai prolongé par quelques bises. En voiture, je découvre une cuisse bien épilée que mon mari ne caresse pas, il accepte à peine que je touche la sienne, mais dès que je suis plus insistante, c'est son "laissé-moi conduire" habituel qui me ramène à la réalité.
Ne l'ayant pas provoqué avec ma cuisse, je passe au degré supérieur:
connaissant l'effet de mes seins sur lui, je déboutonne progressivement mon chemisier de façon à lui montrer en partie un téton érigé, mais nous étions devant le garage, et quand il klaxonne, je me réarrange vite et monte rapidement pendant qu'il parle au gardien. . .
Quand il me rejoint dans la chambre, je suis assise devant le miroir, passant de la crème sur ma poitrine. Quand je l'entends pénétrer dans la chambre, je relève un sein et me tourne vers lui.
- Si j'étais pas jaloux, je te laisserais toujours comme ça...
- Reste jaloux chéri, répondis-je en me levant, pour lui retirer sa veste. Mais il se déshabilla très vite et me mît sur le lit. Pendant qu'il suce mon téton, je retire ma culotte pour éviter qu'il me froisse la peau avec. Il me pénétra violemment, fit quelques va et viens et éjacula dans ma chatte. Et c'est le moment que je choisis toujours pour simuler ma jouissance en le remerciant.
- J'espère que ça te suffira pour la semaine, chérie... Je vais m'absenter jusqu'à samedi...
- Je vais compter les minutes...
Il prit mon sein dans sa bouche un moment avant de se retourner pour s'endormir en me laissant sur ma faim et mes envies...( jusqu'à son départ).
Le lendemain, je le réveille assez tôt pour un dernier coup avant son absence, ce qu'il a toujours apprécié.
Quand je l'embrasse à l'aéroport, vers onze heures, notre baiser est fougueux, et je fais tout pour attirer quelque attention... Quand il entre dans la salle d'embarquement je lui fais signe que je vais le revoir de la terrasse, et j'y monte....
(c'était mon côté "salope" qui voulait que je commence ma drague devant lui, et à son insu: c'est plus excitant…)
Un jeune homme me suivit discrètement, me rassurant que je l'avais bien dans ma toile… je change de démarche, en me déhanchant un peu plus. Il n'y avait que peu de monde, ce qui l'obligea à se tenir à l'écart en faisant des gestes d'adieu à un voyageur...
- Ils sont partis, me dit-il en soufflant...
- de qui parlez-vous? Vous étiez seul...
- de ton mari et de celui dont la présence m'empêchait de te dire un mot...
- alors?
- Tu es très belle, et j'ai failli te le dire devant ton mari...
- et maintenant vous me tutoyez déjà?
- c'est malgré moi, j'ai l'impression de connaître depuis toujours, me dit-il en me serrant le bras. Tu ne voudrais pas qu'on en parle plus sagement au café?
- pas plus de dix minutes, on m'attend à la maison....
Je ne voulais pas rater ce charmant jeune homme, mais j'avais promis à Raouf que nous allions baiser tout l'après-midi et la soirée des que mon mari serait en voyage. Mais je voulais aussi coucher avec ce charmant Simo comme il se dit. Au café, j'ai accepté son baratin, pas très classique, je l'avoue, avant lui promettre une rencontre en cours de semaine, et que je lui dirais lundi soir.
Il en arriva à prendre mes mains dans les siennes et y déposa une bise, je les retire, et pour le rassurer je précise:
- on ne m'a jamais fait ça, je pense déjà à lundi soir... J'espère que tu me répondras toi-même...
Il me suit sur la terrasse et me demande de lui faire la bise, et comme elle était déserté, je me laisse même embrasser sur les lèvres comme une enfant, sans desserrer les dents...
Mais je suis pressée de rentrer chez moi où mon ange gardien m'attend.
Au volant de la voiture, une seule idée m'obsédait: jouir avec Raouf, plusieurs fois, toute l'après-midi, la soirée et la nuit... Il doit être plus en manque que moi... Nous n'avons que très peu de contacts ces derniers temps, quand mon mari est là... La journée, la bonne est là, et je ne peux pas lui rendre visite, le soir mon mari est là, ou nous sommes dehors ensembles... Et comme il ne sait quand nous rentrons, il ne peut prendre le risque de perdre sa place... Et sa maîtresse... je parle de moi. Raouf était un copain du lycée que j'avais perdu de vue et dont la vie avait un peu mal tourné, mais dont le corps est resté à mon goût. Quand je l'ai rencontré, il était au chômage, et quand la place de gardien fut libre, je lui ai fait signe de proposer ses services à mon mari, sans lui dire qu'il me connaissait. Nous venions de baiser un bon moment dans une piaule de célibat pour la 5 ou 6eme fois le jour où je lui ai fait part de mon projet... Et ce n'est que lors du premier voyage de mon mari qu'il avait osé me demander de le laisser m'enculer. J'avais d'abord été catégorique pour refuser, puis j'ai toléré un doigt lors d'un cunni, puis il avait cru me convaincre à force de jouissances successives. La fois suivante, il m'avait obligée à le sucer jusqu'à éjaculation, mais j'ai refusé d'avaler sous prétexte que je n'aimais pas ce goût... Je sais que plus j'en accepte, plus il en demande... Mais tant que c'est à force de jouissances que je lui cède ce que d'autres ont eu pour moins, je suis gagnante au change...
Aujourd'hui, en rentrant, je le trouve devant la porte extérieure du garage qu'il ouvre des mon arrivée, et qu'il referme des que le suis entrée. Puis je me retrouve dans le noir quand il referme la porte intérieure.
C'est toujours lui qui se précipite pour ouvrir ma portière, rapidement je me jette dans ses bras, et c'est un baiser très fougueux qu'il met à profit pour porter ma jupe vers le haut pour laisser descendre la culotte que je portais ce jour-la. Ma robe alla sur la voiture, puis mon soutien gorge... Il se baissa pour faire passer ma culotte sur le sol. Il me reprend dans un baiser qu'il prolonge en écartant mes fesses avec vigueur tout en jouant avec sa langue dans ma bouche. Alors que je le serre contre moi, je ressens son majeur qui pénètre mon petit trou et son pouce presser mon clitoris. Il me posa le dos sur le capot encore chaud, écarta mes jambes, et suça mon jus encore peu abondant... Il me souleva un peu, remit son majeur dans mon petit trou, puis avale mon clitoris qu'il suce très fort. Il avait trouvé une concordance entre le mouvement de son doigt dans mon anus, et la force de sa succion... Si bien que j'en jouis assez vite. Je fonds en foutre et en larmes, beaucoup de foutre et peu de larmes...
( Tout ce qu'il me fait m'est déjà arrivé, mais sur le capot, c'est la première fois, il le répétera d'ailleurs)
Puis il me met à genoux sur le capot et me demande de le sucer. Je dus donc dégrafer son jean d'une main et me baisser comme une chienne pour prendre son sexe en bouche, alors que son majeur retourna dans mon gouffre qu'il semblait avoir fait sien. Par une sorte d'accord tacite, nous avons rythmé nos mouvements et tout se passa comme si mon corps était limé par un fil qui relierait son majeur à son sexe en passant dans tout mon corps, et je jouis bien abondamment avant qu'il ne me suive en éjaculant dans ma bouche puis sur le capot...
Quand je me replis sur le capot, il me caresse les hanches en me disant:
- Fatiguée, ma biche?
- Heureuse chéri, tu m'as tellement manqué...
- j'ai encore envie de toi, ma chérie...
- moi aussi, ouiiii
- je te veux debout
- oui mon amour, répondis-je en me mettant debout malgré ma fatigue.
Je commence par lui retirer sa chemise pour me lover contre son torse. Quand il m'étend par l'arrière de la cuisse et la relève, je suis si écartée que son sexe me pénètre comme du beurre. Au fond de moi, il s'arrête un moment et relève mon autre jambe que je tourne autour de sa taille en m'accrochant à son cou. Il me laboure un moment, ressort son sexe, s'arrête un moment et reprend ses secousses... Je jouissais déjà à grands jets alors qu'il avait continué avec ses arrêts prolongateurs... Mais après le cinquième, ses secousses sont plus rapides, et je le sens se crisper puis m'envahit d'un premier jet bien chaud, et me déposant à nouveau sur le capot de la voiture, laisse glisser sa verge sur mon pubis y crachant ses dernières giclées de sperme... il ramena mes mains dessus pour l'étaler vers mes seins et me remit à genoux devant lui et poussa son membre sur ma bouche.
- Mouille-le chérie, ce sera plus doux. Il m'avait prise par les cheveux en se répétant.
Je me voyais cheminer vers la branlette espagnole que je ne voulais pas encore lui accorder, mais je me prive difficilement de plaisir après en avoir reçu une bonne dose, et j'avoue qu'aujourd'hui je me suis même faite un peu soumise. Et quand il jouit dans ma bouche, j'allais presque tout avaler s'il ne m'avait pas suggéré de faire couler le tout de mon menton à mon pubis. J'y avais même, en parfaite cochonne, ajouté beaucoup de ma salive. Il en récupéra une partie sur mon nombril sur son majeur. En petite pute soumise, je me retourne vers le capot en relevant mon cul pour recevoir son majeur sur ma rondelle, et peu m'importait la suite...
Puis il me porta toute entière comme une boule, jusque dans ma salle de bain. Il me déposa devant ma baignoire pleine d'eau parfumée à la lavande, mais un peu froide.
- c'est dommage, j'avais coulé trop tôt le bain de ma princesse...
Pour se rattraper, il vida la moitié de son contenu pour le remplacer par de l'eau bouillante qu'il laisse couler lentement. Je mets la main pour voir la température de l'eau...
- ma princesse aussi semble refroidie, je vais m'appliquer à la réchauffer
Ainsi penchée, je suis persuadé qu'il va m'enculer, alors que ma préférence du moment serait plutôt une levrette. Je ne dis rien pour ne pas gêner son fantasme.
Il commença par caresser mes fesses, met son doigt dans mon anus alors que je me laisse faire. Quand il estime la baignoire suffisamment pleine, il me demande d'enlever mes talons et de me tenir à la baignoire. En sentant son membre sur ma colonne, je ne m'attends plus à autre chose qu'une enculade et m'en contente. Il prend de l'eau dans sa main et lave un de mes seins dont il fait l'éloge, puis c'est le second qui serait celui d'une belle jeune qui vient de mûrir, qui est juste à point, puis avec un peu plus d'eau il lave entre mes seins et ce serait le meilleur chemin qu'un pénis puisse emprunter dans sa vie, puis c'est mon pubis dont il admire les formes et la douceur, enfin c'est mon anus qui est rincé et embrassé à pleine bouche me faisant trembler comme électrifiée.
Quand je crus qu'il allait me l'enfoncer dans mon cul bien dilaté, je fus ravie de le recevoir tout au fond de ma chatte où il sembla ne savoir que faire et se fixa un moment. Puis me demandant de tenir bon, Raouf me ramona violemment sans répit jusqu'à ce qu'ensembles nous avons explosé.
Raouf me rinça un peu le sexe avant de me poser délicatement dans la baignoire.
Je me relâche dans l'eau tiède et parfumée alors que mon étalon se couvre la taille d'une serviette et disparaît.
Pendant un moment j'ai savouré le bonheur de mon corps et les effets bienfaisant des différents ramonages dans mes conduits à ce rythme bien soutenu, mais plutôt avec la douceur qu'il me faut.
Et petit à petit, alors que mon corps se calme, je commençai à revoir les idées de ma mère, un seul homme dans la vie d'une femme... et un seul conduit accessible… Sur ce plan, je n'avais jamais partagé ses idées, sauf en des instants de telle satisfaction... mais quand je regarde mon sexe bien épile, mes cuisses très soignées, mes seins bien ressortissant et le reste de mon corps, je me dis qu'avec un corps aussi attirant, pourquoi bouder ses plaisirs... J'ai toujours été partagée entre ces deux cultures... Mais des que je revois Raouf, ma culture libérée et libertine prédomine. Il avait ramené deux grands verres de bière et des cigarettes pour moi...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Pute-bourgoise
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je confirme que les marrakchis envoient assez haut; mais dans cette ville, je n'ai jamais su si mes amants étaient les plus forts, ou si leur nombre y était pour beaucoup...
Raoul le gardien est surement un sud marrakchi (sud marocain), ils nikent si bien.