Un amant à la maison (suite2)
Récit érotique écrit par Pute-bourgoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un amant à la maison (suite2)
Adil m'avait dit qu'il était célibataire et en le rencontrant ce jour-la, j'ai découvert le jeune bon vivant qui vit son temps et ses plaisirs.
Pour la première rencontre, il avait prévu tout un montage. Il commença par m'offrir un petit bouquet de roses dont il tira la seule rouge qu'il planta délicatement dans mes cheveux au dessus de mon oreille gauche. J'étais encore sous l'émotion, quand il caressa mon oreille gauche, et quand il m'embrassa sans gêner, je me surpris à suivre assez vite, mais à un moment, je réussis à me reprendre:
- mais que fais-tu comme ça, pour quel genre de femme me prends-tu?
- une très belle femme que j'admire, que je désire très fort (il me montre son érection) et qui partage mon désir (il touche ma culotte et un de mes tétons), et je sais que, comme moi tu ne vas pas bouder ton plaisir.
- mais comme discrétion, je ne vois pas...
- si si, toi et moi nous voyons les passants, eux voient une voiture...
- ah, ça me rassure
- tu peux sortir et vérifier...
- non, je suis rassurée
- alors retiré ta culotte, elle va mouiller...
Il se presse de me déboutonner ma chemise et je lui en fais de même, il retire ma jupe alors que je l'aide en me déhanchant, avant de descendre son pantalon.
Je sens mon dossier pivoter vers l'arrière alors que mes deux seins sont prisonniers dans les mains caressantes d'Adil.
À mes premiers gémissements, il chuchota dans mon oreille en la mordillant:
- je suggèrerais à ma belle de commencer par une levrette, voudrait-elle avoir l'obligeance de se positionner en conséquence?
- mais c'est un viol cher monsieur, vous êtes entrain de me prendre par la force de vos paroles, comment vous résister? lui répondis-je en me préparant pour recevoir ce pieu que j'avais à peine entrevu...
En le recevant, je fus étonnée de recevoir si doucement l'un des plus durs des pieux que j'ai connus...
Il avait repris mes seins comme pour les soupeser et sans les comprimer, et quand il me lima la chatte doucement, je jouis déjà une première fois en gémissant, puis une deuxième en criant... Il s'arrêta alors et me dit:
- je vais te calmer un peu, tu vas voir... J'ai une grande tétine pour femme adultes, qu'en penses-tu?
- mmmmm, plus que respectable, mais ne me force pas à tout couvrir...
- mais tu vas tout avaler, ok?
Il me laissa essayer de sucer le gland en masturbant la racine de ce beau sexe, mais j'avais l'impression de ne pas faire le poids et lui dis:
- si les princes accordent les grâces, je me permets de solliciter du mien une deuxième chance...
- cette chance vous est accordée en hommage à vos efforts belle madame, mais un échec vous coûterait l'alourdissement du châtiment...
- un châtiment de vous seigneur sera toujours mérité, je ne vais pas faire de vacarme, reprenez moi comme une chienne...
Sa deuxième pénétration est plus brutale, plus sèche et il éjacule alors que je n'ai joui qu'une fois...
- serait-ce maintenant un excès d'audace de vous inviter, princesse, à partager mon repas et mon bain...
- vous me faites trop d'honneur seigneur, en présentant vos ordres comme de simples désirs, je suis toute à vous...
Il passa devant chez moi, et c'est à peine s'il ne fait pas attention à mon réflexe en oubliant que ses vitres sont fumées.
Pour entrer chez lui, je ramasse mes fringues sans les porter et le suis sans rien dire, il m'invite dans un grand salon et me prend dans ses bras, dans un baiser d'amour qui n'a d'objectif pour chacun de nous que celui de remettre l'autre en état d'excitation extrême. C'est d'abord un jeu de langues externe, puis une série de légères succions mêlées de caresses et je ses entre nous son pilier que je fais passer entre mes cuisses en m'élevant. Je caresse mon pubis contre le sien et ce jeu semble lui plaire... Il recule un peu son torse et passant ses mains sous mes aisselles soupèse mes seins avec ses pouces. Mes tétons contre son torse témoignent bien de mon état qu'il semble vouloir prolonger... Je commençais à gémir avec insistance en écartant mes jambes et je sentis enfin son beau phallus dans ma chatte.
Il me prit par les cuisses et avança vers une porte que je croyais celle de sa chambre à coucher. J'avais déjà joui discrètement alors que son membre qui avait un peu bougé en moi était encore dur. C'est quand il tourna que je compris que nous étions dans sa salle de bain. Il me plaqua contre la porte et me pilonna violemment un long moment, me faisant jouir encore deux fois avant de m'envoyer son jus dans mon conduit.
Je tombais à genoux devant lui, repris son sexe en bouche pour réessayer ce que j'avais raté en voiture. Il me laissa me débrouiller pendant cinq minutes ou plus, puis se saisit d'un flacon dont il asperge mes seins en disant:
- tu peux faire comme tu veux, j'accepte...
- mais, montre moi, dis-moi si c'est pas ça stp
...
Il m'arrosa toute entière de sperme et me dit que je me débrouille bien, je lui dis que je n'ai jamais fait, mais que j'ai apprécié...
- tu referais?
- maintenant?
- avec ton mari, par exemple?
- non, c'est pour toi, entre nous, ok (pour ne pas parler de la soirée qui vient)°
Lors du repas, je lui explique que mon mari et moi avons des relations très classiques et des fois frustrantes, mais que je l'aime même s'il m'est arrivé de le tromper quelques fois...
Lui aussi est marié, mais sa femme est plus âgée que lui, et tout excès serait considéré comme manque de respect... Il n'a jamais pu la prendre en levrette et ne songe même pas à plus... Elle aurait pleuré après un cunnilingus... Bizarre, mais je n'allais pas enquêter...
Après le repas, il me laisse choisir "le dessert", et je commande un 69.
Pour la première rencontre, il avait prévu tout un montage. Il commença par m'offrir un petit bouquet de roses dont il tira la seule rouge qu'il planta délicatement dans mes cheveux au dessus de mon oreille gauche. J'étais encore sous l'émotion, quand il caressa mon oreille gauche, et quand il m'embrassa sans gêner, je me surpris à suivre assez vite, mais à un moment, je réussis à me reprendre:
- mais que fais-tu comme ça, pour quel genre de femme me prends-tu?
- une très belle femme que j'admire, que je désire très fort (il me montre son érection) et qui partage mon désir (il touche ma culotte et un de mes tétons), et je sais que, comme moi tu ne vas pas bouder ton plaisir.
- mais comme discrétion, je ne vois pas...
- si si, toi et moi nous voyons les passants, eux voient une voiture...
- ah, ça me rassure
- tu peux sortir et vérifier...
- non, je suis rassurée
- alors retiré ta culotte, elle va mouiller...
Il se presse de me déboutonner ma chemise et je lui en fais de même, il retire ma jupe alors que je l'aide en me déhanchant, avant de descendre son pantalon.
Je sens mon dossier pivoter vers l'arrière alors que mes deux seins sont prisonniers dans les mains caressantes d'Adil.
À mes premiers gémissements, il chuchota dans mon oreille en la mordillant:
- je suggèrerais à ma belle de commencer par une levrette, voudrait-elle avoir l'obligeance de se positionner en conséquence?
- mais c'est un viol cher monsieur, vous êtes entrain de me prendre par la force de vos paroles, comment vous résister? lui répondis-je en me préparant pour recevoir ce pieu que j'avais à peine entrevu...
En le recevant, je fus étonnée de recevoir si doucement l'un des plus durs des pieux que j'ai connus...
Il avait repris mes seins comme pour les soupeser et sans les comprimer, et quand il me lima la chatte doucement, je jouis déjà une première fois en gémissant, puis une deuxième en criant... Il s'arrêta alors et me dit:
- je vais te calmer un peu, tu vas voir... J'ai une grande tétine pour femme adultes, qu'en penses-tu?
- mmmmm, plus que respectable, mais ne me force pas à tout couvrir...
- mais tu vas tout avaler, ok?
Il me laissa essayer de sucer le gland en masturbant la racine de ce beau sexe, mais j'avais l'impression de ne pas faire le poids et lui dis:
- si les princes accordent les grâces, je me permets de solliciter du mien une deuxième chance...
- cette chance vous est accordée en hommage à vos efforts belle madame, mais un échec vous coûterait l'alourdissement du châtiment...
- un châtiment de vous seigneur sera toujours mérité, je ne vais pas faire de vacarme, reprenez moi comme une chienne...
Sa deuxième pénétration est plus brutale, plus sèche et il éjacule alors que je n'ai joui qu'une fois...
- serait-ce maintenant un excès d'audace de vous inviter, princesse, à partager mon repas et mon bain...
- vous me faites trop d'honneur seigneur, en présentant vos ordres comme de simples désirs, je suis toute à vous...
Il passa devant chez moi, et c'est à peine s'il ne fait pas attention à mon réflexe en oubliant que ses vitres sont fumées.
Pour entrer chez lui, je ramasse mes fringues sans les porter et le suis sans rien dire, il m'invite dans un grand salon et me prend dans ses bras, dans un baiser d'amour qui n'a d'objectif pour chacun de nous que celui de remettre l'autre en état d'excitation extrême. C'est d'abord un jeu de langues externe, puis une série de légères succions mêlées de caresses et je ses entre nous son pilier que je fais passer entre mes cuisses en m'élevant. Je caresse mon pubis contre le sien et ce jeu semble lui plaire... Il recule un peu son torse et passant ses mains sous mes aisselles soupèse mes seins avec ses pouces. Mes tétons contre son torse témoignent bien de mon état qu'il semble vouloir prolonger... Je commençais à gémir avec insistance en écartant mes jambes et je sentis enfin son beau phallus dans ma chatte.
Il me prit par les cuisses et avança vers une porte que je croyais celle de sa chambre à coucher. J'avais déjà joui discrètement alors que son membre qui avait un peu bougé en moi était encore dur. C'est quand il tourna que je compris que nous étions dans sa salle de bain. Il me plaqua contre la porte et me pilonna violemment un long moment, me faisant jouir encore deux fois avant de m'envoyer son jus dans mon conduit.
Je tombais à genoux devant lui, repris son sexe en bouche pour réessayer ce que j'avais raté en voiture. Il me laissa me débrouiller pendant cinq minutes ou plus, puis se saisit d'un flacon dont il asperge mes seins en disant:
- tu peux faire comme tu veux, j'accepte...
- mais, montre moi, dis-moi si c'est pas ça stp
...
Il m'arrosa toute entière de sperme et me dit que je me débrouille bien, je lui dis que je n'ai jamais fait, mais que j'ai apprécié...
- tu referais?
- maintenant?
- avec ton mari, par exemple?
- non, c'est pour toi, entre nous, ok (pour ne pas parler de la soirée qui vient)°
Lors du repas, je lui explique que mon mari et moi avons des relations très classiques et des fois frustrantes, mais que je l'aime même s'il m'est arrivé de le tromper quelques fois...
Lui aussi est marié, mais sa femme est plus âgée que lui, et tout excès serait considéré comme manque de respect... Il n'a jamais pu la prendre en levrette et ne songe même pas à plus... Elle aurait pleuré après un cunnilingus... Bizarre, mais je n'allais pas enquêter...
Après le repas, il me laisse choisir "le dessert", et je commande un 69.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
hello tes récits sont tres exitants tu lesa tous vécu au maroc ? ummm bazoulaaa
j'aime, continuez