Un ami de trente ans
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un ami de trente ans
Je me réveille en sursaut, il fait nuit, j’ai un peu mal à la tête, et j’ai la gorge sèche. Je passe la main sur l’autre côté du lit, il n y’a personne, ma femme doit être aux toilettes.
Doucement je reprends mes esprits. Nous sommes arrivés hier chez un amis qui habite vers Orange.
c’est un ami de plus de 30 ans, il s’appelle Claude, il est veuf.
Il a 75 ans, c’est encore un bel homme, 1,80 , mince, les cheveux blancs.
Nous nous arrêtons à chaque fois que nous que nous passons près de chez lui.
Je me lève, direction la cuisine, un verre d’eau me fera le plus grand bien. Je marche sans lumière, dans le couloir, ou le carrelage frais me fait du bien. Il faut dire que nous sommes fin juin et que la température est déjà très élevée.
En passant vers la salle à manger, dont les portes fenêtre donnent, sur la terrasse et la piscine, il me semble entendre des chuchotements. Je m’approche doucement, mon ouïe ne m’avait pas trompé, ma femme et Claude sont face à face entrain de discuter.
Je vois mal, et surtout j’entends mal. Je me rapproche encore. Je suis à 2 mètres du couple. j’entends tout et je vois tout, à travers une fente dans un volet, que nous avions poussé la veille au soir, pour nous protéger du soleil.
En regardant bien, ils me semblent très près l’un de l’autre, à peine 20 cm. Je vois aussi que Claude lui caresse doucement le bras .
j’entends :
Elle : je t’ai dit que je ne le ferai plus
Lui : oui mais tu es si belle, si bonne, et je suis certain que tu en as envie
Elle : pas du tout, et puis il y a Alain juste à côté
Lui : avec ce qu’il à picolé hier soir, il n’entendrait pas la maison s’écrouler. Touche dans quel état tu me mets.
Il lui prend la main, et la pause sur son sexe à travers son boxer. Elle ne retire pas sa main, mais malaxe délicatement en le regardant droit dans les yeux.
Elle (avec un léger sourire en lâchant sa prise) : et pourquoi ça me ferait quelque chose ?
Lui : parce que tu aimes le sexe, surtout le mien
Elle : prétentieux
Lui : tu as les tétons qui pointent, ne me dis que c’est le froid.
Mon regard se porte sur ma femme, je n’avais pas fait attention, mais elle porte une simple nuisette très très courte, en soie, tenue par 2 bretelles. Cette tenue met en valeur ses seins et ses fesses. Et c’est moi qui lui ait acheté.
Elle semble hésiter, puis très lentement, elle s’assied sur le bout d’un transat, tout en regardant Claude dans les yeux. Une fois assise, toujours les yeux dans les yeux, elle passe ses mains sur ses fesses, empoigne l’élastique du slip et le fait glisser le long des cuisses jusqu’aux pieds. Ses mains remontent en caressant les mollets, les cuisses.
Le sexe qui est apparu est de belle taille, il est juste à la hauteur du visage de ma femme, qui le prend entre ses lèvres. Je le vois s’enfoncer, jusqu’à la garde. Ils ne bougent plus.
Il sourit, passe ses deux main derrière la nuque de la pipeuse, et commence de légers va et vient. Il se sert de sa bouche comme d’une chatte.
Sa main droite à quitter les fesses, elle empoigne la bite bien raide, et tout en la branlant, sa langue passe et repasse sur le gland, comme si elle dégustait une glace
Lui : (entre deux soupir) tu es toujours une aussi bonne suceuse , à ce rythme là, je vais bientôt jouir.
Et il s’enfonce de nouveau en gorge profonde. Il lui maintien la tête à deux mains. Elle a un haut le coeur, elle se débat, réussit a se dégager. Des larmes coulent sur ses joues, de la salive coule sur son menton
Elle : ne refait plus ça ou j’arrête,
lui : promis
Puis sans attendre il lui remet sa queue dans la bouche. Elle s’applique, les lèvres bien arrondies autour du pénis, je vois sa tête monter et descendre , avec régularité.
Lui : accélère chérie, je sens que ça vient, ne t’arrête surtout pas, je vais jouir
je vois le mouvement s’accélérer.
Elle change de main. Sa main droite le branle, à la vitesse de la tête, pendant que sa main gauche se pose sur son sexe. Elle se masturbe,
il gémit et souffle de plus en plus fort.
Elle ralentit, elle lèche le gland avec gourmandise, en se caressant.
Puis de nouveau, elle le prend en bouche, sa tête monte et descend de plus ne plus vite.
Avec sa main droite elle se masturbe de plus en plus fort.
Il lui prend la tête à deux mains, je le vois se tendre comme un arc, il soupir fort, puis il se détend d’un seul coup, il éjacule dans la bouche de ma femme, qui vient de s’enfoncer 2 doigts dans la chatte .
Elle gémit, lui fini de se vider. Elle aspire les dernières gouttes, et le nettoie avec sa langue. Il lui caresse délicatement les cheveux.
Elle : Tu es content ? Tu as eu ce que tu voulais ? En plus tu avais les couilles pleines.
Lui (souriant) très bon, tu es toujours aussi bonne.
Il lui prend les mains, la fait mettre debout. Ils sont face à face, ils se touchent presque, ils se regardent. Il la prend dans ses bras. Leurs lèvres s’effleurent. Ses mains descendent sur les fesses de sa maîtresse, un doigt longe le sillon. Ses mains passent dans le dos, empoignent la nuisette et la font passer par dessus tête.
Elle : que fais tu ?
Lui : j’en ai pas encore fini avec toi. j’ai les couilles encore bien pleines, et j’ai pris une pilule bleue pour être en forme.
Elle : il n’en est pas question , je retourne me coucher.
Elle essaie de le contourner, mais il résiste, elle le pousse avec ses mains. Il lui prend les poignets, lui passe les mains dans le dos.
Leurs corps nus sont collés. Leurs visages se touchent presque, Durant quelques secondes, ils ne bougent pas, ils se fixent en silence,
Puis lentement il renverse sa maîtresse sur le transat derrière elle.
Docilement elle s’allonge écarte les cuisses, lui tends les bras qu’il a lâché,
Quand il se rapproche, je ne peux regarder que son dard tendu, qui s’enfonce avec lenteur dans le ventre de ma femme qui soupir d’aise. Ils se fixent quelques instant sans bouger, l’un dans l’autre .
Elle (avec un léger sourire) salaud
Puis elle le serre dans ses bras, leurs bouches se soudent, et il commence à la baiser.
Sans sortir son sexe de l’écrin chaud et humide, il fait de légers mouvements du bassin. Son pubis frotte en douceur le clitoris de sa partenaire.
Elle gémit . Puis dans un râle étouffé par leurs baisers, elle jouit, en resserrant ses jambes autour de Claude.
De nouveau ils se fixent, ils se sourient.
Lui : ça va ? Tu as encore jouit ?
Elle : oui ça va et oui j’ai encore jouit. Et toi non ? Donc tu as encore envie ?
Lui (se retirant) : oui, mets toi à quatre patte, je vais te baiser en matant ton petit
cul de salope.
Elle (en s’exécutant) : tu pourrais être poli
Une fois en position, elle se cambre, elle s’offre à cet homme, pour qu’il jouisse dans son ventre.
Il la regarde sans bouger
Elle : alors qu’attends tu ?
Lui (en lui donnant un claque sur les fesses) je matte ton cul de salope.
Elle : aiiieee, tu me fais mal.
Lui : dis moi que tu as envie de ma queue
Elle (soupirant) : j’ai envie de ta queue
Lui : mieux que ça
Elle (en gémissant): s’il te plaît Claude, baises moi. Je veux sentir ta grosse bite dans ma chatte en feu.
Il l’a prend par les hanches, l’a pénètre d’un violent coup de reins et sans ménagement, se met à la limer très fort.
Ils ne font plus attention aux bruits qui risqueraient de me réveiller.
Ses gémissements ressemblent à des plaintes. Lui, le souffle court grogne.
Je le vois grimacer, il retient son plaisir.
Il va de plus ne plus fort, de plus en plus profond.
Elle (en passant sa main pour se caresser) ouiiiiii vas y mon chéri jouit en moi. Je vais jouiiiiiiiiiir, oui oui oui ; Envoie ton jus dans ma chatte de salope.
D’un seul coup son orgasme arrive
Dans les secondes qui suivent.
Lui (en jouissant) : oooooooooooooooohhhhhh, que sa fait du bien de jouiiiiiiir. j’adore t’entendre gémir quand je me répand dans ta chatte de salope. Hhhhaaaaaaa,
Et je vois le couple s’affaler sur le transat et rester là, à reprendre leurs esprits.
Après une minute environ
Lui (se relevant) : merci ma jolie, ce fut très agréable. Tu es toujours aussi bonne.
Elle (se relevant et cherchant de quoi s’essuyer) : tu n’es pas mauvais non plus. Bon maintenant au lit. J’espère que nous n’avons pas réveillé mon mari.
Lui (en lui faisant un bisou et en lui mettant une légère tape sur les fesses) Nous avons même réveillé tout le quartier coquine.
Le sexe tendu jusqu’à la douleur, je retourne précipitamment me coucher. Le dos tourné à la place de Cathy, j’attends.
La porte s’ouvre, je la sens se coucher, elle me tourne le dos. Je roule sur moi même, je viens me coller contre elle, mon bras gauche passant pardessus son corps, je lui caresse un sein.
Moi : Ou étais tu ?
Cathy : aux toilettes, puis comme j’avais chaud au bord de la piscine.
Moi (avec la main un peu plus baladeuse) : tu étais nue au bord de la piscine ? Tu n’as pas eu peur de tomber sur Claude ?
Cathy : je n’y ai même pas pensé. Tu parle à son age ils dort la nuit,
Puis se tournant vers moi
Cathy : si ont dormait maintenant ?
Moi (en collant contre elle) : tu t’es masturbée au bord de l’eau ?
Et je glisse une main sur son sexe, et introduit 2 doigts dans son vagin, que je trouve, très humide .
Cathy (soupirant, et ne pouvant pas cacher son état) : oui je me suis caresser en pensant à toi.
Moi (en pensant, que c’était une sacrée garce) : eh ! Bien maintenant que je suis là, tu vas pouvoir profiter de moi.
Et sans attendre, je là renverse sur le dos, glisse mes jambes entre ses cuisses, et présente mon sexe l’entrée de sa chatte toute gluante.
Avant qu’elle ne proteste, je là pénètre avec force
Cathy (me regardant fixement) :surtout ne me demande pas mon avis, viole moi.
Moi : tu n’exagères pas un peu ? Vu comme tu es chaude tu as du avoir des pensées drôlement coquines ? Tu peux me raconter ?
Cathy je ne vais rien te dire du tout. Je ne vais pas bouger, tu vas avoir l’impression de te taper une poupée gonflable.
Moi(en recommençant à la limer lentement) je vais te baiser en te racontant ton fantasme.
Cathy : fais vite parce que j’ai sommeil.
Moi : ton fantasme, te faire baiser au bord de la piscine par Claude.
Cathy : ça na va pas, il pourrait être mon père
Moi (en prenant un rythme régulier):donc dans ton envie, tu es au bord de la piscine, il arrive derrière toi, te prend les seins dans ses mains, t’embrasse dans le cou. Tu savoures. Il fait passer ta nuisette par dessus ta tête, se colle contre toi. Tu sens sa grosse bite tendue contre tes reins. Tu veux te retourner, mais il te pousse vers un transat. Tu te mets à 4 pattes et il te baise en levrette. Lentement, doucement longtemps Et tu mouille très fort, et tu jouis très fort.
j’ouvre les yeux que j’avais fermé, pour raconter mon récit. Je vois Cathy, les yeux fermés, se mordant les lèvres pour ne pas gémir.
Moi (arrêtant mes coups de reins) je croyais que tu ne devais pas avoir de réaction ?
Cathy : continue c’est trop bon.
Pris d’une envie soudaine, je me retire. Je prends ses chevilles dans mes mains, et lui remonte les genoux sur la poitrine. Dans cette position elle m’offre son cul.
Cathy (surprise) tu fais quoi ?
Moi : je vais baiser ton cul de salope.
Et j’appuie mon pénis sur sa rosette, Mon gland rentre comme dans du beurre.
Moi : tu avais dû, tellement mouiller en te masturbant, que ta mouille avait lubrifié ton petit cul de salope.
Je suis tellement excité, qu’en à peine 10 allées retour, je jouis dans ses reins.
Je reprends mon souffle, m’allonge à côté d’elle, et lui prends la main.
Moi : ça va ?
Cathy oui très bien, j’ai bien aimé. Mais pourquoi vous dites tous que j’ai un cul de salope ?
Moi : mais qui c’est VOUS ?
Doucement je reprends mes esprits. Nous sommes arrivés hier chez un amis qui habite vers Orange.
c’est un ami de plus de 30 ans, il s’appelle Claude, il est veuf.
Il a 75 ans, c’est encore un bel homme, 1,80 , mince, les cheveux blancs.
Nous nous arrêtons à chaque fois que nous que nous passons près de chez lui.
Je me lève, direction la cuisine, un verre d’eau me fera le plus grand bien. Je marche sans lumière, dans le couloir, ou le carrelage frais me fait du bien. Il faut dire que nous sommes fin juin et que la température est déjà très élevée.
En passant vers la salle à manger, dont les portes fenêtre donnent, sur la terrasse et la piscine, il me semble entendre des chuchotements. Je m’approche doucement, mon ouïe ne m’avait pas trompé, ma femme et Claude sont face à face entrain de discuter.
Je vois mal, et surtout j’entends mal. Je me rapproche encore. Je suis à 2 mètres du couple. j’entends tout et je vois tout, à travers une fente dans un volet, que nous avions poussé la veille au soir, pour nous protéger du soleil.
En regardant bien, ils me semblent très près l’un de l’autre, à peine 20 cm. Je vois aussi que Claude lui caresse doucement le bras .
j’entends :
Elle : je t’ai dit que je ne le ferai plus
Lui : oui mais tu es si belle, si bonne, et je suis certain que tu en as envie
Elle : pas du tout, et puis il y a Alain juste à côté
Lui : avec ce qu’il à picolé hier soir, il n’entendrait pas la maison s’écrouler. Touche dans quel état tu me mets.
Il lui prend la main, et la pause sur son sexe à travers son boxer. Elle ne retire pas sa main, mais malaxe délicatement en le regardant droit dans les yeux.
Elle (avec un léger sourire en lâchant sa prise) : et pourquoi ça me ferait quelque chose ?
Lui : parce que tu aimes le sexe, surtout le mien
Elle : prétentieux
Lui : tu as les tétons qui pointent, ne me dis que c’est le froid.
Mon regard se porte sur ma femme, je n’avais pas fait attention, mais elle porte une simple nuisette très très courte, en soie, tenue par 2 bretelles. Cette tenue met en valeur ses seins et ses fesses. Et c’est moi qui lui ait acheté.
Elle semble hésiter, puis très lentement, elle s’assied sur le bout d’un transat, tout en regardant Claude dans les yeux. Une fois assise, toujours les yeux dans les yeux, elle passe ses mains sur ses fesses, empoigne l’élastique du slip et le fait glisser le long des cuisses jusqu’aux pieds. Ses mains remontent en caressant les mollets, les cuisses.
Le sexe qui est apparu est de belle taille, il est juste à la hauteur du visage de ma femme, qui le prend entre ses lèvres. Je le vois s’enfoncer, jusqu’à la garde. Ils ne bougent plus.
Il sourit, passe ses deux main derrière la nuque de la pipeuse, et commence de légers va et vient. Il se sert de sa bouche comme d’une chatte.
Sa main droite à quitter les fesses, elle empoigne la bite bien raide, et tout en la branlant, sa langue passe et repasse sur le gland, comme si elle dégustait une glace
Lui : (entre deux soupir) tu es toujours une aussi bonne suceuse , à ce rythme là, je vais bientôt jouir.
Et il s’enfonce de nouveau en gorge profonde. Il lui maintien la tête à deux mains. Elle a un haut le coeur, elle se débat, réussit a se dégager. Des larmes coulent sur ses joues, de la salive coule sur son menton
Elle : ne refait plus ça ou j’arrête,
lui : promis
Puis sans attendre il lui remet sa queue dans la bouche. Elle s’applique, les lèvres bien arrondies autour du pénis, je vois sa tête monter et descendre , avec régularité.
Lui : accélère chérie, je sens que ça vient, ne t’arrête surtout pas, je vais jouir
je vois le mouvement s’accélérer.
Elle change de main. Sa main droite le branle, à la vitesse de la tête, pendant que sa main gauche se pose sur son sexe. Elle se masturbe,
il gémit et souffle de plus en plus fort.
Elle ralentit, elle lèche le gland avec gourmandise, en se caressant.
Puis de nouveau, elle le prend en bouche, sa tête monte et descend de plus ne plus vite.
Avec sa main droite elle se masturbe de plus en plus fort.
Il lui prend la tête à deux mains, je le vois se tendre comme un arc, il soupir fort, puis il se détend d’un seul coup, il éjacule dans la bouche de ma femme, qui vient de s’enfoncer 2 doigts dans la chatte .
Elle gémit, lui fini de se vider. Elle aspire les dernières gouttes, et le nettoie avec sa langue. Il lui caresse délicatement les cheveux.
Elle : Tu es content ? Tu as eu ce que tu voulais ? En plus tu avais les couilles pleines.
Lui (souriant) très bon, tu es toujours aussi bonne.
Il lui prend les mains, la fait mettre debout. Ils sont face à face, ils se touchent presque, ils se regardent. Il la prend dans ses bras. Leurs lèvres s’effleurent. Ses mains descendent sur les fesses de sa maîtresse, un doigt longe le sillon. Ses mains passent dans le dos, empoignent la nuisette et la font passer par dessus tête.
Elle : que fais tu ?
Lui : j’en ai pas encore fini avec toi. j’ai les couilles encore bien pleines, et j’ai pris une pilule bleue pour être en forme.
Elle : il n’en est pas question , je retourne me coucher.
Elle essaie de le contourner, mais il résiste, elle le pousse avec ses mains. Il lui prend les poignets, lui passe les mains dans le dos.
Leurs corps nus sont collés. Leurs visages se touchent presque, Durant quelques secondes, ils ne bougent pas, ils se fixent en silence,
Puis lentement il renverse sa maîtresse sur le transat derrière elle.
Docilement elle s’allonge écarte les cuisses, lui tends les bras qu’il a lâché,
Quand il se rapproche, je ne peux regarder que son dard tendu, qui s’enfonce avec lenteur dans le ventre de ma femme qui soupir d’aise. Ils se fixent quelques instant sans bouger, l’un dans l’autre .
Elle (avec un léger sourire) salaud
Puis elle le serre dans ses bras, leurs bouches se soudent, et il commence à la baiser.
Sans sortir son sexe de l’écrin chaud et humide, il fait de légers mouvements du bassin. Son pubis frotte en douceur le clitoris de sa partenaire.
Elle gémit . Puis dans un râle étouffé par leurs baisers, elle jouit, en resserrant ses jambes autour de Claude.
De nouveau ils se fixent, ils se sourient.
Lui : ça va ? Tu as encore jouit ?
Elle : oui ça va et oui j’ai encore jouit. Et toi non ? Donc tu as encore envie ?
Lui (se retirant) : oui, mets toi à quatre patte, je vais te baiser en matant ton petit
cul de salope.
Elle (en s’exécutant) : tu pourrais être poli
Une fois en position, elle se cambre, elle s’offre à cet homme, pour qu’il jouisse dans son ventre.
Il la regarde sans bouger
Elle : alors qu’attends tu ?
Lui (en lui donnant un claque sur les fesses) je matte ton cul de salope.
Elle : aiiieee, tu me fais mal.
Lui : dis moi que tu as envie de ma queue
Elle (soupirant) : j’ai envie de ta queue
Lui : mieux que ça
Elle (en gémissant): s’il te plaît Claude, baises moi. Je veux sentir ta grosse bite dans ma chatte en feu.
Il l’a prend par les hanches, l’a pénètre d’un violent coup de reins et sans ménagement, se met à la limer très fort.
Ils ne font plus attention aux bruits qui risqueraient de me réveiller.
Ses gémissements ressemblent à des plaintes. Lui, le souffle court grogne.
Je le vois grimacer, il retient son plaisir.
Il va de plus ne plus fort, de plus en plus profond.
Elle (en passant sa main pour se caresser) ouiiiiii vas y mon chéri jouit en moi. Je vais jouiiiiiiiiiir, oui oui oui ; Envoie ton jus dans ma chatte de salope.
D’un seul coup son orgasme arrive
Dans les secondes qui suivent.
Lui (en jouissant) : oooooooooooooooohhhhhh, que sa fait du bien de jouiiiiiiir. j’adore t’entendre gémir quand je me répand dans ta chatte de salope. Hhhhaaaaaaa,
Et je vois le couple s’affaler sur le transat et rester là, à reprendre leurs esprits.
Après une minute environ
Lui (se relevant) : merci ma jolie, ce fut très agréable. Tu es toujours aussi bonne.
Elle (se relevant et cherchant de quoi s’essuyer) : tu n’es pas mauvais non plus. Bon maintenant au lit. J’espère que nous n’avons pas réveillé mon mari.
Lui (en lui faisant un bisou et en lui mettant une légère tape sur les fesses) Nous avons même réveillé tout le quartier coquine.
Le sexe tendu jusqu’à la douleur, je retourne précipitamment me coucher. Le dos tourné à la place de Cathy, j’attends.
La porte s’ouvre, je la sens se coucher, elle me tourne le dos. Je roule sur moi même, je viens me coller contre elle, mon bras gauche passant pardessus son corps, je lui caresse un sein.
Moi : Ou étais tu ?
Cathy : aux toilettes, puis comme j’avais chaud au bord de la piscine.
Moi (avec la main un peu plus baladeuse) : tu étais nue au bord de la piscine ? Tu n’as pas eu peur de tomber sur Claude ?
Cathy : je n’y ai même pas pensé. Tu parle à son age ils dort la nuit,
Puis se tournant vers moi
Cathy : si ont dormait maintenant ?
Moi (en collant contre elle) : tu t’es masturbée au bord de l’eau ?
Et je glisse une main sur son sexe, et introduit 2 doigts dans son vagin, que je trouve, très humide .
Cathy (soupirant, et ne pouvant pas cacher son état) : oui je me suis caresser en pensant à toi.
Moi (en pensant, que c’était une sacrée garce) : eh ! Bien maintenant que je suis là, tu vas pouvoir profiter de moi.
Et sans attendre, je là renverse sur le dos, glisse mes jambes entre ses cuisses, et présente mon sexe l’entrée de sa chatte toute gluante.
Avant qu’elle ne proteste, je là pénètre avec force
Cathy (me regardant fixement) :surtout ne me demande pas mon avis, viole moi.
Moi : tu n’exagères pas un peu ? Vu comme tu es chaude tu as du avoir des pensées drôlement coquines ? Tu peux me raconter ?
Cathy je ne vais rien te dire du tout. Je ne vais pas bouger, tu vas avoir l’impression de te taper une poupée gonflable.
Moi(en recommençant à la limer lentement) je vais te baiser en te racontant ton fantasme.
Cathy : fais vite parce que j’ai sommeil.
Moi : ton fantasme, te faire baiser au bord de la piscine par Claude.
Cathy : ça na va pas, il pourrait être mon père
Moi (en prenant un rythme régulier):donc dans ton envie, tu es au bord de la piscine, il arrive derrière toi, te prend les seins dans ses mains, t’embrasse dans le cou. Tu savoures. Il fait passer ta nuisette par dessus ta tête, se colle contre toi. Tu sens sa grosse bite tendue contre tes reins. Tu veux te retourner, mais il te pousse vers un transat. Tu te mets à 4 pattes et il te baise en levrette. Lentement, doucement longtemps Et tu mouille très fort, et tu jouis très fort.
j’ouvre les yeux que j’avais fermé, pour raconter mon récit. Je vois Cathy, les yeux fermés, se mordant les lèvres pour ne pas gémir.
Moi (arrêtant mes coups de reins) je croyais que tu ne devais pas avoir de réaction ?
Cathy : continue c’est trop bon.
Pris d’une envie soudaine, je me retire. Je prends ses chevilles dans mes mains, et lui remonte les genoux sur la poitrine. Dans cette position elle m’offre son cul.
Cathy (surprise) tu fais quoi ?
Moi : je vais baiser ton cul de salope.
Et j’appuie mon pénis sur sa rosette, Mon gland rentre comme dans du beurre.
Moi : tu avais dû, tellement mouiller en te masturbant, que ta mouille avait lubrifié ton petit cul de salope.
Je suis tellement excité, qu’en à peine 10 allées retour, je jouis dans ses reins.
Je reprends mon souffle, m’allonge à côté d’elle, et lui prends la main.
Moi : ça va ?
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