Un amour de plage
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un amour de plage
Le parfum de glace préféré pour Robert, c’était la vanille à la noix de pécan, et pour moi, au chocolat avec des éclats de pistache. Aujourd'hui, il s'est porté volontaire pour cheminer le long de la plage, en allant jusqu’à la baraque au bord du parking, pour nous en acheter. Je l'ai suivi des yeux paresseusement, titubant dans le sable brûlant, avec le soleil qui luisait sur son corps pâle enduit de crème solaire.
Puis, son chemin a croisé celui d’un grand black. Un grand noir musclé, à la démarche souple comme un félin. Le sable ne semblait pas lui brûler les pieds. Mon regard a cessé de suivre la démarche pataude de Robert, et mes yeux se sont fixés sur le magnifique spécimen qui s’approchait. Pour mieux le voir, j’ai quitté ma position à plat ventre pour me soulever sur un coude.
Ce n'était pas la première fois que nous allions sur une plage naturiste. C'était la nouvelle toquade de Robert. J'avais hésité un peu au début, surtout parce que je doutais de ses intentions. Il avait dit que c’était pour profiter au maximum du soleil, et j’étais convaincue qu’il désirait surtout montrer sa conquête.
Donc, le gaillard s’approchait de l’endroit où j’étais allongée, à plat ventre, pour dissimuler au maximum mes parties intimes. En me soulevant sur un coude, j’ai pu mieux détailler son impressionnante musculature, mais ce faisant, j’ai attiré son attention, et son regard s’est fixé sur moi.
J’ai immédiatement ressenti cette sensation bizarre, mes mamelons se sont dressés, une chaude et délicieuse pression s’est emparée de ma chatte, et un frisson de désir a couru le long de ma colonne vertébrale. J’étais seule dans ce coin de plage, à l’écart de la populace, mon copain était parti pour plusieurs minutes.
Le grand type musclé, à la peau très foncée, avait peut-être dans la trentaine. Il marchait souplement dans le sable brûlant, venant du chemin par où Robert était parti. Une épaisse chaîne en or autour du cou scintillait au soleil, mais ce n’était pas cela qui attirait mon regard.
Au premier coup d’œil, quand il a croisé Robert, c’était sa carrure et sa musculature qui étaient troublantes. Ensuite, au fur et à mesure qu’il s’approchait, c’est son pénis qui a monopolisé mon attention. Pas que la taille démesurée, mais aussi le balancement lourd et lent, au rythme de sa démarche.
Je le regardais s’approcher de moi, en détaillant son anatomie, et il me reluquait. Ce qu’il voyait à dû lui plaire, car j’ai nettement vu l’énorme bite avoir un soubresaut. Un éclair de chaleur a brûlé mes reins tandis qu’il dirigeait ses pas résolument vers moi. J’étais sûre qu’il pouvait ressentir mon désir pour lui, comme je percevais son intérêt pour moi.
J’aurais aimé tendre la main pour toucher cette incroyable bite avec ses veines gonflées sous la peau. Son gland proéminent au bout de sa tige incurvée m'a évoqué un bélier. Je le suivais des yeux par-dessus mon épaule. Sa main puissante et rugueuse s’est posée sur mes reins et m'a maintenue au sol. Il a écarté mes jambes avec ses genoux pour les ouvrir. Sans un mot, il s'est allongé sur moi par derrière pour presser son énorme bite contre ma chatte.
J’avais conscience de ma négligence, que je ne devais pas me livrer ainsi, mais la tentation obscurcissait ma lucidité. Mon vagin peu préparé éprouva de la douleur lorsque son énorme gland poussa fermement contre ma chair. Il forait son chemin sans hâte, sûr de sa force, et mes lèvres s’écartaient pour le laisser entrer.
Ma chatte s’est étirée jusqu'à accepter son gland. Il n'était pas encore totalement en moi, mais jamais je n'avais senti mon vagin s'ouvrir autant. Un râle d'agonie m’a échappé tandis qu’il déchirait mon ventre. Sa puissance repoussait impitoyablement mes chairs tendres, en s’enfouissant plus profondément en moi.
C'était douloureux et exaltant à la fois. Douleur et trouble mélangés. Il était tellement plus gros que Robert et tout les sexes masculins que j'avais connus. Dilatée, dévastée, remplie par cette énorme bite, l’intense excitation faisait battre mon cœur dans ma poitrine. J’ai cru que j’allais mourir. Ma chatte a commencé à mouiller, facilitant sa progression.
Pour tout vous dire, je n'avais pas l’habitude d’être pénétrée à cru, sans préservatif. Robert était un garçon prudent et prévoyant, et il utilisait toujours un préservatif, invoquant ses responsabilités de garçon blanc. Il avait toujours ce cérémonial, de le mettre en place avant puis, une fois fini, de l'enlever, d'y faire un nœud et de le jeter à la poubelle, avec un air d’intense satisfaction.
J’aurais dû demander à ce type d'en faire autant. Mais j’étais sûre qu'il n'avait pas sur lui le matériel ad hoc, et je sentais confusément que ce n’était pas une bonne chose de demander cela. Visiblement, c’était le dernier de ses soucis, je n’avais qu’à me débrouiller pour ne pas tomber enceinte.
Sa bite s'enfonçait plus profondément en moi, plus loin que Robert ne pouvait aller, et ses poussées étaient plus vigoureuses. Robert a toujours pris grand soin de s'assurer que j'ai du plaisir dans l’étreinte, et pour lui, mon plaisir passait avant le sien. Mais il ne m’a jamais fait jouir.
J'ai toujours simulé, pour lui faire plaisir. Pour qu’il soit heureux et fier. Mais mon vibromasseur était mon meilleur exutoire. Ce type était différent. Il ne se préoccupait pas de moi, ni de mon plaisir. Il était juste en train de me baiser. Pas par amour, juste parce que c’était un homme, un mâle viril, qu’il avait une femelle à couvrir, comme un étalon reproducteur se doit de le faire.
Mon orgasme prenait corps au fond de mon ventre, et il ne faisait que progresser. J'ai réprimé mon envie de crier mon bonheur, me rappelant que j'étais sur une plage publique. Et puis c'est venu. Violent, brutal. Mon vibromasseur ne faisait généralement vibrer que certaines parties du bas de mon corps, mais ici, et pour la première fois, j'ai senti tout mon corps tressaillir et convulser.
Chaque partie de moi voulait vibrer à l’unisson. Mon corps tout entier était un temple de plaisir intense. Mais plutôt que de me laisser profiter du moment, il m'a juste écrasée un peu plus fort sur ma serviette, et il a continué de me baiser au même rythme, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Un nouvel orgasme a suivit le premier, puis un autre, et encore un autre.
Même s'il semblait ne pas s’en préoccuper, mes orgasmes successifs, et l'extrême pression de ma chatte ont fini par l'exciter aussi. Peu de temps après, il commença à grogner. Puis, soudain, c'est arrivé. Un geyser a explosé au fond de ma vulve. Il a arrêté de bouger sur moi, et il a juste maintenu sa bite au fond de moi.
Une semence épaisse, lourde, puissante, a enveloppé son phallus dans mon antre martyrisée. Un grognement grave et viril a souligné son accomplissement. Il s’est retiré lentement. Ma chatte distendue a laissé échapper un flot de sperme.
J'aurais adoré l’enlacer et le couvrir de baisers. Le remercier pour le plaisir qu’il m’avait donné. Mais il s'est simplement relevé et s'est éloigné sans un mot. Le sexe déjà en détumescence.
Un fil de sperme pendait à son extrémité. Quelques gouttelettes perdues dans le sable. Il ne m'a pas jeté un regard. Ses yeux de chasseur scrutaient déjà l’horizon, à la recherche de la prochaine proie à baiser.
Je me suis précipitée dans la mer pour me rincer au maximum et atténuer les traces de son passage. Robert est revenu avec ses glaces. Agenouillée à côté de ma serviette tachée, léchant ma glace, un coup d’œil circulaire m’a informée que notre exhibition n’avait pas échappée aux plus proches baigneurs.
Plus tard dans la journée, je me suis portée volontaire pour aller chercher des boissons. La vraie raison, c’était que j’avais repéré une pharmacie à côté du parking où nous avions laissé l’auto. Je voulais prendre la pilule du lendemain, pour être sûre d’échapper à la honte d’être démasquée. J'étais dans ma période fertile, et je pouvais facilement tomber enceinte.
Dans la pharmacie, je passais devant le stand des préservatifs, et je les regardais, amusée. Ils étaient soigneusement rangés par taille, et je me demandais quelle taille il fallait pour la monstruosité qui m’avait défoncé la chatte tout à l’heure.
Et puis, cela m’a rappelé Robert, son micropénis, et ses léchouilles pour me faire plaisir. De penser à tout ça m’a rendue malade. Robert me dégoûtait. Je l’ai quitté le soir même. Je voulais vivre ma vie, avoir du plaisir. Ne pas m’enterrer vivante avec un type sans saveur. Je suis devenue ce qu’on appelle communément une salope, et j’en suis heureuse.
Puis, son chemin a croisé celui d’un grand black. Un grand noir musclé, à la démarche souple comme un félin. Le sable ne semblait pas lui brûler les pieds. Mon regard a cessé de suivre la démarche pataude de Robert, et mes yeux se sont fixés sur le magnifique spécimen qui s’approchait. Pour mieux le voir, j’ai quitté ma position à plat ventre pour me soulever sur un coude.
Ce n'était pas la première fois que nous allions sur une plage naturiste. C'était la nouvelle toquade de Robert. J'avais hésité un peu au début, surtout parce que je doutais de ses intentions. Il avait dit que c’était pour profiter au maximum du soleil, et j’étais convaincue qu’il désirait surtout montrer sa conquête.
Donc, le gaillard s’approchait de l’endroit où j’étais allongée, à plat ventre, pour dissimuler au maximum mes parties intimes. En me soulevant sur un coude, j’ai pu mieux détailler son impressionnante musculature, mais ce faisant, j’ai attiré son attention, et son regard s’est fixé sur moi.
J’ai immédiatement ressenti cette sensation bizarre, mes mamelons se sont dressés, une chaude et délicieuse pression s’est emparée de ma chatte, et un frisson de désir a couru le long de ma colonne vertébrale. J’étais seule dans ce coin de plage, à l’écart de la populace, mon copain était parti pour plusieurs minutes.
Le grand type musclé, à la peau très foncée, avait peut-être dans la trentaine. Il marchait souplement dans le sable brûlant, venant du chemin par où Robert était parti. Une épaisse chaîne en or autour du cou scintillait au soleil, mais ce n’était pas cela qui attirait mon regard.
Au premier coup d’œil, quand il a croisé Robert, c’était sa carrure et sa musculature qui étaient troublantes. Ensuite, au fur et à mesure qu’il s’approchait, c’est son pénis qui a monopolisé mon attention. Pas que la taille démesurée, mais aussi le balancement lourd et lent, au rythme de sa démarche.
Je le regardais s’approcher de moi, en détaillant son anatomie, et il me reluquait. Ce qu’il voyait à dû lui plaire, car j’ai nettement vu l’énorme bite avoir un soubresaut. Un éclair de chaleur a brûlé mes reins tandis qu’il dirigeait ses pas résolument vers moi. J’étais sûre qu’il pouvait ressentir mon désir pour lui, comme je percevais son intérêt pour moi.
J’aurais aimé tendre la main pour toucher cette incroyable bite avec ses veines gonflées sous la peau. Son gland proéminent au bout de sa tige incurvée m'a évoqué un bélier. Je le suivais des yeux par-dessus mon épaule. Sa main puissante et rugueuse s’est posée sur mes reins et m'a maintenue au sol. Il a écarté mes jambes avec ses genoux pour les ouvrir. Sans un mot, il s'est allongé sur moi par derrière pour presser son énorme bite contre ma chatte.
J’avais conscience de ma négligence, que je ne devais pas me livrer ainsi, mais la tentation obscurcissait ma lucidité. Mon vagin peu préparé éprouva de la douleur lorsque son énorme gland poussa fermement contre ma chair. Il forait son chemin sans hâte, sûr de sa force, et mes lèvres s’écartaient pour le laisser entrer.
Ma chatte s’est étirée jusqu'à accepter son gland. Il n'était pas encore totalement en moi, mais jamais je n'avais senti mon vagin s'ouvrir autant. Un râle d'agonie m’a échappé tandis qu’il déchirait mon ventre. Sa puissance repoussait impitoyablement mes chairs tendres, en s’enfouissant plus profondément en moi.
C'était douloureux et exaltant à la fois. Douleur et trouble mélangés. Il était tellement plus gros que Robert et tout les sexes masculins que j'avais connus. Dilatée, dévastée, remplie par cette énorme bite, l’intense excitation faisait battre mon cœur dans ma poitrine. J’ai cru que j’allais mourir. Ma chatte a commencé à mouiller, facilitant sa progression.
Pour tout vous dire, je n'avais pas l’habitude d’être pénétrée à cru, sans préservatif. Robert était un garçon prudent et prévoyant, et il utilisait toujours un préservatif, invoquant ses responsabilités de garçon blanc. Il avait toujours ce cérémonial, de le mettre en place avant puis, une fois fini, de l'enlever, d'y faire un nœud et de le jeter à la poubelle, avec un air d’intense satisfaction.
J’aurais dû demander à ce type d'en faire autant. Mais j’étais sûre qu'il n'avait pas sur lui le matériel ad hoc, et je sentais confusément que ce n’était pas une bonne chose de demander cela. Visiblement, c’était le dernier de ses soucis, je n’avais qu’à me débrouiller pour ne pas tomber enceinte.
Sa bite s'enfonçait plus profondément en moi, plus loin que Robert ne pouvait aller, et ses poussées étaient plus vigoureuses. Robert a toujours pris grand soin de s'assurer que j'ai du plaisir dans l’étreinte, et pour lui, mon plaisir passait avant le sien. Mais il ne m’a jamais fait jouir.
J'ai toujours simulé, pour lui faire plaisir. Pour qu’il soit heureux et fier. Mais mon vibromasseur était mon meilleur exutoire. Ce type était différent. Il ne se préoccupait pas de moi, ni de mon plaisir. Il était juste en train de me baiser. Pas par amour, juste parce que c’était un homme, un mâle viril, qu’il avait une femelle à couvrir, comme un étalon reproducteur se doit de le faire.
Mon orgasme prenait corps au fond de mon ventre, et il ne faisait que progresser. J'ai réprimé mon envie de crier mon bonheur, me rappelant que j'étais sur une plage publique. Et puis c'est venu. Violent, brutal. Mon vibromasseur ne faisait généralement vibrer que certaines parties du bas de mon corps, mais ici, et pour la première fois, j'ai senti tout mon corps tressaillir et convulser.
Chaque partie de moi voulait vibrer à l’unisson. Mon corps tout entier était un temple de plaisir intense. Mais plutôt que de me laisser profiter du moment, il m'a juste écrasée un peu plus fort sur ma serviette, et il a continué de me baiser au même rythme, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. Un nouvel orgasme a suivit le premier, puis un autre, et encore un autre.
Même s'il semblait ne pas s’en préoccuper, mes orgasmes successifs, et l'extrême pression de ma chatte ont fini par l'exciter aussi. Peu de temps après, il commença à grogner. Puis, soudain, c'est arrivé. Un geyser a explosé au fond de ma vulve. Il a arrêté de bouger sur moi, et il a juste maintenu sa bite au fond de moi.
Une semence épaisse, lourde, puissante, a enveloppé son phallus dans mon antre martyrisée. Un grognement grave et viril a souligné son accomplissement. Il s’est retiré lentement. Ma chatte distendue a laissé échapper un flot de sperme.
J'aurais adoré l’enlacer et le couvrir de baisers. Le remercier pour le plaisir qu’il m’avait donné. Mais il s'est simplement relevé et s'est éloigné sans un mot. Le sexe déjà en détumescence.
Un fil de sperme pendait à son extrémité. Quelques gouttelettes perdues dans le sable. Il ne m'a pas jeté un regard. Ses yeux de chasseur scrutaient déjà l’horizon, à la recherche de la prochaine proie à baiser.
Je me suis précipitée dans la mer pour me rincer au maximum et atténuer les traces de son passage. Robert est revenu avec ses glaces. Agenouillée à côté de ma serviette tachée, léchant ma glace, un coup d’œil circulaire m’a informée que notre exhibition n’avait pas échappée aux plus proches baigneurs.
Plus tard dans la journée, je me suis portée volontaire pour aller chercher des boissons. La vraie raison, c’était que j’avais repéré une pharmacie à côté du parking où nous avions laissé l’auto. Je voulais prendre la pilule du lendemain, pour être sûre d’échapper à la honte d’être démasquée. J'étais dans ma période fertile, et je pouvais facilement tomber enceinte.
Dans la pharmacie, je passais devant le stand des préservatifs, et je les regardais, amusée. Ils étaient soigneusement rangés par taille, et je me demandais quelle taille il fallait pour la monstruosité qui m’avait défoncé la chatte tout à l’heure.
Et puis, cela m’a rappelé Robert, son micropénis, et ses léchouilles pour me faire plaisir. De penser à tout ça m’a rendue malade. Robert me dégoûtait. Je l’ai quitté le soir même. Je voulais vivre ma vie, avoir du plaisir. Ne pas m’enterrer vivante avec un type sans saveur. Je suis devenue ce qu’on appelle communément une salope, et j’en suis heureuse.
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