Un Ange, une vraie
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2017 dans la catégorie Pour la première fois
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Un Ange, une vraie
Ceci est une sorte de.brouillonJe vous le donne à lire mais ne le lisez que ssi vous avez aimé mon histoire précédente, Visitation
C'est comme une visite de l'inspiration du conteur
*
Elle était toute jeune. Elle m’avait dit, tu sais je ne l’ai jamais fait, voudrais-tu bien me montrer ?
Moi, je m’interrogeais...
Je pensais, au moins est-elle fille ? C’est déjà le minimum.
Un ange, normalement, avec deux grandes ailes blanches qui lui descendent jusqu’aux chevilles, c’est un garçon sûr, non ?
Enfin, moi j’étais dubitatif. Et ça ne me tentait pas d’aller avec un garçon...
Et puis, a-t-on le droit de mélanger ainsi deux espèces ? Ne serais-je pas coupable de sorte de bestialité à copuler avec un être si différent ?
Et alors que serait donc le fruit de notre métissage ? Aurait-il des ailes, comme elle ou bien seulement les os et les muscles support, omoplates, comme moi ? Serait-il stérile comme un hybride ? Comme le mulet fruit des amours du cheval avec l’ânesse.
Elle m’avait pris par la taille et se tenait tout contre moi et moi je ne voyais rien de son entre-cuisse. Moi je restais dans l’expectative, dans l’ignorance. Et j’étais inquiet quant à son genre. Je pensais, je veux bien initier cette gamine mais si je dis oui maintenant et qu’elle se révèle ensuite être un petit garçon, alors là, non. Je n’ai pas vocation à enculage en ambiguïté de genre.
Son visage était pur était doux comme sont habituellement les visages des anges. Ses lèvres sur les miennes disaient tendresse bien plus que sexe. Sa voix était chantante et multiple comme chœur de chorale en cathédrale.
Ma main est remontée dans son dos dans la chaleur moite du dessous des plumes et elle est venue, ma main, empaumer l’attache des ailes au milieu du dos au niveau des omoplates. Ses chairs, à cet endroit, étaient dures, musclées. Et son dos était puissant et large et je trouvais plaisir à caresser la peau frémissante des muscles qui la tendaient.
Je pensais un instant, je vais de mon autre main balayer, en toute amitié, son thorax et je verrai bien si cet ange a des seins. S’il a des seins, c’est que cet ange est fille, s’il n’en n’a pas c’est qu’il est garçon.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Ma main gauche s’est posée lègère à son cou, caresse descendante sur son épaule droite effleurante à peine de l’arête de son aile dure de plumes blanches, puis de large mouvement a glissé sur sa poitrine par dessus le coton qui la couvrait en cherche de proéminence mamaires et tétons dressés.
Dieu m’est témoin, cet ange était du genre que j’préfère avec ombre de tétés modestement gonflés mais incontestablement présents. Et puis réactifs ! De petits pointus mous et tendres qui se sont dressés instantanément sous ma paume. Un garçon n’eût pas eu ces aréoles gonflées appointées de mûres minuscules mais néanmoins bourgeonnantes.
J’ai pensé, puisque cet ange est fille alors je puis la serrer dans mes bras et même peut être passer la main sous son nombril, au creux de sa touffe blonde et de ses chairs tendres.
Ma main était hésitante, prude timide toute en retenue.
Bien m’en a pris car quand mes doigts incursifs furent parvenus à son pubis, je trouvai celui-ci parfaitement imberbe, lisse et fin comme abricot de petite fille. Je pensais, est-il, cet ange, si jeune que ses intimités soient encore totalement vierges de pilosité ou bien a-t-il recours, lui aussi, aux cabinets d’esthétique et autres officines laser qui sévissent ici-bas sur terre ?
Ma main avait plongé de deux doigts au creux d’elle et de ses fluidités. Ma paume sentait parfaitement son bouton érigé comme minuscule sexe mâle tendu tête décapuchonnée toute réceptive toute sensible à la caresse.
Sa vêture était rudimentaire, minimaliste. On comprenait que les tissus ne devaient pas gêner son vol. Aussi ne portait-elle qu’une sorte de chasuble, de petite camisole que les filles d’ici nommeraient nuisette. Mais une nuisette de jour en coton fin blanc assez chaste car on ne voyait rien d’elle en transparences.
Ni les aréoles de ses petits seins non plus que la fente de sa craquette ou même par derrière celle, plus large plus profonde plus sombre entre ses fesses.
Le tissu collait à son poitrail, couvrant ses seins haut par devant tout en dégageant dans son dos les attaches de ses grandes ailes blanches. Deux petites bretelles fines la retenaient aux épaules.
Ses hanches ses fesses son pubis étaient couverts cachés mais tout juste. On voyait que ce vêtement avait été étudié pour ne pas compromettre ses allées venues ses virevoltes dans les airs.
Moi, je pensais, en en bandant déjà d’aise, à sa petite moule toute ouverte à tous les vents.
Je me disais, dans mon for intérieur, c’est tout de même plus sympa d’être ange volant de ses deux ailes, l’abricot offert aux nues plutôt que sorcière assise inconfortablement sur le manche d’un balai, la vulve torturée par le bois sec et rugueux du dit manche.
Elle, l’ange ne parlait pas et restait coite. Elle me matait avec sourire d’aise et profitait de ma caresse des deux doigts plongés dans son ventre, les deux autres glissant dans les plis de son aine encadrant ses grandes lèvres.
Entre deux baisers, elle m’a dit, je suis venue descendue sur terre pour me faire mettre par un garçon beau comme toi. Si tu sais t’y prendre, si la perte de ma virginité s’avère moment sublime comme je veux l’espérer, alors je clamerai haut et fort être ton Ange Gardien.
Peu de tes congénères humains peuvent s’enorgueillir d’avoir un Ange Gardien.
Nous, anges, sommes peu nombreux aux Nues. Tous devons, tous, perdre notre virginité avec un humain et devenons alors automatiquement et pour toujours son Ange Gardien.
Cette quête est pour nous comme rite initiatique, comme baptême, comme droit d’entrée en la grande famille des anges.
Elle était douce et moi je me régalais de tenir sa taille dans ma main. Je pensais mon rêve est un vrai rêve de pays enchanté et la preuve en est que je voudrais avancer et ne le puis point comme en ces rêves où l’on court en vain sans que nos pas nous portent plus avant.
Elle était assurément Ange mais aussi sacrément coquine. Elle avait chopé ma pine à travers les tissus du futal et du slip et serrait serrait comme si l’actuelle raideur extrême était insuffisante à ses ambitions et qu’elle voulait gravir un échelon supplémentaire, de 7H à 8H ou même pire.
Elle me dit, tu vois aux Cieux, il n’y a pas d’hommes pas de garçons. Aussi sommes nous forcées, nous anges, de descendre chez vous pour nous faire initier. On appelle ce moment la Visitation.
C'est comme une visite de l'inspiration du conteur
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Elle était toute jeune. Elle m’avait dit, tu sais je ne l’ai jamais fait, voudrais-tu bien me montrer ?
Moi, je m’interrogeais...
Je pensais, au moins est-elle fille ? C’est déjà le minimum.
Un ange, normalement, avec deux grandes ailes blanches qui lui descendent jusqu’aux chevilles, c’est un garçon sûr, non ?
Enfin, moi j’étais dubitatif. Et ça ne me tentait pas d’aller avec un garçon...
Et puis, a-t-on le droit de mélanger ainsi deux espèces ? Ne serais-je pas coupable de sorte de bestialité à copuler avec un être si différent ?
Et alors que serait donc le fruit de notre métissage ? Aurait-il des ailes, comme elle ou bien seulement les os et les muscles support, omoplates, comme moi ? Serait-il stérile comme un hybride ? Comme le mulet fruit des amours du cheval avec l’ânesse.
Elle m’avait pris par la taille et se tenait tout contre moi et moi je ne voyais rien de son entre-cuisse. Moi je restais dans l’expectative, dans l’ignorance. Et j’étais inquiet quant à son genre. Je pensais, je veux bien initier cette gamine mais si je dis oui maintenant et qu’elle se révèle ensuite être un petit garçon, alors là, non. Je n’ai pas vocation à enculage en ambiguïté de genre.
Son visage était pur était doux comme sont habituellement les visages des anges. Ses lèvres sur les miennes disaient tendresse bien plus que sexe. Sa voix était chantante et multiple comme chœur de chorale en cathédrale.
Ma main est remontée dans son dos dans la chaleur moite du dessous des plumes et elle est venue, ma main, empaumer l’attache des ailes au milieu du dos au niveau des omoplates. Ses chairs, à cet endroit, étaient dures, musclées. Et son dos était puissant et large et je trouvais plaisir à caresser la peau frémissante des muscles qui la tendaient.
Je pensais un instant, je vais de mon autre main balayer, en toute amitié, son thorax et je verrai bien si cet ange a des seins. S’il a des seins, c’est que cet ange est fille, s’il n’en n’a pas c’est qu’il est garçon.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Ma main gauche s’est posée lègère à son cou, caresse descendante sur son épaule droite effleurante à peine de l’arête de son aile dure de plumes blanches, puis de large mouvement a glissé sur sa poitrine par dessus le coton qui la couvrait en cherche de proéminence mamaires et tétons dressés.
Dieu m’est témoin, cet ange était du genre que j’préfère avec ombre de tétés modestement gonflés mais incontestablement présents. Et puis réactifs ! De petits pointus mous et tendres qui se sont dressés instantanément sous ma paume. Un garçon n’eût pas eu ces aréoles gonflées appointées de mûres minuscules mais néanmoins bourgeonnantes.
J’ai pensé, puisque cet ange est fille alors je puis la serrer dans mes bras et même peut être passer la main sous son nombril, au creux de sa touffe blonde et de ses chairs tendres.
Ma main était hésitante, prude timide toute en retenue.
Bien m’en a pris car quand mes doigts incursifs furent parvenus à son pubis, je trouvai celui-ci parfaitement imberbe, lisse et fin comme abricot de petite fille. Je pensais, est-il, cet ange, si jeune que ses intimités soient encore totalement vierges de pilosité ou bien a-t-il recours, lui aussi, aux cabinets d’esthétique et autres officines laser qui sévissent ici-bas sur terre ?
Ma main avait plongé de deux doigts au creux d’elle et de ses fluidités. Ma paume sentait parfaitement son bouton érigé comme minuscule sexe mâle tendu tête décapuchonnée toute réceptive toute sensible à la caresse.
Sa vêture était rudimentaire, minimaliste. On comprenait que les tissus ne devaient pas gêner son vol. Aussi ne portait-elle qu’une sorte de chasuble, de petite camisole que les filles d’ici nommeraient nuisette. Mais une nuisette de jour en coton fin blanc assez chaste car on ne voyait rien d’elle en transparences.
Ni les aréoles de ses petits seins non plus que la fente de sa craquette ou même par derrière celle, plus large plus profonde plus sombre entre ses fesses.
Le tissu collait à son poitrail, couvrant ses seins haut par devant tout en dégageant dans son dos les attaches de ses grandes ailes blanches. Deux petites bretelles fines la retenaient aux épaules.
Ses hanches ses fesses son pubis étaient couverts cachés mais tout juste. On voyait que ce vêtement avait été étudié pour ne pas compromettre ses allées venues ses virevoltes dans les airs.
Moi, je pensais, en en bandant déjà d’aise, à sa petite moule toute ouverte à tous les vents.
Je me disais, dans mon for intérieur, c’est tout de même plus sympa d’être ange volant de ses deux ailes, l’abricot offert aux nues plutôt que sorcière assise inconfortablement sur le manche d’un balai, la vulve torturée par le bois sec et rugueux du dit manche.
Elle, l’ange ne parlait pas et restait coite. Elle me matait avec sourire d’aise et profitait de ma caresse des deux doigts plongés dans son ventre, les deux autres glissant dans les plis de son aine encadrant ses grandes lèvres.
Entre deux baisers, elle m’a dit, je suis venue descendue sur terre pour me faire mettre par un garçon beau comme toi. Si tu sais t’y prendre, si la perte de ma virginité s’avère moment sublime comme je veux l’espérer, alors je clamerai haut et fort être ton Ange Gardien.
Peu de tes congénères humains peuvent s’enorgueillir d’avoir un Ange Gardien.
Nous, anges, sommes peu nombreux aux Nues. Tous devons, tous, perdre notre virginité avec un humain et devenons alors automatiquement et pour toujours son Ange Gardien.
Cette quête est pour nous comme rite initiatique, comme baptême, comme droit d’entrée en la grande famille des anges.
Elle était douce et moi je me régalais de tenir sa taille dans ma main. Je pensais mon rêve est un vrai rêve de pays enchanté et la preuve en est que je voudrais avancer et ne le puis point comme en ces rêves où l’on court en vain sans que nos pas nous portent plus avant.
Elle était assurément Ange mais aussi sacrément coquine. Elle avait chopé ma pine à travers les tissus du futal et du slip et serrait serrait comme si l’actuelle raideur extrême était insuffisante à ses ambitions et qu’elle voulait gravir un échelon supplémentaire, de 7H à 8H ou même pire.
Elle me dit, tu vois aux Cieux, il n’y a pas d’hommes pas de garçons. Aussi sommes nous forcées, nous anges, de descendre chez vous pour nous faire initier. On appelle ce moment la Visitation.
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