Un anniversaire, ça se fête...
Récit érotique écrit par Marie Salope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un anniversaire, ça se fête...
Hier. Notre anniversaire. Je roule vers toi. Tu ne réponds pas à mes SMS. Tu t’éloignes de plus en plus. Tu me manques. Ton corps me manque. Je veux te retrouver, me rapprocher. Depuis le début, j’aime faire l’amour avec toi. Tes caresses, ta langue experte, ta belle queue… j’adore. Mais depuis quelques temps, j’ai envie de passer à autre chose, d’avancer, d’aller plus loin. J’ai envie que tu me baises. Envie de sexe. Message* : une photo très suggestive du body en résille noir que je porte. Pas de réponse. Message* : Dans pas longtemps, je te prends en bouche et je te gâte. Pas de réponse. Je suis inquiète, j’ai peur de ne pas te retrouver sur ce terrain. Pour me rassurer, j’échange des SMS avec un homme, un ami, qui m’excite beaucoup. Je lui explique ma tenue, mon programme : fellation dès l’entrée, moi à genoux, jean baissé pour qu’il ait une belle vue sur mon cul pendant que je le suce… Il me répond fantasme, soumission, érection, fessée, je mouille et me balance sur mon siège, accrochée au volant. L’échange se finit devant chez mon homme. Et rien ne se passe comme je l’avais prévu !
Quand j’entre, il est dans la cuisine, il fait la vaisselle. Le salon, c’est la guerre, j’avais oublié qu’il faisait des travaux. Impossible de se mettre à genoux, des gravats partout ! Je l’embrasse goulument, le regard lubrique, il me regarde étonné. Et il me propose une pizza ! Après une seconde d’hésitation… Non, j’ai faim mais pas de bouffe : de toi, de ta queue. Je le prends par la main et l’entraîne dans la chambre. Je vire mon pull, déboutonne mon jean, lui tourne le dos, découvre mon cul sous la fine résille noire… Il est debout, stupéfait. Je m’approche, souriante et provocatrice, lui fourre la langue dans sa belle bouche et déboucle sa ceinture, ne bouge pas. Une fois débarrassée de son fut, je reste à genoux et enfourne son sexe déjà raide dans ma bouche gourmande. Faut vous dire, j’adore le sucer. Je m’en donne à cœur joie, ma langue court, je prends ses couilles bien pleines dans ma bouche, je le pompe, je le titille, je le goûte et il profite. Au bout d’un long moment, je sens qu’il va jouir, mes mains prennent le relais, et je lui donne le pouvoir : Fais de moi ce que tu veux, prends ce que tu veux, comme tu veux, dans le sens où tu veux. Je m’allonge sur le lit et l’incite : si tu en as envie, tu peux commencer par baiser ma bouche. Une seconde de stupéfaction, d’hésitation. Une seconde. Pas plus. Et tout bascule. Il s’installe à cheval sur moi, enfile sa verge dans ma bouche qui l’attend, ouverte. Son mouvement, lent au départ, accélère, ses coups de rein prennent de l’ampleur, sa bite tape le fond de ma gorge, ses couilles claquent sur mon menton, je le regarde dans les yeux, son regard passe du mien à sa queue qui disparait dans ma bouche… Mon excitation est intense, j’aime qu’il m’utilise comme ça, je suis secouée comme un prunier, par moment j’ai du mal à respirer mais j’aime ça, cette impression d’être une bonne salope, une vraie débauchée, sa pute. Encore quelques coups de rein, il vient, je sens ma bouche se remplir de jets brulants, longs et puissants, il balance la sauce, il me donne à boire son jus, je ne laisse rien s’échapper, je lèche sa queue et récupère la moindre goutte de son sperme, je le lèche et il recommence déjà à bander. Il s’assoit à coté de moi, me retire sa queue de la bouche. Puis il commande : viens là, allonge-toi à cheval sur moi, là en travers. Une fois en place, je comprends ce qu’il veut, je me tends un peu, inquiète. Il me caresse les fesses, me dit comme j’ai un beau cul, que la résille le rend encore plus beau, que cela devrait être interdit d’être aussi bandante… Et le premier coup tombe, une claque brutale qui me fait crier, de douleur et de surprise, une autre, et puis la suite rythmée sans arrêt, je crie, j’essaye de bouger mais il me maintient fermement, et la fessée continue… et je jouis intensément, des vagues de plaisir me submergent, les caresses reprennent. Il me sourit doucement et constate : tu aimes ça. Puis il glisse sa main entre mes jambes, cherche les pressions et clac clac clac ouverture du body. Il fourre ses doigts dans ma chatte et me les donne à lécher. Sur son ordre je me relève, et je me place selon son désir, à quatre pattes, jambes écartées. Il s’installe derrière moi, glisse ses doigts, deux d’abord, puis trois, il me masturbe et ses gestes précis me ravissent, je sens qu’il étale mon humidité vers le haut, je n’en peux plus de désir, il prend son temps, et quand je lui demande prends-moi, encule-moi il m’envoie une claque et me rappelle les règles du jeu tais-toi, obéis. Et j’aime ça. Lui obéir, être sa chose. Il me demande d’écarter mes fesses, j’obéis. Plus écartées. Ok. Il continue ma préparation en prenant son temps, il va et vient dans mon sexe trempé, il va et vient entre ma chatte et mon petit trou, il y met un doigt, puis deux, il l’écarte, le détend, l’assoupli, lentement. Je n’en peux plus d’attendre mais je me tais, soumise, docile. Puis, plus rien. Il ne me touche plus. J’attends. Je l’entends se déplacer mais je ne bouge pas, ne tourne pas la tête, j’aime être soumise. Il sort de la chambre et quand il revient, il murmure : redresse-toi, à genoux. Ferme les yeux. Je m’exécute. Il dégage mes seins encore couverts par le body, attrape un téton, tire dessus et quand je pense que la douleur est à son maximum, je sens un pincement violent je baisse les yeux et découvre stupéfaite une pince à linge enserrant mon mamelon, j’ai le souffle court mais ne dis mot. La douleur se dissipe lentement, et le mamelon devient dur et gonflé. L’autre sein maintenant. Une autre pince. La douleur, le gonflement. Et il prend des photos. Il me dit qu’il les mettra sur un site de cul. Il me repousse à quatre pattes et le mouvement fait bouger les pinces et la douleur… Il me demande de me cambrer encore plus, de bien écarter mes fesses rougies, de bien exposer la salle de jeu pour la photo, pour que d’autres que lui puissent se branler sur moi. Et j’aime son pouvoir. Et je me tais. Il s’assied à nouveau et me demande de venir m’assoir sur lui, de dos. Il précise vise bien ma chérie, j’ai envie d’être serré. Alors je viens me poser à genoux devant lui en lui tournant le dos, les cuisses bien écartées et je descends lentement, une main guidant sa verge, l’autre ouvrant mon cul, je m’enfonce doucement, je m’empale sur lui, comme il le veut. Je commence à monter et descendre, j’accélère un peu, à chaque descente je m’enfonce un peu plus sur son énorme queue, je m’embroche. A chaque mouvement, les pinces sur mes tétons bougent. Il en profite pour libérer mes seins, les caresse, mes tétons sont tellement gonflés et durs, c’est fou, il les tourne et les repince, la douleur encore, je perds le rythme, il m’envoie une grande claque sur la cuisse pour me remotiver, je reprends mon balancement, quand il se lasse de mes seins il bascule vers l’avant, sa queue toujours plantée dans mon petit trou (qui ne doit plus être si petit !) la douleur est fulgurante, il s’enfonce tellement en moi que je hurle. A nouveau en levrette, il me coince dans le coin du mur, la tête dans l’oreiller, attrape mes cheveux d’une main, et me baise le cul comme jamais, me claquant la cuisse de l’autre main, je crois mourir mais je jouis encore… Et quand il me remplit, sa jouissance est si forte qu’il crie comme jamais avant. Il tombe sur le coté me laisse le cul en l’air défoncé et dégoulinant de son jus, je ne peux plus bouger, épuisée par ces jeux, endolorie et heureuse. Je m’endors en boule dans le coin du mur, poisseuse, la peau rougie, les tétons, la vulve et le rectum en très mauvais état, Je m’endors sans bouger, en rond comme une chienne. La prochaine fois que lui proposerai de jouer à « Prends le pouvoir » je sais à quoi m’attendre. J’espère le revoir dans 4 jours…
PS : il a reçu mes SMS* le lendemain matin.
Quand j’entre, il est dans la cuisine, il fait la vaisselle. Le salon, c’est la guerre, j’avais oublié qu’il faisait des travaux. Impossible de se mettre à genoux, des gravats partout ! Je l’embrasse goulument, le regard lubrique, il me regarde étonné. Et il me propose une pizza ! Après une seconde d’hésitation… Non, j’ai faim mais pas de bouffe : de toi, de ta queue. Je le prends par la main et l’entraîne dans la chambre. Je vire mon pull, déboutonne mon jean, lui tourne le dos, découvre mon cul sous la fine résille noire… Il est debout, stupéfait. Je m’approche, souriante et provocatrice, lui fourre la langue dans sa belle bouche et déboucle sa ceinture, ne bouge pas. Une fois débarrassée de son fut, je reste à genoux et enfourne son sexe déjà raide dans ma bouche gourmande. Faut vous dire, j’adore le sucer. Je m’en donne à cœur joie, ma langue court, je prends ses couilles bien pleines dans ma bouche, je le pompe, je le titille, je le goûte et il profite. Au bout d’un long moment, je sens qu’il va jouir, mes mains prennent le relais, et je lui donne le pouvoir : Fais de moi ce que tu veux, prends ce que tu veux, comme tu veux, dans le sens où tu veux. Je m’allonge sur le lit et l’incite : si tu en as envie, tu peux commencer par baiser ma bouche. Une seconde de stupéfaction, d’hésitation. Une seconde. Pas plus. Et tout bascule. Il s’installe à cheval sur moi, enfile sa verge dans ma bouche qui l’attend, ouverte. Son mouvement, lent au départ, accélère, ses coups de rein prennent de l’ampleur, sa bite tape le fond de ma gorge, ses couilles claquent sur mon menton, je le regarde dans les yeux, son regard passe du mien à sa queue qui disparait dans ma bouche… Mon excitation est intense, j’aime qu’il m’utilise comme ça, je suis secouée comme un prunier, par moment j’ai du mal à respirer mais j’aime ça, cette impression d’être une bonne salope, une vraie débauchée, sa pute. Encore quelques coups de rein, il vient, je sens ma bouche se remplir de jets brulants, longs et puissants, il balance la sauce, il me donne à boire son jus, je ne laisse rien s’échapper, je lèche sa queue et récupère la moindre goutte de son sperme, je le lèche et il recommence déjà à bander. Il s’assoit à coté de moi, me retire sa queue de la bouche. Puis il commande : viens là, allonge-toi à cheval sur moi, là en travers. Une fois en place, je comprends ce qu’il veut, je me tends un peu, inquiète. Il me caresse les fesses, me dit comme j’ai un beau cul, que la résille le rend encore plus beau, que cela devrait être interdit d’être aussi bandante… Et le premier coup tombe, une claque brutale qui me fait crier, de douleur et de surprise, une autre, et puis la suite rythmée sans arrêt, je crie, j’essaye de bouger mais il me maintient fermement, et la fessée continue… et je jouis intensément, des vagues de plaisir me submergent, les caresses reprennent. Il me sourit doucement et constate : tu aimes ça. Puis il glisse sa main entre mes jambes, cherche les pressions et clac clac clac ouverture du body. Il fourre ses doigts dans ma chatte et me les donne à lécher. Sur son ordre je me relève, et je me place selon son désir, à quatre pattes, jambes écartées. Il s’installe derrière moi, glisse ses doigts, deux d’abord, puis trois, il me masturbe et ses gestes précis me ravissent, je sens qu’il étale mon humidité vers le haut, je n’en peux plus de désir, il prend son temps, et quand je lui demande prends-moi, encule-moi il m’envoie une claque et me rappelle les règles du jeu tais-toi, obéis. Et j’aime ça. Lui obéir, être sa chose. Il me demande d’écarter mes fesses, j’obéis. Plus écartées. Ok. Il continue ma préparation en prenant son temps, il va et vient dans mon sexe trempé, il va et vient entre ma chatte et mon petit trou, il y met un doigt, puis deux, il l’écarte, le détend, l’assoupli, lentement. Je n’en peux plus d’attendre mais je me tais, soumise, docile. Puis, plus rien. Il ne me touche plus. J’attends. Je l’entends se déplacer mais je ne bouge pas, ne tourne pas la tête, j’aime être soumise. Il sort de la chambre et quand il revient, il murmure : redresse-toi, à genoux. Ferme les yeux. Je m’exécute. Il dégage mes seins encore couverts par le body, attrape un téton, tire dessus et quand je pense que la douleur est à son maximum, je sens un pincement violent je baisse les yeux et découvre stupéfaite une pince à linge enserrant mon mamelon, j’ai le souffle court mais ne dis mot. La douleur se dissipe lentement, et le mamelon devient dur et gonflé. L’autre sein maintenant. Une autre pince. La douleur, le gonflement. Et il prend des photos. Il me dit qu’il les mettra sur un site de cul. Il me repousse à quatre pattes et le mouvement fait bouger les pinces et la douleur… Il me demande de me cambrer encore plus, de bien écarter mes fesses rougies, de bien exposer la salle de jeu pour la photo, pour que d’autres que lui puissent se branler sur moi. Et j’aime son pouvoir. Et je me tais. Il s’assied à nouveau et me demande de venir m’assoir sur lui, de dos. Il précise vise bien ma chérie, j’ai envie d’être serré. Alors je viens me poser à genoux devant lui en lui tournant le dos, les cuisses bien écartées et je descends lentement, une main guidant sa verge, l’autre ouvrant mon cul, je m’enfonce doucement, je m’empale sur lui, comme il le veut. Je commence à monter et descendre, j’accélère un peu, à chaque descente je m’enfonce un peu plus sur son énorme queue, je m’embroche. A chaque mouvement, les pinces sur mes tétons bougent. Il en profite pour libérer mes seins, les caresse, mes tétons sont tellement gonflés et durs, c’est fou, il les tourne et les repince, la douleur encore, je perds le rythme, il m’envoie une grande claque sur la cuisse pour me remotiver, je reprends mon balancement, quand il se lasse de mes seins il bascule vers l’avant, sa queue toujours plantée dans mon petit trou (qui ne doit plus être si petit !) la douleur est fulgurante, il s’enfonce tellement en moi que je hurle. A nouveau en levrette, il me coince dans le coin du mur, la tête dans l’oreiller, attrape mes cheveux d’une main, et me baise le cul comme jamais, me claquant la cuisse de l’autre main, je crois mourir mais je jouis encore… Et quand il me remplit, sa jouissance est si forte qu’il crie comme jamais avant. Il tombe sur le coté me laisse le cul en l’air défoncé et dégoulinant de son jus, je ne peux plus bouger, épuisée par ces jeux, endolorie et heureuse. Je m’endors en boule dans le coin du mur, poisseuse, la peau rougie, les tétons, la vulve et le rectum en très mauvais état, Je m’endors sans bouger, en rond comme une chienne. La prochaine fois que lui proposerai de jouer à « Prends le pouvoir » je sais à quoi m’attendre. J’espère le revoir dans 4 jours…
PS : il a reçu mes SMS* le lendemain matin.
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